Nuit debout : le crachat de Michel Onfray pour défendre Alain Finkielkraut
►http://www.acrimed.org/Nuit-debout-le-crachat-de-Michel-Onfray-pour
Nuit debout : le crachat de Michel Onfray pour défendre Alain Finkielkraut
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Brillant et je crois avoir compris qu’Onfray s’imagine déjà à l’Académie.
Pour M.Onfray qui est au fond du trou depuis un moment. Trou de l’ignominie, comme dit Acrimed, qu’il a creusé tout seul. Non pas avec ses mains mais avec sa cervelle ! étonnant non !
Ce proverbe tzigane :
« Si tu es au fond du trou et que tu continues à t’enfoncer, arrête de creuser ! »
et #dommage. Ça fait beaucoup de naufrages et c’est déprimant.
personnellement, je l’ai jamais vu flotter.
A défaut d’habit d’académicien pour M.Onfray, en voici un en peau de sapin taillé sur mesure pour notre philosophe tricolore.
Il y a aussi, pour ce qui concerne la découpe d’une carotide, le couteau sans lame ni sans manche nettement plus efficace qu’un crachat invisible.
Il suffit de se souvenir des positions d’Onfray tout au long de l’affaire Tarnac pour comprendre que si ça lutte quelque part sans Onfray, ça ne lutte pas vraiment, que si ça s’invente quelque part sans Onfray, ça ne s’invente pas vraiment, que si c’est insurrectionnel quelque part sans Onfray, c’est évidemment une grosse blague d’enfants gâtés qui ignorent tout de la vraie insoumission, la vraie liberté de ton, d’esprit, de slip : la Liberté Onfray . Les vieilles querelles de plateau télé ne sont rien quand on reconnait à l’ennemi qu’il s’est fait son frère en Liberté ; « Finkielkraut, mon ami, oublions ce qui nous sépare un instant, mon frère humilié, mon vieux complice, et retrouvons-nous devant l’adversité, partageons notre loge, allons nous poudrer ensemble le pif pour couiner sur les plateaux de télé, écrivons un jingle des philosophes offensés pour Radio France et réveillons la France ! »
Onfray ne regrette sans doute qu’une seule chose, ne pas avoir reçu lui-même le crachat imaginaire qui lui aurait garanti cette position isolée de franc-tireur, seul contre tous, héroïque et incompris, toute aussi imaginaire, dont il se drape.
Il semble bien que ce garçon réserve toute son imagination à son autobiographie quand, en matière de philosophie, il se contente depuis des années de resservir les poncifs de Reader’sDigest biographiques (Sartre, Freud, Sade etc.) de tout ce qui pourrait — là encore — incarner un peu trop visiblement une position de découvreur à laquelle il n’atteindra lui-même jamais.
@aude_v « Le galand en eût fait volontiers un repas ;
Mais comme il n’y pouvait atteindre :
"Ils sont trop verts, dit-il, et bons pour des goujats. " »