Vertige des chiffres en temps réel
The Internet in Real-Time
▻http://pennystocks.la/internet-in-real-time
Vertige des chiffres en temps réel
The Internet in Real-Time
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Ouais,…
Chiffres en « Temps réel » obtenus en multipliant le nombre de secondes par le nombre moyen par seconde.
Cf. premier lien en référence qui indique 5700 tweets/s en moyenne (chiffre d’août 2013).
Merci @simplicissimus pour cette précision. En effet, pennystocks.la n’est n’est pas branché sur l’ensemble des services qu’il comptabilise mais procède à partir de moyennes… c’est pas tout à fait accurate mais néanmoins vertigineux.
+ ▻http://www.rslnmag.fr/post/2014/05/30/Internet-en-2014-5-chiffres-a-connaitre-KPCB-Meeker.aspx
Fiche de lecture d’un désabusé du web : Evgeni Morozov
Les chausse-trappes de la pensée Internet - La Vie des idées
►http://www.laviedesidees.fr/Les-chausse-trappes-de-la-pensee-2665.html
Evgeni Morozov
Chemla, grand frère des geeks français, et Eric Walter de l’Hadopi défendent quand même les Internets
Internet : les héros sont fatigués - Libération
►http://ecrans.liberation.fr/ecrans/2014/05/06/internet-les-heros-sont-fatigues_1011830
En fait, si Internet était entré dans les mœurs à tel point qu’il ne serait plus qu’un outil, qu’on utilise avec la même curiosité qu’on peut mettre dan sa vie ?
Christophe Benavent – La trivialisation de l’internet
▻http://christophe.benavent.free.fr/?p=1043
La trivialisation de l’internet
En tout cas, Internet ça bouge des choses...
Presse et Internet : l’autocritique du New York Times est passionnante - Le nouvel Observateur
▻http://rue89.nouvelobs.com/2014/05/16/presse-internet-lautocritique-new-york-times-est-passionnante-25221
Mais alors, on nous vendrait un monde merveilleux qui a en fait déjà pris tous les mauvais côtés du monde actuel ?
Economie du partage : les limites d’une utopie, Social
▻http://www.lesechos.fr/economie-france/social/0203479208918-economie-du-partage-les-limites-d-une-utopie-672120.php
Dans le dernier numéro du mensuel « Fast Company », la journaliste Sarah Kessler raconte un mois passé à tenter de survivre uniquement avec des petits boulots trouvés sur TaskRabbit, une plate-forme d’enchères présentée comme l’« eBay du travail » : « Au lieu de la révolution du #travail promise, je n’ai trouvé que des tâches pénibles, un faible #salaire et un #système défavorable pour les salariés. »
Pour Damien Demailly, chercheur à l’Institut du développement durable et des relations internationales (Iddri), ce début de remise en cause n’a rien d’extraordinaire : « On suit une courbe classique de l’innovation, avec au départ un fort enthousiasme, et puis l’on se rend compte que les choses sont plus complexes. Le discours promettant de se libérer de l’engagement lié au salariat en travaillant comme cuisinier pendant deux ou trois heures, puis comme chauffeur, apparaît comme une utopie. » Au départ mis en avant comme le moyen d’obtenir un revenu de complément utile en temps de #crise, l’échange (rémunéré) de services entre particuliers pose particulièrement problème quand il devient le seul moyen de subsistance. « Dès qu’un individu cherche à en faire son activité principale, il risque de tomber dans la #précarité », reconnaît Arthur De Grave, de OuiShare.
Reste que, dans un monde marqué par la persistance du #chômage, les travailleurs n’ont pas toujours le choix. « Pour certains acteurs, en particulier jeunes, cela correspond à ce que j’appelle “l’ère de la débrouille” : de toute façon, il n’y a pas d’emploi stable, alors autant enchaîner les petits jobs », explique Anne-Sophie Novel, auteure de « La Vie share, mode d’emploi » (Alternatives, 2013). « Cela s’inscrit dans un moment où le travail est déjà en train de changer, poursuit Benjamin Tincq, cofondateur de OuiShare. Et cela pose forcément des questions, car les institutions et les outils de protection sociale qui devraient accompagner ce changement n’ont pas encore été inventés. »
C’est simple : il suffit juste de trouver une alternative au travail rémunéré...
RSLN | Et si l’ère post-travail était en fait promise à un âge d’or ?
►http://www.rslnmag.fr/post/2014/05/30/Et-si-lere-post-travail-etait-en-fait-promise-a-un-age-dor-.aspx
Alors qu’une récente étude de l’université d’Oxford annonçait que 47% de nos emplois d’ici 20 ans pourraient être confiés à des #automates, Steve Jurvetson prédit quant à lui un futur avec 80% de taux de #chômage. Face à ce qui se dessine comme le nouveau paradigme d’une « ère #post-travail », il prévient : le monde a besoin de réfléchir à ce qu’un tel futur aura comme impact sur l’écart entre les riches et les pauvres.
Et cet écart ne devrait plus, comme par le passé, s’accroître ou se réduire de façon cyclique, mais juste continuer de grossir. Car, explique Jurvetson, "le rythme du progrès #technique est déconnecté de l’#économie". En supposant que chaque industrie devienne une partie d’un immense secteur IT, et que les robots prennent tous les jobs non-désirés, l’équation serait simple : il y aurait moins de #travail pour les humains. Seulement une petite partie de la population contrôlerait les technologies de l’information et cette force de travail permettrait d’automatiser le reste.
voilà voilà
Mathieu Baudin imagine un futur entre partage et égalité | Une autre idée de l’économie par 20Minutes et les étudiants de l’IPJ Paris-Dauphine
▻http://www.20minutes.fr/magazine/journal-ecole-ipj/interview/mathieu-baudin-le-systeme-actuel-est-inadapte-aux-enjeux-de-ce-siecle-1821
Un des plus grands prospectivistes français qui nous décrit le passage obligé par un régime autoritaire pour sauver la planète. Un des scénarios exploré chez nous par Pays de la Loire 2040 !
Thierry Gaudin : « La vraie Renaissance démarrera après 40 ans de restructuration autoritaire » | CLES
▻http://www.cles.com/enquetes/article/thierry-gaudin-la-vraie-renaissance-demarrera-apres-40-ans-de-restructuration
Vi, sauver la planète, pas les #surnuméraires... d’où l’intérêt d’une #dictature pour élaguer.
Un étudiant de l’ENSCI Les Ateliers travaille sur les fondements du Do It Yourself. Alors ce ne serait pas une mode passagère ?
La FABuleuse histoire du DIY - Innovation & Design pour et par tous | Innovation & Design pour et par tous
▻http://www.inndesign.fr/la-fabuleuse-histoire-du-diy
–Le Monde parle de biens communs. La notion est donc devenue mainstream._
Les « biens communs » sont parmi nous
▻http://www.lemonde.fr/livres/article/2014/05/15/les-biens-communs-sont-parmi-nous_4418871_3260.html
Ce qui frappe dans certaines versions, c’est le lien entre l’idée de « commun » et celle d’« #autogouvernement », voire de #démocratie radicale, loin de l’État, de la représentation et des partis. Ainsi, un groupe d’activistes occupant et gérant le Théâtre Valle, à Rome, foyer de ce mouvement, a affirmé dans ses statuts que « le bien commun n’est pas un donné », car il naît « d’en bas et de la #participation active et directe des citoyens ». La célèbre écologiste indienne Vandana Shiva parle même d’une « démocratie des biens communs ».
Dommage, il n’est plus possible d’accéder à la totalité de l’article, seul 15% restent accessible aux non-abonnés.
@monolecte
Un essayiste anglophone, David Bollier , a récemment publié un essai en licence libre qui parle de #politique des biens communs, que je n’ai pas encore lu, mais dont la traduction française sera très bientôt mise en accès libre par l’éditeur. Cet essai vaut la lecture, à mon avis.
►http://www.bastamag.net/Les-communs-nous-offrent-davantage :
Les communs offrent aux #commoneurs davantage de liberté, de pouvoir et de responsabilité que ne le font l’État et le marché – qui, au fond, nous invitent seulement à consommer, à voter occasionnellement et, parfois, à jouer les faire-valoir dans les processus décisionnels, qui souvent ont été largement accaparés par de grandes institutions éloignées des citoyens.
Essai de David Bollier (adaptation française+version originale) :
▻http://www.framablog.org/index.php/post/2014/02/03/livre-la-renaissance-des-communs-david-bollier
►http://www.eclm.fr/ouvrage-364.html
▻http://wealthofthecommons.org/contents
Les "versions" dont tu parles - basées sur l’auto-organisation, la démocratie (directe) - renvoient certainement aux pratiques de #commoners. Mais les peuples indigènes qui résistent pour préserver leur culture et leur milieu de vie (la forêt) sont naturellement des commoners ...
–
Ainsi, un groupe d’activistes occupant et gérant le Théâtre Valle, à Rome, foyer de ce mouvement, a affirmé dans ses statuts que « le bien commun n’est pas un donné », car il naît « d’en bas et de la #participation active et directe des citoyens ». La célèbre écologiste indienne Vandana Shiva parle même d’une « démocratie des biens communs ».
Très intéressant, cette idée selon laquelle s’il n’y a pas de participation (responsabilisation) venant "d’en bas" (les utilisateurs des biens communs eux-même ?), il n’y pas de biens communs. Analogie je suppose avec la participation volontaire des citoyens à la démocratie.
« le bien commun n’est pas un XXXX donné » ? (XXXX : mot manquant).
Le terme « démocratie des biens communs » utilisé par Vandana Shiva est très parlant je trouve, étant donné que biens communs implique la possibilité de participation de chacun dans la gestion de ces biens ... Vandana Shiva faisait certainement allusion aux semences traditionnelles de l’Inde et aux expériences des « banques » de semences mises en place et gérées par les paysans indiens.
#biens_publics #biens_communs #usagers #commoneurs #participation_directe #coopération_sociale #construction_collective_de_sens
Vous soulignez la différence entre « communs » et « biens publics » – une confusion largement répandue.
La notion de « bien public » est un terme technique de la science économique, utilisé pour décrire des ressources difficiles à clôturer et à transformer en propriétés privées. Les économistes affirment ainsi que les biens publics sont « non excluables », c’est-à-dire qu’il est difficile d’empêcher les autres d’utiliser ces ressources. L’exemple classique est celui d’un phare, mais les jardins publics ou les bibliothèques sont également considérés comme des biens publics. Les économistes présupposent généralement que seul l’État est capable de produire et de gérer des biens publics – conçus comme des exceptions à la norme de la propriété privée.
Mais les économistes ont tort de penser que ces traits seraient intrinsèques à certaines ressources. Ils ne se rendent pas compte que le terme de « bien public », dans sa définition même, exclut d’emblée la possibilité que des gens puissent s’autoorganiser pour gérer ces ressources. Ils présupposent que le « marché » et le « gouvernement » sont de manière évidente les seuls moyens possibles de gérer certaines ressources. Cette conception du monde ignore le rôle potentiel de l’assistance mutuelle, de la collaboration, et des relations sociales intersubjectives. L’histoire et le monde contemporain sont pourtant remplis d’exemples où des gens se sont associés pour gérer des terres agraires, des forêts, des pêcheries, des codes source de logiciel, des archives en ligne, des espaces publics et bien d’autres choses encore. Il s’agit de choix sociaux, parfaitement viables et réalistes.
La confusion dont vous parlez provient parfois du fait que les gens envisagent les communs comme une collection d’objets ou de ressources – un parc, une bibliothèque, une place publique. Mais en fait, un commun requiert un certain degré de gestion collective et de collaboration. Techniquement parlant, un parc ou une bibliothèque, en tant que ressources, ne sont pas un commun. Mais dès lors que les usagers ordinaires – au-delà de l’administration – commencent à disposer d’un certain degré de participation directe à la gestion, de responsabilité et de redevabilité, alors un commun commence à prendre racine . En d’autres termes, il doit y avoir une forme ou une autre de coopération sociale et de construction collective de sens [5]. Le terme de « bien public », a contrario, ne s’intéresse pas à la « vie sociale » d’une ressource. Or, du point de vue des communs, les ressources n’existent que dans leur contexte social.
▻http://www.blogapares.com/david-bollier-les-communs-aident-sortir-du-carcan-leconomie-neoliberale-
Paris Tech Review sur les circuits courts. On est sorti de l’underground, donc...
Que peut-on attendre des circuits courts ?
▻http://www.paristechreview.com/2014/05/23/circuits-courts
A Bouguenais, l’IRT Jules Verne va inaugurer son « Fabmake ». Partout, les industriels s’équipent. Mais l’esprit maker, est-ce que ça s’achète ?
La montée en puissance des Fablabs industriels
▻http://www.industrie-techno.com/la-montee-en-puissance-des-fablabs-industriels.29907
Alain Cadix dans l’usine nouvelle. Un chiffre présent dans cet article m’a vraiment interpellé : 45. Sauras tu le retrouver ?
Les deux ressorts du rebond de nos PME
▻http://www.usinenouvelle.com/article/les-deux-ressorts-du-rebond-de-nos-pme.N250747
Normalement, ils se trompent peu.
Les 10 technologies d’avenir selon le MIT
▻https://www.futuribles.com/base/article/les-10-technologies-davenir-selon-le-mit
Là aussi, grosse obsolescence programmée d’humains et donc création de nouveaux #surnuméraires puisque rien dans notre société est prévu pour intégrer les gens remplacés par des machines.
A lire. C’est un peu flippant, mais ça fait réfléchir.
L’avenir de la nourriture : que mangerons-nous demain ? « InternetActu.net
►http://www.internetactu.net/2014/05/21/lavenir-de-la-nourriture-que-mangerons-nous-demain
Signal fort
Les énergies de la mer : Une première : Les énergies renouvelables dominent les sources de production d’électricité
▻http://energiesdelamer.blogspot.fr/2014/05/une-premiere-les-energies-renouvelables.html
Si on pouvait éviter 20 Fukushima...
La Cour des comptes alerte sur le coût du nucléaire en France | ▻http://www.euractiv.fr/sections/energie/la-cour-des-comptes-alerte-sur-le-cout-du-nucleaire-en-france-302459
C’est à l’horizon 2025 qu’EDF prévoit de mener son programme de « Grand carénage ». Au total, 55 milliards d’euros seront engagés dans les travaux de maintenance et de modernisation des 58 réacteurs français. L’objectif étant de prolonger leur durée de vie, au-delà de la limite de 40 ans initialement fixée au moment de leur conception.
Le rapport de la Cour des Comptes pointe aussi du doigt les futures dépenses de maintenance. Après une augmentation de 118 %, elles devraient continuer à croitre pour peser 3,7milliards d’euros par an en moyenne entre 2011 et 2025. En 2010, elles pesaient 1,7 milliard d’euros.
Alors que les Européens s’interrogent sur le modèle énergétique à adopter à l’échelle de l’UE, les prévisions de hausse du coût de production de l’#énergie #nucléaire pour les années à venir font plutôt pencher la balance contre ce modèle.
Il faut en finir avec le nucléaire selon l’eurodéputée EELV, qui précise que le nucléaire est un puits sans fond, dont les dépenses de maintenances ne cesseront d’augmenter dans les années qui viennent.
« La Cour des comptes précise d’ailleurs que les évaluations d’investissement par EDF pour maintenir un niveau de sûreté convenable sont irréalistes et gage plutôt pour 110 milliards d’euros nécessaires au grand carénage. Et que dire des coûts supplémentaires dans le cas où l’Autorité de sûreté nucléaire acceptait la prolongation de certaines centrales, sous couvert d’investissements conséquents. La rente nucléaire est belle et bien un trompe-l’œil cachant un gouffre sans fond » s’inquiète Michèle Rivasi.
Tiens, ce week-end, suis tombée sur un vieux plagiat de libé des anti-nucléaires avec A. Jacquard en couverture qui y écrit « Le nucléaire organise le suicide de l’humanité » … Je le scanne bientôt, promis.
C’est vrai ça ! Moi je m’y suis bien retrouvé en tout cas.
Pourquoi nous téléphonons de moins en moins | Slate.fr
►http://www.slate.fr/life/86899/fin-telephone
C’est arrivé près de chez nous. Signal faible ?
Carole Vigneron : "Je quitte la sécu" « Article « Le Journal des Sables
►http://www.lejournaldessables.fr/2014/05/14/carole-vigneron-je-quitte-la-secu
Caca nerveux de gens jeunes, aisés et en bonne santé. Ils se rappelleront de la vieille Sécu quand leur compagnie d’assurance les aura éjectés parce que leur cancer dure trop longtemps et entame trop les bénéfices !
Simple rengaine néolibérale en effet (la gestion individuelle est plus performante que la gestion collective), refrain connu du TPMG, et chimère des fonds de pension...
Aujourd’hui, c’est à nous de préparer notre retraite. avec ce que l’on gagne, on peut aisément capitaliser. En France, on a une retraite sous forme de répartition. Nous, on change de système, on capitalise. Et un euro placé, c’est un euro rendu, avec les intérêts“.
Au boulot j’ai une fonction de co-dirigeant, je suis employeur, et je regrette encore de nous être fait avoir bêtement en croyant bien faire : on a voulu mettre en place une mutuelle pour tous les employés, payée à 95% par l’employeur, et le courtier nous a dégoté une mutuelle incroyable niveau qualité-prix auprès d’un organisme inconnu (en fait un grand groupe : Henner).
Tout le monde était emballé, chouette..
Sauf que quand tu creuses, tu te rend compte que c’est facile, nos collaborateurs sont jeunes, économiquement confortables et en bonne santé. Et ça cause de cette mutuelle obligatoire, on a abandonné nos petites mutuelles locales, celles qui assurent les petites mamies du village, et qui pouvaient naturellement pas rivaliser.
Tout le principe solidaire des assurances qu’on a bafoué...
Prochaine négociation on va essayer de corriger notre erreur, mais ça va pas être facile avec notre équipe si les prestations doivent régresser..
Oui, c’est toujours la même histoire. Je suis tombée un jour sur un groupe québécois qui descendait le système de santé public et qui s’échangeait les bon plan d’assurances privées. Je leur ai fait remarqué que leur moyenne d’âge était sous 30 ans et qu’ils avaient l’air complètement incapables d’envisager que leur corps allait s’user et que les ennuis de santé allaient arriver pour eux comme pour les autres. Et que c’est à ce moment que l’assurance qu’ils ont payé rubis sur l’ongle pour trois fois rien comme remboursements pendant des années allait vite fait de commencer à pinailler quand elle allait voir arriver les prémices d’une dégradation de l’état général et de l’augmentation des frais.
De la même manière pour la retraite, qu’on capitalise joyeusement quand on est jeune et très loin du « risque »... jusqu’au moment où on se rend compte que l’espérance de vie active est immanquablement supérieure aux #cycles de vidanges économiques. Autrement dit, qu’il n’y a aucune chance que leur capital leur arrive intact 40 ans plus tard.
Mais voilà, Enron et les saisies de maison pour frais de santé, c’est bien connu, ce n’est que pour les autres.
François Dubet met des mots simples sur des évolutions fortes de la société.
« Aujourd’hui, l’égalité des chances tend à s’imposer et les discriminations sont devenues la figure cardinale des injustices », entretien avec François Dubet, sociologue
▻http://inegalites.fr/spip.php?article1929
Une étude du Cereq sur l’insertion des jeunes, qui montre combien l’insertion professionnelle est devenue compliquée
Les jeunes sortant de formation ont de plus en plus de difficultés à s’insérer | Emploiparlonsnet.fr
▻http://emploiparlonsnet.fr/rapports-etudes/les-jeunes-sortant-formation-ont-plus-en-plus-difficultes-a-s-inser
Est-ce par envie, ou est ce que de toute façon le monde économique ne leur propose rien. La question est posée, et déterminera bien des choses dans les années qui viennent.
Genération UP : une jeunesse entrepreneuriale et internationale (etude Fondation de l’entrepreneurship Quebec) | Proâme
▻http://www.proame.net/generation-up-une-jeunesse-entrepreneuriale-et-internationale-etude-quebec
En tout cas on vit dans un monde de vieux
L’avenir, une affaire de vieux | Usbek & Rica
▻http://usbek-et-rica.fr/lavenir-une-affaire-de-vieux
Un point de vue de la sociologue et économiste Saskia Sassen
« Le capitalisme est entré dans des logiques d’extraction et de destruction »
►http://www.lemonde.fr/culture/article/2014/04/25/le-capitalisme-est-entre-dans-des-logiques-d-extraction-et-de-destruction_44