Tradfem

La collective TRADFEM est née en 2013 autour de plusieurs projets de traductions, en particulier le texte d’Andrea Dworkin « Je veux une trêve de 24 heures durant laquelle il n’y aura pas de viol ». Ce texte a été travaillé par un petit groupe de gens qui ont alors souhaité prolonger cette collaboration. Celle-ci s’est ensuite étendue avec l’arrivée de nouvelles personnes. Aujourd’hui (2016), la collective rassemble une dizaine de membres, qui ne sont pas nécessairement des professionnel.le.s de la traduction et qui s’y investissent selon leurs possibilités respectives. TRADFEM est mixte avec des personnes vivant en France, au Québec, en Espagne et en Allemagne.

  • Un tiers des Britanniques ne savent pas que les « femmes transgenres » sont nées de sexe masculin. Par #Daniel_Sanderson
    https://tradfem.wordpress.com/2023/08/06/un-tiers-des-britanniques-ne-savent-pas-que-les-femmes-transgenre

    Plus d’un tiers des habitants du Royaume-Uni ne savent pas que les femmes transgenres (« transgender women ») sont biologiquement des hommes, selon un nouveau sondage, ce qui remet en question la compréhension du débat sur le genre par le public.
    Pour des activistes, ce résultat démontre que les politiciens, les journalistes et les sondeurs doivent se montrer plus explicites lorsqu’ils et elles parlent des questions de genre, car dans de nombreux cas, les membres du public ne savent pas ce que signifient les nouveaux termes jugés politiquement corrects.
    Cette enquête, réalisée par le groupe d’analyse politique Murray Blackburn Mackenzie (MBM), basé à Édimbourg, a révélé que 35 % des personnes interrogées pensaient à tort qu’une « femme transgenre » était une personne née de sexe féminin, ou qu’elles n’étaient pas certaines à cet égard.
    La confusion est encore plus grande dans le cas de l’expression abrégée « femme trans », 40 % des personnes interrogées n’étant pas certaines de son sens ou croyant qu’elle désigne une personne enregistrée comme femme à la naissance.

    Traduction : #Tradfem