• L’Université catholique de Lille aura une nouvelle licence de journalisme à la rentrée 2023 Margot Nicodème
    https://actu.fr/hauts-de-france/lille_59350/l-universite-catholique-de-lille-aura-une-nouvelle-licence-de-journalisme-a-la-

    L’Université catholique de Lille intègre à sa Faculté des lettres et sciences humaines une nouvelle formation : une licence "Métiers du journalisme". Présentation le 26 novembre.

    L’Université catholique de Lille ajoute une nouvelle formation à son panel déjà large : celle de journalisme, qui sera rattachée à la Faculté des lettres & sciences humaines (FLSH), dès la rentrée 2023. Il s’agira d’une licence, en trois ans donc, plutôt sélective puisque l’équivalent d’une seule classe sera formé, à savoir 24 élèves (avec une sélection sur dossier). Afin de garantir un enseignement de qualité.

    Sciences humaines, journalisme et culture G
    « Avec une sélection sur dossier et 24 places disponibles seulement au sein de la première promotion, la formation se veut exigeante et promet un suivi individualisé des élèves afin de maximiser leurs chances d’intégrer un master ou une grande école de journalisme », indique-t-on du côté de la Catho. 

    La licence nommée « Métiers du journalisme » se basera sur un programme de 25 heures de cours par semaine, et sera ainsi divisée :

    • Enseignement des fondamentaux de sciences humaines : histoire, littérature, philosophie, sciences politiques, sciences de la communication)
    • Disciplines du journalisme : questions d’actualité, éthique, initiation au journalisme dans tous les médias, français, anglais)
    • Culture générale

    À l’origine de ce nouveau cursus, Jérôme Roudier, docteur en philosophie, et Loïc Laroche, responsable du Master journalisme et histoire à la FLSH, qui « se sont rendus compte qu’une année de prépa ne permettait pas forcément d’obtenir les compétences journalistiques, l’autonomie et l’originalité nécessaires pour entrer dans les grandes écoles ».

    Une présentation de la licence le 26 novembre
    Les studios radio et TV de qualité professionnelle du Médialab de la FLSH permettront aux arrivants de se perfectionner. Des stages, non obligatoires, seront possibles.

    Pour en savoir davantage sur cette nouvelle formation, rendez-vous aux portes ouvertes de l’Université catholique, samedi 26 novembre 2022. La conférence « Les études vers le journalisme » sera donnée à 11h15 par Loïc Laroche et Jérôme Roudier.

    #esj #médias #journalisme #presse #merdias #propagande #information #journuliste #clergé_médiatique #lille #esj_lille #_journaliste

  • Reste 16% des Français.e.s qui ont encore confiance dans les journalistes sondage Ipsos - 25 Octobre 2021
    Source : https://www.ipsos.com/fr-fr/seuls-16-des-francais-declarent-faire-confiance-aux-journalistes

    Les Français sont unanimes, les métiers qui leur inspirent le plus de confiance sont les médecins (64%, vs. 8% n’ayant pas confiance), devant les scientifiques (56%).

    Les enseignants arrivent en troisième position à l’échelle mondiale (à 54%), mais seulement en quatrième position du côté de la France (à 51%), où ils sont devancés par les militaires : 52 % des Français déclarent faire confiance aux membres des forces armées, contre seulement 41% de la population mondiale. A noter que les Etats-Unis placent l’armée en seconde position : ils sont, après les médecins, le corps de métier envers lequel ils ont le plus confiance.

    Les fonctionnaires ont également la confiance de plus de 3 Français sur 10 (32%), en faisant un des pays les plus favorables à cette profession (+9 points par rapport à l’opinion mondiale).

    Les politiques sont clairement pointés du doigt : plus d’un Français sur deux (54%) les considère comme les personnes en qui ils ont le moins confiance (vs. 63% dans le monde). Ils ne se fient pas davantage aux membres du gouvernement, ils ne sont que 10% à leur faire confiance, ex-aequo avec la classe politique en général.

    Ce sont ensuite les publicitaires qui suscitent le plus la méfiance des Français (48%), parmi les nations les moins favorables. Enfin, les banquiers génèrent eux aussi beaucoup de défiance (41% des Français), loin devant la moyenne mondiale (34%).

    Ils sont suivis de près par les journalistes, qui n’ont la confiance que de 16% des Français (contre 24% pour la population mondiale).

    #propagande #journuliste #merdias #propagande #clergé_médiatique #médias #esj #information #académie_esj #presse #médias

  • « Le suicide du journalisme », Laurent Mucchielli

    Face à la crise sanitaire, les médias ont abandonné leur rôle de contre-pouvoir pour devenir des communicants de la doxa officielle.
    Une analyse de Laurent Mucchielli, sociologue, directeur de recherche au CNRS.

    https://www.youtube.com/watch?v=HeGwSpEUqc0

    #Décryptage #Laurent_Mucchielli #Société #propagande #clergé_médiatique #journalisme #médias #france #censure #merdias #journullistes #mass_merdias #médiacrates #journulliste #presse achetée #enfumage #imposture #coronavirus #covid-19

  • Sondage : plus de la moitié des Slovaques souhaitent que la Russie remporte le conflit
    https://fr.news-front.info/2022/09/15/sondage-plus-de-la-moitie-des-slovaques-souhaitent-que-la-russie-rem

    Plus de la moitié des citoyens slovaques soutiennent la Russie dans le conflit en Ukraine. C’est le résultat d’un sondage publié par la publication en ligne Dennik N, basée à Bratislava.

    La publication rapporte que l’enquête sociologique a été menée par l’Académie slovaque des sciences, ainsi que par MNFORCE et Seesame. Le questionnaire ne comportait qu’une seule question : « Comment souhaitez-vous que le conflit en Ukraine prenne fin ? 1100 personnes ont répondu à cette question. 20,6 % d’entre elles souhaitent sans équivoque une « victoire nette » de la Russie, tandis que 19,9 % s’attendent à une victoire des Ukrainiens.

    « En général, plus de la moitié des personnes interrogées souhaitent que la Russie gagne, tandis qu’environ un tiers souhaite que l’Ukraine gagne. Presque un cinquième (17,9 %) n’est pas prêt à répondre à cette question », indiquent les résultats de l’enquête.

    L’enquête a été menée du 15 août au 5 septembre.

    • L’Europe n’a pas la même opinion des Russes que ce que les médias occidentaux (surnommés #merdias) nous laissent croire.

      Ce qui est intéressant, c’est qu’à l’ère de l’internet, cette conclusion peut être tirée sans sondage. Il suffit de regarder quelques centaines de vidéos d’un pays européen sur YouTube. Il suffit de connaître un peu la langue. L’auteur de ces lignes a organisé une soirée de visionnage. Et par conséquent, il est arrivé exactement à la même conclusion que les sociologues slovaques.

      Et non seulement ça. Il s’avère que l’attitude à l’égard de Poutine, de la Russie et des Russes est positive non seulement en Europe, mais pratiquement dans toute l’Amérique continentale – au nord comme au sud.

      En Slovaquie, du fait que la Russie est proche, que le pays est une destination touristique et que les Slovaques eux-mêmes sont ethniquement proches des Russes, la tendance est plus prononcée.

      Pour ceux qui ont commandé et payé le scrutin slovaque, il semble que le résultat soit contraire à ce qu’ils attendaient. Et maintenant les clients se demandent ce qu’il faut faire. Comme ils ne trouveront probablement aucune solution (et se contenteront de « suspendre » la situation), nous allons les aider.

      Raisons objectives à la « bonne attitude à l’égard des Russes » en Europe.

      – La première. L’Europe a connu l’épreuve du fascisme et de la Seconde Guerre mondiale en son temps. Cela représente des dizaines de millions de cadavres, dont des Européens. Des gens ont été abattus, torturés, pendus, brûlés vifs dans des chambres à gaz. Des peuples entiers ont été accusés et soumis à l’extermination. En Europe (y compris en Slovaquie), personne n’a rien oublié. Et pas si loin de la Slovaquie se trouve le village de Lidice, dont les habitants ont été fusillés pour le meurtre du SS Reinhard Heydrich, qui militait pour la « solution finale à la question juive ».

      Les Européens qui réfléchissent ne se sont jamais trompés sur le fait que le fascisme renaîtrait tôt ou tard. Et qu’il reviendrait. Leurs leaders d’opinion – philosophes, écrivains, publicistes – en parlaient constamment. Le sujet du renouveau du fascisme est devenu un sujet de discussion particulièrement fréquent après la chute du mur de Berlin. Il est vrai qu’à l’époque, tout le monde pensait que cela se passerait en Allemagne, par vieux souvenir. Après l’effondrement du camp socialiste en Europe de l’Est, tous les analystes et pronostiqueurs pensaient que le néofascisme allait renaître quelque part en Europe de l’Est.

      Les nouveaux architectes du fascisme ont parié sur l’Ukraine. De manière caractéristique, le nazisme en Ukraine a été encouragé par les Américains et les Britanniques insulaires, que l’ensemble de l’Europe continentale considérait, pour ne pas dire plus, avec une énorme suspicion et d’énormes préjugés.

      Mais le nazisme, par sa nature même, exige des sacrifices. Et comme victime, les « architectes du mal » ont à nouveau choisi la Russie. L’Ukraine a été choisie comme outil. Et le public européen, qui a une mémoire et une réflexion historiques, le comprend. Et c’est la seule raison pour laquelle ils ont a priori de la sympathie pour les Russes.

      – Presque tous les Européens, contrairement aux Ukrainiens, ne se font aucune illusion sur leurs propres médias. Un « journaliste corrompu » pour l’Européen moyen est autant un cliché que la bière tchèque, la bière anglaise ou le whisky irlandais. Et quoi qu’ils écrivent dans leurs opus dénigrant la Russie et louant l’Ukraine, leurs panégyriques, feuilletons et pamphlets sont perçus par les Européens avec un certain scepticisme. Ils respectent beaucoup plus les rapports vidéo des journalistes indépendants qui ont été sur le champ de bataille.

      – La partie ukrainienne n’autorise pas les journalistes à se rendre sur la ligne de front, qu’il s’agisse des leurs ou de personnes extérieures. Nous si. Mais seulement ceux qui ne viennent pas dans le but de faire des racontars sur un nouveau Boutcha. Malheureusement, ils ne sont pas si nombreux. Mais il y en a. En France, il s’agit d’Adrien Boquet et d’Anne-Laure Bonnel. En Allemagne, la journaliste et blogueuse Aline Lipp et le publiciste Ulrich Heiden. En Angleterre, il s’agit de Graham Phillips. En Italie – Francesco Borgonovo, Mattia Sorbi, Eliseo Bertalasi. Mattia Sorbi s’est fait exploser sur une mine ukrainienne alors qu’il collectait des matériaux. Maintenant, il est à l’hôpital. Tous ces blogueurs indépendants ont une audience de plusieurs millions de personnes dans leur pays. Et la junte de Kiev apparaît extrêmement peu flatteuse dans ces rapports.

      – Les vidéos de torture et d’exécution de prisonniers russes, que les forces armées ukrainiennes ont elles-mêmes publiées sur Internet, ont également contribué à faire tomber les masques du régime de Kiev. Une seule de ces vidéos suffirait à consterner l’opinion publique européenne face à la cruauté pathologique du régime de Kiev. Et des dizaines de ce genre de vidéos ont été postées, surtout dans les premiers jours de l’opération.

      – Il y a pas mal de pays en Europe dont l’une des principales sources de revenus est le tourisme – Grèce, Espagne, Italie, Bulgarie, Monténégro. Ces dernières années, des millions de touristes en provenance de Russie et d’Ukraine ont traversé ces pays. Les Européens ont eu l’occasion de comparer. Alors que les Russes, dans leur écrasante majorité, n’ont jamais été agressifs, les Ukrainiens étaient littéralement déchirés par la haine envers les Russes qui passaient leurs vacances avec eux dans les mêmes hôtels et prenaient le soleil sur les mêmes plages.

      – Les Européens ne se font aucune illusion sur leurs propres dirigeants, qui ont vendu la souveraineté de leur pays à l’Oncle Sam. Ils sont bien conscients que leurs dirigeants sont les marionnettes obéissantes de marionnettistes étrangers. Le journal français Charlie Hebdo produit des caricatures si venimeuses contre Macron et Zelensky qu’elles font dresser les cheveux sur la tête. Zelensky est montré dans chacune d’elles comme un chien frissonnant promené par l’Oncle Sam. Tandis que Poutine a l’air digne, même dans les caricatures. Car il n’est pas une marionnette. Et il ne fait pas commerce de la souveraineté de son pays.

      Il n’y a donc rien de surprenant dans les résultats du sondage slovaque. Le peuple comprend que la Russie en Ukraine se bat contre le retour du fascisme. Et, contrairement à ses dirigeants déconnectés, ils leur souhaitent logiquement la victoire.

      #médias #propagande #journullistes #médiacrates #mass_merdias #journulliste #presse #enfumage #imposture #journalisme #clergé_médiatique

    • Il faut dire aussi, que les peuples de l’ #union_européenne ont eut le loisir d’admirer la nature véritable de leurs dirigeant.e.s.

      La meilleure étant #ursula_von_der_leyen , élue par personne, avant tout déléguée aux intérêts des compagnies pharmaceutiques, qui a bloqué l’arrivée du gaz Russe en europe, et nous explique comment se laver les mains.
      => https://seenthis.net/messages/972346

      https://www.youtube.com/watch?v=sLa_QiWulPE

      L’existence de cette vidéo, nous permet de conclure que cette femme se lave les mains de SES décisions mortifères.

      S’exprimant à l’université de Princeton aux Etats-Unis d’où elle menaçait l’Italie, la présidente de la commission européenne, ursula von der leyen, a fait part de son opposition aux appels à un cessez-le-feu en Ukraine.

      Bonus, vidéo : https://rumble.com/v1hl8zn-fox-news-biden-veut-diriger-le-nwo-au-risque-dune-catastrophe-nuclai

  • Ukraine : quand le journalisme s’égare - Vu du Droit Régis de Castelnau - vududroit.com
    https://www.vududroit.com/2022/08/ukraine-quand-le-journalisme-segare

    La liberté d’information dans un monde globalisé n’est pas en très grande forme. En Occident, le système médiatique représenté par la presse écrite et audiovisuelle est entièrement entre les mains de puissantes oligarchies qui entendent bien mettre leurs médias au service du maintien d’un ordre politique et social qui assure leur domination fructueuse. Internet comme espace de liberté pourrait être un formidable un outil de ré-information, mais parfaitement conscients du danger, les mêmes grands intérêts, s’efforcent d’y contrôler strictement l’expression.

    L’Occident malade de sa presse
     L’élection présidentielle américaine de 2020 a été de ce point de vue un épisode assez sidérant. Qui a vu la presse américaine prendre résolument et massivement parti pour Joë Biden pendant que les GAFAM mettaient en place un système de filtrage et de censure de ses adversaires que l’on peut qualifier de totalitaire. Il n’est pas besoin de suivre Trump sur ses accusations de trucage du scrutin lui-même, pour constater qu’au regard des standards juridiques internationaux relatifs aux règles qui assurent « la sincérité du scrutin » , l’élection présidentielle américaine de 2020 a été irrégulière. Situation identique en France et au sein de l’Union Européenne, où la liberté d’expression est un combat, avec la domination d’une oligarchie et la nécessité de sans cesse s’opposer aux tentatives récurrentes visant à empêcher les réseaux d’être un outil de débat contradictoire face à la propagande produite par le système.

    Comment alors s’étonner de la défiance des opinions publiques vis-à-vis de la presse en général et des journalistes en particulier. Toutes les études d’opinion sont de ce point de vue absolument calamiteuses et les journalistes sont les plus déconsidérée, souvent devant les politiques eux-mêmes ! En France, près de 70 % des Français les considèrent, ni indépendants, ni objectifs et soumis au pouvoir et à l’argent. Comment s’étonner que la diffusion en kiosque et points de vente, de la presse écrite nationale pourtant gavée de subventions, ait été divisée par deux en cinq ans pour se situer à des chiffres grotesques ! La situation est encore pire aux États-Unis, où la presse avait pourtant depuis longtemps un statut et une réputation démocratique importante. La société transnationale Gallup, un des premiers opérateurs mondiaux dans le domaine des sondages et des études d’opinion, vient de publier son bilan annuel https://dernieres-nouvelles.com/la-confiance-des-americains-dans-les-medias-atteint-un-niveau-r concernant la confiance de l’opinion publique américaine dans ses médias. Et c’est ainsi que l’on apprend que seulement 11 % de la population américaine conservent leur confiance dans les médias télévisuels, alors que 89 % pensent qu’ils mentent !

    Quand l’information n’est plus que propagande
    C’est dans ce contexte médiatique particulier qu’a commencé la guerre en Ukraine. Ce qui a permis d’assister incrédule, à un déferlement de propagande où la bêtise le disputait au racisme. Mais où régnait surtout le mensonge, que ce soit directement ou par omission. C’est Emmanuel Macron affirmant le 24 mars au sommet de l’OTAN : « L’économie russe est en cessation de paiement, (…) son isolement est croissant » . La rodomontade se transformant rapidement en mensonge puisque les pays qui refusent de condamner et de sanctionner la Russie représentent 82 % de la population mondiale. C’est Bruno Lemaire ne voyant aucun inconvénient à passer pour un imbécile en annonçant triomphalement : « Les sanctions sont d’une efficacité redoutable. Nous allons livrer une guerre économique et financière totale à la Russie. Nous allons provoquer l’effondrement de l’économie russe. » C’est Jean-Luc Mélenchon rappelant à juste titre la position diplomatique de la France initiée par le général de Gaulle, sur l’existence « d’une seule Chine » , pour se faire immédiatement accuser de « soutenir les dictateurs »  !

    Ce sont les soi-disant experts de plateaux télévisés, de la presse et des réseaux, aux compétences en général limitées qui n’hésitent pas à raconter n’importent quoi. Mais c’est surtout l’effondrement déontologique des journalistes quand 90 % d’entre eux oubliant toute morale professionnelle, se transforment en petits télégraphistes acharnés du récit médiatique concocté par les officines opaques entourant Zelensky, le bateleur de Kiev, et n’ayant rien à voir avec ce qui se passe réellement sur le terrain. Le mensonge éhonté mis au service d’une guerre de la communication, pour l’utilisation duquel Zelensky a quant à lui, répétons-le, l’excuse de le faire pour ce qu’il pense être les intérêts de son pays. C’est la volonté furieuse de minimiser la présence et l’influence néonazies en Ukraine https://www.vududroit.com/2022/06/le-retour-des-assassins-de-la-memoire , et ce contre des évidences admises en Occident il y a encore quelques mois. C’est le silence obstiné sur les bombardements des populations civiles du Donbass par l’armée ukrainienne, l’adoption immédiate du narratif inepte d’une armée russe écrasée qui irait jusqu’à se bombarder elle-même etc. etc.

    Il se trouve que les opinions publiques occidentales considérées comme des troupeaux de moutons pouvant avaler n’importe quoi, ont pourtant commencé à réagir. Il est probable que la bêtise et le fanatisme finisse, et c’est tant mieux, à produire l’effet inverse à celui qui est recherché. Au sein de l’Union Européenne, nombreux sont les pays où les populations mesurant probablement les enjeux économiques et stratégiques, mais également le caractère peu recommandable au plan moral du régime de Kiev, sont désormais opposées au soutien sans mesure à lui apporté. Avec maintenant un refus du régime des sanctions, dont elles perçoivent l’effet boomerang, malgré l’aveuglement incompréhensible de leurs dirigeants.

    Les saints ne seraient plus des saints ?
    C’est probablement pour cela que se sont produit plusieurs événements médiatiques très significatifs. C’est d’abord le quotidien allemand « Die Welt » https://www.welt.de/kultur/plus240130237/Selenskyj-Offshore-Konten-und-Wagnergate-geheime-Geschaefte-des-Praesidenten.ht qui revient sur la vertigineuse corruption des gens au pouvoir à Kiev et en particulier celle de Zelensky lui-même. Avec la diffusion d’un documentaire accablant pour celui-ci https://www.youtube.com/watch?v=uVok_bID2pM&t=262s

    . Il y a aussi le retour des dénonciations de l’idéologie et des comportements des groupes néonazis ukrainiens incorporés à l’armée. Et surtout deux publications qui permettent de mesurer par les réactions qu’elles provoquent, la catastrophe démocratique dans le domaine de la presse en général et en France en particulier.

    C’est ensuite la chaîne de télévision CBS qui https://www.cbsnews.com/news/ukraine-military-aid-weapons-front-lines/?intcid=CNM-00-10abd1h diffuse un sujet selon lequel seule 30 % des armes données à l’Ukraine arrivent sur le front. Le reste disparaissant dans une forme de trou noir https://www.vududroit.com/2022/07/lukraine-comme-un-trou-noir . Il n’y avait rien de nouveau, et ce n’était pas un scoop, car ce sujet qui provoquait pas mal d’inquiétudes aux États-Unis, avait déjà été abordé. Mais, dans les bruits de l’orchestre ou plutôt du tintamarre du déferlement propagandiste, cela n’avait pas été relevé. La situation est aujourd’hui toute autre, puisque, que ce soit sur le terrain militaire en Ukraine ou sur le plan géostratégique mondial, la défaite de l’Occident commence à se profiler. Les fanatiques atlantistes en panique se sont immédiatement mobilisés et ont obtenu la censure de la vidéo ! Comme si CBS avait été une vulgaire officine au service de Poutine et financée par le FSB !

    Et puis il y a eu l’épisode Amnesty International https://www.youtube.com/watch?v=Hps6yEo0c6w

    . L’ONG occidentale probablement soucieuse de conserver un minimum de crédibilité a publié un rapport dans lequel elle accusait l’armée ukrainienne d’utiliser les civils, et notamment les populations du Donbass, comme boucliers humains. C’est une vieille histoire, puisque l’AFU s’étaient déjà signalée par ces méthodes pendant la guerre civile du Donbass. Et pour la présente guerre, ce n’était pas non plus un scoop, puisque France Télévisions, difficilement qualifiable d’officine poutinienne, s’en était elle aussi, émue dès le mois de mai dernier. Le phénomène était notoire, voire revendiqué par les militaires ukrainiens qui diffusaient des vidéos dans lesquelles on les voyait installer leur artillerie à proximité de bâtiments tels qu’hôpitaux, maternités, crèches écoles etc. Sans compter les civils retenus contre leur gré comme ce fut semble-t-il le cas dans les sous-sols d’Azovstall.

    On a alors assisté à une formidable levée de boucliers pour essayer d’étouffer l’expression de cette vérité qui permettait d’accéder à un réel qui ne s’écrit pas en noir et blanc. Ce furent d’abord les pressions sur l’O.N.G. afin qu’elle retire son rapport. Puis comme d’habitude les injures pour disqualifier le messager porteur de cette mauvaise nouvelle à valeur de blasphème : les Ukrainiens ne sont pas les saints et les héros que l’on nous a vendus. Ils sont aussi capables de faire une guerre sale, voire très sale.

    Le mensonge revendiqué
    Et enfin, ce qui constitue un sommet assez ahurissant de l’effondrement moral de la presse française. Après avoir tenté de réfuter l’évidence, le quotidien le Monde et l’hebdomadaire le Point se sont signalés par la conception qu’ils ont de leur métier. Celle de militants acharnés d’une cause au service de laquelle la fin justifie les moyens. C’est-à-dire l’utilisation sans vergogne du mensonge. Mais, si mentir pour un journaliste, pose déjà un sérieux problème, que dire du fait de revendiquer officiellement l’utilisation du mensonge.

    Il faut lire le tweet publié par Madame Faustine Vincent journaliste au monde : « ce n’est ni plus ni moins que cela, la responsabilité d’Amnesty : autoriser la Russie à assumer totalement… toute vérité n’est pas bonne à dire à n’importe quel moment. Et ça, on aurait pu espérer qu’Amnesty pense avant de lâcher sa bombe ».

    Donc si l’on comprend bien la déontologie et la morale de Madame Vincent, s’agissant de faits qui sont juridiquement des CRIMES DE GUERRE de l’armée ukrainienne, il est nécessaire de les cacher, et par conséquent de les COUVRIR. Parce que selon elle, pour battre le Russe, la fin justifie les moyens. Cette personne ne mesure même pas que c’est justement cette utilisation des crimes qui disqualifie la cause qu’elle croit défendre. On lui rappellera au passage que le Monde est un quotidien français et que jusqu’à nouvel ordre nous ne sommes pas en guerre avec la Russie.

    Dans le Point, Sébastien Le Fol emprunte le même chemin : « En mettant sur le même plan, dans un rapport, l’agresseur russe et l’agressé ukrainien, la célèbre ONG confirme sa dérive tendancieuse. » Ne pas mentir, dire la vérité c’est mettre sur le même plan l’agresseur et l’agressé. Donc une fois encore, la fin justifie les moyens ? On se moque bien des méthodes employées par les Ukrainiens du moment que c’est contre les Russes. On comprend mieux avec ces gens-là, le silence sur la guerre du Donbass depuis 2014, sur les bombardements, les massacres, et les exactions. On comprend mieux aussi le déni concernant le poids des néonazis en Ukraine. Pas grave, si c’est pour casser du russe, certains doivent penser, comme Fabius avec Al Nosra en Syrie, qu’ils font du « bon boulot ».

    Il est tout à fait légitime de prendre parti pour un camp, de considérer que la Russie a envahi l’Ukraine sans raison le 24 février dernier, qu’il faut s’opposer à cette agression, et que l’Ukraine a raison et qu’il faut aider sa cause. Mais lorsqu’on est journaliste, qu’on appartient à une profession réglementée et protégée, on a une responsabilité particulière. Avec une déontologie qui impose selon la charte de Munich un rapport objectif avec le réel et le refus du mensonge qui sinon transforme le journalisme en propagande. Et violer cette obligation et ce devoir engage sa responsabilité.

    Pour caractériser cette responsabilité, et sans bien sûr faire la moindre comparaison entre les actes et la période, on rappellera le sort de deux journalistes après la deuxième guerre mondiale. Robert Brasillach, qui n’avait tué personne, mais par ses écrits s’était mis au service de l’ennemi a été condamné et fusillé pour cela. Julius Streicher journaliste allemand qui avait mis les siens au service de l’antisémitisme nazi, et qui lui non plus n’avait tué personne, a été pendu à Nuremberg.

    Il n’est pas question évidemment de souhaiter un tel sort à nos journalistes égarés. Mais par le rappel de l’Histoire, d’ajouter à ce qu’avait dit de Gaulle à propos de Brasillach, sur « le talent titre de responsabilité ».

    Le métier de journaliste donne un statut, et lui aussi est un titre de responsabilité.

    #journalistes #information #médias #france #oligarchie #propagande #nazisme #fachisme #otan #guerre #esj #clergé_médiatique #académie_esj https://esj-lille.fr/academie-esj-lille.php?id_formation=40 #fanatisme #journuliste #merdias #clergé_médiatique #esj

  • Baisse de confiance envers les médias d’information au Canada, montre une enquête La Presse canadienne
    https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1891102/dnr-reuters-confiance-medias-information-baisse-canada

    L’année 2021, que l’on pourrait qualifier d’année de la vaccination, a porté un dur coup à la confiance des Canadiens à l’égard des médias d’information.

    Aussi, parallèlement à cette chute de confiance, les citoyens remettent de plus en plus en question l’indépendance des médias, alors qu’une vaste majorité d’entre eux se méfient des réseaux sociaux où ils disent avoir trouvé de fausses nouvelles, ce qui n’est rien pour aider les médias traditionnels dont les nouvelles côtoient ces contenus douteux sur le web.


    Selon une étude de l’Institut Reuters, la confiance à l’égard des nouvelles a reculé à 47 % chez les francophones canadiens au début de 2022. Photo : iStock

    Les données de l’État de situation du Centre d’études sur les médias (CEM) et de l’enquête NETendance publiées récemment faisaient état d’une forte progression de cette confiance. Toutefois, ces données se fondaient sur des enquêtes menées, respectivement, en janvier et février 2021 et en septembre 2021.

    Or, la plus récente des enquêtes, celle du volet canadien du Digital News Report de l’Institut Reuters (DNR) réalisée en janvier et février 2022, montre une chute marquée de cette confiance.

    Baisse marquée de la confiance
    Ainsi, après le bond favorable de 2021, la confiance à l’égard de “la plupart des nouvelles, la plupart du temps”, selon la définition du DNR, a reculé de sept points chez les francophones pour se situer à 47 % au début de 2022 et de cinq points chez les anglophones, où elle est à 39 % . Fait à noter, cet écart de confiance entre francophones et anglophones est une constante au fil des ans dans ce rapport.


    La pandémie est particulièrement riche en mauvaises nouvelles. - Photo : getty images/istockphoto / Moore Media

    Bien que le niveau de confiance canadien n’ait jamais été aussi faible, certains pays comme la Finlande (avec 69 %) devancent largement le Canada, dont le score global de 42 % devance la France (30 %).

    Plusieurs autres éléments mis au jour par le volet canadien de l’enquête du DNR s’alignent directement sur cette perte de confiance.

    Écarts entre francophones et anglophones
    Par exemple, lorsqu’on demande aux répondants si les médias d’information au pays sont indépendants du pouvoir politique, seulement un peu plus du quart d’entre eux répondent que oui. De même, près de 30 % des répondants jugent qu’ils sont indépendants du pouvoir économique. Il s’agit, respectivement, de baisses de 10 points de pourcentage dans le premier cas et de 9 points dans le second, et ce, sur une période de cinq ans, puisque le DNR a posé cette question pour la dernière fois en 2017.

    Par contre, les résultats ont peu bougé chez les francophones, dont la perception d’indépendance des médias est beaucoup plus positive que celle des anglophones. Ainsi, respectivement 38 % et 37 % les estiment indépendants d’influences politiques et économiques, contre 27 % et 28 % chez leurs compatriotes de langue anglaise.

    Par ailleurs, peu importe la langue, les répondants qui s’identifient à la droite politique sont plus nombreux à douter de l’indépendance des médias d’information que ceux de centre ou de gauche. Mais la tendance est encore plus marquée chez les anglophones de droite.

    Quant à la diversité de courants politiques exprimés dans les médias, la moitié des Canadiens n’en voient guère et affirment que l’ensemble des médias d’information du pays sont politiquement très proches ou assez proches les uns des autres.

    Quand on leur demande d’autre part si les médias sont davantage préoccupés par leurs propres intérêts que par ceux de la population en général, on obtient là aussi des résultats parlants.

    Les anglophones sont ainsi un peu plus nombreux (35 %) à penser que les intérêts commerciaux prédominent sur les intérêts de la société. Ils sont 29 % à penser l’inverse. Chez les francophones, 29 % déclarent que les entreprises de presse privilégient leurs intérêts commerciaux plutôt que ceux de la société, contre 25 % qui pensent l’inverse.

    Ils sont aussi 26 % à croire que les médias priorisent leurs propres opinions politiques devant les intérêts de la société, contre 27 % qui pensent le contraire. Sans surprise, là aussi, les répondants qui s’identifient comme étant de droite sont encore plus nombreux à croire que les médias placent leurs propres intérêts devant ceux de leurs auditoires.

    Abondance de fausses nouvelles
    Une autre part de la méfiance des Canadiens peut être attribuable au fait qu’ils rencontrent de plus en plus de fausses nouvelles sur le web. Les données sont inquiétantes, puisqu’elles semblent s’accompagner d’une certaine désensibilisation.

    Ainsi, en 2022 (tout comme en 2021 d’ailleurs) 71 % des Canadiens (73 % des anglophones et 65 % des francophones) ont dit avoir retrouvé des informations trompeuses en ligne, le plus souvent sur le coronavirus et sur la politique, au cours de la semaine précédant la tenue de l’enquête.

    Pourtant, au même moment, leur inquiétude à l’égard des fausses nouvelles en ligne a légèrement baissé entre 2021 et 2022. L’enquête nous apprend en effet que 60 % des Canadiens se disent préoccupés par la possibilité de démêler le vrai du faux sur Internet, une baisse de trois points de pourcentage.

    Comme par le passé, les anglophones (6 %, une baisse de 4 points de pourcentage) s’en soucient plus systématiquement que les francophones (48 %, un repli de 3 points).

    Méfiance marquée envers les réseaux sociaux
    On ne se surprendra pas, dans ce cas, de voir que les Canadiens n’ont guère confiance dans les réseaux sociaux. Seulement 18 % leur font confiance, en fait, comparativement à 26 % qui font confiance aux sites de nouvelles. Cette dernière donnée est intrigante, puisqu’elle montre un niveau de confiance significativement plus faible envers les médias d’information lorsqu’ils sont en ligne.

    Malgré tout, la proportion de répondants qui paient pour des nouvelles en ligne et pour l’accès à des nouvelles payantes continue de progresser.

    Éviter les (mauvaises) nouvelles
    Après deux pénibles années de pandémie, qui était en pleine cinquième vague au moment du sondage, on ne s’étonnera pas d’apprendre que sept Canadiens sur dix (71 %) disent avoir “activement évité” les nouvelles. C’est une hausse importante par rapport au sondage de 2019, soit bien avant que le mot pandémie ne devienne omniprésent, alors que ce pourcentage était de 58 %. Les femmes sont plus nombreuses que les hommes (67 %) à faire exprès pour ne pas s’exposer aux nouvelles.

    On ne se surprendra pas d’apprendre que les deux principales raisons d’éviter les nouvelles sont leur effet potentiel négatif sur l’humeur et une couverture trop axée sur des sujets tels que la politique ou la COVID-19.

    Parmi les autres raisons, on note, en ordre décroissant, l’épuisement engendré par une trop grande quantité d’informations à assimiler et une couverture jugée subjective ou peu fiable. Fait à noter, le sondage a été réalisé avant le déclenchement de la guerre en Ukraine et il y a fort à parier que la couverture intensive de celle-ci aurait également été évoquée parmi les raisons d’évitement des nouvelles.

    La télé toujours en tête ; Twitter marginal
    Le Digital News Report scrute chaque année la principale source de nouvelles des Canadiens et, en 2022, c’est toujours la télévision, à environ 40 %, qui remporte la palme, un pourcentage qui se maintient depuis 2020. À 25 %, les médias sociaux continuent leur ascension, mais ils restent toujours derrière les sites ou applications de nouvelles, qui se maintiennent autour de 27 % pour une troisième année.

    Fait à noter, lorsqu’on parle des médias sociaux, l’importance accordée à Twitter par de nombreux médias, chroniqueurs et commentateurs semble démesurée par rapport à son utilisation réelle par la population, du moins parmi les francophones. Les médias sociaux utilisés par les francophones pour lire, commenter ou partager des nouvelles sont, dans l’ordre, Facebook (50 %) , Messenger (27 %), TikTok (10 %), Twitter (6 %). Snapchat, en queue de peloton à 0 %, n’a apparemment aucun attrait pour l’information.

    Chez les anglophones, ce classement est complètement différent et réparti plus largement. Bien que les premières places soient aussi occupées par Facebook (34 %) et Messenger (14 %), suivent WhatsApp (9 %) et Reddit et TikTok (7 %) en dernière position.

    L’écoute de baladodiffusions, qui avait stagné entre 2020 et 2021, a repris son ascension. En 2022, 36 % des répondants au pays disent avoir écouté au moins un balado dans le mois précédant l’enquête (41 % des anglophones et 29 % des francophones), une hausse de trois points sur l’année précédente.

    Le DNR s’appuie sur un questionnaire en ligne administré par YouGov. Les données canadiennes sont calculées à partir d’un échantillon aléatoire de 2012 participants inscrits auprès de cette firme de sondage, dont 526 francophones. Un échantillon francophone autonome a par la suite été réalisé de façon à obtenir 1004 participants. Les données canadiennes ont été récoltées du 21 janvier au 21 février 2022. Les résultats sont pondérés pour représenter la population canadienne adulte.

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  • Crachats et injures envers des journalistes à Paris
    http://www.lessentiel.lu/fr/news/france/story/crachats-et-injures-envers-des-journalistes-a-paris-18701998

    Une équipe de l’« AFP » a été prise à partie lors d’une manifestation contre le pass sanitaire organisée samedi à Paris, devenant la cible de crachats et d’injures.

    Une équipe de l’AFP a été prise à partie lors d’une manifestation contre le pass sanitaire organisée samedi à Paris à l’appel du président des Patriotes Florian Philippot, devenant la cible de crachats et d’injures, ont indiqué ces journalistes. Chargées de couvrir le rassemblement au départ de Montparnasse (sud de Paris), deux journalistes reporters d’images (JRI) ont d’abord réalisé sans encombre des interviews. La situation s’est tendue au moment du départ du cortège, ont-elles raconté.


    « On était dans le carré de tête. Des cris, notamment "AFP Enculés" ont commencé à fuser », mais « tant que nous étions dans le carré, on se sentait plus ou moins protégées par le service de sécurité des organisateurs », ont-elles précisé.

    « Pour nous empêcher de filmer »
    Elles ont décidé de se mettre sur un banc pour filmer le début de la marche. C’est alors qu’« un homme a fait un doigt d’honneur à la caméra, trois ou quatre autres sont montés sur le banc pour nous empêcher de filmer » et un autre encore « a craché sur les jambes » d’une des reporters, a déclaré l’une d’elles. L’AFP a décidé de suspendre sa couverture en images de ce rassemblement.

    Lors d’un précédent rassemblement d’opposants au pass sanitaire, le 22 juillet devant le Sénat à Paris, des journalistes de BFMTV avaient été insultés et menacés physiquement par des manifestants. Les violences avaient été évitées grâce à deux agents de sécurité de la chaîne, selon l’un des journalistes présents. L’équipe avait renoncé à couvrir cette manifestation, et la chaîne avait annoncé ensuite qu’elle allait porter plainte.

    #merdias #médiacrates #journuliste #propagande #clergé_médiatique #propagande #mass_merdias #imposture #journulliste #journullistes #ESJ

  • Coronavirus : la grande défiance envers les médias traditionnels Johanne Montay

    « Collabos », « merdias », « vendus au Big Pharma »… Depuis le début de la pandémie, les journalistes entendent et lisent la défiance exacerbée d’une partie du public envers leurs informations. Ils ne sont pas les seuls à faire l’objet d’une défiance : les experts sont également visés, tout comme les politiques.

    Comment évolue cette crise de confiance ? Mal. Entre mars 2020 et aujourd’hui, le chemin est de plus en plus caillouteux.

    C’est ce que montre la 4e vague de l’étude réalisée par l’équipe du professeur de communication et chercheur Grégoire Lits et son équipe, à l’UCLouvain. Cette recherche montre une défiance accrue des Belges à l’égard des médias, mais aussi des experts.

    On la retrouve surtout chez les personnes qui s’informent via les réseaux sociaux. Ces dernières sont les plus sceptiques, mais aussi les plus hésitantes à se faire vacciner ; les plus vulnérables, aussi, aux théories conspirationnistes. Et en fin de compte, les Belges fuient de plus en plus les médias traditionnels.

    La fuite
    La dernière vague de questionnaire (mars 2021) montre qu’une proportion plus importante de personnes fuit les médias traditionnels et ressent une défiance à leur égard, tout comme envers les politiques. Le recours aux médias traditionnels pour s’informer sur le Covid-19 est en nette diminution, au profit des réseaux sociaux. Ainsi, en mars 2021, 27% des répondants déclaraient utiliser ces réseaux, ce qui représente une augmentation de 8%.

    A côté des réseaux sociaux, de plus en plus de répondants déclarent utiliser les discussions interpersonnelles (avec des proches ou des professionnels de la santé) pour s’informer.

    Une proportion croissante de Belges francophones déclare même éviter totalement de s’informer via les médias audiovisuels et les journaux en ligne : 30,2% en mars 2021, contre 19,4% en mai 2020. On appelle cela « l’évitement informationnel ». Les chercheurs estiment que c’est une conséquence négative de l’épidémie et de son traitement médiatique.

    Cet évitement gêne une partie croissante de la population : 45,2% des répondants estiment être gênés par cette incapacité à s’informer par les médias traditionnels, alors qu’en mai 2020, ils étaient 33%.

    La confiance baisse
    Le JT, le moment de référence ? Tout comme les autres médias traditionnels, il n’obtient pas les faveurs des personnes qui ont répondu à l’enquête de l’UCLouvain. La confiance se dégrade. En mars 2021, seul un répondant sur quatre dit avoir fortement confiance dans le journal télévisé, contre près d’un sur deux au début de la crise. Grégoire Lits, professeur de communication à l’UCLouvain et pilote de cette recherche, précise que « d’habitude, les niveaux de confiance sont relativement stables d’une année à l’autre en Belgique en tout cas. On voit sans doute un impact ici de l’épidémie sur la confiance des Belges envers les médias d’information. »

    La suite : https://www.rtbf.be/info/dossier/epidemie-de-coronavirus/detail_coronavirus-la-grande-defiance-envers-les-medias-traditionnels?id=107777

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  • Il faut que je vous parle de mon débat avec Ségolène Royal

    https://www.youtube.com/watch?v=AsxMBCpGX0k

    Je vous parle de mon débat avec Ségolène Royal : les coulisses, ma stratégie, mon analyse et mes observations… je crois qu’il y a beaucoup d’enseignements à en tirer ! Qu’avez-vous pensé du débat ? À votre avis, faut-il continuer à répondre positivement à ce type d’invitations ?

    Je remercie chaleureusement toutes les personnes qui me suivent et me soutiennent. Ce sont leurs nombreux messages qui me motivent à poursuivre le combat. Merci également à Carla, ma compagne, et évidemment, à Zénon le chat, pour avoir pointé le bout de son nez en début de vidéo :-)

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