• Divulging cost of Ak Saray would hurt Turkey’s economy, housing administration says
    http://www.hurriyetdailynews.com/divulging-cost-of-ak-saray-would-hurt-turkeys-economy-housing-adm

    Tezcan Karakuş Candan, the head of the chamber’s Ankara branch, slammed TOKİ’s refusal to provide the true cost of the building.

    “We’ve already explained that the cost of the [building] could be over 5 billion liras and that this is just the tip of the iceberg,” Candan said, according to online news portal Bianet.

    “If the reason for TOKİ’s refusal to announce the cost is that it will hurt the economy, this indicates that there would be speculation on the stock exchange if [it] were announced. This means that the cost must be something that would make our jaws drop,” Candan said.

    “Because they have spent the nation’s money, even if they try and justify [the building] by calling it the national palace, their extravagantly luxurious spending can never be accepted,” she added.

    #Palais_Présidentiel #Ankara #Spéculation

  • Detroit victime d’une gigantesque panne d’électricité
    http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2014/12/03/detroit-victime-d-une-gigantesque-panne-d-electricite_4533109_3222.html

    Si Detroit est en train de sortir tout juste de la faillite, les défis restent entiers. Une gigantesque panne d’électricité, qui a paralysé partiellement la ville, mardi 2 décembre, a servi de piqûre de rappel à ceux qui pensaient que le plus dur était derrière eux. La rupture d’un câble souterrain vétuste a suffi pour plonger l’agglomération dans un capharnaüm inédit.

    La panne, qui s’est produite en milieu de matinée, a obligé des milliers de salariés et d’usagers à quitter la plupart des services publics de la ville. Les écoles ont dû précipiter la fermeture de leurs portes, faute de chauffage. Au palais de justice, plusieurs procès ont dû être suspendus. L’interruption du fonctionnement des feux tricolores a provoqué des embouteillages, obligeant la police à déployer des dizaines d’agents pour faire la circulation. Dans certains bâtiments, plusieurs dizaines de personnes se sont retrouvées coincées dans des ascenseurs. Le « Detroit People Mover », le métro aérien qui fait le tour du centre-ville ne pouvait plus fonctionner. Plus d’un millier de détenus de la prison de Wayne ont dû être maintenus en cellule pendant la durée de la panne. Enfin le Detroit Institute of Arts museum a été contraint de fermer ses portes, tandis qu’un générateur de secours était mis en marche pour assurer la sécurité du lieu

  • More than 2,800 Turkish miners were fired in disaster-hit town Soma
    http://www.hurriyetdailynews.com/more-than-2800-turkish-miners-were-fired-in-disaster-hit-town-som

    More than 2,800 miners have been laid off in the Aegean coal capital of Soma, hit by the deadliest mining accident of Turkey’s history.

    The Soma Coal Mining Company, which operates the Eynez mine where 301 workers were killed in May, stated that its contract with Turkish Coal Enterprises expired in May 2014 and the contracts of 2,831 miners had been canceled as of Nov. 30.

    The number of miners who still work in the same company’s mines in Soma in the Aegean province of Manisa remained at 2,182, according to the statement.

    The company said it is struggling to pay the double salaries agreed as compensation after the Soma mining disaster.

    “Soma Coal Mining Inc. is not able to pay the salaries of the workers that are not working after paying them double salaries for six months. It is also legally impossible to continue the contract of the laborers of a coal mine that is not operating,” it stated.

    #Mines #Soma

  • La torchère brûle entre l’UE et la Russie : Moscou arrête South Stream - Le Courrier des Balkans
    http://balkans.courriers.info/article26134.html

    En visite en Turquie, Vladimir Poutine a jeté un pavé dans la mare : South Stream, c’est fini. Au moins pour le moment. La faute « à nos amis européens » a justifié le Président russe, qui juge « ridicule » de continuer à investir « des millions » dans un projet dont « l’Europe ne veut pas ». Moscou décide de miser sur de nouveaux partenaires, à commencer par Ankara.

    « Nous allons dérouter nos ressources énergétiques vers d’autres régions du monde et l’Europe ne recevra plus les mêmes volumes de la Russie », a poursuivi Vladimir Poutine. « Mais c’est le choix de nos amis européens ».

    L’homme fort du Kremlin a annoncé lors de la conférence de presse commune avec le Président turc que Moscou et Ankara avaient signé un memorandum pour la construction d’un gazoduc commun qui passera sous la Mer Noire. Une offre qui vient remplacer astucieusement South Stream : il permet à la Russie de ne pas perdre le bénéfice du chantier commencé tandis que la Turquie se pose en partenaire alternatif à l’UE et se repositionne sur l’échiquier diplomatique entre l’Europe, l’Asie et le Moyen-Orient.

    La Russie s’est aussi dite prête à construire une nouvelle plate-forme de gaz à la frontière turco-grecque. « Si cette idée est considérée comme opportune, nous allons créer une nouvelle plate-forme dans le sud de l’Europe, sur le territoire turc, à la frontière avec la Grèce », a souligné Vladimir Poutine. « Les deux parties sont en tain de travailler à la préparation d’un premier accord », a confirmé Recep Tayyip Erdoğan.

    #Geopolitique #Gaz #Turquie #Russie #UE

  • Russia to reduce gas price for Turkey by 6 pct
    http://www.todayszaman.com/latest-news_russia-to-reduce-gas-price-for-turkey-by-6-pct_365874.html

    Mais en contrepartie...

    Gazprom CEO Alexei Miller said that his company signed a memorandum on building a new Turkey-bound pipeline under the Black Sea, which would be capable of pumping about 63 billion cubic meters to Turkey, the same capacity as the South Stream.

    If Erdoğan accepts the Russian offer of forming an energy alliance, it would mark a sharp policy change for Turkey that so far has served as a major transit route for oil and gas resources from the Caspian and Central region to the west, bypassing Russia. The United States and the European Union have strongly backed energy exports via Turkey as a way of reducing the continent’s dependence on Russia’s energy resources.

    Putin added a sweetener, saying that Russia will offer a 6 percent price discount for its gas supplies to Turkey starting next year and could offer an even better deal if the two countries reach an agreement on deeper energy cooperation

    #Gazoduc #Russie #Turquie

  • Turkey clears way for first nuclear power plant
    http://www.todayszaman.com/business_turkey-clears-way-for-first-nuclear-power-plant_365864.html

    The ÇED includes 3,000 pages of details regarding the Akkuyu nuclear power plant, whose reactor is to be built beginning in 2016 in the Mediterranean province of Mersin. The plant, which is expected to cost an estimated $20 billion, will be built and operated by the Russian state-run energy firm Rosatom, which signed an agreement for the construction of the plant with Turkey’s Energy Ministry in 2011. Rosatom officials stated that the plant will be operational for 100 years

    #Nucléaire #Russie #Turquie

  • Planification régionale et territoriale en Turquie : une sélection bibliographique de JF Pérouse pour le présentoir de la bibliothèque de l’IFEA
    http://ifea-istanbul.net/index.php?option=com_k2&view=itemlist&layout=category&Itemid=566&lang

    Le dernier et dixième « Plan quinquennal de développement » (Kalkınma Planı) – qui concerne la période 2014-2018 – a été rendu public au printemps 2013 par le ministère du Développement (Kalkınma Bakanlığı), institution récemment apparue, sans qu’aucune référence n’ait été faite à l’Organisation de Planification d’État (DPT), institution pourtant jusqu`alors centrale dans l’élaboration de ces plans (Akçay, 2007 ; Kansu, 2004). En effet le DPT a été dissout en tant qu’institution autonome en juin 2011, à l’occasion d’une vaste restructuration de l’administration centrale . On peut parler d’une mort précoce, puisque cette institution avait juste cinquante ans. Après sa fondation en 1961 dans un climat d’exaltation planificatrice et d’élitisme positiviste, le DPT a enregistré tout au long de son existence – et répercuté – les mutations de l’appareil d’Etat, de l’usage de celui-ci ainsi que celles des rapports de force politiques et sociaux. Avec l’effacement du DPT, on peut dire que le souci étatique de la planification territoriale en Turquie a aussi fortement décliné.

    Or la conscience de l’existence de « disparités régionales » existe dans l’appareil d’État dès les débuts de la République turque. On peut même dire que la décision très volontariste de transférer la capitale politique d’Istanbul à Ankara, prise au moment même de la mise en place de la République, est une expression de cette conscience précoce. En effet, pour les promoteurs d’Ankara et dirigeants de la nouvelle République, la capitale avait pour fonction d’être un « pôle de développement » irradiant le progrès au cœur de l’Anatolie. Mais au fil du temps, la mise en formulation politique de ces disparités a varié.
    L’expression très française de « disparités territoriales » n’a pas d’équivalent stabilisé dans la langue turque. On parle plutôt d’« inégalité régionale » (bölgesel eşitsizlik) (Sönmez, 1998), d’« inégalité entre les régions » (bölgelerarası eşitsizlik) ou de « déséquilibre entre les régions » (bölgeler arası dengesizlik) (Payzin, 1967). Ces formulations supposent qu’on se fasse une certaine idée de l’équilibre (ou de l’égalité) souhaitable, d’une part, et de la délimitation des régions, d’autre part. En outre, le terme même de territoire est difficilement traduisible en turc : on parle davantage du « pays » (ülke) ou de la « patrie » (vatan), notions assez abstraites et chargées d’un fort affect nationaliste. La foi en l’État et en la nation (unitaire) qui caractérise la culture politique dominante aurait ainsi pour effet de nier les aspérités du territoire, voire même parfois de déplacer les montagnes.

    Donc à l’heure où, sous l’impulsion européenne (Loewendahl-Ertugal, 2005), la Turquie s’est engagée dans une réforme de son système de gestion territoriale – dans le sens d’une certaine décentralisation administrative amorcée par une série de lois adoptées en 2003 et 2004 et prolongée par la mise en place des Agences de développement à partir de 2006 –, faire un point bibliographique n’est pas inutile. Les ouvrages de la bibliothèque de l’IFEA relatifs à ces questions – avec une tradition de recherche initiée notamment par Marcel Bazin (1991, 2000 & 2005) et Stéphane de Tapia (1991), reprise par l’Observatoire Urbain depuis la fin 1988 (même si la planification urbaine a toujours fait de l’ombre à la planification régionale), renforcée par Stéphane Yérasimos (dont l’article paru en 1988 dans la REMM est véritablement canonique) et prolongée par Elise Massicard (2008), Benoît Montabone (2011 et 2013) et d’autres… – sont éclatés entre l’économie, les statistiques, l’histoire contemporaine et l’Observatoire Urbain. Des acquisitions récentes sur l’aménagement de l’espace rural (Bakırcı 2007 ; Geray 2011) sont cependant utilement venues compléter le matériel existant.

    #Turquie
    #Aménagement
    #Planification
    #Inégalités_régionales

  • Workers occupy Western Turkish coal plant’s entrance, block road to oppose privatization - LABOR
    http://www.hurriyetdailynews.com/workers-occupy-western-turkish-coal-plants-entrance-block-road-to

    Workers have intensified their protests ahead of the weekend’s handover at the plant, launching a permanent action to express their concerns on the labor conditions once the privatization is completed.

    “We have been resisting for 442 days now. We are against the sale of this facility because privatization means the employment of subcontractors. And we saw what happens then in Soma and Ermenek,” said Tes-İş union official Fatih Erçelik, referring to the two recent mining disaster in Turkey.

    Some 4,000 workers are employed at the plant, including 1,500 miners who extract coal in the galleries around the facility.

    #Privatisation #Mobilisation #Electricité

  • Demain des « villes intelligentes » au nord comme au sud
    http://www.econostrum.info/Demain-des-%C2%A0villes-intelligentes%C2%A0-au-nord-comme-au-sud_a19453

    « La ville intelligente est une obligation et une urgence » affirme Rosa Paradell, directrice générale du Smart City Business Institute de Barcelone. C’est aussi un concept « multidimensionnel », intégrant plusieurs axes de la politique urbaine : gestion de l’énergie, transports, technologie, action sociale, gouvernance… [...]

    « Une ville intelligente, c’est une cité qui axe sa politique sur le développement durable », résume Rosa Paradell. « Mais en prenant en compte toutes les réalités, depuis la gestion des déchets domestiques jusqu’à la compétitivité économique »

    #Ville_intelligente
    #Dvp_Durable
    #Urbanisme

  • Keep calm and carry on building: A guidebook for crooked contractors to trick the law in Turkey
    http://www.hurriyetdailynews.com/keep-calm-and-carry-on-building-a-guidebook-for-crooked-contracto

    If there is one rule in Turkey, it is the unwritten law that the building of more residential complexes, energy facilities, malls, bridges and tunnels that herald development and wealth – with the niggling side effects of the deterioration of nature and social cohesion, as well as workers’ deaths due to a lack of job safety – is paramount. Construction rules and, even more so, playing without rules!

    Many controversial construction projects have continued despite court orders for a stay of execution, thanks to cheap tricks – in all senses of the word – permitting contractors to bypass the law, often with the connivance of local administrations, if not the central government itself.

    Both the Constitution and the Turkish Penal Code contain clear provisions sanctioning officials if they fail to implement the rulings of administrative courts.

    However, from the mega-constructions of Istanbul’s third bridge and third airport, to the felling of trees in an olive plantation in the Aegean coal capital of Soma to pave the way for a power plant, companies have calmly adopted a number of easy methods to continue building.

    Loopholes in the Turkish legislation and a lack of any dissuasive penalties offer investors and tycoons the necessary chutzpah to move on with their projects by hook or by crook, egged on by the government’s huge incentives for construction. Here are the main tricks used by companies:

    #infrastructure #justice #aménagement # Turquie

  • Destruction of olive trees in Turkey triggers protests
    http://www.al-monitor.com/pulse/originals/2014/11/turkey-olive-trees-chopped-power-plant.html#

    Turks have woken up to the importance of their environment since the May 2013 Gezi Park protests in Istanbul that spread across the nation. “Istanbul is a big metropolitan area, unlike Yirca. Our population in this village here is only 400. Yet I realized in the last two to three days while appearing on television news, or speaking to journalists, how much people care about us here, too. That touched our heart,” Yirca village headman Mustafa Akin told Al-Monitor

    #Mobilisation
    #Environnement
    #Centrale_thermique
    #Turquie

  • Turkey plans to increase coal powered electricity production
    http://www.hurriyetdailynews.com/turkey-plans-to-increase-coal-powered-electricity-production.aspx

    The Turkish government plans to double its electricity production with coal power in 2018, which will include a policy that will increase the country’s coal production.

    Turkey produced 32 billion kwH of electricity with coal power plants in 2013 and plans to increase this amount to 57 billion kwh in 2018, as part of its new economy plans.

    Turkey will introduce new tenders for the construction of coal power plants in Afşin, Elbistan, Konya, Karapınar and Ergene, areas which are rich with coal reserves.

    #électricité #charbon #turquie

  • Cars out of Taksim, Turkey’s new economic plan says
    http://www.hurriyetdailynews.com/cars-out-of-taksim-turkeys-new-economic-plan-says.aspx?pageID=238

    The Turkish government’s new economic plan stipulates a policy that would introduce a fee on motor vehicles in metropolitan city centers, including Istanbul’s Taksim neighborhood.

    Prime Minister Ahmet Davutoğlu announced nine of the 25 transformational economic programs at a press conference Nov. 6. Besides ambitious macroeconomic targets, like increasing Turkey’s GDP from $800 billion to $1.3 trillion by 2018, Davutoğlu said the first nine-point plan includes 417 action plans that will affect the daily lives of citizens.

    Some of the proposed policies on transportation have sparked public debate. To decrease energy inefficiency and traffic congestion, particularly in Istanbul and Ankara, the government’s plan involves limiting motor vehicle presence in city centers like Taksim and Kızılay. Those using automobiles will pay a fee to travel in these areas with a new system called Smart Transportation System (AUS), according to the plan.

    #Transport_urbain
    #Péage
    #Turquie

  • En Turquie, la contestation contre le nucléaire prend forme - Reporterre
    http://www.reporterre.net/spip.php?article6185

    À Sinop, au bord de la Mer Noire, le gouvernement projette de construire une centrale. À Mersin, sur la côte méditerranéenne, un chantier a déjà commencé. La pression nucléaire se fait de plus en plus forte sur la Turquie, sous l’impulsion du Premier ministre Erdoğan, obsédé par l’atome. La contestation s’organise et dénonce le manque de transparence, la faiblesse des arguments économiques, et l’absence de recherche d’alternatives.

    #Nucléaire
    #Turquie
    #Contestation

  • « Petites » résistances - Susam-Sokak
    http://www.susam-sokak.fr/2014/11/petites-resistances.html

    Les mouvements de résistance en Turquie, petits et grands, sont partout, et semblent vouloir durer. Le mouvement de Gezi a ouvert une vanne. Et même si ces mouvements échouent, une forme de consensus imposée par l’Etat depuis des décennies est définitivement fissurée. Exemple de petit mouvement, la défense du petit bois de Validebag, à Üsküdar (rive asiatique d’Istanbul), menacé par un projet immobilier (comportant... une mosquée). La chaîne de télé alternative Çapul-TV diffuse la vidéo d’une manifestation le 3 novembre, relativement nombreuse. Remarquer en fin de cortège la banderole de lycéens de Kadıköy : « A Kobanê on massacre le peuple, à Ermenek on massacre les travailleurs, à Validebag on massacre les arbres ». C’est disparate mais cela porte une vérité, celle d’un refus général de se laisser imposer des décisions, même après des élections (municipales en mars, présidentielles en août) en principe légitimantes... mais justement cette légitimité-là n’est pas reconnue.

    Nous sommes en plein dans le débat qui agite la France autour des projets comme Notre-Dame des Landes ou le barrage de Sivens.

    #Mobilisation
    #Environnement
    #Istanbul

  • Turkish households lose their appetite for spending on loans | Mustafa Sönmez
    http://mustafasonmez.net/?p=4697

    The Turkish economy rapidly borrowed externally as financial corporations sourced nearly one-third of their resources as credit for consumer families.This lending boosted the domestic sale of houses, vehicles and durable and indurable products, mainly white goods. To put it in another way, the borrowing by households became one of the building blocks of the growth paradigm based on the domestic market that went on to soar from year to year. From September 2004 to September 2014, the loan stock of total households increased nominally at a rate of 1,306 percent. However, a recalculation of this for inflation shows that there was an increase of 48 times in real terms. Those who borrowed one in 2004 are now borrowing five. The total credit used or the debt stock has increased almost five-fold.

    However, in the past 12 months when the economy stagnated, there has also been a significant slowdown in consumer loans. The dimensions of the consumer loans that appear in the form of consumer credits as house, vehicle and general-purpose personal finances, and as cash credit through credit cards, exceeded 345.5 billion Turkish Liras (155 billion dollars) as of September 2014, but when inflation is taken into account, there was a 1 percent decline compared to the previous year. This means a decrease in demand for an economy that is growing based on the domestic market and also means a slowdown in its motor of growth

    #Consommation
    #Crédits
    #Turquie

  • M. Erdogan s’offre un palais symbole de sa « nouvelle Turquie »
    http://acturca.info/2014/10/30/m-erdogan-soffre-un-palais-symbole-de-sa-nouvelle-turquie

    Le président, qui refuse de s’installer à Cankaya, siège historique où résida Mustafa Kemal, devait inaugurer, mercredi, son « Palais blanc »

    A la « nouvelle Turquie » que le président Recep Tayyip Erdogan veut voir émerger, il fallait des attributs flambant neufs, des symboles de son pouvoir. Mercredi 29 octobre, jour anniversaire de la fondation de la République turque, toute l’élite politique islamo-conservatrice suivra l’inauguration en grande pompe du nouveau palais présidentiel, construit à la périphérie d’Ankara sur le territoire d’une ancienne « ferme modèle » créée par Mustafa Kemal Atatürk en 1925.

    Il ne pouvait être question que « Recep Bey » (appellation respectueuse du président) s’installe à Cankaya, le siège historique de la présidence situé au centre d’Ankara, où tous ses prédécesseurs, y compris Mustafa Kemal, le fondateur de la Turquie moderne, ont vécu le temps de leur mandat.

    Aux yeux des islamo-conservateurs du Parti pour la justice et le développement (AKP, au pouvoir depuis 2002) le vieux palais représente tout ce qu’ils abhorrent : la laïcité, les militaires, les coups d’Etat.

    Baptisée le « Palais Blanc » (Aksaray), le nouveau palais présidentiel expose les rêves de grandeur de M. Erdogan. Dans Aksaray comme dans Akparti (AKP), le Ak signifie « blanc » , « propre » , tout un symbole pour la formation politique du président, mue par la fascination du retour à la grandeur ottomane passée.

    #Erdogan
    #Architecture
    #Ankara

  • L’Atelier des Chercheurs Pour une désexcellence des universités
    http://lac.ulb.ac.be/LAC/home.html

    En ce début de 21ème siècle, « l’Excellence » est partout !

    Depuis les accords de Bologne, cette notion a aussi profondément pénétré le fonctionnement des universités. Cheval de Troie de la pensée néolibérale et managériale, ce mot d’ordre dissimule, mal, la mise en concurrence généralisée, la précarisation, la dévalorisation des savoirs minoritaires ou construits sur l’expérience, l’indifférence aux contenus ou encore la confiance absolue attribuée aux évaluations standardisées.

    Après plus d’une décennie de réforme ininterrompue justifiée par la recherche d’excellence, nous sommes aujourd’hui confrontés à une détérioration de nos univers de travail, à une perte de sens de nos activités et à la diminution continue de la qualité du travail fourni. Formatage des champs et des objets de recherche, multiplication des résultats invalides et des fraudes, disparition progressive de l’esprit critique, marchandisation des enseignements, autant de conséquences très concrètes de l’idéologie de l’excellence sur les pratiques d’enseignement et de recherche.

    Face à ces constats a émergé la notion de « désexcellence ». Loin d’inciter à la paresse ou la médiocrité, elle invite à se préoccuper de la qualité effective du travail - qui porte à la fois sur la nature de ce qui est accompli et sur la satisfaction que l’on en retire - et à remettre en cause la gestion actuelle des universités.

    L’appel à la « désexcellence » ne revient pas à regretter un « âge d’or », qui n’a jamais existé, mais à s’opposer par nos pratiques au dévoiement actuel des universités.

    Ce site est le fruit d’un travail collectif de chercheurs-enseignants désexcellents à l’Université libre de Bruxelles

    #Université
    #Réformes
    #Enseignant_chercheur

  • İstanbul’s $2.3-bln gas firm to go private
    http://www.todayszaman.com/business_istanbuls-23-bln-gas-firm-to-go-private_362943.html

    La vente de la société de distribution de gaz naturel d’Istanbul (appartenant à la Municipalité Métropolitaine et non pas à l’Etat turc comme décrit dans l’article) devrait servir à financer des projets de développement urbain. 7 milliards de dollars sont espérés. Quand énergie et transformations urbaines sont étroitement liées !!

    İstanbul mayor Kadir Topbaş told reporters on Tuesday that the city has planned a tender for November to offer İGDAŞ to private operators. Topbaş said the city expects to use the revenue from the İGDAŞ privatization for some lingering development projects in İstanbul

    #Gaz
    #Istanbul
    #Privatisation

  • Les déplacements des Français reconstitués grâce à leurs coups de fil (c’est pour la science)
    http://rue89.nouvelobs.com/zapnet/2014/10/28/les-deplacements-francais-reconstitues-grace-a-leurs-coups-fil-cest

    La vidéo ci-dessus montre les déplacements des Français durant l’année 2007, confirmant ce que l’on savait déjà :

    les zones rurales sont peu peuplées ;
    les villes se vident le week-end (dès le vendredi) ;
    les plages sont pleines en été ;
    les villes se repeuplent la dernière semaine d’août.

    L’intérêt est que cette carte a été réalisée grâce aux données d’un milliard d’appels en France et Portugal fournies par Orange, pour un article (extrait et PDF) dirigé par deux chercheurs belges, Pierre Deville (université catholique de Louvain) et Catherine Linard (université libre de Bruxelles). L’une des étapes les plus compliquées de l’étude a été d’obtenir les données d’Orange tout en respectant la vie privée des utilisateurs.

    #Bid-data
    #SIG

  • Striking Google Earth Imagery of Istanbul’s ‘Fill in the Blank’ Urbanism | RECLAIM ISTANBUL
    http://reclaimistanbul.com/2014/10/28/striking-google-earth-imagery-of-istanbuls-fill-in-the-blank-urbani

    The images below show urban transformation of Istanbul in the last 10 years. ‘Before and after’ satellite images from all around the city highlight the impact of construction based economy on Istanbul’s open / green urban spaces. From real estate developments to mega infrastructural projects, the appetite of the construction sector to grasp urban land has ever been increasing. Istanbul’s new urban landscape has been replacing forest areas, old neighbourhoods, heritage sites, sea shores, etc.

  • OPÉRATION CORREA 1re partie : Les ânes ont soif - C-P Productions
    http://www.cp-productions.fr/spip.php?article161

    La visite en France d’un champion de la croissance économique passe rarement inaperçue, même lorsqu’elle ne présente qu’un intérêt médiocre. Un serrage de louches sur le perron de l’Elysée avec un président chinois ou une chancelière allemande rameute à coup sûr le ban et l’arrière-ban des troupes journalistiques. Pourquoi alors la presse hexagonale a-t-elle boudé le dernier séjour à Paris de Rafael Correa ?

    Le 6 novembre 2013, le président équatorien était à la Sorbonne pour décrire le modèle économique en train de s’inventer dans son pays, en insolente rupture avec le dogme de l’austérité et de l’inféodation à la finance auquel les dirigeants européens veulent condamner leurs ouailles. En choisissant de ne pas obéir au FMI et d’imposer une renégociation de sa dette dans des conditions acceptables, l’Équateur, petit pays d’Amérique du Sud, aux prises avec des difficultés sans commune mesure avec celles que peut connaître la puissante Union européenne, s’est sorti par le haut du pétrin dans lequel il s’enfonçait. Pas de coupes dans les dépenses publiques, mais des programmes de redistribution qui ont fait chuter le taux d’extrême pauvreté de 16,9 % à 8,6 % au cours des six dernières années. Pas de dépouillement des droits sociaux par un patronat tout-puissant, mais des investissements publics dans les infrastructures et un taux de croissance (4,5 %) parmi les plus élevés d’Amérique latine. Tout n’est pas rose dans le bilan de Rafael Correa, mais au moins le président équatorien représente-t-il une preuve bien vivante que la politique du bulldozer contre les pauvres adoptée en Europe n’est pas nécessairement la seule envisageable.

    On ne fait pas boire un âne qui n’a pas soif

    Peu de grands médias français – à l’exception du Monde diplomatique et de quelques journaux de presse écrite - ont prêté attention à la visite du président équatorien. Aucune chaîne de télévision ni radio nationale n’a repris le message qu’il souhaitait adresser aux populations européennes : ne faites pas la folie de vous plier aux injonctions des banques, regardez comment l’austérité qu’elles vous infligent aujourd’hui a failli ruiner notre pays par le passé, et comment nous nous en sommes relevés en faisant tout le contraire. Pareil avertissement est-il sans valeur pour le public français ? « On ne fait pas boire un âne qui n’a pas soif », a chuinté Ivan Levaï, vétéran chez France Inter, quand les comparses de Pierre Carles ont commencé à enquêter sur la question. Mais qui sont les ânes ? Et comment redonner soif à une presse goulument ravitaillée dans l’abreuvoir des experts du CAC 40 ?

    Après Pas vu pas pris, Enfin pris ?, Fin de concession et Hollande, DSK, etc, Pierre Carles et son équipe poursuivent leur critique radicale des médias. Ils se proposent à présent d’explorer la question du traitement de l’hérésie équatorienne dans la presse française. Il s’agira bien sûr de confronter la chefferie éditoriale à ses choix idéologiques, et de comprendre par quel enchantement l’impasse borgne et insalubre du monétarisme européen se présente à elle comme un horizon indépassable. Il s’agira aussi d’enquêter sur place, en Équateur, afin d’élucider ce que le journal d’affaires colombien Dinero (« argent ») qualifie avec incrédulité de « miracle économique ». L’alternative qui se joue là-bas est-elle un simple mirage ou alors un modèle susceptible d’allumer quelques flammèches à notre horizon ?
    La bourse ou la vie

    Mais l’exploration journalistique coûte de l’argent. Pour achever le tournage du prochain épisode d’Opération Correa, nous devons réunir au moins 25 000 euros. La somme peut paraître confortable, elle est pourtant dérisoire au regard du budget « normal » d’un documentaire grand public : à ce prix-là, nous n’irions pas loin sans l’expérience, l’implication et l’inventivité de chaque membre de notre collectif. Grâce à votre participation financière, nous pourrons finir d’arpenter les salles de rédaction parisiennes et mener nos propres investigations dans ce pays étrange qui les intéresse si peu. Une fois en boîte avec votre aide, le deuxième épisode du film sera lui aussi librement accessible sur Internet, en streaming et P2P, pour que le public s’en empare et le fasse vivre hors des clous de l’information industrielle

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    #Médias