• #Monsanto condamné aux Etats-Unis à payer plus de 1,5 milliard de dollars dans un procès lié au #Roundup, la firme fera appel - rtbf.be
    https://www.rtbf.be/article/monsanto-condamne-aux-etats-unis-a-payer-plus-de-15-milliard-de-dollars-dans-un

    Monsanto, propriété de Bayer, a été condamné vendredi par un tribunal de Jefferson City, dans le Missouri, à verser plus de 1,5 milliard de dollars à trois Américains qui auraient développé un #cancer à la suite de l’utilisation du désherbant Roundup. C’est ce que rapporte l’agence de presse Bloomberg, qui parle de l’une des plus importantes demandes de dommages et intérêts de l’année aux États-Unis.

    Le juge a accordé à James Draeger, Valerie Gunther et Dan Anderson des dommages-intérêts de, respectivement, 61,1 millions de dollars et de 500 millions de dollars. Ces trois personnes avaient développé un lymphome non hodgkinien et affirmaient que le cancer était le résultat d’années d’utilisation du Roundup pour le jardinage. Bayer a récemment gagné plusieurs procès liés au Roundup mais, dans le même temps, il y a également un certain nombre de cas où le jury a vu un lien entre le désherbant et le développement du cancer, selon Bloomberg.

    L’entreprise chimique allemande a racheté Monsanto en 2018 et a donc hérité des nombreux procès concernant le Roundup. Le principal ingrédient de ce produit est le #glyphosate. Le danger de cette substance pour la santé fait également l’objet d’un débat en Europe mais, comme les recherches sur d’éventuels effets nocifs sont en cours, la licence a été prolongée cette semaine de 10 ans.

    #Bayer, propriétaire de Monsanto, va faire appel de cette lourde condamnation, selon un porte-parole de l’entreprise.

    #pesticide

  • Florence Sutcliffe-Braithwaite · ‘We’ve messed up, boys’: Bad Blood
    https://www.lrb.co.uk/the-paper/v45/n22/florence-sutcliffe-braithwaite/we-ve-messed-up-boys

    Bayer’s heat-treated Factor VIII product was licensed in the US in February 1984, but it kept making the untreated version until August that year and didn’t stop selling old stock until the following summer. Armour’s parent company was told in October 1985 that its heat-treatment method wasn’t completely effective against HIV, but denied everything; only after two children in Birmingham and four patients in Newcastle were infected with HIV did the company admit to the DHSS that its product was unsafe. If non-heat-treated Factor VIII was banned in one country, the companies just sold it elsewhere. In the first quarter of 1985, #Bayer exported twenty thousand vials – more than five million units – of its old Factor VIII from the US to other parts of the world. Competition between pharmaceutical companies sometimes stimulated innovation, but it could just as easily generate a race to the bottom. The head of the CDC’s Aids taskforce told the companies that their actions ‘ultimately led to not only a lot of death and misery, but a destruction of your customers’. As McGoogan points out, the parallels with the present-day opioid crisis in the US are clear.

    #hémophilie #dérivés_sanguins #profits #grande_Bretagne

  • Passe d’armes entre UFC-Que Choisir et le SYNGOF sur les implants Essure
    https://www.jim.fr/medecin/actualites/pro_societe/e-docs/passe_darmes_entre_ufc_que_choisir_et_le_syngof_sur_les_implants_essure_195334/document_actu_pro.phtml

    Paris, le vendredi 16 décembre 2022 – L’association UFC-Que Choisir accuse les gynécologues français d’avoir tenté de dissimuler les effets secondaires des implants stérilisants Essure, une accusation jugée diffamatoire par le SYNGOF.
    Souvenez-vous.

    En 2015, les signalements d’effets indésirables lors et après la pose de l’implant Essure, un dispositif commercialisé par le laboratoire allemand Bayer permettant une stérilisation définitive des patientes, se multipliaient à travers la planète. Les femmes à qui le dispositif avait été implanté souffraient notamment parfois de douleurs abdominales ou pelviennes et de saignements. Des cas de grossesse non désirée et de migration du dispositif nécessitant son retrait par voie chirurgicale ont également été signalés.

    Les gynécologues dans la main de Bayer ?

    Après deux ans de surveillance et malgré les conclusions d’un comité d’experts de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) qui estimait que l’implant Essure ne représentait pas de danger particulier, le laboratoire Bayer préférait jeter l’éponge en 2017 et retirait cet implant du marché.

    Cinq ans après les faits, ce « scandale » sanitaire semble être resté en travers de la gorge de l’association de défense des consommateurs UFC-Que Choisir. Dans le numéro de décembre de leur magazine, des membres de l’association ont publié un article très à charge sur cette affaire. S’appuyant sur les informations de l’association de journalistes Splann, ils accusent l’ANSM d’avoir « passé sous silence » un rapport de 2017 qui a « confirmé les risques de corrosion dans l’organisme des porteuses de dispositifs de stérilisation définitive Essure » et d’avoir « laissé entendre que l’utilisation de ces dispositifs étaient sûre ». Surtout, l’association accuse les gynécologues français d’avoir « fortement promu ces implants, leurs liens financier avec Bayer étant sans doute pour beaucoup dans leur engouement ».

    Des accusations que le syndicat national des gynécologues et obstétriciens français (SYNGOF) juge « diffamatoires à l’égard des gynécologues ». Dans un communiqué de presse publié ce vendredi en réaction à l’article accusateur d’UFC-Que Choisir, le syndicat rappelle « qu’avant 2015, les gynécologues n’avaient pas eu connaissance des effets secondaires » et que par conséquent, la pose d’un implant avait « un rapport bénéfices-risques nettement plus favorable qu’une coelioscopie qui est la technique la plus utilisée en France pour une stérilisation ».

    Des accusations diffamatoires selon le SYNGOF

    Surtout, les gynécologues estiment que ni eux ni l’ANSM n’ont ignoré les alertes sur le risque de dégradation des implants émis à partir de 2015. Ils ont cependant estimé que « le rapport bénéfice-risques restait favorable » à l’implant et ont « respecté les préconisations ». Les patientes « se portent bien aujourd’hui hormis de rares cas où les gynécologues ont du procéder à leur retrait » affirme le SYNGOF.

    Mais ce sont bien sur les accusations selon lesquels les gynécologues auraient été guidé dans leurs actions par de supposés lien d’intérêts avec Bayer qui révulsent le plus le SYNGOF. « Que Choisir n’a pas de doute sur des liens existants entre le laboratoire Bayer et les gynécologues qui ont posé ces implants mais sur quels éléments de preuve s’appuie le magazine ? » s’interrogent les gynécologues, avant de rappeler que « la pose d’un implant contraceptif est moins bien rémunérée au praticien qu’une intervention chirurgicale par coelioscopie, si les gynécologues ont fait ce choix c’est que cet acte était préférable pour les patientes ».

    « Le SYNGOF demande à Que Choisir de fournir les preuves de ce qu’il avance, accuser sans preuve est diffamatoire » conclut le syndicat.

    L’UFC-Que Choisir a-t-il perdu une bonne occasion de se taire ?

    Grégoire Griffard

    #essure #syngof #bayer

  • Santé Canada envoie 229 pages blanches en réponse à une demande d’accès à l’information Radio Canada - Thomas Gerbet

    Le demandeur voulait comprendre l’idée d’Ottawa d’autoriser plus de pesticides dans les aliments en 2021.

    « Ridicule », « perte de temps »... L’organisme Vigilance OGM ne comprend pas pourquoi le gouvernement canadien lui a envoyé 229 pages blanches à la suite de sa demande d’accès à l’information, après un an d’attente. Le demandeur cherchait à obtenir les études qui avaient convaincu Santé Canada de vouloir autoriser plus de traces de pesticides dans les aliments l’an dernier.


    hibault Rehn montre les documents vides qu’il a reçus. Photo : Radio-Canada

    L’affaire du glyphosate dans les légumineuses avait créé une controverse à l’été 2021. Radio-Canada avait révélé que le gouvernement fédéral voulait rehausser les quantités de résidus d’herbicide permises sur plusieurs denrées alimentaires comme les lentilles, les haricots ou les pois. Le Canada serait ainsi devenu moins exigeant que les États-Unis et la Chine.

    Devant le tollé provoqué par cette affaire, Ottawa avait reculé et mis son projet sur pause. Le gouvernement Trudeau s’était aussi engagé à changer la loi pour plus de transparence et d’indépendance dans le processus. Cette réforme se fait toujours attendre.

    Entre-temps, il avait été révélé que c’est Bayer, multinationale qui fabrique et commercialise le glyphosate, qui avait demandé au fédéral de faire ce changement.

    Un an d’attente pour obtenir du vide
    Le coordonnateur de Vigilance OGM Thibault Rehn, qui a reçu les 229 pages blanches, y voit la preuve que « le gouvernement canadien n’est pas transparent là-dedans ».


    « C’est dommage que les fonctionnaires perdent leur temps à nous envoyer ça », ajoute-t-il. « Ils auraient pu nous envoyer un courriel pour nous dire que l’information n’était pas accessible. »

    Des études de l’industrie derrière les pages blanches
    Sur chacune des pages blanches, Santé Canada a recopié les deux articles de la Loi sur l’accès à l’information qui justifient de masquer l’ensemble du contenu.

    Le premier article spécifie que les documents contiennent des informations personnelles et le second article indique qu’ils constituent « des renseignements financiers, commerciaux, scientifiques ou techniques fournis à une institution fédérale par un tiers, qui sont de nature confidentielle et qui sont traités comme tels de façon constante par ce tiers ».

    Pour Thibault Rehn, « c’est vraiment problématique » que le fédéral se soit appuyé uniquement sur des études de l’industrie qui, selon lui, se retrouve “juge et partie” dans le processus.
    . . . . .
    En 2021, Radio-Canada avait aussi révélé que Santé Canada voulait permettre plus de traces de pesticides dans les petits fruits. Nous avions ensuite découvert que la demande de réforme venait du géant des pesticides Syngenta et d’Agriculture Canada.

    En entrevue, une cadre de Santé Canada nous avait expliqué que les compagnies de pesticides « nous donnent des données scientifiques, on les évalue, puis on propose des limites maximales de résidus à la suite de cette évaluation ».

    Ottawa affirmait que sa réforme ne représentait aucun risque pour les Canadiens, parce que même en triplant les limites permises, la dose demeurait inoffensive.

    La controverse avait toutefois poussé le fédéral à promettre de s’adjoindre des scientifiques indépendants dans son processus d’évaluation. Actuellement, la vaste majorité des études sur lesquelles s’appuie le gouvernement pour prendre ses décisions sont produites par les fabricants de pesticides eux-mêmes.

    Ottawa avait aussi annoncé vouloir investir 50 millions de dollars dans l’Agence de réglementation de la lutte antiparasitaire de Santé Canada pour, entre autres, améliorer « la disponibilité de données indépendantes » venant d’universités, d’ONG et des gouvernements.

    Le mois dernier, Radio-Canada révélait que l’Agence canadienne d’inspection des aliments, qui dépend de Santé Canada, avait présenté une réforme sur les nouveaux OGM en utilisant les fichiers d’un lobby agrochimique. Une partie de la réforme visant à instaurer une “transparence volontaire” pour l’industrie plutôt qu’obligatoire avait été abandonnée suite à la controverse qu’elle a créée.

    Source : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1926878/sante-canada-pages-blanches-acces-information-pesticides

    #ogm #pesticides #glyphosate #justin_trudeau #bayer #Syngenta #santé #santée #alimentation #quelle_agriculture_pour_demain_ #multinationales #agrochimie #agriculture #environnement #foutage_de_gueule

  • #Canada : Des mauvaises herbes « génétiquement modifiées » Catherine Mercier
    https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1879912/mauvaises-herbes-genetiquement-modifiees-champ

    L’arrivée de plantes génétiquement modifiées dans les champs a créé un nouveau phénomène de résistance aux herbicides. Mais des pistes de solution existent.

    Dans cette ferme du Centre-du-Québec, des fleurs jaunes parsèment un champ de soya. La moutarde des oiseaux est désormais résistante au glyphosate. Photo : Radio-Canada

    À la ferme Givany au Centre-du-Québec, un champ de soya est constellé de fleurs jaunes. Ici, l’indésirable s’appelle la moutarde des oiseaux. Si cette plante se dresse entre les rangs de #soya en cette fin de juillet, c’est qu’elle a survécu aux herbicides.

    Le producteur Raphaël Vachon a remarqué le problème pour la première fois en 2015. “Après nos passages d’arrosage, la moutarde est restée là. Avec les années [...] le petit rond de vingt pieds s’est agrandi.”

    La moutarde des oiseaux est répertoriée comme #mauvaise_herbe au Québec depuis 1908.

    La plante pique la curiosité de l’agronome Isabelle Bernard. En 2017, elle envoie des échantillons de feuilles au Laboratoire d’expertise et de diagnostic en phytoprotection du MAPAQ.

    « C’est là qu’ils ont découvert que la plante était résistante au glyphosate. Non pas une résistance qui se développe par une mauvaise utilisation, une utilisation répétée d’un produit, mais bien un #gène qui était dans le canola qui s’est transféré dans la moutarde des oiseaux. Donc c’est comme une mauvaise herbe #OGM. »
    -- Une citation de Isabelle Bernard, agronome

    La moutarde des oiseaux (Brassica rapa), à gauche sur l’image, est très semblable au canola (Brassica napus) à droite. - Photo : Radio-Canada

    La moutarde des oiseaux, une plante sauvage, ressemble à s’y méprendre à une autre plante, abondamment cultivée au Canada : le canola. Au milieu des années 90, la compagnie Monsanto obtient le feu vert pour commercialiser du #canola #transgénique au Canada.

    Le canola #RoundUp Ready, d’après son nom commercial, a été modifié génétiquement pour tolérer les arrosages d’herbicide à base de #glyphosate. Quand on pulvérise le produit, toutes les mauvaises herbes meurent et le canola, lui, survit.

    La moutarde des oiseaux à la ferme Givany se comporte exactement de la même manière. “Si on applique seulement un glyphosate, ça ne fait rien : elle est totalement résistante, elle a le #gène de résistance”, explique Isabelle Bernard.

    Comme les deux plantes sont de proches parentes, le canola peut facilement polliniser la moutarde des oiseaux.

    Au #Québec, on a répertorié en 2005 un premier cas de moutarde des oiseaux qui avait intégré le #transgène de résistance au glyphosate. C’était dans la région de Chaudière-Appalaches. Aujourd’hui, 30 populations de cette mauvaise herbe sont connues, surtout au Centre-du-Québec, une région où on cultive pourtant peu de canola.

    Le Québec compte désormais 30 populations de moutarde des oiseaux résistante au glyphosate. Photo : Radio-Canada

    Même des producteurs agricoles qui n’ont jamais semé de canola se retrouvent avec le transgène issu de cette culture chez eux. “La moutarde prend la place du soya, illustre Raphaël Vachon, ça étouffe les plants et quand ça étouffe les plants, il y a moins de rendement.”

    Contrairement à l’amarante tuberculée, il n’existe pas de soutien financier pour les agriculteurs aux prises avec la moutarde des oiseaux. Pour Isabelle Bernard, qui voit de plus en plus de moutarde des oiseaux dans les champs de sa région, la situation est préoccupante : “Là, on a des images d’un champ qui a des lignes avec un peu de moutarde, mais imaginez ce même champ-là, s’il y avait de la moutarde à la grandeur du champ, ça occasionnerait des méchantes pertes de rendement.”

    Qui est responsable ?
    Ironiquement, la propriété intellectuelle du gène de tolérance au glyphosate a déjà fait l’objet d’une longue bataille judiciaire. En 2004, après des années de poursuites, le plus haut tribunal du pays donne raison à Monsanto dans son procès contre un agriculteur de la Saskatchewan https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1116341/20-ans-bataille-juridique-monsanto-percy-schmeiser-fier-canola . Le géant de l’agrochimie accusait Percy Schmeiser, un fermier, d’avoir fait pousser du canola transgénique sans avoir payé les redevances liées à l’utilisation des semences.

    Le fermier a toujours soutenu que ses champs avaient été accidentellement contaminés entre autres par du #pollen de canola génétiquement modifié, transporté par le vent. Très fin, ce pollen peut voyager sur plusieurs kilomètres.

    Alors que ces mêmes gènes se retrouvent dans des plantes qui nuisent aujourd’hui aux agriculteurs, on peut se demander s’ils sont toujours la #propriété du fabricant.

    Professeure à l’Institut des sciences de l’environnement de l’UQAM, Élisabeth Abergel a travaillé pendant de nombreuses années pour les industries pharmaceutiques et biotechnologiques. Elle est catégorique : “Les développeurs devraient continuer à être responsables de ces produits-là quand ils commencent à s’échapper et quand il y a une contamination génétique.”

    L’avocat de Percy Schmeiser, Terry Zakreski, croit aussi que Bayer, qui a racheté Monsanto en 2018, a une responsabilité. “La compagnie devrait-elle nettoyer tout ça ? Bien sûr qu’elle devrait. Le problème consiste à obtenir d’un tribunal qu’il lui ordonne de le faire !”

    L’un des problèmes qu’il soulève, c’est que les droits revendiqués par les compagnies sont des droits de #propriété_intellectuelle, “ce ne sont pas des droits de #propriété_physique. La compagnie revendique le droit de reproduire [les #semences], d’en tirer profit, mais elle ne revendique pas la propriété de l’objet physique, où qu’il apparaisse [...]”

    En 1995, l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) a autorisé la commercialisation des semences de canola génétiquement modifié. Son rapport d’évaluation des risques se basait sur des documents fournis par Monsanto. Déjà à l’époque, l’ACIA envisageait la possibilité que le canola s’hybride avec des plantes sauvages, qui deviendraient à leur tour tolérantes au glyphosate. Mais le rapport concluait que cela “n’aggraverait pas [...] la capacité d’envahissement de ces [mauvaises herbes] (Nouvelle fenêtre)”. https://inspection.canada.ca/varietes-vegetales/vegetaux-a-caracteres-nouveaux/approuves-cours-d-evaluation/documents-des-decisions/dd1995-02/fra/1303706149157/1303751841490#a9

    Selon l’avocat Terry Zakreski, le fait que “le gouvernement ait autorisé la dissémination dans l’environnement donne vraiment une défense à la compagnie. [...] Une fois que cette autorisation est donnée, c’est très difficile pour quelqu’un de poursuivre la compagnie en justice”.

    La compagnie Bayer n’a pas voulu se prononcer sur la propriété du transgène que l’on retrouve dans la moutarde des oiseaux chez les agriculteurs québécois. Dans un échange de courriels, l’un de ses représentants a toutefois invité les producteurs aux prises avec cette mauvaise herbe résistante à contacter #Bayer.

    Le cercle vicieux de l’utilisation des herbicides
    Pour contourner le problème de la résistance, l’industrie propose depuis quelques années de nouvelles semences génétiquement modifiées pour tolérer plus qu’un herbicide. Cette technique s’appelle l’empilement de gènes.

    Dans les catalogues de semences, on peut désormais choisir des cultures qui tolèrent à la fois le glyphosate, par exemple, et d’autres herbicides beaucoup plus toxiques, comme le #dicamba, ou encore le #2-4D, l’une des molécules actives de l’ #agent_orange utilisé comme défoliant lors de la guerre du Vietnam.

    Mais alors que développer ces nouvelles semences peut prendre dix ans, certaines mauvaises herbes sont déjà résistantes à ce cocktail au bout de cinq ans à peine. “On peut faire de l’empilement de gènes avec des variétés qui sont tolérantes à cinq herbicides, explique Élisabeth Abergel, mais à un moment donné, quand ces cinq herbicides n’auront plus aucun effet, il va falloir trouver des molécules encore plus toxiques. Donc ce n’est vraiment pas la solution, ce n’est pas durable.”

    « On sait ce qu’il faut faire pour éviter d’avoir des mauvaises herbes résistantes. Ça prend une rotation, ça prend une agriculture diversifiée le plus possible. Si on reste dans une agriculture qui est simplifiée, la nature va nous rattraper. C’est une question de temps. »
    -- Une citation de David Girardville, agronome

    Des pistes de solutions
    Tous les spécialistes consultés abondent dans le même sens. Pour freiner la résistance aux herbicides, il faut ramener de la biodiversité aux champs et ne plus dépendre seulement de la chimie pour contrôler les mauvaises herbes.

    Cela veut dire, entre autres, ne pas cultiver seulement du #maïs et du #soya. Ces deux plantes rapportent gros et sont de loin les deux plus cultivées dans la province. Mais ces monocultures contribuent à accélérer le phénomène de la résistance.

    L’agronome Stéphanie Mathieu, en Montérégie, rappelle l’importance de sortir de l’alternance maïs-soya. “Le maïs et le soya, ce sont des plantes qui sont semées au même moment, qui ont les mêmes espacements, qui ont des cycles de vie qui se ressemblent beaucoup. Et on travaille avec les mêmes herbicides aussi”. Facile dans ce contexte pour les mauvaises herbes, soumises aux mêmes produits année après année, de développer la résistance.
    . . . . .
    Ajouter des céréales à la rotation est une excellente solution. Elles couvrent rapidement le sol au printemps, ce qui empêche les mauvaises herbes de prendre racine. Et comme on les récolte plus tôt que le maïs et le soya, la moisson permet de faucher aussi la mauvaise herbe avant qu’elle ne puisse monter en graines.

    Entre les engrais verts, les #cultures intercalaires, le foin… les solutions ne manquent pas pour occuper le sol et contrôler les mauvaises herbes autrement qu’avec les seuls traitements chimiques. Et il faudra désormais rester aux aguets, car l’ère des solutions simples et rapides que promettaient les herbicides est bel et bien révolue.

    « Si on ne se questionne pas sur pourquoi il y a tel type de mauvaises herbes dans nos champs et qu’on ne s’y intéresse pas, on va multiplier le problème très, très rapidement. Que ça soit pour les mauvaises herbes ou les insectes ou les maladies, il faut connaître les champs. Il faut savoir à qui on a affaire. »
    -- Une citation de David Girardville

    #Santé #multinationales #agrobusiness #environnement #lobbying #quelle_agriculture_pour_demain_ #lobby

  • C’est Politique ! Le blog - L’ Actualité Politique, saupoudrée d’humour…parce qu’il faut garder le moral !
    https://cpolitic.wordpress.com

    Tout finit par se savoir, Macron ! Scandale Mc Kinsey, Profs méprisés, Euthanasie des vieux en plein Covid, Ventes d’armes à Poutine…
    https://cpolitic.wordpress.com/2022/03/20/tout-finit-par-se-savoir-macron-scandale-mc-kinsey-profs-meprise

    Tout finit par se savoir. Rien de plus vrai comme dicton. Parce qu’il y aura toujours un témoin qui pourra donner l’info. Toujours une archive qui traîne.
    On commence avec du lourd, du très lourd…

    Le Scandale McKinsey. On savait que la Macronie avait sous-traité diverses tâches à des cabinets privés d’origine américaine. Mais nous savons dorénavant pour combien d’euros. Et c’est là, que le bas blesse : 1 milliard d’euros en 2021, 2,4 milliards en 4 ans ! Gloups !
Ça en fait des masques, des blouses, des surblouses, des respirateurs…

    On connaissait également les liens incestueux entre Victor Fabius patron de la filiale française de Mc Kinsey et Company et le Conseil Constitutionnel https://cpolitic.wordpress.com/2022/01/21/passe-vaccinal-conseil-constitutionnel-se-couche-encore via son père Laurent Fabius. Malheureusement la pieuvre a étalé ses tentacules au Conseil d’Etat et de nombreux ministères. Une vraie mafia !

    Sur le fond, cette mafia produit des powerpoint creux, à la chaine pour ses divers clients internationaux et qui en plus à des problèmes d’éthiques graves : exil fiscal et déboire judiciaires aux USA !

    Que du bonheur… avec notre argent public ! Comme quoi il y a bien de l’argent magique.
    Plus de détails par ici :

    Comme promis l’intégrale de la saison 1 "McKinsey, ton univers impitoyable"

Je vous présente un nouvel ami Aamir Malik, vice président de Pfizer et ancien collègue de Victor chez McKinsey.

Mais que va décider le conseil constitutionnel…
1/n https://twitter.com/p_duval/status/1490598163102810112
    -- Duval Philippe (@p_duval) February 7, 2022

    Cabinets de conseil : « Le cabinet McKinsey a fait des copier/coller de documents qu’ils remettaient à d’autres pays que la France, comme en Australie (…) Ils changeaient simplement les chiffres »

 @ElianeAssassi, sénatrice @senateursCRCE #SeineSaintDenis#SensPublic https://twitter.com/enmodemacaron/status/1504417039590510599
    -- Public Sénat (@publicsenat) March 17, 2022

    "#McKinsey doit régler un forfait fiscal symbolique de 175 dollars" mais aux États Unis

"L’autorité de tutelle de la #DITP a pourtant assuré que McKinsey est en règle avec l’administration fiscale française", c’est #Macron qui a créé cette DITP…#MacronNousPrendPourDesCons https://t.co/30VPBBxRNo
    -- Lorentz mathias (@LorentzMathias) March 17, 2022

    Je pense que ça résume bien la situation #macron #mckinsey pic.twitter.com/tA7gJvtZ30
    -- Bonnie Parker (@MelleBonnieP) March 19, 2022

    je vais faire la #MarchePourLa6eRepublique pour en finir avec la Présidence Mensonge Permanent Corruption par #McKinseyGate #Pfizergate #bayer #blackrock #plusjamaismacron#MelenchonPresident2022 Retour de la Souveraineté du Peuple #6emeRepublique #ric #referendumrevocatoire https://t.co/HWXiyfOPlp
    -- Taous93FI  (@Taousertova93) March 20, 2022

    • cnews et sondage ifop, donc à lire avec ne pince à linge sur le nez
      Guerre en Ukraine : 52% des Français convaincus par certains arguments russes
      https://www.cnews.fr/videos/france/2022-03-27/guerre-en-ukraine-52-des-francais-convaincus-par-certains-arguments-russes

      Une enquête de l’IFOP menée dans le cadre de la semaine de la presse et des médias s’est penchée sur l’adhésion des Français aux arguments mis en avant par la Russie pour justifier l’invasion de l’Ukraine.

      Il ressort que 52% des sondés croient à au moins l’une des thèses russes sur l’origine de la guerre en Ukraine. 28% pensent par exemple que l’intervention russe est soutenue par des Ukrainiens russophones souhaitant se libérer des persécutions qu’ils subissent. Et 10% disent croire que « l’Ukraine est gouvernée actuellement par une junte infiltrée par des mouvements néonazis ».

      Les plus perméables aux discours de Vladimir Poutine sont les sympathisants de Jean-Luc Mélenchon et d’Éric Zemmour, révèle le sondage de l’Ifop. 


      Du complotisme sanitaire à la propagande du Kremlin
      Selon cette étude, il existe un lien entre les Français adhérant aux thèses antivax et ceux qui soutiennent la politique de Vladimir Poutine. Ainsi, 71% des antivax croient au récit poutinien sur l’Ukraine. L’adhésion à la propagande russe est plus faible (43%) chez les Français ne croyant à aucune de ces théories contre les vaccins.

      Au total, 25% des sondés croient à au moins une thèse antivax et au moins une thèse de la propagande russe.

      La guerre de l’information menée par le Kremlin bénéficie « d’un contexte de brouillard informationnel "post-covid" » qui serait propice « à l’essor des théories complotistes », affirme également l’Ifop. Ainsi, 35% des Français sondés déclarent « croire aux théories du complot ».

      NDR dans les commentaires
      – Attention CNEWS ! Attention ! Le titre n’est pas bon : « 52% des sondés croient à au moins l’une des thèses russes ». Mettre la moitié d’un pays dehors sans au moins une raison qui se tienne… compliqué !
      – 52% des français ne croient pas à la thèse des médias mainstream, savoir le diable poutine contre le héros zelensky...ça me rassure que la moitié des français ne marchent pas dans cette propagande grossière.
      – Les journaux en France mentent, ils savent qu’on sais qu’ils mentent, mais ils continuent de mentir.

  • Dans L’atlas des pesticides de la fondation Heinrich Böll, téléchargeable gratuitement : https://www.boell.de/pestizidatlas?dimension1=ds_pestizidatlas22

    Groupes chimiques : les pesticides & les semences promettent des affaires juteuses
    Le marché mondial des pesticides est en pleine croissance - et ce ne sont qu’une poignée de groupes qui se le partagent. Ils investissent de plus en plus dans les pays du Sud, où les pesticides sont moins strictement réglementés.

    https://www.boell.de/de/2022/01/12/chemiekonzerne-pestizide-saatgut-versprechen-grosse-geschaefte?dimension1=ds_p

    glyphosat : probablement cancérigène
    thiamethoxam : nuit aux abeilles
    glufosinat : nuit à la procréation
    chlorantraniniprol : nuit aux organismes aquatiques
    cyproconazol : nuit à la procréation

    Vier Konzerne dominieren den globalen Pestizid-Markt

    Die meisten Agrochemiekonzerne wie Bayer oder Syngenta entstanden aus Chemie- oder Pharmafirmen, deren Gründungen teils bis ins 19. Jahrhundert zurückgehen. Zu ihrer heutigen Form haben sie sich entwickelt, als sie mit dem Aufkommen der Gentechnik in der Landwirtschaft ab Mitte der 1990er-Jahre ein neues Geschäftsmodell in der Kombination von Pestizid- mit Saatgutverkäufen entdeckten. In großer Zahl kauften sie kleinere Saatguthersteller auf und spalteten rund um die Jahrtausendwende die Agrarsparte vom restlichen Geschäft ab, um neue spezialisierte Konzerne zu bilden. In den letzten Jahren haben sich die Anteile dieser Konzerne am Weltmarkt nochmals stark vergrößert. 2017 übernahm das chinesische Staatsunternehmen ChemChina den Schweizer Agrarkonzern Syngenta, zusätzlich fusionierten die beiden US-Unternehmen Dow Chemicals und Dupont, um ihre Pestizid- und Saatgutgeschäfte 2019 in Corteva Agrisciences zusammenzulegen. 2018 übernahm der deutsche Chemiekonzern Bayer die US-amerikanische Firma Monsanto und verkaufte Teile seines Geschäfts an die deutsche Chemiefirma BASF, die damit ins Saatgutgeschäft einstieg. 2020 schließlich wurden Syngenta, der Pestizidhersteller Adama aus Israel und Sinochem aus China in der neuen Syngenta Group vereint. Die vier Konzerne – die Syngenta Group, Bayer, Corteva und BASF – teilten sich 2018 etwa 70 Prozent des Weltmarktes für Pestizidet. Zum Vergleich: 1994 betrug der Marktanteil der vier größten Anbieter 29 Prozent. Im Saatgut­­­sektor – der heute von genau denselben Konzernen angeführt wird – stieg der Anteil der größten Vier im selben Zeitraum von 21 auf 57 Prozent.

    #pesticide #commerce #pollution

  • #Agent_orange, la dernière bataille

    Utilisé pendant la guerre du Vietnam, l’agent orange a fait des ravages. Cet herbicide était utilisé par l’armée américaine pour détruire les forêts où se cachaient les résistants du Front National de libération et les cultures agricoles qui les nourrissaient. Pourtant, ce produit chimique contenant un produit cancérigène, la dioxine, reste encore autorisé aujourd’hui dans les forêts et les pâturages américains comme dans l’Oregon. En 2014, une ancienne reporter dans la jungle du sud Vietnam a assigné en justice vingt-six fabricants américains, dont Monsanto, depuis la France son pays de résidence, pour dénoncer les épandages. Carol Van Strum, une activiste américaine, mène quant à elle depuis plus de quarante ans, une guerre sans relâche pour dénoncer la responsabilité de l’industrie agrochimique face à cette catastrophe humaine et écologique. Pendant ce temps au Vietnam, une nouvelle génération d’enfants est née avec des malformations effroyables. Dans ce documentaire, Alan Adelson et Kate Taverna enquêtent sur cette arme de destruction massive.

    –-> #film_documentaire passé sur arte, ajourd’hui plus disponible.
    A voir ici (pour l’instant au moins) :
    https://cs-cz.facebook.com/MouvCommuniste1/videos/agent-orange-la-derni%C3%A8re-bataille-sur-arte-cest-un-proc%C3%A8s-politique-historique-u/356341652390208

    #film #documentaire #Vietnam #guerre_chimique #déforestation #coupe_à_blanc #Oregon #Michael_Newton #sylviculture #justice #Tran_To_Nga #herbicide #Dow_chemical #défoliant #histoire #guerre_du_Vietnam #opération_Ranch_Hand #dioxine #propagande #citizens_against_toxic_spray (#CATS) #cancer #malformations #Bayer #Monsanto #poison_papers

    • Ma terre empoisonnée

      Tran To Nga raconte ici son étonnant destin franco-vietnamien, une vie de combats et d’utopies. Issue d’une famille d’intellectuels, elle grandit au temps de l’Indochine française et vit au plus près la lutte pour l’indépendance.Après de brillantes études à Saigon puis à Hanoi, elle s’engage dans le mouvement de libération du Sud-Vietnam contre la présence américaine. Dans les années 1960, alors que la violence fait rage, elle s’active au coeur de la jungle, dans les camps de maquisards. Son destin bascule quand les avions de l’US Army larguent d’énormes quantités de désherbant sur ces forêts. Ce produit, surnommé « agent orange », a des effets dévastateurs : les arbres meurent, les sols sont pollués, des centaines de milliers de personnes contaminées. Nga, elle-même atteinte par
      ces nuages toxiques, découvrira, des années plus tard, les ravages qu’ils peuvent provoquer.
      Aujourd’hui, elle vient en aide aux victimes oubliées de l’agent orange et poursuit devant la justice française vingt-six sociétés américaines de pétrochimie l’ayant fabriqué.
      Dans ce livre, écrit avec Philippe Broussard, l’auteur retrace le parcours qui l’a conduite également à connaître la clandestinité, la torture et la prison. Son récit de la guerre du Vietnam et de ses conséquences offre une vision inédite du conflit, dénuée de haine, touchante d’humanité, d’amour maternel et de courage.

      https://www.editions-stock.fr/livres/essais-documents/ma-terre-empoisonnee-9782234079014
      #livre #résistance

  • L’Europe exporte des milliers de tonnes de pesticides « tueurs d’abeilles » pourtant interdits sur son sol
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/11/18/l-europe-exporte-des-milliers-de-tonnes-de-pesticides-tueurs-d-abeilles-pour

    L’UE a donné son feu vert aux demandes d’#exportation d’au moins 4 000 tonnes de #néonicotinoïdes #interdits, notamment au Brésil. La France est le deuxième pays exportateur.

    Exportations de pesticides interdits : un business florissant, particulièrement pour Syngenta
    https://www.lenouvelliste.ch/articles/monde/exportations-de-pesticides-interdits-un-business-florissant-interdire-

    Les firmes agrochimiques de l’Union européenne (UE) exportent loin à la ronde des #pesticides dont l’#UE a pourtant voté l’interdiction d’utilisation dans ses cultures en avril 2018. Le suisse Syngenta, mais aussi les allemands #Bayer ou #BASF, sont concernés. Il y a aussi l’australien NuFarm et l’indien UPL. C’est ce que mettent en lumière pour la première fois les ONG Public Eye et Unearthed dans une enquête dont notre journal a la primeur en...

    • Environ 300 « notifications d’exportations » ont été approuvées entre le 1er septembre et le 31 décembre 2020 à destination de 65 pays différents, dont une très large majorité à faible ou moyen revenus comme le Brésil, l’Indonésie ou l’Ukraine. Neuf pays européens sont concernés par ce « commerce toxique », comme le désignent les ONG. Avec 310 tonnes de substances actives, la Belgique est de loin le plus gros exportateur, devant la France (157 tonnes), l’Allemagne (97 tonnes) et l’Espagne (78 tonnes).

  • Néonicotinoïdes : la LPO attaque Bayer et Nufarm pour le déclin des oiseaux des champs
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/05/21/neonicotinoides-la-lpo-attaque-bayer-et-nufarm-pour-le-declin-des-oiseaux-de

    Les populations d’oiseaux vivant dans les milieux agricoles ont décliné de plus de 30 % en deux décennies, en raison notamment de l’usage de pesticides.

    Les oiseaux vivant dans les milieux agricoles sont les plus affectés par le déclin qui frappe l’avifaune depuis les années 1990. En 2018, des chercheurs alertaient sur la disparition « à une vitesse vertigineuse » des oiseaux des campagnes françaises : en moyenne, leurs populations se sont réduites d’un tiers en quinze ans. C’est aussi au début des années 1990 qu’ont été introduits les néonicotinoïdes, une nouvelle génération de pesticides persistants, systémiques et neurotoxiques. Depuis, leur dangerosité pour les insectes pollinisateurs, et notamment pour les abeilles, a été démontrée et l’Union européenne a interdit en 2018 les usages de trois d’entre eux, dont l’imidaclopride.

    #néonicotinoïde #LPO #pesticides

  • U-Bahn in Berlin: Das sind die Einschränkungen bei der BVG - Berliner Morgenpost
    https://www.morgenpost.de/berlin/article231263810/BVG-U-Bahn-Berlin-Sperrungen-Einschraenkungen-Bauarbeiten-Sanierungen.htm

    06.01.2021 - Fahrgäste der Berliner Verkehrsbetriebe (BVG) müssen sich im Januar auf eine Reihe von Einschränkungen im U-Bahnnetz einstellen. Neben den in Steglitz nach dem Brand am Wochenende notwendig gewordenen Arbeiten kommt es auch auf einer Reihe anderer Strecken zu Baustellen. Grund ist dabei neben Sanierungsarbeiten vor allem der barrierefreie Ausbau der Stationen, wie das Landesunternehmen mitteilte.

    Unter anderem auf der jahrelangen Großbaustelle am U-Bahnhof Bismarckstraße werden im Zuge der Grundinstandsetzung seit Montag wieder Sperrungen nötig. Um die Bahnsteige zu sanieren, durchfahren die Züge der Linie U2 in Richtung Ruhleben den Kreuzungsbahnhof bis Sonntag, 10. Januar, ohne Halt.

    Ebenfalls seit Montag und bis zum 25. April besteht am U-Bahnhof Bayerischer Platz kein Halt der U7 in Richtung Rudow. In den kommenden rund dreieinhalb Monaten baut die BVG dort einen Aufzug ein und überarbeitet zugleich den dortigen Bahnsteig.

    Ab der kommenden Woche geht es mit den Einschränkungen am U-Bahnhof Sophie-Charlotte-Platz weiter: Von Montag, 11. Januar, bis Donnerstag, 25. Februar, können die Züge der U2 Richtung Pankow nicht an der Station halten. Grund sind die Arbeiten für den zweiten Aufzug und die entsprechende Sanierung des Bahnsteiges, teilte die BVG mit.

    Weiter gehen auch die Arbeiten am U-Bahnhof Platz der Luftbrücke . Die Station wird derzeit komplett neu instand gesetzt. Zugleich richtet die BVG in den kommenden beiden Jahren einen Aufzug sowie einen komplett neuen Ausgang ein. Ab kommendem Montag kommt es dabei zu einem fließenden Übergang der Baustellen: Nach monatelangen Arbeiten stoppen dann die Züge der Linie U6 in Fahrtrichtung Alt-Mariendorf wieder an der Station. Dafür wird fortan die andere Bahnsteigseite bis zum 24. Oktober gesperrt. Die Züge in Richtung Alt-Tegel durchfahren den Bahnhof in dieser Zeit.

    BVG will ihr U-Bahn-Netz barrierefrei ausbauen

    Die Berliner Verkehrsbetriebe sind seit Jahren dabei, das U-Bahnnetz barrierefrei auszubauen. Zuletzt kamen im Dezember zwei neue Aufzüge an den Bahnhöfe Kurfürstenstraße und Sophie-Charlotte-Platz in Fahrtrichtung Ruhleben hinzu. Damit sind derzeit 138 der insgesamt 174 Berliner U-Bahnhöfe stufenlos erreichbar. Laut Gesetz müssen bis Anfang 2022 alle Stationen der U-Bahn auch für Rollstuhlfahrer und andere mobilitätseingeschränkte Personen zugänglich sein. Dieses Ziel wird die BVG allerdings an mehreren Stationen verfehlen.

    #Berlin #ÖPNV #U-Bahn #Bismarckstraße #Bayerischer_Platz #Alt-Mariendorf #Rudow #Alt-Tegel #Sophie-Charlotte-Platz #barrierefrei

  • #Bayer - #Monsanto Celebrates the Law to Promote Native Seed

    On March 24, in the midst of the crisis by Covid-19, the so-called federal law for the promotion and protection of native corn was approved with the unanimous vote of the Senate. With such a title many will have assumed that it would be a rule to stop the assault of transnational GM companies on seeds, indigenous peoples and peasant communities. Unfortunately, this is not the case. Beyond the intention of its promoters, this provision favors key interests of the companies that have wanted to advance in the country with their GM and other high-tech seeds for two decades.

    For this reason, the #Mexican_Seed_Association_AC (#AMSAC), whose board is made up of #Syngenta, #Bayer (now owner of #Monsanto), #Corteva (merger of #Dow and #DuPont-PHI Mexico) and other major global seed companies issued a bulletin the same day congratulating legislators on the approval of the law. They declare that this law “is an important step, (…) because it will give certainty to corn producers throughout the country”. They emphasize that “they will continue working to promote the object of this law (…) taking advantage of technological developments, such as improved seeds”. (https://tinyurl.com/vo9pawr)

    AMSAC is a board member of the National Agricultural Council (CNA), which in turn is a founding member of the #Business_Coordinating_Council. They represent, for the most part, the business sectors that have devastated peasant life, sustainable production and healthy food. The six global transnational companies that own more than 70 percent of the global seed and agrochemical markets (and 100 percent of the transgenic seeds) have been on the AMSAC board of directors for years. It is the main lobbyist for the seed industry, acting in conjunction with the ANC. They are the ones who fought for and obtained privileges for the transnationals in all the existing laws regarding seeds and patents. (https://tinyurl.com/ruoc3ka ; https://tinyurl.com/t6lxfov)

    Before the final vote in the Senate, from which the initiative came, the law to promote native corn was voted, with changes, in the Chamber of Deputies on March 18, with 270 votes in favor. No one opposed it anymore. Could it be that the PRI, PAN, PRD, Morena and all the parties suddenly realized the importance of protecting the corn peoples, their seeds and cultures against the transgenic invasion? Of course not. Because the law does not provide for such a thing. Nor does it prevent the patenting of peasant seeds. But it does separate corn from its peoples, reducing the complex process of thousands of years of many peoples creating milpas, assemblies, forests, and their own forms of government to the promotion of #community_seed_banks, an expression that the majority of the peoples reject, because it comes from the financial system and is alien to their conception of seeds as an element in the integral politics, economy, and worldview of their peoples. Furthermore, it establishes that only native corn is recognized by #Conabio, not by the peoples and communities themselves. It imposes on them a new #National_Maize_Council, which although merely consultative, has 16 members, of which only six are from indigenous communities or agrarian ejidos.

    But the main reason why the transnationals applaud this law is because it will delimit geographical areas, where the authorities will recognize that there are native maize production systems, which means it opens up the rest of the country to plant any other seed, from hybrids to transgenics or the new biotech seeds that the companies call genetic editing.

    Monsanto, Syngenta, and other companies have insisted on this point for decades: that areas must be defined, that in reality they are not interested in planting where there are farmers, only in the rest of the country. Against this fallacious and extremely risky position, which would eventually cause GM contamination to reach the entire country, we have insisted that all of Mexico – and Mesoamerica – is the center of origin of maize and therefore the planting of any genetically manipulated seed should be prohibited.

    This position of the so-called law of promotion and other serious errors of it – now approved – were clearly expressed by the Network in Defense of Maize since the publication of the commissions’ opinion, in October 2019 (https://tinyurl.com/vjk8qyl).

    Meanwhile, the #Monsanto_Law, as the current biosafety law passed in 2005 is called, remains untouched by all the now-legislators and officials who promised in the campaign that they would repeal it. Furthermore, Semarnat participated in an online forum on biosafety at the Biodiversity Convention in 2020 and its representative joined the seed industry’s position that there is no need to establish new biosafety frameworks, not even for the highly dangerous genetic promoters, transgenic exterminators.

    Why are none of the officials and legislators doing their job to really guarantee biosafety and that what AMLO announced, that no GM maize will be allowed in the country, is a reality?

    https://schoolsforchiapas.org/bayer-monsanto-celebrates-the-law-to-promote-native-seed

    #appropriation_intellectuelle #maïs #graines #semences #Mexiques #loi #peuples_autochtones #Chiapas #OGM #agriculture #multinationales #industrie_agro-alimentaire #loi #brevets #agriculture_paysanne

  • Kriegsende 1945: Erinnerung an die Penzberger Mordnacht - Bezirke - Berlin - Tagesspiegel
    https://www.tagesspiegel.de/berlin/bezirke/bayerisches-viertel/kriegsende-1945-erinnerung-an-die-penzberger-mordnacht/11699040.html

    Kein Ortsteil Berlins scheint von so großem historischen Interesse zu sein wie Schöneberg, das heißt vor allem sein #Bayerisches_Viertel, zumindest was die historischen Hinweise im Straßenbild und die Aufmerksamkeit aktueller Stadthistoriker angeht. Wie das kommt und was es bewirkt wäre ein schönes Thema für einen weiteren Artikel zur Stadtgeschichte.

    Die Penzberger Straße ist anders als die anderen Straßen im Bayerischen Viertel. Sie ist vergleichsweise neu und erhielt ihren bayerischen Namen erst nach dem Krieg. Ein Großteil des Viertels lag in Trümmern, besonders das Gebiet östlich des Bayerischen Platzes. Man habe dort von der Grunewaldstraße bis rüber zum KaDeWe gucken können, hört man heute noch oft im Gespräch mit älteren Kiezbewohnern.

    Wegen der flächendeckenden Zerstörung entschieden sich die Planer, das Areal grundlegend neu zu gestalten. Die diagonal vom Bayerischen Platz zur Hohenstaufenstraße verlaufende Speyerer Straße wurde in ihrem südlichen Teil aufgegeben und bebaut. Dringend benötigter Wohnraum entstand. Zwischen Münchener und Berchtesgadener Straße wurde eine kurze, neue Verbindung angelegt und nach Penzberg, dem Bergbauort in Oberbayern, benannt.

    Auf dem kurzen Stück steht heute kein Altbau mehr, die Straße ist durch Nachkriegsbauten geprägt, während des Wiederaufbaus hochgezogene Häuser, die in Schöneberg heute teils aufwändig saniert werden, zum Beispiel an der Ecke Penzberger/Münchener Straße. Die Namensgebung wurde laut dem in Zweifelsfällen maßgeblichen „Kauperts“-Straßenverzeichnis 1958 schlicht damit begründet, dass sie den bayerischen Straßennamen in der Umgebung entspricht.

    Doch Penzberg passt auch von seiner Geschichte her zum Bayerischen Viertel als Ort des Gedenkens an die Verbrechen der Nationalsozialisten. Am 28. April 1945 wollten Penzberger Bürger die Stadt kampflos den anrückenden Amerikanern übergeben. Der frühere SPD-Bürgermeister Hans Rummer verhinderte die Sprengung des Bergwerks und informierte Kriegsgefangene und Zwangsarbeiter bereits über das Ende des Krieges. Doch Nazi-Freischärler der so genannten Werwolf-Bewegung rückten in die Stadt ein und töteten Hans Rummer sowie weitere 15 Bürger. Am 30. April, zwei Tage nach der „Penzberger Mordnacht“, nahmen die Amerikaner den Bergbauort ein.

    Endphasenverbrechen des Zweiten Weltkriegs

    Mit solchen „Endphasenverbrechen“, Nazi-Terror gegen „Landesverräter“, „Fahnenflüchtige“ und „Wehrkraftzersetzer“ in den letzten Monaten und Wochen des Krieges, befassen sich derzeit die Historiker des Frankfurter Fritz-Bauer-Instituts. Laut einem Fazit in einem „Bulletin“ des Instituts „gruben sich die Taten wegen der sinnlosen Gewalt tief ins kollektive Gedächtnis ein“. Anders als andere Nazi-Verbrechen wurden diese schon bald nach Kriegsende in Deutschland öffentlich thematisiert. „Die Ahndung der Verbrechen der Endphase erfuhr bereits zeitgenössisch durch die Presse große Aufmerksamkeit“, schreibt die Historikerin Edith Raim. „Ebenso sah sich die Justiz von Seiten der Bevölkerung mit vehementen Forderungen nach Bestrafung der Schuldigen konfrontiert.“

    Solche Straftaten seien oft deutlich strenger geahndet worden als Verbrechen an anderen Opfern. Von den Haupttätern von Penzberg wurden 1948 zwei zum Tode und zwei zu lebenslänglichen Freiheitsstrafen verurteilt. Die Todesstrafen wurden mit dem Übergang zur Bundesrepublik Deutschland dann in lebenslängliche Strafen umgewandelt.

    Die besondere Aufmerksamkeit für solche Taten habe laut Edith Raim noch einen anderen Zweck erfüllt: „Sie bot für die frühe Nachkriegszeit ein willkommenes Narrativ zur NS-Vergangenheit und ein Identifikationsmuster mit deutschen Opfern, die sich heldenhaft gegen die übermächtigen Nazis wehrten und dafür mit dem Leben bezahlten.“ Dies habe vielen Deutschen als Argumentationshilfe dafür gedient, warum man sich selbst systemkonform verhalten hatte, „war denn nicht zu Kriegsende überdeutlich geworden, wie die Nationalsozialisten rücksichtslos jeden Widerstand brachen, der sich ihnen in den Weg stellte?“.

    Auch das gehört zu dieser Geschichte. Es ist wichtig, sich dies zu vergegenwärtigen, es schmälert das mutige Vorgehen der Penzberger Bürger nicht. Immer am 28. April gibt es zum Jahrestag im Bayerischen Viertel Gelegenheit, sich an die Opfer der Mordnacht zu erinnern. Unter anderen legt Bezirksbürgermeisterin Angelika Schöttler am Gedenkstein an der Ecke Münchener/Penzberger Straße dann einen Kranz nieder.

    1964 wurde Penzberg übrigens Partnerstadt Schönebergs. Die Oberbayern begründeten diese Verbindung nach Berlin mit ihrem Wunsch, „ein Zeichen gegen den Mauerbau zu setzen“. Auf der ortseigenen Website bezeichnet sich Penzberg sympathischerweise als Stadt, die „durch Zuzug entstanden“ ist. Auch das passt zu Berlin.

    https://img.kaloo.ga/thumb?url=http%3A%2F%2Fwww.tagesspiegel.de%2Fimages%2Fgedenkkarte%2F116997

    https://img.kaloo.ga/thumb?url=http%3A%2F%2Fwww.tagesspiegel.de%2Fimages%2Fimg_5663%2F11704124%

    #Berlin #Schöneberg #Penzberger_Straße #Geschichte #Stadtentwicklung #neue_Straßen

  • Ubers Landpartie geht weiter
    https://www.taxi-times.com/ubers-landpartie-geht-weiter

    13. Februar 2020 von Simon Günnewig - Nach einer dreimonatigen Pilotphase von Ubers ‚Kirchheim-Projekt‘ im Münchner Speckgürtel soll der subventionierte Uber Betrieb um ein weiteres halbes Jahr verlängert werden. Geht es nach dem Willen der Politik, soll künftig sogar die telefonische Bestellung ermöglicht werden.

    Die Freude ist groß bei ‚fast‘ allen Beteiligten. Allen voran freut sich Kirchheims junger Bürgermeister Maximilian Böltl. Er blickt mit Stolz auf die Kooperation mit Uber und den damit verbundenen Fahrdienstleistungen zu Dumpingpreisen. Uber bietet in Kirchheim und ein paar benachbarten Ortschaften Fahrten zum Festpreis von fünf Euro an. Für Fahrten von und nach München zwischen Mitternacht und fünf Uhr morgens sind lediglich 15 Euro fällig. Mit einem Taxi würde die Fahrt ein Vielfaches kosten. Auch wegen dieser subventionierten Preise hat das Uber Land-Konzept bereits in der Vergangenheit für Aufmerksamkeit im Taxigewerbe gesorgt.

    In den vergangenen drei Monaten sollen, wie Uber in einer Pressemitteilung verkündete, über dreitausend Fahrten im Rahmen des ‚Kirchheim Projekts‘ durchgeführt worden sein. Rund zwei Drittel davon sollen Fahrten von und nach München gewesen sein.

    In der Presse wird die Pressemitteilung von Uber zur Verlängerung des Projekts mit einem unterschiedlichen Kenntnisstand hinterfragt. Während die Abendzeitung zu berichten weiß, dass das Münchner Landgericht die Uber Apps für rechtswidrig erklärte, berichtet die Süddeutsche davon, wie sich Uber Deutschland Chef Weigler und Kirchheims Bürgermeister Böltl für eine Kooperation mit dem Taxigewerbe starkmachen. Davon ist allerdings noch nicht viel bei den örtlichen Taxiunternehmen angekommen.

    Das Angebot für einen runden Tisch mit dem Taxigewerbe, welches Böltl gegenüber den Medien ausgesprochen hat, erscheint zunehmend schwierig, da einerseits freudig von Uber-Pressesprecher Tobias Fröhlich festgestellt wird: „Wir bedienen eine andere Zielgruppe als Taxifahrer“, andererseits aber alles dafür getan wird, auch die angebliche Taxizielgruppe des Taxigewerbes anzusprechen. So macht sich der Kirchheimer Bürgermeister dafür stark, eine Uber Bestellung per Telefon einzurichten, sowie im Rathaus eine Bestellung per iPad zu ermöglichen.

    Kirchheim ist eine der Kommunen im Münchner Landkreis mit dem größten Altersdurchschnitt, den die Abendzeitung mit 45 Jahren angibt. Die älteren Menschen, welche die Süddeutsche Zeitung als Kunden des Taxigewerbes ansieht, werden mit den oben genannten Maßnahmen direkt angesprochen. Das ist sicherlich ein Thema, dass im Rahmen des ‚runden Tisches‘ – sollte der denn stattfinden – angesprochen werden müsste. Für Uber scheint sich das Projekt, trotz der hohen Subventionen offenbar auszuzahlen, denn laut Weigler, will man das Projekt erweitern und sei diesbezüglich bereits mit weiteren Gemeinden im Gespräch.

    #Uber #Bayern

  • La testostérone, un traitement pour l’endométriose et un antidouleur ?
    https://blogs.mediapart.fr/juliet-drouar/blog/201219/la-testosterone-un-traitement-pour-lendometriose-et-un-antidouleur

    Le patriarcat se fonde sur l’idée et la (re)production de la différence des corps et des sexes en deux catégories. Sur une nature à être femme ou homme. Or tous les êtres humains produisent de la testostérone et des œstrogènes à des taux différents et la #testostérone est une piste de traitement sérieuse pour lutter contre la douleur et l’ #endométriose . Et ça, le #patriarcat n’en veut pas...

  • ver.di Bayern – Branchen-/Tarifpolitik - Straßenpersonenverkehr
    https://bayern.verdi.de/branchen-berufe/verkehr/busse-bahnen/++co++ed8a1a28-3218-11e5-bb4f-52540059119e

    Straßenpersonenverkehr/Bedarfs- und Sonderverkehre

    Hierrunter verbergen sich die Taxi- und Mietwagenverkehre, wie auch die Behindertenfahrten. So unerschiedlich diese beiden Bereiche des Straßenpersonenverkehrs auch sein mögen. Es sind die Bereiche die seit dem 1.1.2015 die Profiteure des Mindestlohns sind. Der Tarifvertrag Nr. 10 in Bayern wurde gekündigt, er befindet sich zwar in Nachwirkung, die wenigen ver.di Mitglieder im Bereich der Taxen- und Mietwagenverkehre können jedoch nun auch die Mindestentlohnung einklagen.

    Die Taxi Branche ist weiterhin eine Grauzone, die wir im Blick haben müssen und den angestellten Fahrern auch zukünftig als Plattform dienen um ihre berechtigten juristischen Interessen zur vertreten.

    Mit dem neugegründeten Bavaria Taxi Verein, der die Taxler am Münchner Flughafen vertritt arbeiten wir sein einiger Zeit zusammen.

    ver.di Bayern – Fachgruppe Busse und Bahnen
    https://bayern.verdi.de/branchen-berufe/verkehr/busse-bahnen

    #Taxi #Bayern #Gewerkschaft

  • Oktoberfest beim Verein der Bayern in Berlin – Samerberger Nachrichten
    https://www.samerbergernachrichten.de/oktoberfest-beim-verein-der-bayern-in-berlin-2


    Ein Dietschäi mit Pop Inn T-Shirt, die perfekte Kombination aus Bayerischer und Steglitzer Tradition.

    von Anton Hötzelsperger
    O’zapft is, heißt es auch wieder beim Verein der Bayern in Berlin. Es ist das 143-igste Oktoberfest des Vereins in der Bundeshauptstadt. Zugleich stand auch ein allgemeines Jubiläum an, und zwar 70 Jahre Oktoberfeste in Deutschland nach dem 2. Weltkrieg.

    Als authentisch bayerisches Trachtenfest hat das Oktoberfest des Vereins der Bayern im Süden Berlins in den letzten Jahren eine enorme Popularität erlangt. Das ausverkaufte Festzelt, welches nahezu die gesamte Freifläche des Bayerplatzes überspannt, ist ein Beleg dafür. Zum Auftakt gab es alpine Klänge vom Bayerisch-Schweizer-Alphorn-Quartett des Vereins. Anschließend sorgten die O’ Treiber aus Berlin, die „Ochablech“-Musikanten aus dem Chiemgau, die Falkenseer Musikanten und der Alpen-DJ „Gabi“ für Hochstimmung. Dazu gab es Plattler-Einlagen von der Trachtentanzgruppe. Ein Highlight war auch die Berliner Showtanzgruppe „Berlicious“, die mit ihren akrobatischen Revue-Tänzen das Publikum begeisterte.

    Als besonderer Ehrengast hat sich die Bürgermeisterin von Steglitz-Zehlendorf, Frau Cerstin Richter-Kotowski im Festzelt eingefunden. Sie dankte dem „Verein der Bayern in Berlin“ für seine langjährige kulturelle Tätigkeit im Bezirk und wünschte dem Verein mit seinen Gästen einen stimmungsvollen Verlauf des Oktoberfestes. Wie in den Jahren zuvor übernahm die Bürgermeisterin auch wieder den traditionelle Fassbieranstich. Nach drei kräftigen Schlägen hieß es dann „O‘ Zapft is“.

    Omi Kotowski findet’s toll, Endlich unter Gleichgesinnten. Kein Wunder, erinnert die Steglitz-Zehlendorfer CDU doch mehr an eine Schläfer-Zelle von Passauer CSU-Selbsmordattentätern als an die Bezirksabteilung einer konservativen Hauptstadtpartei.

    Verein der Bayern in Berlin e.V.
    http://www.verein-der-bayern-in-berlin.de/web/start_kontakt.php


    Grüß Gott, wat mutt dat mutt, wat dem Bayern sin Herrjott is dem Ostfriesen sin Klabautermann . Wie lautet die Berliner Antwort auf die Zumutung? Nee, lieba nich, will noch’n bisken leben. Im Anjesicht Jottes, soweit kommt’s noch !

    Vereinshaus:

    Verein der Bayern in Berlin e. V.
    Hindenburgdamm 7
    12203 Berlin
    Tel. 030/833 46 74

    Mit den öffentlichen Verkehrsmitteln kommen Sie wie folgt zu uns.
    Die nächste Bushaltestelle von uns aus gesehen ist:
    Bushaltestelle Goerzallee/Drakestrasse es halten die Buslinien X11, M11, M85 und 285.
    Von der U9 Rathaus Steglitz mit den Bussen M85 und 285.
    Von der S25 Lichterfelde Ost mit den Bussen X11 und M11.
    Von der S1 Lichterfelde West mit den Bussen X11 und M11.

    Zum Oktoberfest des Vereins der Bayern in Berlin | Berliner Alphornorchester
    https://www.berliner-alphornorchester.de/2013/08/oktoberfest-vereins-der-bayern-in-berlin

    Am traditionellen Oktoberfest des Vereins der Bayern in Berlin e. V. spielt das Berliner Alphornorchester am Samstag, 28. September ab 17 Uhr.
    Hindenburgdamm 7, 12203 Berlin – Gäste sind willkommen

    © Foto Bangerter: Der Bürgermeister von Steglitz-Zehlendorf Norbert Kopp stach das Fass an.
    Mit Alphornbläser Helmut Amberger

    Veröffentlicht am 13. August 2013 by animei in Pressenews.

    #Berlin #Steglitz-Zehlendorf #Steglitz #Pop_Inn #Lichterfelde #Hindenburgdamm #Bayern #Oktoberfest

  • Deux ans plus tard, LREM se refuse toujours à trancher sur sa ligne #POLITIQUE
    https://www.mediapart.fr/journal/france/080919/deux-ans-plus-tard-lrem-se-refuse-toujours-trancher-sur-sa-ligne-politique

    Pendant deux jours, la Macronie s’est réunie à Bordeaux, où elle a multiplié les ateliers et les appels à la « bienveillance ». Mais à six mois des municipales, les désaccords entre LREM et ses partenaires restent nombreux. Et ce, d’autant plus que le parti présidentiel exclut toute réflexion sur le fond politique.

    #élections_municipales_2020,_La_République_En_Marche,_LREM,_Emmanuel_Macron,_A_la_Une

  • Près de 1 500 personnes ont été fichées par Monsanto en Europe
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2019/09/07/pres-de-1-500-personnes-ont-ete-fichees-par-monsanto-en-europe_5507493_3244.


    AUREL

    Un rapport commandé par Bayer dévoile l’ampleur de la campagne menée pour obtenir le renouvellement de l’autorisation du glyphosate dans l’Union

    Défendre le glyphosate n’est pas une petite entreprise. Seize millions de dollars (14,4 millions d’euros) de contrat, un emboîtement d’une demi-douzaine de firmes de relations publiques, plus de soixante consultants à plein temps, près de 1 500 personnes fichées dans sept pays et 7 millions de dollars destinés au recrutement de « tierces parties » – des personnalités non affiliées à Monsanto qui portent la parole de la firme dans le débat public ou l’arène scientifique. Les éléments-clés du rapport publié, jeudi 5 septembre, par le cabinet d’avocats Sidley Austin sur l’affaire du « fichier Monsanto » donnent la mesure de l’ampleur des opérations d’influence conduites en Europe par l’agrochimiste américain, désormais propriété de Bayer.

    L’entreprise allemande avait recruté Sidley Austin en mai, après la révélation, par Le Monde et France 2, de l’existence d’un fichier de 200 personnalités françaises élaboré par la société de lobbying FleishmanHillard pour le compte de Monsanto. Constitué dès l’automne 2016, ce fichier de responsables politiques, journalistes, scientifiques, militants ou syndicalistes, était utilisé dans le cadre de la « campagne de renouvellement du glyphosate ». Réautorisation européenne qui sera obtenue en 2017.

  • Aux #États-Unis, les #insectes décimés par des #pesticides toujours plus #toxiques
    https://www.nationalgeographic.fr/environnement/2019/08/aux-etats-unis-les-insectes-decimes-par-des-pesticides-toujours-p
    https://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0220029

    Selon une nouvelle étude parue mardi 6 août dans la revue PLOS One, le paysage agricole américain est aujourd’hui 48 fois plus toxique qu’il ne l’était il y a 25 ans pour les #abeilles et probablement d’autres insectes. Cette toxicité accrue est presque entièrement due à l’utilisation massive des fameux pesticides #néonicotinoïdes.

    [...]

    « La bonne nouvelle, c’est que nous n’avons pas besoin des néonicotinoïdes, » ajoute-t-elle. « Les recherches menées ces 40 dernières années montrent qu’il est possible de cultiver nos aliments sans décimer les pollinisateurs grâce aux méthodes agroécologiques. »

    America’s #agriculture is 48 times more toxic than 25 years ago. Blame neonics | Kendra Klein and Anna Lappe | Opinion | The Guardian
    https://www.theguardian.com/commentisfree/2019/aug/07/americas-dependence-on-pesticides-especially-neonics-is-a-war-on-nature

    All this risk without reward has led some regulators to take action. The European Union voted to ban the worst neonics in 2018. But the US government has so far failed to act. Chemical company #lobbying can explain much of this inaction. #Bayer, maker of the most widely used neonics, spent an estimated $4.3m lobbying in the US on behalf of its agricultural division in 2017.

  • Affaire de l’agriculteur Paul François : Monsanto se pourvoit en cassation
    Ouest-France avec AFP Publié le 21/07/2019 à 15h42
    https://www.ouest-france.fr/economie/entreprises/monsanto/affaire-de-l-agriculteur-paul-francois-monsanto-se-pourvoit-en-cassatio

    L’agriculteur Paul François à Paris durant son procès contre Monsanto, le 11 avril 2019. | CHARLES PLATIAU / REUTERS

    La justice avait estimé que l’intoxication dont avait été victime l’agriculteur Paul François était due à un herbicide commercialisé par Monsanto. Dimanche 21 juillet, le géant pharmaceutique Bayer, qui a racheté Monsanto, annonce se pourvoir en cassation. (...)

    #Bayer #Monsanto

  • #jeux_d'influences (sur #arte, mais aussi en #réalité)

    Une #lobbyste pro-agrochimie nommée à l’#Anses )
    https://reporterre.net/Une-lobbyste-pro-agrochimie-nommee-a-l-Anses

    Sophie Le Quellec a été nommée, le 3 juin dernier, « directrice de la communication et des relations institutionnelles » de l’Anses et directrice de cabinet du Directeur général de l’Agence. Pour rappel, l’Agence nationale de sécurité sanitaire a pour rôle « d’évaluer les risques sanitaires pour éclairer l’action publique et ainsi de contribuer à assurer la sécurité des travailleurs et des consommateurs ».

    Le mouvement Nous voulons des coquelicots a vivement réagi à sa nomination. En effet, Sophie Le Quellec a travaillé pendant quatorze ans, de 2002 à 2016, pour une agence de communication et de lobbying appelée i&e, intégrée depuis 2012 dans la transnationale du lobbying Burson-Marsteller. Or, ce cabinet a défendu les intérêts de Coca Cola, Findus, Danone, #Total, #Bayer et #Monsanto. « Madame Le Quellec a elle-même participé à des campagnes pro-OGM après le fameux démontage du McDo de Millau, en 1999. Des campagnes payées notamment par Monsanto », a affirmé le mouvement dans un communiqué, reprenant une information du #Canard_Enchaîné paru au début du mois

  • Quand la firme Bayer achetait « des lots de femmes » à Auschwitz | Tribune Juive
    http://www.tribunejuive.info/histoire/quand-la-firme-bayer-achetait-des-lots-de-femmes-a-auschwitz

    Sous le régime nazi, Bayer, alors filiale du consortium chimique IG Farben, procéda à de nombreuses expériences médicales sur des déportés qu’elle se procurait dans les camps de concentration.

    Voici des extraits de cinq lettres adressées par la Maison Bayer au commandant du camp d’Auschwitz, publiées dans le numéro de février 1947 du Patriote Résistant.

    Les lettres, trouvées à la libération d’Auschwitz par l’Armée rouge, datent d’avril-mai 1943.

    Première lettre :
     » En vue d’expérimenter un soporifique, vous serait-il possible de mettre à notre disposition quelques femmes et à quelles conditions, toutes les formalités concernant le transfert de ces femmes seront faites par nous. »

    Deuxième lettre :
     » Nous accusons réception de votre lettre. Considérant le prix de 200 marks exagérés, nous offrons 170 marks par sujet, nous aurions besoin de 150 femmes. « 

    Troisième lettre :
     » D’accord pour le prix convenu. Veuillez donc faire préparer un lot de 150 femmes saines que nous enverrons chercher très prochainement. « 

    Quatrième lettre :
     » Nous sommes en possession du lot de 150 femmes. Votre choix est satisfaisant quoique les sujets soient très amaigris et affaiblis. Nous vous tiendrons au courant du résultat des expériences. « 

    Cinquième lettre :
     » Les expériences n’ont pas été concluantes. Les sujets sont morts. Nous vous écrirons prochainement pour vous demander de préparer un autre lot. « 

    IG Farben, le consortium de Bayer, a également fournit aux nazis le Zyklon B utilisé dans les chambres à gaz, et a massivement exploité la main-d’œuvre concentrationnaire dans ses usines.

    Condamnée pour crimes contre l’humanité à Nuremberg, puis à la dissolution, IG Farben possède toujours un statut juridique, malgré son démantèlement entre les sociétés Bayer, BASF et Hôchst.

    Et maintenant, à quand le Nuremberg du capitalisme ?

    httpv ://youtu.be/lvxRhg5gAEE

    Yannis Youlountas
    Sources :
    http://www.cbgnetwork.org/163.html
    et http://bellaciao.org/fr/spip.php?article152015

    À pleurer !!!!

    #Bayer

  • Une action pour dénoncer « le chaos environnemental et humain produit par Bayer-Monsanto »
    par Sophie Chapelle 22 mai 2019 - Basta !
    https://www.bastamag.net/Une-action-pour-denoncer-le-chaos-environnemental-et-humain-produit-par-Ba
    https://www.bastamag.net/IMG/arton7343.jpg?1558512653

    Des militants ont envahi ce 22 mai, à 8h, le hall d’entrée du siège de Bayer-Monsanto en Ile-de-France pour dénoncer les ravages causés par les produits de cette firme, comme le Roundup et son ingrédient actif, le glyphosate. Des paysans et des activistes déguisés en abeilles ont réalisé un « die-in » – forme de protestation dans laquelle les participants s’allongent sur le sol, simulant la mort. « Avec cette action, nous avons voulu mettre en scène le chaos environnemental et humain produit par Bayer-Monsanto », explique Annick Coupé de l’association Attac France. « Il s’agit de mettre en lumière les dégâts faits par leur choix de production toxique sur les paysans, les citoyens dans leur ensemble, la biodiversité et l’environnement. »

    #Bayer-Monsanto

  • Hérault : 44 pisseurs volontaires déposent leur plainte devant le TGI de #Montpellier
    https://www.midilibre.fr/2019/05/17/herault-44-pisseurs-volontaires-deposent-leur-plainte-devant-le-tgi-de-mon

    Mi-mars, à Murviel-lès-Montpellier, 64 Héraultais avaient fait tester leur urine pour y rechercher des traces de glyphosate. Les résultats avaient été dévoilés le 11 avril. Sur la soixantaine d’inscrits, un seul participant affichait un taux inférieur au seuil autorisé de 0,1 nanogramme par millilitre dans l’eau potable. Le taux le plus élevé des inscrits avait été relevé à 3,29 nanogrammes.

    Murviel, c’est juste à l’ouest tout près de Montpellier. (Je ne comprends pas cette histoire de nanogramme par millilitre dans l’eau potable alors qu’on parle de pisse, mais bon.)