Pendant que le pouvoir dénonce les jeux vidéo et les réseaux sociaux – parce que les gamins des cités… –, les syndicats de fachos postent leurs saloperies, la cagnotte en soutien à l’assassin bat des records, et le gouvernement ne réagit pas (ce serait tellement « 90s »…).
Depuis les années 90 les gouvernements détruisent les usages progressistes des réseaux au nom de la lutte contre les pédonazis, avec pour seul effet de laisser les nazis folâtrer en toute liberté sur les interwebz.