person:hossein amir abdollahian

  • Crise syrienne. La feuille de route se précise, des écueils persistent
    http://magazine.com.lb/index.php/fr/component/k2/item/13973-crise-syrienne-la-feuille-de-route-se-pr%C3%A9cise-des-%C3%A9cuei

    Il semble, en effet, qu’une feuille de route ait été établie, avec un calendrier précis, dans l’objectif de mener à une sortie de crise en Syrie, via une transition politique. Ainsi, au terme de la réunion, on apprenait dans le communiqué final que les participants « ont affirmé leur soutien à un cessez-le-feu et à un processus mené par les Syriens pour établir d’ici six mois (…) un calendrier pour rédiger une nouvelle Constitution ». « Des élections libres et équitables auraient lieu conformément à cette nouvelle Constitution d’ici dix-huit mois », indique également le texte. Par ailleurs, les dix-sept pays participants se sont entendus sur « la nécessité de réunir le gouvernement syrien et des représentants de l’opposition pour des négociations formelles, sous les auspices de l’Onu, dès que possible, avec l’objectif du 1er janvier ». Une quatrième réunion est, d’ores et déjà, prévue d’ici un mois pour faire un point sur les progressions. Côté européen, l’optimisme était, semble-t-il, de mise. « Ça a encore l’air utopique », a ainsi commenté le ministre allemand des Affaires étrangères, Frank-Walter Steinmeier, « mais nous avons toutes les puissances autour de la table ». Même son de cloche de la part de la cheffe de la diplomatie européenne, Federica Mogherini, qui a qualifié la réunion de « très bonne », estimant qu’un « processus peut définitivement commencer ». Pour autant, la question épineuse du devenir de Bachar el-Assad n’est toujours pas réglée. « Nous avons toujours des divergences concernant ce qu’il doit advenir de Bachar el-Assad », a admis le secrétaire d’Etat américain, John Kerry, à l’issue de la réunion. Les Occidentaux, la Turquie et les pays arabes sunnites, Arabie saouditeen tête, exigeaient que le texte prévoit un calendrier pour sa mise à l’écart. Une demande rejetée, comme il fallait s’y attendre, par la Russie et l’Iran. « Nous avons insisté sur le fait que seule la personne de Bachar el-Assad pouvait déciderde se représenterou pas aux élections et seul le peuple syrien pouvait décider de voterou pas pour lui », a souligné dimanche le vice-ministre iranien des Affaires étrangères, Hossein Amir Abdollahian. Côté occidental, on argue que « la transition politique permettra de montrerque le maintien de Bachar el-Assad n’est pas possible. Les rebelles modérés n’accepteront le cessez-le-feu que si une perspective de changement est proposée », selon une source diplomatique.

    • Une autre « question [au moins aussi] épineuse », abordée par l’article de « Magazine » : les pays du Golfe veulent permettre à des groupes « djihadistes » de faire partie d’un futur gouvernement syrien et que l’ONU range le Hezbollah dans sa liste de groupes terroristes,

      En attendant, l’émissaire onusien pour la Syrie, Staffan de Mistura, a été chargé d’obtenir un cessez-le-feu entre les forces du régime syrien et l’opposition. Reste à savoir de quelle opposition il s’agit. Pour cela, la Jordanie a été chargée de « coordonner une liste commune de groupes terroristes » sous l’égide des Nations unies, afin qu’une autre liste de groupes, appartenant à l’opposition et susceptible de participer à la transition politique, puisse être définie. Autant dire que ce point risque de créer de nombreuses tensions entre les pays réunis à Vienne.

      Dans l’immédiat, en effet, seuls l’Etat islamique et la franchise syrienne d’al-Qaïda en Syrie, le Front al-Nosra, sont reconnus comme des groupes terroristes par l’Onu. Alors que le régime syrien, ainsi que ses alliés iraniens et russes, qualifient de « terroristes » la plupart des groupes de l’opposition. Les tensions devraient se cristalliser autour des groupes ouvertement jihadistes et salafistes, comme Ahrar el-Cham et Jaich el-Islam, qui sont soutenus militairement et financièrement par les pays du Golfe et la Turquie. A contrario, les monarchies du Golfe et les Etats sunnites de la région ont appelé au placement sur la liste des groupes terroristes des milices chiites soutenues par l’Iran, comme le Hezbollah. La Résistance libanaise, qui combat ouvertement en Syrie aux côtés du régime, est déjà considérée comme terroriste par l’Union européenne et par le Département américain, alors que la Russie a déclaré, via son vice-ministre russe des Affaires étrangères, Mikhaïl Bogdanov, qu’elle « ne considérait pas le Hezbollah comme une organisation terroriste ».

      Le responsable russe a noté que des membres de l’aile politique du groupe terroriste chiite ont été légalement élus au Parlement libanais, et que l’organisation, qu’il a qualifiée de force « sociopolitique légitime » n’avait jamais effectué des attaques sur le sol russe. Ces divergences de vues des différents participants de Vienne risquent de compliquer l’obtention d’un consensus.

  • Indian Punchline - Reflections on foreign affairs
    http://blogs.rediff.com/mkbhadrakumar

    he invitation extended to attend the swearing-in ceremony of the newly elected Egyptian president Abdel Fattah Al-Sisi in Cairo on Sunday didn’t exactly come out of the blue. Tehran got five days to mull over the invitation and it decided to depute Deputy Foreign Minister Hossein Amir Abdollahian, FO’s topmost diplomat on Arab affairs, to represent President Hassan Rouhani who was on a visit to Turkey. It’s been a measured response in diplomatic terms — appropriate but not effusive,
    (...)
    However, the highlight of Amir Abdollahian’s stay in Cairo was his meeting with the Saudi Crown Prince Salman bin Abdulaziz al-Saud. He later said the meeting was “constructive”. [ here : http://english.farsnews.com/print.aspx?nn=13930320001433].
    The meeting is a diplomatic scoop for Tehran.
    Riyadh has been flooding Tehran with invitations to senior Iranian officials to visit Saudi Arabia (including Foreign Minister Mohammad Zarif and Expediency Council chairman Hashemi Rafsanjani), but no visit has been worked out so far. Meanwhile, Tehran has been focusing on building up its ties with Saudi Arabia’s GCC partners as well as Turkey and Egypt.
    What does this rapid flow of events add up to? Clearly, in a nutshell, Middle Eastern politics is entering an altogether new era with Iran’s integration with the West. In sum, intra-regional politics has surged to the centre stage.
    There was a time when the US ensured that Egypt and Iran didn’t draw close together. From all appearance, the US’ influence has waned on the Nile banks. On the other hand, US diplomacy may be acquiring greater flexibility.
    The US’ bilateral talks with Iran this week in Geneva have reverberated all over the Middle East, including in Cairo. Meanwhile, the ‘Obama Doctrine’ is also at work. Nothing brings this out more vividly than that the Obama administration is quietly fostering a Saudi-Iranian normalization.
    With a successful visit by Rouhani to Ankara and the warming up of Iran-Egypt ties, it is about time Tehran gets around to mending relations with Riyadh. Conceivably, Amir Abdollahian’s meeting in Cairo with the Saudi Crown Prince aimed at preparing the ground for a pathbreaking visit by a senior Iranian official to Riyadh. To my mind, the Iranian-Saudi ‘thaw’ is on the cards, finally. The Middle Eastern politics is tiptoeing toward a paradigm shift.

    By M K Bhadrakumar – June 12, 2014

  • Despite lack of written invitation, #Iran FM plans visit to #Saudi_Arabia
    http://english.al-akhbar.com/content/despite-lack-written-invitation-iran-fm-plans-visit-saudi-arabia

    Iranian Deputy Foreign Minister Hossein Amir Abdollahian said on Wednesday that Tehran had not received a written invitation for its foreign minister to visit Saudi Arabia, but it was on Iran’s agenda, state news agency IRNA reported. On Tuesday, Saudi Arabia’s Foreign Minister, Prince Saud al-Faisal, said Riyadh had invited Iran’s foreign minister to visit. Saudi Arabia is a leading backer of rebels fighting Syrian President Bashar al-Assad, who is a close ally of the kingdom’s main rival, Iran. read more

    #Top_News

  • L’Iran participe à une réunion au Caire sur la Syrie - Irna
    http://www2.irna.ir/fr/news/view/line-96/1209105241203920.htm

    L’Iran participe lundi à la première réunion d’un « groupe de contact » quadripartite sur la Syrie dont l’Égypte a proposé la création, ont annoncé plusieurs responsables iraniens.

    Le vice-ministre des Affaires étrangères Hossein Amir Abdollahian est parti pour Le Caire afin de participer à une réunion quadripartite (réunissant l’Égypte, l’Iran ; l’Arabie saoudite et la Turquie) proposée par le président égyptien MohamedMorsi pour résoudre la crise syrienne.

    « La participation de l’Iran à cette rencontre s’inscrit dans le cadre des efforts pour régler la crise syrienne et va permettre d’écouter les propositions égyptiennes », a précisé le porte-parole du ministère des Affaires étrangères Ramin Mehmanparast.

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    Lakhdar Brahimi entame sa mission de médiation par une réunion au Caire
    http://www.france24.com/fr/20120910-emissaire-onu-ligue-arabe-lakhdar-brahimi-entame-mission-paix-syr

    Alors que l’armée poursuit ses raids au dessus d’Alep, le nouveau médiateur de l’ONU et de la Ligue arabe pour la Syrie a évoqué, ce lundi, sa délicate mission lors d’une réunion avec des responsables égyptiens et arabes au Caire.