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  • Mathilde Larrère : « Les féministes actuelles devraient se revendiquer de la Commune »
    https://www.liberation.fr/debats/2019/03/22/mathilde-larrere-les-feministes-actuelles-devraient-se-revendiquer-de-la-

    L’enseignante-chercheuse à l’université Paris-Est-Marne-la-Vallée déplore un manque d’intérêt, de la part des militantes d’aujourd’hui, pour les révolutions du XIXe siècle. Elle rappelle en quoi l’insurrection de 1871 a été un moment majeur de l’histoire des femmes. Source : Libération

    • Parce que semi #paywall :

      Mathilde Larrère : « Les féministes actuelles devraient se revendiquer de la Commune »
      Gabriel Pornet, Libération, le 22 mars 2019

      Pour l’historienne Mathilde Larrère (1), limiter le féminisme et la citoyenneté à la question du droit de vote est une erreur, conduisant à effacer des mémoires une partie essentielle de notre passé politique. Elle souligne l’importance des communardes et l’implication constante des femmes dans les révoltes populaires.

      Quelle est la différence entre le rôle joué par les femmes durant la Commune et durant les autres révolutions ?

      Ce qui progresse, avec la Commune, c’est qu’on les accepte plus comme combattantes. En 1830, il y avait quelques femmes sur les barricades, pas beaucoup, et certaines y allaient déguisées en hommes. C’était pareil en 1848 : elles préparaient les cartouches, jouaient un rôle à l’arrière. En 1871, elles réussissent à faire des bataillons de femmes et tiennent même quelques barricades. La plus célèbre est celle de la place Blanche, même si son existence est discutée.

      Certaines femmes portent un uniforme pendant la Commune ?

      Oui. Durant les procès, on leur reproche par exemple d’avoir été arrêtées avec un pantalon… Elles ne font pas partie de la garde nationale, mais le réclament, et certaines mettent un semblant d’uniforme, un pantalon, comme une revendication – sans compter que c’était effectivement plus pratique pour combattre.

      Selon Jacques Rougerie, sous la Commune, les préoccupations ne sont pas à proprement parler « féministes »… (2)

      Jacques Rougerie a fait l’erreur classique, à savoir réduire le féminisme à la question du droit de vote. Au XIXe siècle, le fait qu’on le leur refuse n’est pas le premier problème des femmes. La revendication n’est pas absente, mais elle n’est pas prioritaire. Elles se battent beaucoup plus pour le droit au travail, pour la suppression des dispositions inégalitaires du code civil et surtout pour la fin de l’incapacité civile des femmes mariées, mais aussi pour le droit à l’instruction, pour le droit d’avoir des armes… Si on prend ça en compte, alors on peut considérer qu’il y a des demandes féministes clairement formulées au cœur de la Commune. Simplement, elles ne réduisent pas le citoyen et le pouvoir politique au seul bulletin et demandent bien plus que l’accès aux urnes.

      Qu’obtiennent-elles concrètement ?

      Elles obtiennent une forme d’engagement, de la part de la Commune, à établir l’égalité salariale (difficile de savoir si ça a été mis en place ; cela semble avoir été le cas dans quelques ateliers associatifs). Elles acquièrent aussi, ce qui est très important dans leur esprit, la reconnaissance des concubines et des enfants illégitimes : les pensions pour les femmes de gardes nationaux tués doivent désormais être également versées aux femmes non mariées. C’est fondamental, surtout que dans le milieu ouvrier, on se marie très peu. Elles obtiennent aussi l’interdiction de la prostitution, un combat important contre la domination masculine : il y a de beaux textes de Louise Michel à ce sujet. Les femmes sont aussi très mobilisées dans le domaine de l’instruction. Elles créent notamment des écoles de filles et envisagent également une éducation beaucoup plus mixte.

      On connaît bien Louise Michel, mais qui sont les autres militantes sous la Commune ?

      Nathalie Le Mel, Elisabeth Dmitrieff, André Léo, Blanche Lefebvre, Victorine Brocher, Marguerite Tinayre, Aglaé Jarry… et toutes les militantes de l’Union pour la défense de Paris et les soins aux blessés, qui pour beaucoup n’ont laissé que leur nom au bas de deux affiches et dont on sait peu de choses. Sociologiquement, Dmitrieff, aristocrate russe immigrée, est une exception : s’il y a quelques institutrices, comme Louise Michel, la plupart sont des femmes du peuple, exercent des petits métiers, souvent dans le textile ou les « métiers de bouche » : blanchisseuses, couturières, chapelières, chocolatières, confiseuses…

      Les communardes ont-elles conscience d’être dominées, à l’intérieur même du mouvement, par les hommes ?

      Oui, en tout cas pour certaines, c’est clair. André Léo, par exemple, en a parfaitement conscience (3). Les hommes communards sont les produits d’une époque où l’on envisage difficilement, depuis un siècle, de donner la parole aux femmes.

      Le socialisme, sous la Commune, est moins tourné vers les femmes que ne l’étaient le saint-simonisme et le fouriérisme au début du siècle ?

      Pierre-Joseph Proudhon est passé par là… Même si c’est compliqué : on retient une phrase atroce de lui alors qu’avant, il a eu des propos beaucoup plus favorables à l’égalité. De toute façon, le mouvement ouvrier, en tout cas à partir de la seconde moitié du XIXe siècle, est objectivement machiste. Au lieu de demander l’égalité, ils considèrent que les femmes sont responsables de la baisse des salaires, que ce sont des travailleuses concurrentielles, des briseuses de grève.

      Comment les communardes sont-elles traitées par les versaillais lors de la répression ?

      Dans les combats, elles sont tuées comme les hommes. Mais durant les procès, on commence par leur poser des questions différentes. On leur demande toujours, par exemple, si elles ont combattu parce qu’elles étaient amoureuses d’un homme. Impossible d’imaginer qu’elles aient pu se battre parce qu’elles en avaient envie. « Quelle était votre relation » sous-entendue sexuelle, « avec tel ou tel communard ? » etc. S’agissant des punitions prononcées par les conseils de guerre, la peine de mort reste une exception pour les femmes, et les rares peines capitales prononcées à leur encontre ont été commuées en travaux forcés. D’autre part, ce qui n’apparaît pas dans les archives des procès et qui est pourtant très présent dans la manière dont la population les voit, c’est la légende des « pétroleuses » : elles auraient provoqué les incendies à Paris, alors qu’aucune n’est inculpée pour ça.

      D’où vient cette image des « pétroleuses » ?

      Ça vient de la presse, beaucoup. Je pense qu’il y a un tel refus de la femme en politique, et pire, de la femme révolutionnaire, qu’on la rend responsable de tout. C’est une façon de leur refuser à nouveau le statut de combattante. Dans l’esprit des versaillais, ce sont les lâches qui allument les incendies. Pourtant, même Maxime Du Camp, qui est un anticommunard de première, ne reprend pas le mythe des « pétroleuses ». En revanche, c’est très présent dans l’iconographie. Ça fait aussi penser au vieux symbole de la « sorcière », d’une certaine manière. Ça fait longtemps qu’il y a cette association entre les « mauvaises femmes » et le « feu ». Surtout, les communardes sont considérées par les versaillais comme des prostituées, des femmes aux mœurs légères.

      Les féministes actuelles se revendiquent-elles de la Commune ?

      Non, mais elles devraient. Dans les milieux féministes, et même parmi les chercheuses en histoire de femmes, on s’intéresse plus à ce qui se passe après, à partir d’Hubertine Auclert : un féminisme plus bourgeois, tourné vers le droit de vote. Parmi les militantes d’aujourd’hui, pour schématiser, on garde Olympe de Gouges, et on oublie tout ce qu’il y a au milieu, toutes les femmes populaires et socialistes de 1830, de 1848 et de la Commune. Bon, il y a Louise Michel, mais enfin, c’est la seule, et encore… Pourtant, chaque révolution ouvre des possibles pour les femmes et elles s’en sont toujours saisi, notamment en s’organisant de manière non mixte, en écrivant, en prenant la parole… Les grandes revendications sociales du XIXe siècle ont été portées par les femmes autant que par les hommes, et on ne le dit pas assez. Quand les révolutions meurent, elles sont les premières victimes : il y a toujours un double retour à l’ordre, politique et sexiste.

      (1) Auteure de l’Histoire comme émancipation (avec Laurence De Cock et Guillaume Mazeau, Agone, 2019) et Des intrus en politique – Femmes et minorités : dominations et résistances (avec Aude Lorriaux, Editions du Détour, 2017).

      (2) Jacques Rougerie, Paris insurgé, la Commune de 1871, 1995, dans la Commune et les Communards, Gallimard, 2018, p.73.

      (3) André Léo dans la Sociale du 8 mai (via Jacques Rougerie, op.cit.) : « Beaucoup de républicains n’ont détrôné l’Empereur et le bon Dieu que pour se mettre à leur place. La femme […] doit demeurer neutre et passive sous la direction de l’homme : elle n’aura fait que changer de confesseur. »

    • C’est fatiguant ces « les féministes devraient faire comme ci ou comme ca ». Les féministes ne sont pas un troupeau d’ignorantes de l’histoire et les féministes font le travail d’historicisation. C’est aux non féministes de se mettre au boulot, chercheur·euses, enseignant·es, bibliothécaires.... En particulier aux spécialistes de la Commune qui en efface la portée féministe et méprise cet aspect de la période. C’est à ses collègues qu’elles devraient prodigué ses bons conseils, pas au féministes. C’est pas comme si les historiennes féministes n’avaient pas été l’objet de décrédibilisation, comme si c’était les féministes qui caricaturaient les luttes pour en évincé les femmes et en faire une réduction au suffragisme vis à vis de la Commune. D’ailleurs la période de la commune est bien connue aussi pour sa lutte sur l’éducation des filles et j’ai pas l’impression qu’on réduise cette période au suffragisme. Au XIXeme il y a aussi la lutte des pionnières dans les professions interdites aux femmes, médecines, avocates, jugesses, peintureuses... Celleux qui s’en tape et qui effacent l’histoire des femmes, est-ce vraiment les féministes ?

    • Les Louises - Femmes de la Commune
      https://macommunedeparis.com/2019/03/08/louises-les-femmes-de-la-commune-par-eloi-valat
      https://www.eloivalat.com

      Alphonsine, Rosine, Louise, Rosalie, Séraphine, Eulalie, Paule... couturière, ouvrière mécani­cienne, institutrice, lavandière, giletière, écrivaine... et ambulancière, cantinière, pointeuse d’artillerie, combattante... fusillée, emprisonnée, déportée... et salie, humiliée, oubliée...

      Les femmes de la Commune ont élevé le cœur de l’idéal des hommes de la Commune. Dès le 18 mars, premier jour de la révolution parisienne, au son du tocsin, les femmes et les enfants de Montmartre s’opposent vivement à l’enlèvement des canons de la butte par la troupe, obtiennent des soldats (“vous ne tirerez pas sur le peuple !”) la fraternisation avec la foule, entourent les soldats, arrêtent les chevaux, coupent les harnais…
      Privées du droit de vote et de représentation, elles ne participeront pas aux délibérations de la Commune. Organisées dans les comités d’arrondissement, les clubs, l’Union des femmes pour la dé­fense de Paris et les soins aux blessés, elles vont bousculer le paternalisme gouailleur de leurs compagnons révolutionnaires en réclamant la fin de l’exploitation, la part égale à travail égal, l’affranchissement de tous...

      Ce livre, chronique poétique en images, rend hommage aux Louises, citoyennes de la Commune qui ont voulu « considérer les douleurs générales de l’humanité comme rentrant dans la cause commune des déshérités » (Louise Michel)

  • Les femmes dans l’économie (4/4) : L’économie du patriarcat
    https://www.franceculture.fr/emissions/entendez-vous-leco/entendez-vous-leco-du-jeudi-07-mars-2019

    Le patriarcat est avant tout un système économique, qui repose sur l’exploitation des femmes dans le cadre de la famille. Comment l’analyse de cette …

    • feat. #Christine_Delphy ! (seule invitée)

      http://rf.proxycast.org/1544556949100568576/10081-07.03.2019-ITEMA_22001685-0.mp3

      Le patriarcat est avant tout un système économique, qui repose sur l’exploitation des femmes dans le cadre de la famille. Comment l’analyse de cette exploitation domestique permet-elle de comprendre, et de combattre, la persistance plus générale des inégalités entre les femmes et les hommes ?

      [...] Nous en arrivons aujourd’hui à une réflexion sur l’économie du patriarcat.

      Dans quelle mesure la famille est-elle un lieu d’exploitation économique des femmes ? Comment la réflexion sur le genre peut-elle nous aider à comprendre la persistance de ces inégalités ? Et quelle tournure le combat féministe prend-t-il aujourd’hui ?

      "Au lieu de se concentrer sur des éléments idéologiques ou religieux, ou sur des éléments soi-disant physiques, sur des différences « naturelles » entre les hommes et les femmes, d’autres, et moi-même, avons entrepris de chercher les causes des inégalités domestiques dans l’économie." (Christine Delphy)

      Archives

      • Le témoignage de Jacqueline, aide à domicile à Choisy-Le-Roi, extrait de l’émission Les Pieds sur terre diffusée sur France Culture le 11 avril 2011
      • L’historienne Michelle Perrot dans l’émission La Grande Traversée, diffusée le 22 août 2016 sur France Culture
      • La sociologue Christine Castelain-Meunier dans l’émission La Grande Table, diffusée sur France Culture le 27 décembre 2013
      • Extrait du documentaire de Paule Zajdermann Judith Butler, philosophe en tout genre, réalisé en 2006
      • Le politologue Francis Dupuis-Déri au micro de Judith Bernard pour le site Hors-Série, le 18 mars 2017

      #patriarcat #femmes #féminisme

  • Comment Blanquer met l’école en ordre de... marché !
    https://www.humanite.fr/education-comment-blanquer-met-lecole-en-ordre-de-marche-660086

    Parcoursup, réforme du bac, « culture de l’évaluation » à tous les étages : discrètement, le ministre de l’Éducation nationale poursuit en cette rentrée une reconfiguration très idéologique de l’école française.

    Jean-Michel Blanquer, c’est un ministre de l’Éducation qui aime parler d’amour. « Un pays qui va bien, c’est un pays qui aime ses profs », a-t-il ainsi déclaré à plusieurs reprises la semaine dernière, au cours de la traditionnelle conférence de presse de rentrée.

    À leur manière, les syndicats d’enseignants ont eu vite fait de lui répondre qu’il n’y a pas d’amour, seulement des preuves d’amour, et que celles-ci se font attendre.

    Il ne s’agit pas là seulement de pointer les fameuses « revendications catégorielles » qu’on ne nomme ainsi que pour souligner l’égoïsme supposé de ceux qui les portent. Baisse des salaires réels, perte d’attractivité d’un métier qui peine de plus en plus à recruter, recul de la liberté pédagogique et poids de la hiérarchie… En vérité, les motifs de mécontentement sont nombreux, au point que le Snes-FSU, premier syndicat du second degré, a déposé un préavis de grève courant sur les quinze premiers jours de classe, afin de couvrir les actions revendicatives que cette rentrée sous tension pourrait susciter.

    Mais, au-delà de ces préoccupations, ce qui s’exprime, c’est l’inquiétude qu’à « bas bruit », pour reprendre la terminologie en vogue, la deuxième rentrée Blanquer, s’inscrive dans une reconfiguration profonde du modèle scolaire français, une stratégie que la secrétaire générale du Snuipp-FSU (primaire), Francette Popineau, qualifie de « rouleau compresseur ». Une crainte que le ministre réfute indirectement : pour lui, en cette rentrée 2018, il s’agit simplement « d’amplifier (sic) le sillon de l’école de la confiance », qu’il a commencé à creuser l’an dernier. « Il y a une politique sociale en profondeur qui est menée », « j’ai en permanence à l’esprit les enjeux de justice sociale », martelait-il encore samedi dans une grande interview opportunément offerte au quotidien le Monde.

    Avec Parcoursup, sélection et orientation forcées

    Pourtant, cette reconfiguration est visible, et elle ne se fait pas toujours dans la discrétion. La colère qui s’est levée au printemps dans les universités contre la loi ORE (orientation et réussite des étudiants) et le système Parcoursup en témoigne.

    Alors que la « phase principale » de Parcoursup prend fin mercredi, on en connaît déjà les effets : il restait encore hier dimanche plus de 127 000 élèves en attente ou sans affectation (sur 812 000 inscrits). Ceux-là, s’ils arrivent à intégrer une formation supérieure à l’issue de la « phase complémentaire » le 21 septembre, auront subi une sélection, une orientation forcées.

    Mais la logique de Parcoursup va encore plus loin, on le sait : maintenir et légitimer – en lui donnant l’apparence d’un système juste, tenant compte des aspirations de chacun – le goulet d’étranglement d’un enseignement supérieur en incapacité d’accueillir tous les jeunes en demande de formation. Ce faisant, les mettre en concurrence les uns avec les autres, en les obligeant à déployer dès le lycée des stratégies dont l’unique but est de leur permettre d’intégrer après le bac la formation de leur choix.

    Et au passage, mettre en concurrence les établissements les uns avec les autres, à qui attirera les « meilleurs » élèves afin de présenter les meilleurs taux de réussite au bac et d’admission post-bac. Aux autres, quels que soient leurs mérites ? Les miettes. Et en option obligatoire, l’expérience de l’injustice…

    Des chefs d’établissement « managérisés »

    Parcoursup joue donc le rôle d’un entonnoir forçant chacun, en amont, à entrer dans une logique de concurrence. C’est d’ailleurs ce qui le fait applaudir par les plus libéraux de ses partisans. Mais pourquoi s’arrêter en si bon chemin ? Jean-Michel Blanquer a beau s’en défendre avec des airs de Raminagrobis : cette même logique est en train de s’immiscer au cœur de tout l’appareil scolaire.

    Des indices ? La fameuse « culture de l’évaluation », vantée par le ministre comme l’alpha et l’oméga de sa politique. Après l’entrée au CP et en 6e en 2017, ces évaluations sont étendues cette année à la mi-CP, au CE1, et à l’entrée en 2de. À une échéance non déterminée, il s’agira aussi d’évaluer les établissements ; voire, dans l’enseignement prioritaire (REP et REP+), de lier la prime de 1 000 euros promise aux enseignants aux résultats obtenus par leurs classes aux évaluations et aux objectifs de fin d’année.

    Objectifs annuels qui, au passage, remettent en question les cycles pluriannuels et la souplesse qu’ils autorisent.

    Bien sûr, pour le moment il n’est pas question – du moins ouvertement – d’établir un classement officiel des établissements. Mais il n’est pas non plus question de se l’interdire.

    Et c’est un canevas serré qui se dessine finalement au-dessus de l’école, en ajoutant l’autonomie des établissements et la « gestion des ressources humaines de proximité » promise par le ministre. Là encore, il faut décoder : aux chefs d’établissement du secondaire, de plus en plus « managérisés », la possibilité d’un recrutement local – voire hors des concours de l’éducation nationale.

    De quoi faire voler en éclats l’entraide et le travail collectif, pourtant indispensables, au sein d’équipes pédagogiques qui se plaignent déjà des pertes d’autonomie induites par le poids croissant de la hiérarchie, des chefs d’établissement aux inspecteurs. Malgré tous les démentis, c’est donc bien une école au modèle entrepreneurial très macronien, instillant dès le plus jeune âge le venin de la compétition et de la concurrence de tous contre tous, qui pourrait se mettre en place assez vite… si on n’y prend garde.

    RETOUR À LA SEMAINE DE QUATRE JOURS, PORTABLES INTERDITS...

    Outre le dédoublement des CP et CE1 dans les quartiers défavorisés ou le développement des évaluations, cette rentrée voit d’autres nouveautés se mettre en place. Sur les rythmes scolaires, la plupart des écoles devraient revenir à la semaine de quatre jours : 85 % des communes, soit un peu plus de 80 % des élèves.

    Une « liberté nouvelle », dixit Blanquer, qui fait peu de cas du bien-être des élèves…Lesquels devront aussi mettre de côté leurs portables, désormais interdits officiellement. « La majorité des collèges avait déjà régulé l’utilisation du portable via leur règlement intérieur », tempèrent les chefs d’établissement. Enfin, dans le cadre de la très floue réforme du bac, les lycéens de seconde auront désormais 54 heures consacrées à l’information sur l’orientation, après les vacances de la Toussaint.

    https://blogs.mediapart.fr/morvan56/blog/030918/comment-blanquer-met-l-ecole-en-ordre-de-marche

    • Ainsi, l’interdiction du portable au collège serait l’événement de la rentrée 2018. Le vacarme dérisoire autour de cette mesure déjà à l’œuvre dans la plupart des établissements est un des effets camouflage du vaste chantier de réforme de l’éducation nationale que mène Jean-Michel Blanquer.

      Dans l’instauration de l’école de la concurrence, le gouvernement avance masqué.

      Au lancement de Parcoursup, la généralisation du tri sélectif à l’entrée des études supérieures était maquillée du mensonge de la « réussite ». Or le système a généré l’exclusion de centaines de milliers de bacheliers sans réponse, relégués dans des filières non désirées, poussés, pour ceux dont les familles ont les moyens, vers le privé, faute de place dans le public.

      Ce matin, calés au fond des poches des élèves qui font leur rentrée scolaire, les téléphones resteront silencieux. L’élargissement du dispositif des évaluations nationales aux élèves de CE1 et de sixième ne fera pas plus de bruit. Planqué sous l’excuse d’une « aide aux enseignants » pour juger du niveau des écoliers, il relève pourtant d’une logique d’individualisation des parcours scolaires.

      Cette culture des tests, et des palmarès qui vont avec, est un poison à très hauts risques inégalitaires.

      Au lieu d’appuyer les apprentissages sur des compétences acquises, ce mécanisme pousse à la course aux notes, moyen d’évaluation pourtant remis en cause par beaucoup d’experts en pédagogie.

      Loin de dispenser les savoirs de futurs adultes capables de mobiliser leurs connaissances pour éveiller leur sens critique, il confine au par cœur, à un savoir de bachotage qu’on oublie ensuite. Il amarre le monde scolaire au dogme de la compétition entre les élèves, entre les enseignants, qui n’auront plus alors aucune raison de ne pas être rémunérés au mérite, et entre les établissements scolaires, soumis à la loi d’airain des classements.

      Dans la logique de Macron, rien n’interdit à ces évaluations de devenir concours, faisant des élèves les machines à compétition d’un marché scolaire.

      Éditorial. Poison - Lundi, 3 Septembre, 2018 - Paule Masson

  • Disparue(s) | Stéphane Berthomet et Cédric Chabuel
    http://ici.radio-canada.ca/premiere/premiereplus/justice-fait-divers/5310/disparues

    Montréal, 1952. Une femme, Marie-Paule Rochette, disparaît. En octobre 1953, le cadavre d’une noyée est repêché dans la rivière des Prairies et ne sera pas identifié. S’agit-il de la même personne ? Des preuves manquantes, des témoignages contradictoires et la piste d’un mari qui n’a jamais enterré sa femme. Il n’en fallait pas plus à Stéphane Berthomet, un ancien policier, pour se lancer dans cette histoire pleine de zones d’ombre et d’énigmes. Durée : 3h. Source : Ici Radio-Canada Première

  • A la Cinémathèque, le cinéaste Sharunas Bartas gardé à l’abri de ses accusatrices - Culture / Next
    http://next.liberation.fr/cinema/2018/01/26/a-la-cinematheque-le-cineaste-sharunas-bartas-garde-a-l-abri-de-ses-

    Après la polémique Polanski, l’institution s’est à nouveau distinguée en coupant court à toute question gênante au maître lituanien, mis en cause pour agression sexuelle par deux actrices.

    Mais voilà que le 19 janvier, toujours à la Cinémathèque, lors d’un échange avec le public, une question est posée frontalement à Sharunas Bartas, qui reste de marbre. Une spectatrice commence par les remercier, lui et ses pairs, pour leurs réflexions sur la censure en Russie. A propos de paroles étouffées, elle demande à Bartas s’il a l’intention de répondre aux accusations d’agression sexuelle de deux jeunes femmes - l’une des deux, Paule Bocculaite, a été indemnisée d’une somme dérisoire après qu’il l’a bombardée d’une télé et poursuivie, en voiture, dans la forêt, a-t-elle relaté en Lituanie. Le micro est alors immédiatement repris. « On est ici pour parler de cinéma. Y a-t-il quelqu’un qui a une vraie question sur le cinéma à poser ? » Rideau et perplexité, vis-à-vis de la position de la Cinémathèque, qui choisit d’inviter Bartas mais de le maintenir dans une bulle et d’interdire tout ce qui pourrait la briser - comme si le cinéma et ceux qui le font étaient étanches au monde.

    L’autre accusatrice, Julija Steponaityte, est à Paris, où Libération l’a rencontrée. Elle n’a pas été conviée à la Cinémathèque, alors que celle-ci a choisi son visage dans Summer d’Alanté Kavaïté pour affiche du cycle en guise d’argument publicitaire. Elle ne s’est pas même sentie suffisamment « bienvenue » pour acheter un billet. En effet, depuis qu’elle a relaté ce qui lui est arrivé, en novembre sur Facebook, la jeune femme fait l’objet d’un déferlement de haine relayé par une part influente de l’intelligentsia lituanienne. « Des émissions de télé me sont consacrées où des "experts" se livrent à une analyse de mon cas et utilisent des posts de mon ex-petit ami pour dire que j’ai plein d’amants ! En 2018 ! »

    Julija Steponaityte aurait apprécié des excuses de Bartas ou, du moins, qu’il admette l’abus de pouvoir. La hargne qui s’est développée contre elle en Lituanie lui paraît « un signe envoyé à toutes celles qui aimeraient réagir contre une agression sexuelle ».

    Car ce n’est pas sa « petite histoire » qui est en jeu, explique-t-elle. Et c’est la raison pour laquelle elle ne peut pas accepter le « soutien » de la Cinémathèque au silence de Sharunas Bartas, car cet appui revient à « gommer l’effort des Lituaniennes pour sortir de la domination masculine ». Elle ajoute : « Même Woody Allen s’exprime ! En ne disant rien, Bartas laisse croire que son statut d’artiste le rend supérieur à ses propres actes et que la blessure des femmes n’est rien. » Quant à la direction du Centre du cinéma lituanien, elle refuse de prendre position tant que le cinéaste ne se sera pas exprimé. « Son mutisme le rend inattaquable, et offre donc un exemple à suivre pour tous les autres agresseurs. »

  • Les monnaies locales en quête d’un nouveau souffle
    https://www.mediapart.fr/journal/france/291217/les-monnaies-locales-en-quete-dun-nouveau-souffle

    Claudine Baudin, Paule Génillard, et leur #monnaie_locale franco-suisse, le léman © Fanny Hardy. © Fanny Hardy Le #bitcoin fut la devise vedette de 2017. Mais derrière ce sulfureux emblème des monnaies complémentaires se cache une myriade d’autres initiatives locales. Plongée dans l’univers précaire et mystérieux des “MLC” françaises. Une enquête de nos partenaires Mediacités.

    #France #Economie #Lyon #Nantes #Toulouse

  • Gonette, eusko, sol-violette et les autres : les dilemmes des monnaies locales
    https://www.mediapart.fr/journal/france/291217/gonette-eusko-sol-violette-et-les-autres-les-dilemmes-des-monnaies-locales

    Claudine Baudin, Paule Génillard, et leur #monnaie_locale franco-suisse, le léman © Fanny Hardy. © Fanny Hardy Le #bitcoin, avec ses spéculateurs et ses zones d’ombre, fut la devise vedette de 2017. Mais derrière ce sulfureux emblème des monnaies complémentaires se cache une myriade d’autres initiatives, locales et ancrées dans l’économie des territoires. Plongée dans l’univers précaire et mystérieux des “MLC” françaises. Une enquête de nos partenaires Mediacités.

    #France #Economie #Lyon #Nantes #Toulouse

  • Gonettes, eusko, sol-violette et les autres : les dilemmes des monnaies locales
    https://www.mediapart.fr/journal/france/291217/gonettes-eusko-sol-violette-et-les-autres-les-dilemmes-des-monnaies-locale

    Claudine Baudin, Paule Génillard, et leur #monnaie_locale franco-suisse, le Léman © Fanny Hardy. © Fanny Hardy Le #bitcoin, avec ses spéculateurs et ses zones d’ombre, fut la devise vedette de 2017. Mais derrière ce sulfureux emblème des monnaies complémentaires se cache une myriade d’autres initiatives, locales et ancrées dans l’économie des territoires. Plongée dans l’univers précaire et mystérieux des “MLC” françaises. Une enquête de nos partenaires Mediacités.

    #France #Economie #Lyon #Nantes #Toulouse

  • « Pisser dans l’herbe » au 102 rue d’Alembert
    https://grenoble.indymedia.org/2017-12-01-Pisser-dans-l-herbe-au-102-rue-d

    Le 5 décembre 2017 à partir de 18H, au 102 rue d’Alembert Représentation de la pièce « Pisser dans l’herbe » Camille, bergère, refuse de se soumettre aux abus de l’administration pénitentiaire. « Pisser dans l’herbe... » est interprétée par Philippe GIAI-MINIET et mise en scène par Marie-Paule GUILLET. La pièce dresse un tableau qui interroge la justice, l’Administration pénitentiaire et les modes répressifs préconisés depuis toujours. Créée en décembre 2016 à la Parole Errante, « Pisser dans l’herbe… » (...)

    #Editos

  • Une nouvelle monnaie, le #Léman, s’installe sur la frontière franco-suisse
    https://www.mediapart.fr/journal/economie/291016/une-nouvelle-monnaie-le-leman-s-installe-sur-la-frontiere-franco-suisse

    Claudine Baudin et Paule Génillard, bénévoles à Genève. © Fanny Hardy C’est une première pour la France : la création par des citoyens d’une #monnaie_locale complémentaire qui est transfrontalière, partagée avec la Suisse. Le léman vient de fêter une année de mise en circulation et monte lentement en puissance, se heurtant à un problème, celui du taux de change. Réussira-t-il localement, là où s’arrête la zone euro ? Reportage des deux côtés de la frontière.

    #Economie #monnaie_transfrontalière #stuck

  • Cinq réflexions en marge de la tragédie de Nice | Jacques Tarnero
    http://www.huffingtonpost.fr/jacques-tarnero/lutte-contre-le-terrorisme_b_11134068.html

    Il y a de l’obscénité dans les commentaires politiciens proférés dès l’attentat commis le 14 juillet. Cet examen douloureux met en cause des certitudes idéologiques, des bonnes consciences à peu de frais, des aveuglements. Distinguer les faux amis des vrais ennemis est une urgence absolue. Cet examen est d’ordre géopolitique, idéologique et langagier.

    1 - L’après guerre d’Algérie a figé le regard idéologique sur le monde arabe et l’espace musulman. Lu dans les catégories de la « juste cause » parce que colonisée, l’imaginaire arabe a entretenu ce statut pour expliquer son histoire actuelle comme une revanche contre « l’humiliation arabe » subie pendant les années de colonisation. L’argument d’un racisme structurel dont seraient victimes les descendants des populations issues des ex colonies présentes dans le pays ex colonisateur constitue la matrice idéologique de ceux qui se proclament Indigènes de la République. Nourris d’un ressentiment haineux contre la France ceux-ci développent leur schizophrénie identitaire autour de modèles inspirés par Lewis Farakhan. La récente « marche pour la dignité » n’a fait que confirmer leur racisme anti « blanc », désormais totalement assumé.

    2 - Symétriquement, la classe politique, à gauche en particulier, n’a pas voulu voir cette évolution, tant sa posture « anti-raciste » contre l’extrême droite lui servait de vertébration majeure. Friande de commémorations symboliques la voilà friande de repentirs sans exiger de l’autre part qu’elle reconnaisse aussi ses fautes et ses crimes commis au nom de sa libération. Il ne peut y avoir de bonne santé mémorielle que si les efforts de vérité sont partagés, réciproques et simultanés. Cinquante ans après les indépendances, la colonisation reste l’explication magique de tous les maux dont souffriraient les ex colonisés. La loi Taubira considérant l’esclavage comme une pratique exclusivement européenne, a conforté cette mise en accusation.

    Ces attitudes conditionnent cette culture du ressentiment entretenu contre la France. Elles sont à la source comportementale de ces « territoires perdus de la République » dont la schizophrénie est la règle première pour tous ces jeunes incapables de s’intégrer dans le pays où ils sont nés.
    . . .
    3 - Il n’y a pas que la gauche : toute la classe politique française porte cette responsabilité et on doit à Sarkozy l’adoubement par la République du parti des Frères musulmans, l’UOIF, qui vient régulièrement au Bourget, avec les frères Ramadan comme invités vedettes, proclamer sa haine des Juifs et d’Israël. En matière d’aveuglement à l’égard du terrorisme arabe ou de l’islamisme tueur quand celui-ci frappe Israël, la droite n’a vraiment pas de leçons à donner. La France n’est pas bien payée en retour pour sa « politique arabe » chère à tous les Quai d’Orsay. Faut-il rappeler les critiques acerbes du Président Chirac contre Lionel Jospin quand celui ci se fit caillasser à Ramallah pour avoir osé qualifier de « terroriste » le Hezbollah... Faut il rappeler l’hommage rendu en grandes pompes à un Arafat, ou bien la présence de Chirac aux funérailles de Hafez el Assad pourtant complice de l’assassinat en 1981, de l’ambassadeur de France, Louis Delamarre, au Liban et de cinquante huit soldats français à Beyrouth en 1983... Nos amis du Qatar, ceux d’Arabie saoudite ont paraît il, une responsabilité dans la fabrication idéologique des jihadistes. Les amis de nos ennemis peuvent-ils rester nos amis ?

    • Le point 1 dit à peu près n’importe quoi. En 1962, personne ne parlait d’humiliation arabe, en revanche tout le monde savait (ou faisait semblant de ne pas savoir) que la nationalité française des résidants des départements algériens étaient démembrée : certains étaient citoyens (les non-musulmans), d’autres non (les « Français musulmans »).

      Quand les uns et les autres ont été rapatriés en France métropolitaine l’intégration (au moins administrative) des uns s’est faite sans trop de problèmes, celle des autres (les musulmans) beaucoup plus difficilement. Ils étaient Français, mais pas citoyens de l’autre côte de la Méditerranée, les administrations françaises ont eu beaucoup de mal à les considérer comme des Français de plein droit de ce côté-ci. Et, malheureusement pour elles, la loi française ne permettait pas de continuer à les traiter en (non-)citoyens de seconde zone.

      Il est facile de reconstruire ex post une humiliation fantasmée, il est beaucoup plus difficile de restituer la somme des mauvais traitements administratifs qui a été administrée aux ex-"Français musulmans". Parmi les rares traces, je vous recommande de lire la partie décrivant les sources statistiques (pp. 7 et suivantes) dans ce document de travail de l’Insee de 2014
      Repenser l’intégration socioéconomique des pieds-noirs en France à l’aide des données de l’Échantillon Démographique Permanent de l’Insee par Marie-Paule Couto
      http://www.crest.fr/images/doctravail/DocTravail2014/2014-49.pdf

  • Sisyphe - Cinéphiles, vos choix de films consacrés aux femmes !
    http://sisyphe.org/spip.php?article3731

    Films commentés dans Le féminin au cinéma

    Amerrika (v.o. Ameerka)
    À armes égales (v.o. G.I. Jane)
    Aimée et Jaguar (v.o. Aimée und Jaguar)
    Amour violé, L’,
    Antonia et ses filles (v.o. Antonia’s Line)
    Apocalypse : La 2e Guerre mondiale
    Appel à la justice (v.o. The Accused)
    Autopsie d’une crime (v.o. The Burning Bed)
    À vif (v.o. In the Cut)
    Baboussia
    Bel esprit (v.o. Wit)
    Belle verte, La
    Brodeuses
    Calendrier des girls, Le (v.o. Calendar Girls)
    Camilla
    Cercle, Le (version anglaise The Circle)
    Ces femmes qui tuent (v.o. When Women Kill)
    C’est surtout pas de l’amour : un film sur la pornographie (v.o. Not a Love Story : A Film about Pornography)
    Chaos
    Club de la chance, Le (v.o. The Joy Luck Club)
    Comment l’esprit vient aux femmes (v.o. Born Yesterday)
    Confidences trop intimes
    Couleur pourpre, La (v.o. The Color Purple)
    Dernière marche, La (v.o. Dead Man Walking)br>
    Devenir Colette (v.o. Becoming Colette)
    Du soleil plein la tête (v.o. Eternal Sunshine on the Spotless Mind)
    Earth
    Écoute-moi (v.o. Non ti muovere)
    Emporte-moi
    Étranger, L’ - Le huitième passager (v.o. Alien)
    Extremities
    Femmes de l’ombre, Les
    Feu sacré, Le (v.o. Holy Smoke)
    Filles, Les (v.o. Meisjes)
    Fire
    Fish Tank
    Frida
    Garçons ne pleurent pas, Les (v.o. Boys don’t cry)
    Gazon maudit
    Guerrières, Les (Born in Flames)
    Harold et Maude (v.o. Harold and Maude)
    Haut les coeurs !
    Hors-jeu (version anglaise Offside)
    Impromptu
    I Shot Andy Warhol
    Jardin oublié, Le : la vie et l’œuvre d’Alice Guy-Blaché
    Jeanne Dielman, 23, quai du Commerce, 1080 Bruxelles
    Joueuse
    Jour avant le lendemain, Le (v.o. Before Tomorrow)
    Julia
    Lady Chatterly
    Leçon de piano, La (v.o. Piano)
    Légende des baleines, La (v.o. Whale Rider)
    Lucie Aubrac
    Marche pour la liberté, La (v.o. The Long Walk Home)
    Mariages
    Millénium - Le film (v.o. Man Som Hatar Kvinnor)
    Millénium 3, La reine dans le palais des courants d’air (v.o. Luftslottet Som Sprangdes)
    Monster
    Moolaalé
    Mourir à tue-tête
    Notre univers impitoyable
    Nous étions guerriers (v.o. Once Were Warriors)
    Nuits avec mon ennemi, Les (v.o. Sleeping with the Enemy)
    Paradis sur terre, Le (v.o. Heaven on Earth)
    Plages d’Agnès, Les
    Polytechnique
    Portrait de femme (v.o. The Portrait of a Lady)
    Procès de Bobigny, Le
    Quatre minutes (v.o. Vier Minuten)
    Reine des bandits, La (v.o. Bandit Queen)
    Rosenstrasse
    Sarajevo, mon amour (v.o. Grbavica)
    Searching for Debra Winger
    Secret est dans la sauce, Le (v.o. Fried Green Tomatoes)
    Seins dans la tête, Les
    Septième ciel (v.o. Wolke 9)
    Sexe des étoiles, Le
    Sophie Scholl : Les derniers jours (v.o. Sophie Scholl - Die Letzten Tage)
    Soraida, Une femme de Palestine
    Souriante madame Beudet, La
    Souvenirs d’Afrique (v.o. Out of Africa)
    Stella
    Stoning of Soraya M., The (v. o. en farsi)
    Temps de l’avant, Le
    Thelma et Louise (v.o. Thelma and Louise)
    Trafic humain (v.o. Human Trafficking)
    Trois hommes et un couffin
    Trois sœurs (v.o. Paura e amore)
    Un ange à ma table (v.o. An Angel at My Table)
    Une affaire de femmes
    Vent du nord, Le (v.o. North Country)
    Vie secrète des mots, La (v.o. La vida secreta des las palabras)
    Village du péché, Le (autre titre Les bonnes femmes de Riazan)
    Volonté de fer (v.o. Iron Jawed Angels)
    War Zone, The
    Water
    Wendy et Lucy (v.o. Wendy and Lucy)
    4 mois, 3 semaines, 2 jours
    48 heures par jour

    #cinéma #femmes #féminisme

    • D’autres propositions de l’auteure

      Anne Trister, Léa Pool
      Années de plomb, Les, Margarethe von Trotta
      Bagdad Café, Percy Aldon
      Bons débarras, Les, Francis Mankiewicz
      Camille Claudel, Bruno Nuytten
      Chant des sirènes, Le, Patricia Rozema
      Cléo de 5 à 7, Agnès Varda
      Couvre-lit à l’américaine, Jocelyn Moorhouse
      De l’autre côté, Fati Akin
      Des marelles et des petites filles, Marquise Lepage
      Femme de l’hôtel, La, Léa Pool
      Fille à un million de dollars, Clint Easwood
      Gorilles dans la brume, Michael Apted
      Mais qu’est-ce qu’elles veulent ? Coline Serreau
      Ma vie sans moi, Isabel Coixet
      Norma Rae, Martin Ritt
      Petites marguerites, Les, Věra Chytilová
      Playing for Time, Daniel Mann et Joseph Sargent
      Quatre femmes d’Égypte, Tahani Rached
      Rosa Luxembourg, Margarethe von Trotta
      Sans toit ni loi, Agnès Varda
      Séraphine, Martin Provost
      Sonatine, Mireille Lanctôt
      Tout sur ma mère, Pedro Almodovar
      Une femme sous influence, John Cassavetes
      Vieille dame indigne, La, René Allio
      Wanda, Barbara Loden

    • Films proposés dans l’enquête réalisée par Thérèse Lamartine

      A Gun in the House, Ivan Nagy
      A Message from Holly, Rod Holcom
      A Mother’s Prayer, Larry Elikann
      Age of Innocence, The, Martin Scorcese
      Alice’s Restaurant, Arthur Penn
      Amelia Earhart, George Schaefer
      Années de plomb, Les, Margarethe von Trotta
      Baise-Majesté, Francine Pelletier
      Bal des actrices, Le, Maïwenn
      Beaches, Garry Marshall
      Blanche et Marie, Jacques Bernard
      Bleus au cœur, Les, Suzanne Guy
      Bostonniennes, Les, James Ivory
      Boys on the Side, Herbert Ross
      Burning Times, The, Donna Read
      Camille Claudel, Bruno Nuytten
      Carrington, Christopher Hampton
      Céline et Julie vont en bateau, Jacques Rivette
      Chant des mariées, Le, Karin Albou
      Cold Comfort Farm, John Schlesinger
      Comtesse blanche, La, James Ivory
      Coup de foudre, Diane Kurys
      Crimes of the Heart, Bruce Beresford
      Cris et chuchotements, Ingmar Bergman
      Cuisine rouge, La, Paule Baillargeon
      Des lumières dans la grande noirceur, Sophie Bissonnette
      Deux actrices, Micheline Lanctôt
      Du coeur à l’âme avec ou sans Dieu, Suzanne Guy
      Duo pour une soliste, Mireille Dansereau
      Eleonor in her Own Words, Mark Cullingham
      Entre elle et moi, Mireille Dansereau
      Erin Brokovich, Steven Soderbergh
      Eva, Joseph Losey
      Femme de Jean, La, Yannick Bellon
      Filles du Roy, Les, Anne-Claire Poirier
      Forbidden Love, Lynne Fernie et Aerlyn Weissman
      Frances, Graeme Clifford
      Gabrielle Roy, Léa Pool
      Garbo parle, Sydney Lumet
      Goddess Remembered, Donna Read
      Grand remue-ménage, Le, Sylvie Groulx
      Groupe, Le, Sydney Lumet
      Heavenly Creatures, Peter Jackson
      Home for the Holidays, Jody Foster
      Heures, Les , Stephen Daldry
      Howard’s End, James Ivory
      I Love you Alice B. Toklas, Hy Averback
      If These Walls Could Talk 1 et 2, N.Savoca, J. Anderson, M.Co.
      Il y a longtemps que je t’aime, Anne-Claire Poirier
      Isadora, Karel Reisz
      I’ve Heard the Mermaid Singing, Patricia Rozema
      Jamais plus toujours, Yannick Bellon
      Journée de la jupe, La, Jean-Paul Lilienfield
      Jupon rouge, Le, Geneviève Lefebvre
      L’amie, Margarethe von Trotta
      Leage of their Own, Penny Marshall
      Legacy of Pain, Francine Pelletier
      Lettre écarlate, La,Win Wenders
      Life and Time of Frieda Kahl, Amy Stechler et Ken Burns
      Lipstick, Lamont Johnson
      Little Women, Gilian Armstrong
      Long silence, Le, Margarethe von Trotta
      L’une chante, l’autre pas, Agnès Varda
      Madeleine Parent- Tisserande de solidarités, Sophie Bissonnette
      Maison des esprits, La, Bill August
      Maman est chez le coiffeur, Léa Pool
      Mansfield Park, Patricia Rozema
      Mon coeur est témoin, Louise Carré
      Moonlight & Valentino, David Anspaugh
      Mrs Dalloway, Marleen Gorris
      Orlando, Sally Potter
      Paradise Road, Bruce Beresford
      Partition pour voix de femmes, Sophie Bissonnette
      Passion Béatrice, La, Bertrand Tavernier
      Persona, Ingmar Bergman
      Plafond de verre, Le, (1992), Sophie Bissonnette
      Plafond de verre, Le, (2004), Yamina Benguigui
      Pour l’amour d’une femme, Luis Mandoki
      Pourvu que ce soit une fille, Mario Monicelli
      Prix d’une femme, Le, Gérard Krawczyk
      Rebelles ou la rage au cœur, Léa Pool
      Réjeanne Padovani, Denys Arcan
      Rumeur, La, William Wyler
      Salmonberries, Percy Adlon
      Sense and Sensibility, Ang Lee
      Sexy Inc., Sophie Bissonnette
      Sofie, Liv Ulmann
      Sonate d’automne, Ingmar Bergman
      Sonia, Paule Baillargeon
      Suzie, Micheline Lanctôt
      Tendre passion, James L. Brooks
      Trois princesses pour Roland, André-Line Beauparlant
      Un rêve japonais, Doris Dörie
      Veronica Guerin, Joel Schumacher
      Volver, Pedro Almodovar
      When Night is Falling, Patricia Rozema
      White Room, The, Patricia Rozema
      Women’s Room, The, Glenn Jordan
      Yentl, Barbra Streisand

    • Suggestions des cinéphiles

      À cinq heures de l’après-midi, Samira Makhamalbaf
      Amélia, Mira Nair
      Alice au pays des merveilles, Tim Burton
      Allemagne, mère blafarde, Helma Sanders-Brahms
      Amour nu, L’, Yannick Bellon
      À tout prendre, (1964), Claude Jutras
      Brick Lane, Sarah Gavron
      Bureaux de Dieu, Les, Claire Simon
      Caramel, Nadine Labaki
      Cherry Blossom, Doris Dörrie
      Choix de Sophie, Alan J. Pakula
      Christine, Christina, Stefania Sandrel
      Corne de chèvre, La, Koziat Rog
      Couleur, La, Tate Taylor
      Courage d’Irena Sendler, Le, John Kent Harrison
      Dame en couleurs, La, (1985), Claude Jutras
      Diablesse, La, Susan Seidelman
      Die Femde - When We Leave, (2010), Feo Aladag
      Donation, La, Bernard Émond
      Enfants du silence, Les, Randa Haines
      Fatma, Khaled Ghorbal
      Fausta, Claudia Llosa
      Femme aux cinq éléphants, La, Vadim Jendreyko
      Fleur de neige et l’éventail secret, Wayne Wang
      For Coloured Girls, Tyler Perry
      Frozen River, Courtney Hunt
      Grandes chaleurs, Les, Sophie Lorrain
      Hamsayeh, Nagmeh Shirkhan
      Helen, Sandra Nettlebeck
      Hérisson, Le, Mona Achache, 2009 (L’élégance du hérisson) Josiane Balasko
      Incendies, Denis Villeneuve
      India Song, Marguerite Duras
      Jeanne M., côté cour, côté coeur, Annie Chevallay, Josée Dayan et Pierre-André Bouta
      Joue-la comme Beckham, Gurinder Chadha
      Kamouraska, (1973), Claude Jutras
      Kids are All Right, The, Lisa Cholodenko
      L’aveuglement, Fernando Meirelles
      L’imposture, Ève Lamont.
      Loin d’elle, Sarah Polley
      Mariage de Rachel, Le, Jonathan Demme
      Mary Shelley, Guylaine Dionne
      Mères et filles, Julie Lopez-Curval
      My Brillant Carreer, Gillian Armstrong
      Nannerl, la soeur de Mozart, René Féret
      Osama, Siddik Barmak
      Palmes de M. Schutz, Les, Claude Pinoteau
      Pink Sari, Kim Longinotto
      Poème, Le, Chang-Dong Lee
      Première fois que j’ai eu vingt ans, La, Lorraine Lévy
      Rien que la vérité, Rod Lurie
      Runaways, The, Floria Sigismondi
      Serveuse, La, Adrienne Shelly
      Serveuses demandées, Guylaine Dionne
      Sur la route de Madison, Clint Easwood
      Source des femmes, La, Radu Mihaileanu
      Trois temps après la mort d’Anna, Catherine Martin
      Tromper le silence, Julie Hivon
      Trou noir (Rabbit Hole), John Cameron Mitchell
      Une journée particulière, Ettore Scolla
      Vie des autres, La, Florian Henckel von Donnersmarck
      Villa Amalia, Benoît Jacquot
      Vision - La vie d’Hildegarde von Bingen, Margarethe von Trotta
      Voleur de vie, Yves Angelo
      Virgin Suicides, The, Sofia Coppola
      Whistleblower, The, Larysa Kondracki
      Winter’s Bone, Debra Granik
      Women without Men, Shirin Neshat

  • C’est arrivé...
    https://www.crashdebug.fr/actualites-france/11542-c-est-arrive

    Afp

    l’éditorial de Paule Masson : "Grèves et manifestations, Nuits debout, réseaux sociaux, le mouvement en cours revêt des aspects hétéroclites. Mais il possède déjà ce précieux commun de considérer que l’avenir doit s’écrire autrement."

    « Aujourd’hui, tout est à repenser. Tout est à recommencer. Tout en fait a recommencé, mais sans qu’on le sache. » Dans son Éloge de la métamorphose, Edgar Morin évoque le monde qui vient. Parce que le monde qui est jette un à un dans la fosse commune les espoirs de vivre mieux. Les révélations des Panama Papers montrent à quel point ce 1 % de la population qui détient déjà tout, milliardaires, actionnaires, banquiers, politiques corrompus… sont aussi les plus grands fraudeurs de la planète. Depuis des années, ils soustraient des (...)

  • Crise des migrants : décentrer le regard - Ined - Institut national d’études démographiques
    http://pole_suds.site.ined.fr/fr/les_journees/crise-migrants-decentrer-regard

    Vendredi 18 Mars 2016, 9h30-17h
    INED, 133 boulevard Davout - 75020 Paris

    L’année 2015 a vu l’arrivée en nombre dans l’espace européen de personnes provenant directement ou transitant par des pays meurtris et désorganisés par des guerres où les pays européens et les Etats-Unis sont parties prenantes (Libye, Syrie, Irak, Afghanistan). Au-delà des chiffres diffusés par la presse, que savons-nous de l’ampleur des flux migratoires à destination de l’Europe et de la France ? Que représentent-ils à l’échelle de la population mondiale, de la population européenne et des Etats membres dont la France ? Que penser des modes de classement mis en œuvre pour enregistrer et sélectionner les populations migrantes ? Que dire des catégories en usage dans le langage médiatique ou politique et de ses enjeux ? Que gagne-t-on à replacer les flux migratoires dans le temps de l’histoire ou dans une perspective géographique large ? Dans quelle mesure les expériences migratoires passées permettent-elles d’éclairer le présent et le débat public ? Quel lien ou quel rapport établir entre un savoir construit sur les migrations internationales et l’action étatique et politique dans ce domaine ? Que peut faire la recherche face à la crise des migrants et en situation d’urgence ? Quelle relation nouer entre la recherche et l’action solidaire et humanitaire ?

    Le vendredi 18 mars deux tables rondes permettront de dépasser les discours sensationnalistes et d’esquisser des réponses aux questions posées en vue de contribuer à l’élaboration et à la valorisation d’une connaissance rationnelle des phénomènes migratoires.

    Inscription (gratuite) avant le 11/03/16

    http://pole_suds.site.ined.fr/fichier/s_rubrique/25069/programme.provisoire.crise.migrants.fr.pdf

    Programme provisoire
    9h00. Accueil autour d’un café

    9h30-12h30. Mouvements et déplacements massifs de populations : un détour historique et géographique
    Cette première table-ronde vise à prendre du recul face à l’histoire immédiate et à dépasser la représentation unilatérale qui réduit les migrations internationales à des flux orientés des pays « pauvres » vers les pays « riches ». Elle s’appuiera sur l’exposé et l’analyse de plusieurs expériences passées ou distantes de migrations soudaines et massives consécutives à des crises, des conflits ou des persécutions. Les intervenant-e-s s’attacheront à rappeler les causes et l’ampleur des phénomènes, les conditions matérielles et politico-administratives de l’accueil des populations concernées dans les pays de destination et les effets sur les opinions, les discours, les politiques, la démographie ou les pratiques institutionnelles à l’échelle nationale ou internationale de ces déplacements brusques et rapides de populations.
    Elle réunira : Aline Angoustures (OFPRA, Chef de la Mission histoire et archives), Luc Cambrézy (IRD), Marie-Paule Couto (LSQ/CSU), Lama Kabbanji (IRD/ Ined).

    12h30-14h00. Buffet

    14h-17h. Classer, compter, agir : quelle implication de la recherche face à la crise des migrants ?
    Sans faire l’économie d’un examen critique des outils de la mesure et du classement des populations, cette table-ronde vise à déchiffrer les faits migratoires et les mouvements de populations que connaît actuellement l’Europe pour s’interroger sur l’apport et les limites de la recherche dans l’analyse et la compréhension de ces phénomènes migratoires (en l’occurrence des migrations de crise) et réfléchir aux éventuelles transformations à apporter aux outils de connaissance au regard des attentes des différents acteurs ainsi qu’aux relations à nouer entre la recherche et l’action envers les migrants.

    Elle réunira : Cris Beauchemin (Ined), Jean-Christophe Dumont (OCDE, Chef de la division des migrations internationales), François Héran (Ined, Direction Département SHS ANR) ; un-e- responsable de Médecins du Monde –MdM- (nom à confirmer).

    Les débats seront conduits et animés par Marie-Pierre Vérot, journaliste à France Culture.

  • Chaos International

    http://www.chaos-international.org

    Je découvre donc ce site qui parle de chaos géopolitique :) c’est pas mal.

    Dédié à l’analyse transnationaliste des relations internationales, ce site est destiné aussi bien aux spécialistes qu’au plus grand nombre. Fondé sur une large accessibilité et une forte réactivité, il entend diffuser et partager les savoirs sur l’international.

    On distingue aujourd’hui une demande de sens, de clés d’analyse, un besoin de repères plus fort que jamais depuis la fin de la bipolarité, l’accentuation du processus de mondialisation et l’émergence de nouveaux enjeux : climat, régulation financière, santé publique. Cependant, soulignons un phénomène étrange : à la différence des pays anglo-saxons, la France consacre peu d’études qui soient véritablement dédiées à une analyse scientifique des relations internationales. En outre, trop peu d’ouvrages se singularisent par une approche qui ne soit pas systématiquement stato-centrée et diplomatico-stratégique.

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    PAC 134 – Le redéploiement laborieux de l’OMS L’épidémie Ebola en Afrique occidentale

    22 sept, 2015

    Par Clément Paule
    Le 14 septembre 2015, les autorités sanitaires de Sierra Leone ont annoncé le décès d’une adolescente contaminée par le virus Ebola dans la province septentrionale de Bombali. Signalons que cette zone avait pourtant été épargnée par la maladie depuis six mois. Le pays espérait en effet atteindre le seuil des quarante-deux jours sans nouvelle infection – le double de la durée maximale d’incubation – signifiant la fin de la transmission. Cette résurgence n’est pas sans rappeler l’exemple du Liberia où la fièvre hémorragique est réapparue fin juin 2015, soit un mois et demi après que l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) a déclaré cet État « Ebola-free ». Si l’épidémie décline depuis le pic observé entre septembre et décembre 2014, la situation ne semble pas entièrement maîtrisée à l’approche de la saison des pluies alors que les financements humanitaires se tarissent…

  • Les Cahiers d’Antonin Artaud : de #Paule_Thévenin à Évelyne Grossman ou d’une impossible #Retranscription et édition
    http://www.larevuedesressources.org/les-cahiers-d-antonin-artaud-de-paule-thevenin-a-evelyne-gross

    À la première ouverture des Cahiers d’Ivry retranscrits par Évelyne Grossman ce qui se remarque d’emblée est la présentation des cahiers d’Artaud en « poèmes ». Grande surprise. L’édition de ces cahiers par Évelyne Grossman, qui prennent donc la suite des Cahiers du retour à Paris, premiers Cahiers d’Ivry ainsi nommés par Paule Thévenin , présente en effet ces derniers sous la forme apparente de poèmes. Mais sont-ils vraiment des poèmes, ou de la poésie ? On peut légitimement se le demander. Le choix (...)

    #Antonin_Artaud

    / #Littérature, #Antonin_Artaud, Retranscription, #Edition, Paule Thévenin, Evelyne (...)

    #Evelyne_Grossman

  • Le commerce par voie de mer pollue plus que les camions, par Marie-Paule Nougaret

    http://www.pauljorion.com/blog/2015/04/20/le-commerce-par-voie-de-mer-pollue-plus-que-les-camions-par-marie-paul-nougaret/#more-74771

    Le gaz NOx provient de combustions mal réglées qui dévorent l’azote de l’air dans les moteurs, chauffe-eau, mobylettes, chaudière au fuel, feux de bois, cigarettes, incinérateurs et tutti quanti.
    On voit très bien ici les gros pollueurs : charbon allemand, anglais et polonais, trafic routier et chauffage à Paris, trafic maritime.
    Les autoroutes n’apparaissent même pas. La France en détient pourtant le record de surface au km2, pour l’Union.

    Cette carte a été établie en 2009, à partir de relevés satellite et publiée dans un article signé de plus de 40 chercheurs de haut niveau.
    Les autorités veulent l’ignorer. Les chercheurs ne disent rien, tenus qu’ils sont, dans leurs divers pays, à la quête de budgets.
     Paris reçoit le plus souvent, soit le vent humide d’océan, soit le vent de nord-est sec et froid, sous l’anticyclone de Sibérie. Les oxydes d’azote arrivent ainsi des deux côtés.
    NOx représente un ensemble de gaz très instable (d’où le x, dans son nom).

    Les bateaux de commerce brûlent un fuel particulièrement crasseux, autorisé à la vente dans les ports. Leurs moteurs se montrent inefficaces, et sans la poussée d’Archimède, qui les rend économes en énergie, ils nuiraient encore plus (mais le transport aussi couterait plus cher).

    Des écolos ont calculé qu’un cargo en manœuvre dans le port de Long Beach à Los Angeles, polluait autant que 400 000 voitures (américaines) dans le même temps.
    De l’autre côté, à l’est, passé le Rhin, on nous sermonne : nous n’exportons pas assez, voilà nos torts. il faut baisser le cout du travail pour faire tourner les porte-conteneurs. Le traité de commerce y pourvoira.
    En attendant, connaître les pollueurs rend indulgent pour les amateurs de feux de bois, surtout quand il pleut (ce qui rabat les fumées). Le feu sèche les murs de pierres, transformés en éponges par la politique de cimenter les cours. En plus, le regarder, ça fait rêver.

  • Femmes compositrices

    Je voulais rebondir sur un billet de @reka http://seenthis.net/messages/300581 en présentant les femmes compositrices méconnues. Je connaissais Germaine Tailleferre et une petite dizaine d’autres compositrices, je souhaitais les présenter ici, et en découvrir d’autres.

    J’ai commencé par l’époque contemporaine, un site m’en a proposé 3 que je ne connaissais pas :

    Yvonne DESPORTES 
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Yvonne_Desportes


    Yvonne Desportes : Symphonie n°3 "l’Eternel féminin »
    http://www.ina.fr/audio/PHF07009625

    Adrienne CLOSTRE


    http://www.editions-rubin.com/clostre.html

    Toute sa vie, elle restera fidèle à cette vocation précoce : elle composera jusqu’à sa dernière semaine où elle termine son opéra Lénine ou la Récréation.
    Passionnée de théâtre, elle imagine de nouvelles formes d’action musicale et puise son inspiration et les livrets de ses œuvres lyriques dans des domaines très variés : littérature nordique (Le chant du Cygne d’après la nouvelle de Tchekov, Julien l’Apostat d’après Empereur et Galiléens d’Ibsen) ou médiévale (Le triomphe de la vertu d’après l’œuvre de la nonneRosvita), faits divers (Cinq scènes de la vie italienne), philosophes (Nietzsche sur un montage de textes de F. Nietzsche, Le Secret, lecture musicale dujournal de S. Kierkegaard), exploits sportifs (Annapurnad’après le roman de MauriceHerzog), poètes (L’Albatros sur un montage de textes de C. Baudelaire, El tigre de oro y sombra, d’après neuf poèmes de Borges), femmes mystérieuses ou passionnées (Garbo la solitaire, suite pour violoncelle seul et voix off inspirée par Greta Garbo, Camille Claudel Sculpteur, action chorégraphique en trois épisodes)…

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Adrienne_Clostre

    Thérèse Brenet
    http://www.musimem.com/brenet.htm

    Sa formation, sa nature, sa recherche constante de la beauté et sa quête de l’absolu font d’elle une musicienne un peu à part, dont l’œuvre, riche et variée, écrite dans un style clair, atteste une parfaite maîtrise du langage. Humble dans son œuvre, elle déclare elle-même : " Le compositeur est un ouvrier, oui, mais non pas un tâcheron : il travaille ordinairement dans la solitude et le secret, sans fard et sans journaliste. Ce qu’il doit, par dessus tout, éviter, ce sont les discours inutiles, abscons et prétentieux sur son oeuvre.

    http://www.youtube.com/watch?v=SzxBJqwy6P8

    A partir de celles que je connaissais, j’ai établi une première liste qui s’est considérablement enrichi au fil de mes recherches :

    Lili Boulanger

    Elsa Barraine

    Germaine Tailleferre

    Marguerite Canal

    Claude Arrieu
    de son vrai nom Louise-Marie Simon

    Louise Héritte-Viardot

    Alma Mahler

    Sophie Gail

    Louise Bertin

    Marie Jaëll

    Clara Schumann

    Maude Valerie White

    Louise Farrenc

    Giselle Galos.

    Fanny Mendelssohn

    Pauline Duchambge

    Augusta Holmès

    Cécile Chaminade

    Armande de Polignac

    Amy Beach

    Elisabetta de Gambarini,

    Genovieffa Ravissa et

    Anna Bon di Venezia.

    Wilhelmine de Bayreuth

    Sophie Elisabeth von Braunschweig-Wolfenbüttel

    Francesca Caccini

    Leonora Duarte

    Elisabeth Jacquet de la Guerre

    Isabella Leonarda

    Barbara Strozzi

    Maddalena Casulana

    Beatritz de Dia

    Beatritz de Romans

    Azalaïs de Porcairagues

    Castelloza

    Hildegarde de Bingen

    Kassia

    Sappho

    Et puis j’ai découvert ce site qui propose une looooongue liste de compositrices dont certains noms sont déjà cités
    http://www.lamediatheque.be/travers_sons/fc_04.htm

    Allemagne

    XIe siècle
    Hildegard von BINGEN (1098 - 1179)

    XVIIIe siècle
    Wilhelmine Friederike Sophie von Bayreuth (1709 - 1758)
    Amalia, princesse de Prusse (1723 - 1787)
    Anna Amalia, duchesse de Saxe-Weimar (1739 - 1807)

    XIXe siècle
    Fanny MENDELSSOHN-BARTHOLDY (1805 - 1847)
    Johanna KINKEL (1810 - 1858)
    Josephine LANG (1815 - 1880)
    Clara SCHUMANN (1819 - 1896)
    Emilie MAYER (1821 - 1883)

    XIXe / XXe siècle
    Ingeborg von BRONSART (1840 - 1913)
    Sophie MENTER (1846 - 1918)
    Luise Adolpha LE BEAU (1850 - 1927)
    Clara M. FAISST (1872 - 1948)
    Johanna SENFTER (1879 - 1961)
    Ilse FROMM-MICHAELS (1888 - 1986)

    XXe siècle
    Felicitas KUKUCK (1914 - 2001)
    Gertrud FIRNKEES (1925)
    Ruth ZECHLIN (1926)
    Ursula GÖRSCH (1932)
    Barbara HELLER (1936)
    Dorothée EBERHARDT(1952)
    Ursula EUTENEUER-ROHRER (1953)
    Babette KOBLENZ (1956)

    Argentine
    XXe siècle
    Maria Luisa ANIDO (1907-1996)
    Hilda DIANDA (1925)

    Australie

    XIXe / XXe siècle
    May BRAHE (1885-1956)

    XXe siècle
    Mary MAGEAU (1934) [originaire des États-Unis]

    Autriche

    XVIIIe siècle
    Marianne d’AUENBRUGG ( ? -1786)

    XVIIIe / XIXe siècle
    Maria Anna MARTINEZ (1744-1812)
    Maria Theresia von PARADIS (1759-1824)
    Katharina CIBBINI (1790-1858)

    XIXe / XXe siècle
    Alma MAHLER-WERFEL (1879-1964)
    Grete von ZIERITZ (1899- 2001)
    XXe siècle
    Silvia SOMMER (1944)

    Azerbaïdjan
    XXe siècle
    Franguiz ALI-ZADE (1947)

    Belgique

    XVe/XVIe siècle
    Marguerite d’Autriche (1480-1530)

    XIXe / XXe siècle
    Eva dell ACQUA (1860-1930)
    Lucie VELLERE (1896-1966)

    XXe siècle
    Rose THISSE-DEROUETTE (1902)
    Claire LEPLAE (1912)
    Berthe DI VITO-DELVAUX (1915)
    Nini BULTERIJS (1929)
    Jacqueline FONTYN (1930)
    Jacqueline NOVA (1937 - 1975)
    Joanna BRUZDOWICZ (1943) [originaire de Pologne]

    Bolivie
    XXe siècle
    Teresa LAREDO ( ? )

    Brésil
    XXe siècle
    Vania Dantas LEITE (1945)

    Canada

    XIXe / XXe siècle
    Sophie-Carmen ECKHARDT-GRAMATTE (1899-1974)

    XXe siècle
    Barbara PENTLAND (1912-2000)
    Elma MILLER (1954)
    Linda BOUCHARD (1957)

    Corée

    XXe siècle
    Younghi PAGH-PAAN (1945)

    Danemark

    XXe siècle
    Gudrun LUND (1930)
    Birgitte ALSTED (1942- )
    Irène BECKER (1954- )

    Espagne

    XIXe / XXe siècle
    Maria GREVER (1884-1951)

    XXe siècle
    Maria de ALVEAR (1960- )

    Estonie

    XXe siècle
    Ester MÄGI (1922- )

    Etats-Unis

    XIXe / XXe siècle
    Amy BEACH (1867-1944)
    Maria GREVER (1884-1951) [originaire d’Espagne]
    Rebecca CLARKE (1886-1979) [originaire d’Angleterre]

    XXe siècle
    Ruth CRAWFORD-SEEGER (1901-1953)
    Lilian FUCHS (1903- 1991)
    Myriam GIDEON (1906- )
    Louise TALMA (1906- )
    Ann MACMILLAN (1923- )
    Cathy BERBERIAN (1925-1983)
    Marga RICHTER (1926- )
    Mary Jeanne VAN APPLEDORN (1927- )
    Arline DIAMOND (1928- )
    Betty JACKSON KING (1928- )
    Ursula MAMLOCK (1928- )
    Ann Loomis SILSBEE (1930- )
    Nancy VAN DE VATE (1930- )
    Lucia DLUGOSZEWSKI (1931- )
    Joyce MEKEEL (1931- )
    Pauline OLIVEROS (1932- )
    Gitta STEINER (1932-1990)
    Mary MAGEAU (1934- )
    Vivian RUDOW ADELBERG (1936- )
    Katherine HOOVER (1937- )
    Gloria COATES (1938- )
    Joan Peabody TOWER (1938- )
    Barbara KOLB (1939- )
    Ellen Taaffe ZWILLICH (1939- )
    Kay GARDNER (1941- )
    Maryanne AMACHER (1942- )
    Meredith MONK (1942- )
    Alice SHIELDS (1943- )
    Pril SMILEY (1943- )
    Dianda GALAS ( ? )
    Barbara HELD ( ? )
    Janice GITECK (1946- )
    Daria SEMEGEN (1946- )
    Sheila SILVER (1946- )
    Joan LA BARBARA (1947- )
    Faye-Ellen SILVERMAN (1947- )
    Bernadette SPEACH (1948- )
    Jane BROCKMAN (1949- )
    Libby LARSEN (1950- )
    Anne LEBARON (1953- )
    Kate WARING (1953- )
    Kim SHERMAN (1954- )
    Alicyn WARREN (1955- )
    Laura KAMINSKY (1956- )
    Frances WHITE (1960- )
    Augusta Read THOMAS (1964- )
    Vanessa LANN (1968- )

    Finlande

    XXe siècle
    Kaija SAARIAHO (1952- )

    France

    XIIe / XIIIe siècle
    Béatrice de Die (v.1160-1212)
    Blanche de Castille (1188-1252)

    XVIIe / XVIIIe siècle
    Élisabeth JACQUET de LA GUERRE (1666/7-1729)

    XVIIIe siècle
    Marie-Antoinette (1755-1793)

    XVIIIe siècle
    Thérésia DEMAR (1801- ? )
    Louise FARRENC (1804-1875)
    Louise Angélique BERTIN (1805-1877)

    XIXe / XXe siècle
    Pauline VIARDOT-GARCIA (1821-1910)
    Cécile CHAMINADE (1837-1944)
    Augusta HOLMES (1847-1903)
    Guy d’HARDELOT (1858-1936)
    Henriette RENIE (1875-1956)
    Lili BOULANGER (1893-1918)
    Nadia BOULANGER (1887-1979)
    Germaine TAILLEFERRE (1892-1983)
    Marcelle de MANZIARLY (1899-1989)

    XXe siècle
    Marguerite MONNOT ( ? -1961)
    Claude ARRIEU (1903- )
    Madeleine PERISSAS (1906-1971)
    Yvonne DESPORTES (1907-1993)
    Paule MAURICE (1910-1967)
    Yvonne DALY (1918- )
    Adrienne CLOSTRE (1921- )
    Jeanne DEMESSIEUX (1921-1968)
    Janine RUEFF (1922- )
    Monique GABUS (1924- )
    Ida PRESTI (1924-1964)
    Eliane RADIGUE (1924- )
    Jeannine RICHER (1924- )
    Denise ROGER (1924- )
    Ginette KELLER (1925- )
    Betsy JOLAS (1926- )
    Ida GOTKOVSKI (1933- )
    Lucie ROBERT (1936- )
    Isabelle ABOULKER (1938- )
    Michèle BOKANOVSKI (1943- )
    Michèle REVERDY (1943- )
    Françoise BARRIERE (1944- )
    Christine MENNESSON ( ? )
    Joëlle LEANDRE (1951- )
    Karen TANAKA (1961- ) [originaire du Japon]

    Hongrie

    XXe siècle
    Erzsébet SZÖNY (1924- )
    Katalin POCS (1963- )

    Israël

    XXe siècle
    Verdina SHLONSKY (1909/13-1990)
    Zippi FLEISCHER (1946- )
    Shulamit RAN (1949- )

    Islande

    XXe siècle
    Karolina EIRIKSDOTTIR (1951- )

    Italie

    XVIe siècle
    Maddalena CASULANA DE MEZARII (v.1540-v.1583)

    XVIe / XVIIe siècle
    Francesca CACCINI (v.1581-v.1640)
    Gracia BAPTISTA (16e - 17e s.)

    XVIIe siècle
    Barbara STROZZI (1619-v. 1664)

    XVIIe / XVIIIe siècle
    Camilla DE ROSSI (fin XVIIe / XVIIIe siècle)

    XVIIIe siècle
    Maddalena SIRMEN LOMBARDINI (v.1735-v.1800)
    Anna BON DI VENEZIA (1738/40-1767)

    XIXe / XXe siècle
    Adelina PATTI (1843-1919)

    XXe siècle
    Ada GENTILE (1947- )
    Serena TAMBURINI (1948- )

    Japon

    XXe siècle
    Keiko ABE (1937- )
    Toyoko YAMASHITA (1942- )
    Izumi NAKAGAWA ( > 1945)
    Mayako KUBO (1947- )
    Karen TANAKA (1961- )

    Norvège

    XIXe / XXe siècle
    Agathe BACKER-GRONDHAL (1847-1907)

    XXe siècle
    Maj SONSTEVOLD (1917- )
    Ruth BAKKE (1947- )
    Cecilie ORE (1954- )

    Nouvelle-Zélande

    XXe siècle

    Annea LOCKWOOD (1939- )

    Pays-Bas

    XIXe / XXe siècle

    Catharina VAN RENNES (1858-1940)
    Elisabeth KUYPER (1877-1953)
    Rosy WERTHEIM (1888-1949)
    Henriette BOSMANS (1895-1952)

    XXe siècle

    Iet STANTS (1903-1968)
    Tera de MAREZ OYENS (1932- )
    Margriet HOENDERDOS (1952- )

    Pologne

    XVIIIe / XIXe siècle
    Maria SZYMANOWSKA (1789-1831)

    XVIIIe siècle
    Tekla BADARZEWSKA-BARANOWSKA (1834-1861)

    XXe siècle
    Grazyna BACEWICZ (1913-1969)
    Janina GARSCIA (1920- )
    Krystyna MOSZUMANSKA-NAZAR (1924- )
    Barbara NIEWIADOWSKA (1938- )
    Joanna BRUZDOWICZ (1943- )
    Marta PTASZYNSKA (1943- )

    Tchèquie

    XXe siècle
    Jana OBROVSKA (1930- )
    Ivana LOUDOVA (1941- )

    Roumanie

    XXe siècle
    Carmen PETRA-BASACOPOL (1926- )
    Myriam MARBE (1931- )
    Adrianna HÖLSZKY (1943- )

    Royaume-Uni

    XVIe siècle
    Ann BOLEYN (v.1507-1536)

    XVIIIe siècle
    Elisabetta de GAMBARINI (1731-1765)
    Cecilia Maria BARTHELEMON (v.1770- ? )

    XVIIIe / XIXe siècle
    Mary Hester PARK (1775-1822)

    XVIIIe siècle
    Mary PLUMSTEAD (1805-1890)
    Jane SCOTT-SPOTTISWOODE (1810-1900)

    XIXe / XXe siècle
    Annie FORTESCUE HARRISON (1851-1944)
    Maude Valérie WHITE (1855-1937)
    Ethel Mary SMYTH (1858-1944)
    Amy WOODFORDE-FINDEN (1860-1919)
    Liza LEHMANN (1862-1918)
    Teresa DEL RIEGO (1876-1968)
    Myra HESS (1890-1965)

    XXe siècle
    Priaulx RAINIER (1903-1986)
    Elisabeth POSTON (1905-1987)
    Elisabeth LUTYENS (1906-1983)
    Grace WILLIAMS (Ecosse) (1906-1977)
    Imogen HOLST (1907- )
    Elisabeth MACONCHY (1907-1994)
    Dilys ELWYN-EDWARDS (Ecosse) (1920- )
    Madeleine DRING (1923-1977)
    Thea MUSGRAVE (Ecosse) (1928- )
    Nicola LEFANU (1947- )
    Sylvia HALLET (1953- )
    Judith WEIR (Ecosse) (1954- )
    Evelyn GLENNIE (Ecosse) (1965- )

    Russie

    XXe siècle

    Galina USTVOLSKAYA (1919- )
    Sofia GUBAÏDULINA (1931- )
    Elena FIRSOVA (1950- )
    Tatiana KOMAROVA (1968- )

    Slovaquie

    XXe siècle
    Viera JANARCEKOVA (1941- )

    Suède

    XIXe / XXe siècle
    Amanda MAIER (1853-1894)
    Laura NETZEL (1839-1927)
    Elfrida ANDREE (1841-1929)
    Laura Valborg AULIN (1860-1928)
    Alice TEGNER (1864-1943)

    XXe siècle
    Kerstin JEPPSON (1948- )
    Ase HEDSTROM (1950- )

    Suisse

    XXe siècle
    Marianne SCHROEDER ( ? - )
    Tona SCHERCHEN-HSIAO (1938- )

    Uruguay

    XXe siècle
    Graciela PARASKEVAIDIS (1940- )

    #on_ne_les_entend_jamais #musique #femmes

  • Les data en forme | Paule d’Atha
    http://owni.fr/2012/10/09/les-data-en-forme-episode-51

    Nouvel épisode des « data en forme » et nouvelle livraison de visualisations de données. Au menu de cette semaine : de la Bretagne, du Luxembourg, de la Marine, des ballons, des tonalités de scarabées et des données exposées. Bon datappétit.

    #Chronique #Data #beatles #geoportail #guardian.co.uk #insee #juncker #london_2012 #Obama #Première_guerre_mondiale #Rennes #romney #Royal_Navy #wort.lu

  • Les data en forme | Paule d’Atha
    http://owni.fr/2012/10/01/les-data-en-forme-episode50

    Pour cette cinquantième édition de notre chronique hebdo des données belles à regarder, nous vous emmenons en Italie, en Afrique du Sud, en Afghanistan et au coeur de la Maison Blanche, une #bière à la main... Avec en bonus un voyage dans le datajournalisme au XIXè siècle !

    #Chronique #Cultures_numériques #Data #afghanistan #compétitivité #data_en_forme #information_is_beautiful #Johannesbug #mathématiques #USA_2012

    • Non non, pas dans l’indifférence générale. Ce moment est au contraire très attendu par ceux qui font du business à courte vue. D’une part, ça donnera accès aux ressources naturelles qui se trouvent sous la banquise, d’autres part cela ouvrira de nouvelles voies navigables pour les transporter.

  • GREENPRIDE : DÉFILÉ
    Dimanche 7 octobre : 14:30 — 17:30 Défilé de la #GreenPride
    Défilé éco-conçu et déguisé sur le thème « Animaux, Végétaux, Super-Héros » dans les rues de Paris.
    L’évènement est organisé à l’initiative de Greenpeace, GoodPlanet, France Nature Environnement, Autolib, Le Collectif Appel de la Jeunesse, le Réseau Environnement Santé, Respire, Le Réseau Français des Etudiants pour le Développement Durable , Les 2 Vaches, 1% pour la Planet, My Biotiful Bag et autres structures qui animeront le cortège.

    On y verra entre autre les #Garden-tricycles et #Dadagreen en vélos de Paule Kingleur, maitresse en art urbain, ludique et éco-spontané
    http://www.parislabel.com/tag/paule-kingleur

    #Paule_kingleur

  • Les data en forme | Paule d’Atha
    http://owni.fr/2012/09/24/les-data-en-forme-episode49

    Cette semaine en vedette dans la veille data nouvelle formule, une magnifique #infographie en parallaxe sur l’eau virtuelle, des bubulles dans Le Monde, la guerre, la santé, les migrations, OSM et un générateur de mème qui se paie la fiole de Mitt Romney.

    #Chronique #Cultures_numériques #Data #angela_morelli #d3.js #data_en_forme #eau_virtuelle #modest_maps_js #open_street_map #raphael.js #romneymakes #virtual_water

  • Les data en forme | Paule d’Atha
    http://owni.fr/2012/09/17/les-data-en-forme-48

    Cette semaine, la veille des journalistes de données d’Owni vous emmène aux côtés des petits poissons, des gros donateurs des élections US, des contributeurs et « trices » de Wikipédia, au fond des finances des croyants et au coeur des molécules d’air. Embarquez pour ce 48ème épisode !

    #Chronique #Data #data_en_forme #élections_américaines #lazerLAB #pollution #religion #surpêche #washington_post #wikipedia

  • Les data en forme | Paule d’Atha
    http://owni.fr/2012/09/11/les-data-en-forme-episode47

    La 47e chronique de la veille du datajournalisme selon Owni vous embarque dans un livre aux millions de couleurs, l’inflation en temps réel, les dépenses des parlementaires, les secrets du graphe Facebook et des #fractales naturelles.

    #Chronique #Cultures_numériques #Data #atlas_colorimétrique #data_en_forme #dépenses_parlementaires #facebook_stories #google_earth #infographie #tauba_aurebach