company:al-manar

  • Un chef de l’EI dans le jurd de Qaa aurait été tué par des frappes du Hezbollah - L’Orient-Le Jour
    http://www.lorientlejour.com/article/994550/un-chef-de-lei-dans-le-jurd-de-qaa-aurait-ete-tue-par-des-frappes-du-

    Le chef des opérations du groupe État Islamique (EI) dans le jurd de Qaa, dans la Békaa, a été « éliminé » samedi à la suite du pilonnage par le Hezbollah d’un centre d’opérations. L’annonce a été faite par la chaîne télévisée du parti chiite, al-Manar.

    Dans la matinée, le Hezbollah avait annoncé avoir détruit deux positions de l’EI dans le jurd de Ras Baalbeck, dans la Békaa. Les éléments armés tenant ces positions ont été tués et blessés.

    Lundi, Qaa, bourgade chrétienne de la Békaa située à la frontière syrienne, a été la cible de huit attentats- suicide qui ont fait cinq morts (plus huit kamikazes tués) et 28 blessés. Depuis, des rumeurs circulent sur des attentats imminents. L’armée libanaise a affirmé jeudi que deux grandes attaques terroristes avaient été déjouées il y a une dizaine de jours.

    Vendredi, le secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, a estimé que le village chrétien de Qaa, était « clairement la cible des kamikazes », réfutant certaines analyses qui affirmaient le contraire.

    « Il est clair que le village de Qaa était la cible, du fait qu’il s’agit d’une bourgade chrétienne », a affirmé le chef du parti chiite, lors d’un discours télévisé retransmis en direct à l’occasion de la Journée d’al-Qods, une commémoration initiée par l’Iran depuis la révolution islamique. Hassan Nasrallah a attribué les attentats à Daech (acronyme arabe du groupe Etat islamique, EI). Le groupe jihadiste n’a pas, à ce jour, revendiqué les attaques. « Je crois que bientôt, le cerveau des attentats de Qaa sera connu, a affirmé le chef du Hezbollah. Toutes les informations, notamment les nôtres, certifient que les kamikazes sont venus du jurd de Ersal, et non des campements (de déplacés syriens, ndlr) aux abords de Qaa », a-t-il ajouté.

  • Vers un nouveau rendez-vous manqué avec la présidentielle - Scarlett HADDAD - L’Orient-Le Jour
    http://www.lorientlejour.com/article/959849/vers-un-nouveau-rendez-vous-manque-avec-la-presidentielle.html

    Si le 8 Mars et le CPL considèrent la proposition comme une victoire incontestée de leurs options stratégiques, plusieurs questions se posent sur son timing et sur la manière dont elle a été lancée, et qui pourrait cacher de nombreux pièges. Sur le plan du timing, les milieux du 8 Mars et du CPL se demandent pourquoi l’Arabie saoudite, qui vient de durcir ses positions sur le dossier syrien par le biais de la réunion des factions de l’opposition syrienne à Riyad, qui a pratiquement paralysé le processus de Vienne, accepterait-elle actuellement l’élection à la présidence du Liban du plus loyal allié du président syrien, l’ancien ministre Sleiman Frangié ? Au moment où le royaume wahhabite a encouragé les factions de l’opposition syrienne réunies à Riyad à exiger avant tout dialogue le départ du président syrien, ramenant la situation au point de départ, on comprend mal pourquoi il jetterait du lest au Liban, non seulement au Hezbollah qu’il vient de sanctionner en retirant la chaîne al-Manar du bouquet de chaînes distribuées par le satellite Arabsat, mais aussi au président syrien lui-même. Cette soudaine bénédiction du choix de Saad Hariri concernant Sleiman Frangié est surprenante, sachant en plus que le chef du courant du Futur n’est pas vraiment dans les bonnes grâces des dirigeants saoudiens.

  • Plusieurs jihadistes d’al-Nosra, dont un responsable, tués dans le jurd de Ersal - L’Orient-Le Jour
    http://www.lorientlejour.com/article/959375/plusieurs-jihadistes-dal-nosra-tues-par-des-bombardements-de-larmee-d

    De son côté, le Hezbollah a annoncé avoir tué mercredi un commandant du Front al-Nosra et huit de ses hommes en menant une attaque contre son convoi. Selon al-Manar, la chaîne du parti, le convoi circulait dans les faubourgs de la localité de Ersal. « La Résistance (Hezbollah) a visé le convoi d’Abou Firas al-Jibbé, un responsable du Front al-Nosra après avoir épié attentivement ses mouvements », a dit la chaîne. Abou Firas et trois autres jihadistes ont été tués dans l’attaque contre le convoi et quand leurs camarades ont tenté d’évacuer les corps le Hezbollah en a tué cinq autres. Al-Manar a diffusé des images d’un terrain aride et pierreux présenté comme le lieu de l’attaque. La chaîne a également fait état de combats à l’arme automatique et au mortier ayant éclaté entre les deux côtés après l’attaque, impliquant notamment l’armée libanaise.

  • L’État islamique face au Hezbollah : une porte d’entrée palestinienne ? | Middle East Eye
    http://www.middleeasteye.net/fr/analyses/l-tat-islamique-face-au-hezbollah-une-porte-d-entr-e-palestinienne-80
    Quelques heures après l’attentat, l’organisation État islamique publie un communiqué, revendiquant l’opération. Elle donne alors les noms de trois de ses kamikazes supposés : deux Palestiniens (Hamid Rachid al-Balagh et Omar Selim al-Rais) et un Syrien (Khaled Ahmad al-Khalid). L’information est immédiatement reprise sur les réseaux sociaux, ainsi que sur les principaux médias télévisés libanais. Elle attise, quelques heures durant, les accusations communautaires contre les Palestiniens au Liban.

    Pourtant, deux jours plus tard, le secrétaire-général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, dément catégoriquement l’information, dans une intervention sur la chaîne al-Manar : il dit alors qu’aucun auteur de l’attentat n’était palestinien, et qu’à la date du 14 novembre, les personnes interpellées par les Forces de sécurité intérieure (FSI) et la Sureté générale (SR), dans le cadre d’une coopération sécuritaire avec le Hezbollah, sont libanaises et syriennes. Réaffirmant son soutien au soulèvement populaire palestinien débuté en octobre 2015, il affirme que « même s’il y avait des Palestiniens impliqués avec le Jabhat al-Nusra [Front al-Nosra] ou l’État islamique, il n’y a, pour nul d’entre nous, aucune justification religieuse, politique ou morale de tenir le peuple palestinien ou les camps palestiniens comme responsables de ce crime ».

  • L’État islamique face au Hezbollah : une porte d’entrée palestinienne ? | Nicolas Dot-Pouillard | 18 novembre 2015
    http://www.middleeasteye.net/fr/analyses/l-tat-islamique-face-au-hezbollah-une-porte-d-entr-e-palestinienne-80

    L’EI a cherché à introduire une nouvelle donne au Liban : attiser les tensions communautaires entre sunnites et chiites afin d’affaiblir le Hezbollah

    Le 12 novembre, un jour avant la tragédie à Paris, l’organisation État islamique (EI) frappe la population civile d’un quartier à majorité chiite, dans la banlieue sud de Beyrouth : Bourj al-Brajneh. C’est l’un des attentats les plus meurtriers depuis la fin de la guerre civile libanaise, faisant 44 tués et 239 blessés.

    L’attaque ne peut être isolée d’un contexte global, les images se télescopant : un jour plus tard, l’EI vise la France, entre Paris et Saint-Denis. Le 31 octobre 2015, c’est un avion russe qui explose au-dessus de Charm al-Cheikh, en Égypte. Mais l’attentat de Bourj al-Brajneh a aussi sa spécificité : en visant une municipalité chiite jouxtant un camp de réfugiés palestiniens du même nom, l’EI a cherché à introduire une nouvelle donne au Liban : attiser les tensions communautaires entre sunnites et chiites afin d’affaiblir le Hezbollah.

    Une ferme condamnation palestinienne

    Quelques heures après l’attentat, l’organisation État islamique publie un communiqué, revendiquant l’opération. Elle donne alors les noms de trois de ses kamikazes supposés : deux Palestiniens (Hamid Rachid al-Balagh et Omar Selim al-Rais) et un Syrien (Khaled Ahmad al-Khalid). L’information est immédiatement reprise sur les réseaux sociaux, ainsi que sur les principaux médias télévisés libanais. Elle attise, quelques heures durant, les accusations communautaires contre les Palestiniens au Liban.

    Pourtant, deux jours plus tard, le secrétaire-général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, dément catégoriquement l’information, dans une intervention sur la chaîne al-Manar : il dit alors qu’aucun auteur de l’attentat n’était palestinien, et qu’à la date du 14 novembre, les personnes interpellées par les Forces de sécurité intérieure (FSI) et la Sureté générale (SR), dans le cadre d’une coopération sécuritaire avec le Hezbollah, sont libanaises et syriennes. Réaffirmant son soutien au soulèvement populaire palestinien débuté en octobre 2015, il affirme que « même s’il y avait des Palestiniens impliqués avec le Jabhat al-Nusra [Front al-Nosra] ou l’État islamique, il n’y a, pour nul d’entre nous, aucune justification religieuse, politique ou morale de tenir le peuple palestinien ou les camps palestiniens comme responsables de ce crime ».

    L’insistance mise par le dirigeant du Hezbollah sur la question palestinienne dans un discours exclusivement consacré aux attentats de Bourj al-Brajneh ne relève pas du hasard : il s’agit bien de répondre à une attaque de l’EI prenant la Palestine comme porte d’entrée. Le 13 novembre, une banderole est déployée par des proches du Hezbollah sur les lieux mêmes de l’attentat, sur laquelle est inscrit : « Nous resterons aux-côtés de la Palestine, quoique vous fassiez. » (...)

  • Cinq membres de l’EI tués par le Hezbollah dans la Békaa - L’Orient-Le Jour
    http://www.lorientlejour.com/article/949806/cinq-membres-de-lei-tues-par-le-hezbollah-dans-la-bekaa.html

    Cinq membres de l’organisation Etat islamique ont été tués vendredi par des tirs de roquettes et de mortier du Hezbollah dans l’est du Liban, rapporte l’agence Reuters citant une source proche des services de sécurité.

    Les incursions sur le territoire libanais de jihadistes impliqués dans le conflit syrien ne sont pas rares et donnent souvent lieu à des affrontements avec la formation chiite ou l’armée libanaise.

    Al-Manar, la chaîne de télévision du Hezbollah, a également fait état de l’accrochage de vendredi, qui s’est produit dans la Békaa.

    L’Agence nationale d’information (Ani, officielle) a de son côté rapporté que l’armée libanaise a bombardé vendredi à l’artillerie lourde des positions de l’EI dans le jurd de Ras Baableck, dans le nord-est de la Békaa. Plusieurs cibles, positionnées sur les hauteurs de cette bourgade chrétienne, ont été touchées, selon l’Ani.

    L’Etat islamique contrôle une grande partie de l’est de la Syrie, mais sa présence est plus réduite dans l’ouest et près de la frontière libanaise. D’autres mouvements jihadistes tels que le Front al-Nosra, branche syrienne d’el-Qaëda, y sont plus actifs.

    • Le Hezbollah constitue le bouclier de la défense de la souveraineté du Liban contre les doctrines fascistes et nihilistes d’un EI génocidaire. Son combat aux côtés de l’Armée nationale libanaise avec le soutien du général Aoun, est la défense du caractère laïque constitutionnel de l’État libanais.

  • Le Hezbollah confirme une trêve dans trois localités syriennes
    AFP / 25 septembre 2015 23h25
    http://www.romandie.com/news/Le-Hezbollah-confirme-une-treve-dans-trois-localites-syriennes/633491.rom

    Le Hezbollah confirme une trêve dans trois localités syriennes

    Beyrouth - Le chef du Hezbollah chiite libanais Hassan Nasrallah a confirmé vendredi la conclusion d’une trêve de six mois dans la ville rebelle de Zabadani, proche du Liban, et dans deux villages chiites du nord-ouest syrien, conclue sous l’égide de l’ONU et, selon lui, après médiation iranienne.

    La trêve comprend l’évacuation des combattants et des blessés de la ville de Zabadani vers la province d’Idleb (...) en échange de l’évacuation de 10.000 civils des villages de Foua et Kafraya (...) vers des zones contrôlées par le régime syrien, a indiqué Hassan Nasrallah lors d’une interview à Al-Manar, la chaîne du mouvement chiite libanais.

    Des combattants du Hezbollah se battent aux côtés de l’armée syrienne, notamment à Zabadani, le dernier bastion rebelle sur la frontière syro-libanaise que le régime tente de reconquérir depuis le mois de juillet.

    Les deux villages chiites de Foua et Kafraya, les seuls de la province d’Idleb (nord-ouest) à être encore sous le contrôle du régime, sont régulièrement bombardés par une alliance d’insurgés.

    Plusieurs courtes trêves avaient été conclues depuis août entre les belligérants à Kafraya et Foua mais aucune n’a tenu.

    Il ne restera plus aucun combattant à Zabadani, a assuré M. Nasrallah. Selon lui, l’armée syrienne pourra alors entrer dans la petite partie de la ville encore tenue par les rebelles et en prendre le contrôle.

    Le chef du Hezbollah a par ailleurs assuré que les civils de Zabadani et des alentours ne voulant pas rester sur place pourront également rejoindre Idleb en toute sécurité, comme les combattants.

    Parmi les 10.000 civils qui seront évacués des deux villages chiites de Foua et Kafraya, figureront les femmes de tous âges, les hommes de moins de 18 ans et de plus de 50 ans, ainsi que les blessés, a précisé Hassan Nasrallah.

    Par ailleurs, selon le chef du mouvement chiite libanais, l’émissaire de l’ONU pour la Syrie Staffan de Mistura a proposé à Téhéran de jouer un rôle de médiateur dans cette trêve. L’Iran a alors sollicité et obtenu l’accord du régime de Damas et une rencontre a pu avoir lieu en Turquie entre un médiateur iranien, l’ONU et des représentants de groupes armés.

    • Nasrallah:la présence militaire russe en Syrie changera le cours de la bataille
      http://www.almanar.com.lb/french/adetails.php?eid=261216&cid=18&fromval=1&frid=18&seccatid=23&s1=1

      Dans une interview exclusive sur la chaine satellitaire libanaise alManar, le SG du Hezbollah Sayyed hassan Nasrallah a évoqué diverses questions régionales et locales.. Il a révelé les coulisses des négociations de Zabadani, il a parlé de la position du Hezbollah concernant le renforcement la présence russe en Syrie, il a évoqué les évolutions au Yémen, la situation à Bahrein..mais aussi la question de la mosquée d’alAqsa et les répercussions régionales sur l’entité sioniste...

  • Qalamoun : le Hezbollah et l’armée syrienne contrôlent la totalité du jurd de Ras el-Maara - L’Orient-Le Jour
    http://www.lorientlejour.com/article/925210/qalamoun-le-hezbollah-et-larmee-syrienne-controlent-la-totalite-du-ju

    Le Hezbollah et l’armée syrienne contrôlent la totalité du jurd de Ras el-Maara, dans le Qalamoun syrien, à l’est de la frontière libanaise, et avancent dans le jurd de Flita, rapporte vendredi la chaîne du parti chiite al-Manar, faisant état d’une débandade des jihadistes sunnites. Toujours selon al-Manar, les combattants du parti chiite ont détruit vendredi matin à Ras el-Maara deux véhicules militaires dont les occupants, qui tentaient de fuir, ont été éliminés.

    Plus tôt dans la journée, la chaîne de télévision avait rapporté que le Hezbollah et les forces armées syriennes ont pris le contrôle de la totalité de la chaîne de montagnes d’el-Barrouh. Cette chaîne se situe à environ 2.450 mètres d’altitude et elle est formée d’une série de collines d’une superficie approximative de 20 kilomètres carrés. Cette région stratégique constituait un objectif pour l’armée syrienne et le Hezbollah.

  • ...وكالة أنباء البحرين الرسمية
    http://www.almanar.com.lb/adetails.php?eid=994145

    Relevé sur le site de Al-Manar, ce faire-part de décès de la très officielle agence de presse bahreïnie, pays en guerre avec la coalition contre Daesh. Petit problème, le décès en question est celui d’un jeune homme parti combattre les mécréants, le tout relayé par un officier (prétendument ?) dissident des forces armées bayreïnies et combattant du côté de Daesh.

    Une farce, alors, cette coalition ?

  • الاعتذار واجب من الشعب البحريني : « حزب الله » لا يغطي سقطة « المنار » | الأخبار
    http://www.al-akhbar.com/node/196644

    الاعتذار واجب من الشعب البحريني: «حزب الله» لا يغطي سقطة «المنار»

    Toujours l’affaire des excuses de la chaîne Al-Manar pour sa couverture des soulèvements populaires au Bahreïn (http://seenthis.net/messages/205165). Al-Akhbar revient sur la question, et place également cette affaire dans le contexte d’un deal régional...

  • لماذا “يقاتل” حزب الله في سورية؟
    Pourquoi le Hezbollah combat en Syrie, le point de vue de l’organisation
    traduction en anglais ci-dessous

    http://www.almanar.com.lb/adetails.php?eid=481099&cid=31&fromval=1&frid=31&seccatid=171&s1=1

    Article explains Lebanese Hezbollah’s involvement in Syrian armed conflict
    Text of report by Lebanese Hezbollah Al-Manar TV website on 2 May

    [Article by Isra al-Fas: “Why is Hezbollah ’fighting’ in Syria?”]

    Media exaggerations about battles Hezbollah is waging in Syria and about the number of the party’s martyrs in those battles or the number of those killed from the other side made people ask: Is Hezbollah really fighting in Syria? Why? Under what headline? Does the fight have a sectarian dimension in which the resistance, which often warned against sectarian strife, fell?

    These are legitimate questions given the good reputation that Hezbollah built and entrenched over long years, during which it managed to change the equation and impose its balances of power in the face of the Israeli occupation, and given the ferocious media campaign that has Hezbollah’s “fight” in Syria as its main headline and the relentless media incitement that has been going on for two years now and that finds it easy to give the conflict a sectarian dimension.

    Critics say that Hezbollah sends fighters under the headline of protecting holy shrines, which means that the party fell in the trap of a sectarian strife. They claim that through the party’s participation, the battle took a Sunni-Shi’i dimension. But how do those who are not influenced by this incitement read the situation?

    Hezbollah’s record, to which the party’s secretary general implicitly referred in his speech the day before yesterday, gives answers to all these questions. The party, which in its repeated positions warned against sectarian strife, did not declare holy war when Iraq’s sanctities were violated and shrines of some infallible imams were bombed. Hezbollah did not support the demands of the Bahraini protesters when they went beyond the call for political reforms to a call for the removal of the king after the authorities demolished 30 Shi’i mosques, sabotaged dozens of worship places, and burned copies of the holy Koran.

    In all those events, Hezbollah repeated its warning against sectarian strife, showing understanding each time for the sentiments of the followers of the sect, stressing that holy places do not belong to a certain Islamic group to the exclusion of the others, and always emphasizing that “greater jihad” must be directed towards the Zionist occupation.

    Hezbollah’s policy did not change, just as the sentiments and feelings of the masses towards their holy places did not and will not change. But the conflict in Syria has another dimension that everyone near and far realizes - except, that is, for those who are under the full influence of the tendentious propaganda.

    Hezbollah, which from the beginning of the events in Syria said it understood the reform demands that were raised and presented initiatives along with its allies to ease the tension, saw a new dimension of what Syria was witnessing. It warned others against riding the wave and spoke about a conspiracy targeting Syria and its role in the region and about attempts by some regimes to settle scores with the Syrian regime because of the support it offered for the resistance movements. Hezbollah also saw in the events an attempt to target an entire axis of which the party is a mainstay.

    Hezbollah stresses that the conflict in Syria has an international dimension linked to the regime’s options with regard to the issue of resistance and opposition. The party sees itself as the next target. Perhaps the kidnapping of the Lebanese in A’zaz helped validate and entrench the party’s vision among the party’s supporters, who came to realize that sectarian affiliation is enough justification for attacks and blackmail in the bazaar of the international conflict with the resistance, the tools of which are armed groups affiliated with the intelligence agencies of countries that played a key role in the escalation of the crisis, without the crime of kidnapping civilians affecting the positions of those who supported the “Syrian revolution” as a “freedom-seeking” movement.

    The prevailing conviction today is that any success in dismantling the resistance axis militarily, through the toppling of the Syrian regime, would not spare Hezbollah and others, especially after the failure of previous diplomatic efforts to distance Syria from this axis. Hezbollah’s supporters realize the dimensions of the battle and know its backgrounds. This is reflected in people’s acceptance of the fall of Hezbollah martyrs who confronted military attacks on their villages and property in border regions. Hezbollah supporters accepted to wage those battles in order to protect their lands and property, as they did in the past, after the State failed to carry out this mission.

    Hezbollah and its supporters are paying the price of their enlightened reading of the events and their dimensions. The media propaganda, which fabricates news to produce reactions, portrays their self defence as “fighting” and “war crimes”. As a result of this propaganda, those who yesterday denounced “the Iraqi democracy that was imposed by the American tank” are the same ones who are today inviting this tank to come to Syria. The administration that “sponsors democracies” in the region is the same administration that refused to recognize a government produced by a popular will in Gaza in 2006 only because it is a resistance government.

    Source: Al-Manar Television website, Beirut, in Arabic 0000 gmt 2 May 13

    BBC Mon ME1 MEEauosc 080513 or

  • Syrie : zones d’ombre autour de la chute d’un avion turc
    http://www.lefigaro.fr/international/2012/06/22/01003-20120622ARTFIG00750-syrie-zones-d-ombre-autour-de-la-chute-d-un-avion

    Si, pour l’instant, les circonstances de cette disparition restent floues, peu avancent cependant des raisons techniques. Très vite, al-Manar, la chaîne libanaise du Hezbollah, a déclaré que l’avion de combat avait été abattu par les forces syriennes. Interrogé dans l’avion qui assure son retour du Brésil, Recep Tayyip Erdogan aurait déclaré à l’un des journalistes du Habertürk : « En ce moment, nos forces aériennes et notre marine effectuent des opérations de recherche et de sauvetage en Méditerranée occidentale et heureusement nos pilotes sont en vie, nous avons seulement perdu un avion. » Avant d’ajouter implicitement que l’avion avait bien été abattu par la Syrie : toujours selon le Habertürk, il aurait « affirmé que des excuses étaient arrivées de manière très sérieuses de Syrie en lien avec cet événement, que la Syrie avait fait part de sa grande tristesse et du fait qu’il s’agissait d’une erreur ».

    Mystérieux mystère.

    • La Syrie abat un avion de chasse turc sur fond de crise diplomatique
      http://www.rts.ch/info/monde/4093656-la-syrie-abat-un-avion-de-chasse-turc-sur-fond-de-crise-diplomatique.htm

      En soirée, un porte-parole de l’armée syrienne a confirmé : « Les radars syriens ont détecté vendredi vers 11h40 une cible non-identifiée ayant pénétré dans l’espace aérien syrien à grande vitesse et à basse altitude. (...) La défense anti-aérienne a alors reçu l’ordre d’ouvrir le feu. »

      Plus très mystérieux.

    • La Syrie confirme avoir abattu un avion de combat turc
      http://french.cri.cn/621/2012/06/23/542s285631.htm

      Un avion de chasse turc avait pénétré dans l’espace aérien de la Syrie plus tôt vendredi et avait été abattu par l’armée syrienne, a déclaré un porte-parole de l’armée syrienne, ajoutant que l’appareil a été traité conformément aux lois applicables.

      Dans un communiqué diffusé par les télévisions syriennes, le porte-parole, qui a requis l’anonymat, a annoncé vers 11h40 vendredi qu’"un objet non-identifiée" avait pénétré dans l’espace aérien syrien au large des côtes syriennes à basse altitude et à très grande vitesse.

      Pour les Chinois de la CRI, c’est un « porte-parole de l’armée syrienne… qui a requis l’anonymat ». Mystérieux quand même, donc. Ou alors, c’est juste traduit avec les pieds.

    • La Syrie admet avoir abattu un avion militaire turc en Méditerranée • International
      http://www.985fm.ca/international/nouvelles/l-avion-militaire-turc-porte-disparu-a-ete-abattu-153234.html

      Plus tard en soirée, l’agence de presse officielle syrienne SANA a déclaré que l’armée syrienne avait repéré « une cible aérienne non identifiée » volant à basse altitude et à grande vitesse.

      « Les défenses antiaériennes syriennes ont réagi avec l’artillerie antiaérienne et l’ont touché directement, affirme SANA. La cible s’est révélé être un avion militaire turc entré dans l’espace aérien syrien et elle a été traitée conformément aux lois observées dans de tels cas. »

      Dans cette version, c’est sourcé « l’agence de presse officielle syrienne SANA ». Pas mystérieux, alors.

    • On va gagner du temps: voici la source. Military Spokesman: Anti-Air Defenses Intercepted a Target That Violated Syrian Airspace Over Territorial Waters, Shot It Down West of Lattakia - SANA, Syria
      http://www.sana.sy/eng/21/2012/06/23/427102.htm

      A military spokesman issued the following statement: At 11:40 AM on 22/6/2012, an unidentified aerial target violated Syrian airspace, coming from the west at a very low altitude and at high speed over territorial waters, so the Syrian anti-air defenses counteracted with anti-aircraft artillery, hitting it directly as it was 1 kilometer away from land, causing it to crash into Syrian territorial waters west of Om al-Tuyour village in Lattakia province, 10 kilometers from the beach.

      The spokesman added that the target turned out to be a Turkish military plane that entered Syrian airspace and was dealt with according to laws observed in such cases.

      The spokesman also said that the two countries’ naval forces’ commands have established contact, and Syrian naval ships along with the Turkish side are searching for the two missing pilots.

      H. Sabbagh

    • Et la version en français :
      http://www.sana.sy/fra/51/2012/06/23/427100.htm

      Damas / Le porte-parole militaire a indiqué que nos moyens de DCA ont tiré sur un objectif aérien à basse altitude, ayant violé l’espace aérien syrien au dessus de nos eaux territoriales à environ 1 Km de la terre à partir des côtes, l’a touchant de plein fouet.

      Le porte-parole a ajouté que l’objctif est tombé dans la mer à 10 Km à l’ouest de la côte du village d’Oum Touyour dans le gouvernorat de Lattaquié. Il s’agit d’un appareil turc.

      « L’appareil en question a pris feu et les autorités ont traité l’incident selon les lois internationales en vigueur », a-t-il mentionné.

      « Les commandements navals des deux pays coopèrent pour trouver les paves de l’appareil dans les eaux territoriales afin de trouver les deux pilotes qui étaient au bord de l’appareil », a-t-il mentionné.

      http://www.sana.sy/servers/gallery/201206/20120623-081244.jpg

      T. Slimani

  • Censure d’al Manar, Abou Dabi est prévenu en mars 2006.

    22.03.2006 : DESIGNATION OF AL-MANAR, LEBANESE MEDIA GROUP, AND AL-NOUR - Nyheter - Wikileaks - Aftenposten.no
    http://www.aftenposten.no/spesial/wikileaksdokumenter/article4025172.ece

    Ambassador met with MFA U/S Abdullah Rashid al-Noaimi
    March 22 to inform him of the USG´s intent to designate
    domestically al-Manar Television, the Lebanese Media Group,
    and al-Nour Radio as Specially Designated Global Terrorists
    under Executive Order 13224. Ambassador noted that the
    designation will take place on or about March 23 and left
    copies of the non-papers and E.O.

    #Liban #Hezbollah #Al_Manar #cablegate

  • Mai 2008, toujours cette obsession américaine à faire censurer Al Manar partout dans le monde. Ici, en Indonésie.

    09.05.2008 : DEMARCHE RESPONSE ON SATELINDO BROADCASTING OF AL-MANAR TV - Nyheter - Wikileaks - Aftenposten.no
    http://www.aftenposten.no/spesial/wikileaksdokumenter/article4025294.ece

    Based on initial meetings with Government of Indonesia officials, it appears there are three possible routes for ending the broadcast of al-Manar television in Indonesia: 1) a formal U.S. complaint to the Indonesian Broadcasting Commission (IBC) and the Department of Foreign Affairs based on violations of Indonesian law and possible damage to our bilateral relations, 2) a regulatory solution as al-Manar may not have the required permit to broadcast in Indonesia and 3) an independent decision by Indosat to avoid reputational risk by ending broadcasts of al-Manar. The Embassy has met with Ministry of Communication and Information Acting Director General for Information and Communication Facilities Freddy Tulung, Deputy Minister of State Owned Enterprises and Indosat Commissioner Roes Aryawijaya, Foreign Ministry Deputy Director of Information and Media Services Sam Marentek, Singapore Embassy Deputy Chief of Mission Lim Hong Huai and Telkom Executive Vice President David Burke. We have requested additional meetings with the head of the Indonesian Broadcast Commission, the president director of Indosat and an independent commissioner of Indosat.

    #cablegate #Liban #Indonésie #al_Manar

    • Juin 2008 : l’Indonésie veut faire respecter un truc exotique qu’on nomme loi sur la liberté des médias.
      http://www.aftenposten.no/spesial/wikileaksdokumenter/article4025300.ece

      Based on meetings with Indosat and Government of Indonesia (GOI) officials, they are not inclined to stop broadcasting Al-Manar in Indonesia without a legal basis. While Indosat responded positively towards our arguments, they said they would not cancel their contract with Al-Manar until the GOI determined that Al-Manar violated broadcasting regulation. However, the GOI says Al-Manar has not violated broadcasting regulation.