Monolecte 😷🤬

Fauteuse de merde 🐘 @Monolecte@framapiaf.org

  • Inox, fonte, céramique… On a cherché une poêle sans PFAS
    https://reporterre.net/Inox-fonte-ceramique-On-a-cherche-une-poele-sans-PFAS


    Naan, de rien !

    Face au problème de l’aliment qui colle au fond de la poêle, Hervé This dédramatise : « En début de cuisson, ça va attacher, mais il faut laisser faire. L’inox n’est pas une surface lisse. Les polymères des aliments vont donc combler les trous du revêtement, puis ils vont former une couche qui va finir par se détacher au cours de la cuisson. » Dès que la couche commence à brunir, elle va en effet se décoller. C’est ce qu’on désigne souvent sous le nom de « réaction de Maillard ». Le fabricant français Cristel, qui commercialise du matériel culinaire, affirme sur son site qu’« il est bel et bien possible d’éviter que les aliments ne collent dans l’inox. Il suffit pour cela d’adopter les bonnes techniques de cuisson ».

    • Ni pour les œufs, ni pour le poisson, ni vraiment pour l’amidon des patates rôties (un peu mieux dans la céramique genre cocotte le creuset).

      C’est marrant j’ai fait exactement la même recherche pour trouver une poêle pas trop pourrie ya un ou deux mois ! J’ai déjà une belle cocotte céramique tradi et une poêle inox le creuset que j’utilise pour la viande (ou du mijotage).

      Mais j’ai rien trouvé de probant, et au final pour faire sauter ou pour les œufs, j’ai racheté une énième fois une nouvelle poelle anti-adhésive…

      Reste le culottage bien fait sur une poêle acier :

      « Plus la poêle est noire, moins elle attache », écrit De Buyer, l’un des rares fabricants français de poêles en acier, sur son site. Il assure qu’avec un bon culottage, il est possible de cuire des œufs ou même du poisson dans une poêle en tôle acier. On aura créé une couche avec des propriétés antiadhésives permettant de cuire sans beaucoup de matières grasses.

      […]

      Le revêtement en fonte possède une surface irrégulière, comme l’inox ou l’acier, qui va attacher lors de la cuisson. Un culottage s’avère donc là aussi nécessaire. C’est ce que font les crêpiers avec leur billig, la semelle en fonte sur laquelle ils font leurs crêpes. Il existe désormais des poêles avec un revêtement en fonte émaillée, à la surface plus lisse, qui réduit l’adhérence et exonère de culottage.

      Ça j’ai jamais encore essayé…

    • Pour les oeufs, j’ai jamais fait attacher une seule omelette (ou oeufs au plat) dans une poêle en inox. Le truc a respecter impérativement : poêle très chaude au moment où on verse la prépa.

      La de buyer en acier j’ai aussi. Garder le culottage en parfait état réclame de l’attention. J’ai jamais tenté les oeufs dedans. Viande et poisson par contre c’est nickel. Patates aussi. C’est plutôt fait pour les cuissons a forte température.

    • Induction. Meilleur ratio d’efficacité, si tu as assez de paliers de puissance et que des spires sont bien réparties, c’est réellement très efficace pour chauffer très fort très vite et mijoter des doucement très longtemps.

      Quand on a débarqué à l’appart, il y avait une table générique (9 niveaux) : c’était déjà mieux que le gaz en bouteille, mais la chiasse pour maintenir une ébullition sans déborder.

      Là, j’ai pu la changer avec une simple, mais de meilleure facture (15 niveaux) : c’est super reposant.

      Le gaz, c’est bien, mais j’ai tendance à ne pas faire confiance à mes voisins pour me maintenir en vie : le voisin du dessous alcoolo, il m’a bien fais transpirer. Souvent, les gens n’ont pas de coupe-circuit en cas d’extinction de la flamme (vieux matos) et avec un gus qui peut s’endormir dans son vomi, t’aimes pas l’idée.

    • Ma poêle de buyer pour cuire les beefs c’est non lorsque ma fille 27 ans mange à la maison . Le goût du fer relève celui du sang et c’est dégoût assuré. Je suis carnivore et j’éprouvais le même dégoût lorsque j’étais plus jeune. C’est passé avec le temps...Lorsque elle est réglée c’est encore pire le goût du sang. Oui je sais c’est bizarre ! Culotter la po^le de buyer c’est pas évident d’un point de vue hygiène et régulièrement je ne peux pas résister à la laver en frottant un max ... Du coup ça colle...

    • J’aime le gaz je vais devoir passer à l’induction en déménageant because règlementation. Du coup je fais des recherches sur quelle cuisinière à induction.

    • Oui, dans la famille où j’étais ado, ils avaient une énorme poêle en fer qu’ils ne lavaient jamais (juste sous l’eau chaude) et je pensais que c’était de gros sales. Ils avaient effectivement un rapport très détendu avec les détergents. Et la poêle filait souvent un « gout » à la bouffe, maintenant, j’ai compris qu’ils avaient hérité d’une poêle ancestrale super bien culottée, mais qu’il eut quand même fallu qu’ils la passent au gros sel de temps à autre.

    • Les cuisinières, c’est pas top en général. Mieux vaut les tables en séparant de la fonction four.

      En table, j’ai beaucoup cherché et j’ai pris une Sauter 3 foyers (les trucs avec zones extensibles vendus le double ou le triple sont encore pas super efficaces) avec 15 niveaux de chauffe. Il n’y a toujours pas de classe énergétique pour ces engins (la honte), mais sur les tests d’efficacité, cette marque s’en sort super bien, avec une bonne répartition de la chauffe dans les foyers, ce qui fait que la conso réelle est un peu meilleure que celle du reste du marché, sans compter que la ventilation est notablement moins bruyante que celle de tables plus chères comme Whirlpool.

    • La ventilation, c’est ce qui m’arrête avec l’induction. Ici la cuisine est la pièce de vie principale alors le bruit de ventilo permanent pendant une heure de mijotage, c’est une perspective qu’on envisage pas.

    • On est au gaz bouteille, encombrés donc par la bombonne. Mais ça nous a permis de manger chaud pendant les périodes de coupures électriques (jusqu’à 4 jours après la tempète de 1999.)
      Gazinière avec thermocouple de sécurité, sur le four uniquement.

    • Nous aussi, on mijote : ce ventilo est tout a fait supportable, contrairement au FAR qui foutait les jetons. C’est moins que la hotte ou même que la rumeur de la rue si on ouvre la fenêtre. Moins que la VMC qui est musclée chez nous, un peu plus que le frigo.

      Par contre, oui, faut que je vois pour un Coleman ou un truc dans le genre pour les coupures qui ne vont pas manquer d’arriver.

    • Perso, on est passé d’une cuisinière gaz à la vitrocéramique puis à l’induction. La vitrocéramique c’est gourmand en électricité. Par contre à cause de la bonne inertie calorifique, tu peux baisser la puissance et laisser mijoter en surveillant un minimum. L’induction, ce que je trouve pénible, c’est la chauffe intermittente quand tu tournes à basse puissance. Faut dire qu’on a peut-être lésiné sur la qualité de l’appareil. De plus, tu as intérêt à avoir des récipients de qualité+++ (prévu pour et avec une semelle bien épaisse d’acier inox pour conserver la chaleur). Alors qu’un vieux faitout alu même cabossé, ça le fait sur un feu gaz (pour cuire des confitures par exemple). Je regrette quand même le gaz.

    • Il y a le gaz de ville dans ma maison, donc je suis resté au gaz. En m’équipant avec des feux à gaz de très bonne qualité, et avec un bon réglage de ralenti c’est ce que je trouve le plus précis. Bon c’est le gaz, c’est pas idéal en terme d’émissions…

      Chez ma mère il y a des plaques à induction de très bonne qualité, et je ne constate pas ce phénomène d’intermittence à basse puissance. Par contre effectivement il faut des très bons récipients (quand mes parents étaient passé à l’induction c’est ce qui m’avait permis de récupérer tout un tas de bonnes gamelles qui ne passaient pas sur l’induction, genre un super couscoussier !).