organization:association nationale

  • La Defcon montre, à nouveau, la facilité de pirater une machine à voter en moins de 2 minutes V.G. - 13 Aout 2018 - RTBF
    https://www.rtbf.be/info/medias/detail_la-defcon-montre-a-nouveau-la-facilite-de-pirater-une-machine-a-voter-en

    Ce weekend se tenait la célèbre Defcon à Las Vegas, une conférence dédiée aux hackers. Chaque année, les plus connus viennent y montrer leurs talents et compétences dans le domaine.

    Petite particularité, depuis l’année dernière, la Defcon organise un « voting village », qui donne la possibilité aux visiteurs d’utiliser des machines à voter américaines ne servant plus. Ils leur ont ainsi demander de déceler des bugs ou des failles, mais aussi de les pirater. Par exemple, après quelques heures, un hacker a transformé une machine en Jukebox. 

    Autre résultat, mais cette fois plus préoccupant, le piratage d’une machine en moins de deux minutes pour s’autoriser un accès administrateur.

    Rachel Tobiac, CEO de Social Proof Security écrit : « Lors de la conférence @defcon sur le piratage informatique, je viens d’apprendre à quel point il est facile d’obtenir un accès administrateur sur une machine de vote utilisée dans 18 États. Ne nécessite aucun outil et prend moins de 2 minutes. Je suis inquiète pour nos prochaines élections. »

    Les tant attendues élections de mi-mandat auront effectivement lieu en novembre prochain. Un enjeu crucial pour le programme du président Donald Trump, qui espère maintenir une majorité de républicains au Congrès.

    L’année dernière déjà, un spécialiste de la sécurité danois avait manipulé une machine à voter à écran tactile à 300 mètres de distance.

    La NASS, l’Association Nationale des Secrétaires d’Etat, a répondu, dans un communiqué, que ces mises en scène ne reflètent pas la réalité.

    « Fournir aux visiteurs de la conférence la possibilité d’un accès physique illimité aux machines à voter, dont la plupart ne sont plus utilisées, ne reflète pas la façon dont l’état ou les autorités locales sécurisent les élections et ce, tant physiquement que numériquement. »
    Autre démonstration qui a fait parler d’elle : une jeune de 11 ans a réussi à pirater une réplique du site web annonçant les résultats des élections en Floride et à les modifier en seulement 10 minutes.

  • Je ne sais pas pourquoi ni comment je retombe sur cet article de juillet 2017.

    http://www.lemonde.fr/politique/article/2017/07/10/penibilite-edouard-philippe-donne-satisfaction-au-patronat_5158418_823448.ht

    Le lobbying patronal, exercé depuis de longs mois, a fini par porter ses fruits.

    Et a fini par porter ses fruits est curieusement écrit, comme si c’était une bonne chose finalement. Pour rappel le lobbying patronal est arquebouté sur des mesures dont les bénéfices pour les employés pourraient comme à porter leurs fruits (et là ce serait vraiment une bonne chose) dans une vingtaine d’années.

    Ma colère est intacte

    #ca_va_ruisseler_velu

  • Tribunal Permanent des peuples

    Session sur la violation des droits humains des personnes migrantes et réfugiées et son impunité

    Paris, 4 et 5 janvier 2018

    Qu’est-ce qu’un Tribunal Permanent des Peuples (TPP) ?

    Le TPP est un tribunal d’opinion qui agit de manière indépendante des États et répondaux demandes des communautés et des peuples dont les droits ont été violés. Le but des audiences est de « restaurer l’autorité des peuples lorsque les États et les organisations internationales ont échoué à protéger les droits des peuples ». Le TPP fait suite au Tribunal

    Russel et s’appuie sur la Déclaration Universelle des Droits des Peuples (Alger, 1976) et de tous les instruments du droit international. Il dénonce les actes portant atteintes aux droits des peuples.

    Le Tribunal se compose de personnes venues du monde entier, garantissant ainsi son indépendance. Les sentences prononcées sont remises à plusieurs instances telles que : le Parlement Européen, la Cour Européenne des Droits de l’Homme, les commissions de l’ONU, aux organisations internationales et régionales, aux organisations humanitaires, etc.

    La session du TPP de Paris

    Les 4 et 5 janvier, la session de Paris poursuivra le travail préliminaire effectué à Barcelone en portant particulièrement sur la politique de l’Union Européenne et des Etats membres en matière de migrants et des frontières, notamment en France.

    Le jury sera présidé par Philippe Texier.
    Le GISTI a accepté de coordonner l’acte d’accusation.

    La session du TPP de permettra ainsi :
    – d’écouter et de rendre visibles les cas de violations des droits des personnes migrantes et réfugiées
    – d’enregistrer les propositions de communautés de personnes migrantes et réfugiées
    – d’analyser conjointement les causes des déplacements forcés des personnes migrantes et réfugiées
    – de déterminer les responsabilités des gouvernements, de l’Union Européenne et autres organismes européens.

    OÙ SE TIENDRA T-IL ?

    L’audience du Tribunal se tiendra
    les 4 et 5 janvier 2018
    au CICP (Centre International de Culture Populaire)
    21 ter Rue Voltaire
    75011 Paris
    Métro : Rue des Boulets (ligne 2)
    ou Nation (ligne 2, RER A)

    L’audience aura lieu en amont du Moussem-festival de l’immigration et de la Tricontinentale.
    Les résultats et la sentence seront rendus publics lors de la clôture du festival le 7 Janvier 2018 à Gennevilliers

    CONTACTS MÉDIA :
    Elise de Menech : tpp-paris@riseup.net, 07.50.30.64.27
    Justine Festjens : justine.festjens@gmail.com, 06.69.21.47.94

    PRÉSENTATION DU JURY
    DE LA SESSION DE PARIS

    Souhayr Belhassen (Tunisie) – Journaliste et défenseuse des droits humains en Tunisie. Longtemps correspondante à Tunis de l’hebdomadaire Jeune Afrique. Présidente d’Honneur de la Fédération Internationale des Droits de l’Homme (FIDH), ONG de défense des droits humains, entre 2007-2013.

    Mireille Fanon Mendès-France (France) - Professeur de lettre puis au centre de formation de l’Université René Descartes-Paris, elle a travaillé pour l’UNESCO et pour l’Assemblée nationale. Membre pendant 6 ans du Groupe de travail d’experts sur les personnes d’ascendance africaine du Conseil des Droits de l’Homme des Nations Unies. Présidente de la fondation Frantz Fanon, elle a contribué à divers colloques et publications sur la question des droits de l’Homme, du droit international et du droit international humanitaire.

    Pierre Galand (Belgique) – Economiste, il a enseigné à l’Institut Supérieur de Culture Ouvrière et à l’Université Libre de Bruxelles. Il est à l’origine de plusieurs ONG et associations de solidarité avec les peuples des pays en développement ou privés de liberté, dont OXFAM-Belgique dont il a été secrétaire de 1967 à 1996. Président de la Fédération Humaniste Européenne, de l’Organisation Mondiale contre la Torture. Il est l’un des organisateurs du Tribunal Russell sur la Palestine.

    Franco Ippolito (Italie) – Président du Tribunal Permanent des Peuples. Juge de la Cour Suprême de Cassation d’Italie, ancien président de la Magistrature Démocratique et de l’Association Italienne des Juristes démocratiques ; il a été membre du Conseil Supérieur de la Magistrature. Il est auteur d’essais et conférencier dans des cours nationaux et internationaux de droit constitutionnel et système judiciaire. Il a participé à de nombreuses missions internationales en Europe et en Amérique latine.

    Luís Moita (Portugal) - Professeur de relations internationales et directeur du centre de recherche OBSERVARE à l’Université Autonome de Lisbonne. En 1974, fondateur du CIDAC, ONG portugaise pour la libération des peuples et la coopération. Depuis des années 1980 il a une activité dans le cadre de la Fondation Basso, la Ligue Internationale et le Tribunal Permanent des Peuples.

    Madeleine Mukamabano (France-Rwanda) – Journaliste et spécialiste de la géopolitique africaine. Après avoir collaboré à plusieurs revues, presse écrite et radio, elle crée puis anime l’émission Débat Africain sur Radio France Internationale de 1990 à 2000.

    Philippe Texier (France) – Magistrat, conseiller à la Cour de cassation, membre du Comité des droits économiques, sociaux et culturels des Nations unies de 1987 à 2008 puis président du comité entre 2008 et 2009. Expert indépendant de la Commission des droits de l’homme de l’ONU pour Haïti, directeur de la division des droits de l’homme d’ONUSAL (Mission d’Observation des Nations Unies en El Salvador), il est juge au Tribunal permanent des Peuples.

    Sophie Thonon (France) - Avocate du Barreau de Paris. Elle a représenté des familles franco-argentines et franco-chiliennes dans des procès pour le cas de disparitions forcées en Argentine et au Chili. Elle est Présidente déléguée de l’association France Amérique Latine.

    Nous, organisations de personnes migrant.e.s et réfugié.e.s et de solidarité et de défense des droits humains, appelons à la saisine d’un Tribunal Permanent des Peuples sur la violation des droits humains des personnes migrant.e.s et réfugié.e.s, et son impunité en France :

    Tous Migrants
    https://tousmigrants.weebly.com
    Transnational Migrant Platfom-Europe (TMP-E)
    https://transnationalmigrantplatform.net/?page_id=531
    Transnational Institute (TNI)
    https://www.tni.org/en/corporate-power
    France Amérique Latine (FAL)
    http://www.franceameriquelatine.org
    CEDETIM
    http://www.cicp21ter.org/les-associations-membres/article/cedetim
    CCFD
    https://ccfd-terresolidaire.org
    EMMAÜS INTERNATIONAL
    https://www.emmaus-international.org/fr
    Front uni des immigrations et des quartiers populaires (FUIQP)
    http://fuiqp.org
    LE PARIA
    https://leparia.fr
    Association des Travailleurs Maghrébins de France (ATMF)
    http://www.atmf.org
    SORTIR DU COLONIALISME
    http://www.anticolonial.net
    IPAM
    http://www.cicp21ter.org/les-associations-membres/article/ipam
    ATTAC France
    https://france.attac.org
    La Roya Citoyenne
    http://www.roya-citoyenne.fr
    Le CRID
    http://www.crid.asso.fr
    Groupe d’information et de soutien des immigré·e·s (GISTI)
    https://www.gisti.org
    FONDATION FANON
    http://frantzfanonfoundation-fondationfrantzfanon.com
    La CIMADE
    www.lacimade.org/
    Fédération des Tunisiens pour une citoyenneté des deux rives (FTCR)
    http:contactcitoyensdesdeuxrives.eu
    FRESH RESPONSE SERBIA
    http://freshresponse.org
    Actes & Cités
    www.actesetcites.org
    Collectif de soutien de l’EHESS aux sans-papiers et aux migrant-es
    Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (MRAP)
    http://www.mrap.fr
    Comité pour le Respect des Libertés et des droits de l’Homme en Tunisie
    https://www.facebook.com/crldhtunisie/notifications
    Association Kolone pour l’enseignement du français aux nouveaux arrivants, Paris - kolone
    Fédération des Associations de Solidarité avec Tou-te-s les Immigré-e-s (FASTI)
    www.fasti.org
    MIGREUROP
    www.migreurop.org
    Comité pour le Respect des Libertés et des Droits de l’Homme en Tunisie
    Le Forum Tunisien des Droits Economique et Sociaux – Tunisie
    https://ftdes.net
    Gynécologie sans frontières
    https://gynsf.org
    Observatoire des Multinationales
    http://multinationales.org
    L’Orchestre Poétique d’Avant-guerre (O.P.A)
    http://www.opa33.org
    SURVIE
    https://survie.org
    Association nationale d’assistance aux frontières pour les étrangers (ANAFÉ)
    www.anafe.org/
    Section SNMD-CGT de la Cité Nationale de l’Histoire de l’Immigration (EPPPD)
    https://twitter.com/CnhiCgt
    AMDH Paris/IDF (Association Marocaine des Droits Humains Paris/Ile de France),
    http://amdhparis.org/wordpress
    Solidarité Migrant.e.s Collectif 06

    PROGRAMME du Jeudi 4 Janvier 2018

    8h30 Accueil et café

    9h30 : Entrée du jury et présentation des membres
    (Président du jury : Philippe Texier).

    10h : Présentation du TPP et du cycle de sessions sur les migrations.
    Gianni Tognoni, Secrétaire Général du TPP).

    10H30 : Présentation de la session de lancement de Barcelone en juillet 2017 et de la sentence de la session de Palerme en décembre 2017 (Brid Brennan, Transnational Institute et Jill Belisario, Transmigrant international Plateform).

    11h : Pause

    11h15 : Présentation de l’accusation soutenue par le Gisti et de la défense commise d’office représentée par Claire Bruggiamosca et Christophe Pouly.

    11h20 : Lecture de l’acte d’accusation par Nathalie Ferré, ancienne présidente du GISTI.

    12h : Premiers témoins.
    • Monique Chemillier-Gendreau (Professeur émérite de droit à l’Université Paris VII et présidente d’honneur de l’Association Française des Juristes Démocrates).
    • Marie-Christine Vergiat (Euro-députée GUE/NGL).
    • Damien Carême (Maire de Grande Synthe) - le rôle des collectivités territoriales.

    13h : Pause déjeuner (buffet).

    14h30 : Suite des premiers témoins.
    • Olivier Petitjean (Observatoire des Multinationales)
    • Claude Calame (Collectif de soutien de l’EHESS aux sans-papiers et aux migrant.e.s) – Les disparu.e.s en Méditerranée.

    15h30 : Violation de droits fondamentaux résultant des restrictions à la liberté de circulation.
    • Violation du droit de quitter son propre pays
    • Violation du principe de non-refoulement
    • Violation du droit d’asile
    • Violation du droit à la vie
    • Traitements inhumains et dégradants
    • Violation du droit à la liberté et à la sûreté, l’enfermement
    • Violation de l’interdiction des expulsions collectives
    • Violation des droits de l’enfant

    Témoigneront par ordre alphabétique.
    L’ordre de passage sera fixé par le jury du Tribunal.

    Association des Amis du bus des femmes.
    La traite des femmes migrantes à des fins d’exploitation sexuelle.
    Association Baobab
    Accueil des migrant-e-s, Rome.
    Association Européenne pour les Droits de l’Homme, Catherine Teule
    Les accords UE-Turquie.
    Association Malienne des Expulsés (Vidéo), Oussmane Diarra
    Situation des migrants refoulés au Mali.
    Association Nationale d’Assistance aux Frontières pour les Étrangers
    Contributions écrites sur la privation de la liberté en zone d’attente, violations du droit à un procès équitable et au recours effectif en procédure de zones d’attente, violation du droit d’asile aux frontières externes et internes de la France.
    Association Récréative et Culturelle Italienne, Sara Prestianni
    Politique européenne d’externalisation en Afrique et les accords bilatéraux (exemple de l’accord Italie-Libye)
    Association des Refoulés d’Afrique centrale au Mali (Vidéo), Patrice Boukara
    Situation des migrants refoulés
    Collectif de soutien aux migrants d’Appoigny
    Les PRAHDA « antichambres des expulsions des dublinés » -témoignage d’un migrant de Côte d’Ivoire sur son parcours jusqu’à la France (Libye, Méditérranée)
    Fédération des Associations de Solidarité avec les Travailleurs Immigrés
    Législation d’exception à Mayotte -accueil arbitraire dans les administrations - Frontex
    Forum Tunisien pour les Droits Économiques et Sociaux
    Contribution écrite sur le drame de Kerkennah (naufrage en Méditerranée)
    Groupe d’Information et de Soutien des Immigrés, Eve Shashahani
    Privation de liberté, hotspots en Grèce
    Gynécologie Sans Frontières, Calais
    Témoignages écrits sur les violences policières –traitements inhumains et dégradants
    Migreurop, Elsa Tyszler
    Les violations de droits dans les enclaves de Ceuta et de Mellila/ analyse des violations spécifiques des droits des femmes migrantes
    Témoignage de Moayed Asaf, réfugié kurde d’Irak
    La situation des demandeurs d’asile en France
    Tous Migrants de Briançon (Vidéos)
    Violations des droits des migrants sur la frontière franco-italienne
    Un ancien MIE
    Témoignage des parcours des mineurs étrangers pour réclamer leurs droits en France
    Watch The Med, Charles Heller
    Cartographie des naufrages et présence des Etats

    19h : Fin de la séance

    PROGRAMME du Vendredi 5 Janvier 2018

    8h30 Accueil et café

    9h00 : Suite des témoignages sur les violations des droits fondamentaux des migrant-es.

    11h : Violations des droits économiques, sociaux et culturels sur le territoire français.
    • Entraves à l’accès à l’emploi
    • Entraves aux conditions de travail justes et favorables
    • Entraves à l’accès à la protection sociale
    • Entraves à l’accès au soin
    • Entraves au droit à l’éducation
    • Entraves au droit au logement

    Témoigneront par ordre alphabétique
    L’ordre de passage sera fixé par le jury du Tribunal

    Association des Travailleurs Maghrébins en France
    Coalition Internationale des Sans-Papiers et des Migrants, Françoise Carrasse
    Conditions de travail des Sans-papier en France
    Collectif de soutien aux Roms d’Ivry, Bernard Prieur
    Expulsions et (non)droit au logement des populations Roms en France
    Confédération Paysanne, Romain Balandier
    Emplois saisonniers des migrant-es en France, en Europe et dans le pourtour méditerranéen
    DOM’ASILE
    Témoignage d’une réfugiée accompagnée et d’une salariée de l’association sur les violences administratives et les entraves aux droits sociaux et à l’emploi.
    L’UTAC / CRLDHT, soutenues par le collectif d’associations et d’organisations syndicales : « J’y Suis, J’y Vote », Mohamed Ben Said
    Sur les droits politiques des migrant-es
    Droit Au Logement (DAL)
    Sur les conditions de logement
    Intervention syndicale (SUD)
    Sur le travail dissimulé
    Intervention d’un étudiant sans-papier (RESF)

    13h : Pause déjeuner (buffet).

    14h30 : Suite des témoignages sur les violations des droits économiques, sociaux et culturels sur le territoire français

    15h30 : Violations des droits des défenseur-e-s de droits.

    Témoigneront :

    • José Bové, eurodéputé (vidéo)
    • Tous Migrants, Briançon (vidéo)
    • Cédric Herrou, La Roya Citoyenne,

    16h30 : Parole à l’accusation. Plaidoiries de la défense.

    18h : Fin de la session.

    DIMANCHE 7 JANVIER

    11h : Lecture des éléments de la sentence à l’occasion de la séance de clôture du Moussem-Festival de l’immigration et de la Tricontinentale.

    Salle des Fêtes de la Mairie de Gennevilliers.

    #migrants #violences_policières

  • Espace Presse | Greenpeace France
    http://presse.greenpeace.fr/agriculture-ogm/declaration-de-greenpeace-suite-a-sa-mise-en-demeure-par-lassociat

    Paris, le 26 juin 2015 – Greenpeace a été mise en demeure par l’avocat de l’Association Nationale #Pommes Poires (ANPP) de renommer son rapport intitulé ‘Pommes Empoisonnées – Mettre fin à la contamination des vergers grâce à l’agriculture écologique’ afin de ne pas laisser supposer, selon l’ANPP, que les pommes contiennent du #poison, ce qui lui causerait un grave préjudice.

    Nous ne renommerons pas ce rapport : modifier son titre ne changera rien aux résultats des tests présentés dans cette publication. Et cela ne changera rien, non plus, à l’incapacité actuelle de notre agriculture à se débarrasser de son addiction aux pesticides chimiques de synthèse.

    Les producteurs sont aujourd’hui les premières victimes de ces pesticides, qui mettent en péril leur santé et celle de leurs exploitations, et menacent la capacité à produire à long terme en épuisant les ressources naturelles. Greenpeace a publié en mai un rapport montrant que les #agriculteurs et leurs familles sont parmi les plus exposés aux risques des #pesticides. Les initiatives positives pour produire plus sainement existent, mais de trop nombreux pesticides sont encore utilisés dans la production actuelle.

    Greenpeace est convaincue que changer en profondeur notre modèle agricole et alimentaire ne peut reposer sur les seuls efforts des agriculteurs. La #grande_distribution porte une responsabilité dans la situation actuelle et a les moyens de la faire évoluer. En s’engageant dans une course effrénée aux prix bas, et en imposant des contraintes de volume, d’esthétique, etc., ce secteur exerce une pression excessive sur les producteurs.

    L’obsession de produire sainement doit remplacer celle de payer moins cher. Et la grande distribution, à qui Greenpeace s’adresse aujourd’hui dans le cadre de sa campagne ‘course zéro pesticide’, peut et doit favoriser cette évolution en donnant les moyens aux agriculteurs de mettre en œuvre et développer des alternatives aux pesticides.

    • Greenpeace est convaincue que changer en profondeur notre modèle agricole et alimentaire ne peut reposer sur les seuls efforts des agriculteurs.

      Là je suis pas d’accord, pour changer de modèle agricole il faut accompagner les agriculteurs vers une conversion à tous les niveaux : état, régions, villes, consommateurs. Il faut quand même rappeler que la plupart d’entre eux ont été contraints de se soumettre à l’agro-industrie prônée par l’Europe et la PAC ! A part quelques privilégiés, beaucoup sont endettés jusqu’au cou et vraiment dans la mouise. Faire pression sur la grande distribution c’est bien gentil mais c’est quand même le maillon de la chaine qui fout la merde et qu’il faudrait remplacer par des commerces de proximité revendant les productions locales.

  • Conférence – Qualité du poste client et gestion du cash : quelles bonnes pratiques pour prévenir et traiter les impayés ?
    http://www.scoop.it/t/impayes-et-risque-client/p/4009677527/conference-qualite-du-poste-client-et-gestion-du-cash-quelles-bonnes-pratiques

    L’Association professionnelle des Credit Managers, l’Association Nationale des Directeurs Financiers et de Contrôle de Gestion et Contentia vous invitent, le 7 novembre 2013 à la Cité des Echanges à Lille, à la conférence sur le thème Qualité...OuestGEST’s insight:Une conférence qui colle à l’actualité.See it on Scoop.it, via Impayés et risque-client

  • La maîtresse vient de me remettre – je n’en reviens pas – le carnet de notes de ma fille. Un carnet de notes, en petite section de maternelle ? Seriously ?

    (Ça s’appelle le « Livret d’évaluation des acquis », mais que c’est bel et bien un carnet de notes à l’ancienne, remis 2 fois par an aux parents, dans lequel les « acquis » sont notés A, B ou C.)

    • Oui Philippe, elle était d’ailleurs super-contente à Noël, parce qu’elle a reçu à l’école un très joli cadeau (subventionné par la mairie) dont l’aspect normatif ne m’avait qu’à moitié étonné : un magnifique service à thé en plastique rose. Les garçons, eux, avaient une sorte de monster-truck arachnoïde qui me faisait beaucoup plus envie.

    • Nous on avait eu la surprise, quand la grande était encore en crèche, de récupérer un jour un cahier avec des sortes d’exercices dedans (tracer des traits, ce genre de choses).

      Il s’agissait d’une intervenante extérieure, qui leur faisait faire ça « pour les préparer à l’école l’année prochaine » (soupir)...

    • Petite section ??? C’est vrai qu’ils poussent mémé dans les orties, cela dit, ce qui m’a le plus tué, c’est que les parents sont demandeurs, comme ça, ils ont l’impression de suivre les « progrès » de leur rejeton.

      J’ai une copine dont le gosse était noté à coup de smileys en moyenne section, ce qui est éminemment pervers, parce que voilà une codification que le gamin est tout à fait à même de comprendre. Un jour, le gosse est rentré à la maison avec un carnet pleins de smileys qui font la gueule et ce commentaire lapidaire :

      Ne maîtrise rien, sauf ses sphynters

      Les parents, fins comme comme une brandade de morue oubliée à la cantine municipale, se sont directement mis à se lamenter et à regarder leur gosse comme si on l’avait diagnostiqué autiste profond.
      Sauf que le gosse, je le connaissais et que j’avais joué avec lui : un peu rêveur, parfois brusque et bagarreur, comme on peut l’être à cet âge, il avait reçu une magnifique grue de chantier télécommandée pour son annif, genre, l’engin prévu pour des gosses du double de son âge. Et vous savez quoi ? Ce petit crétin manœuvrait bien mieux que moi le petit crochet au bout du bras pour prendre et déplacer des charges, soit une parfaite maîtrise des déplacements en 3D.

      Je l’ai dit aux parents et leur ai expliqué que ce prof était probablement un jeune con mal dégrossi. Mais bon, au final, ils ont envoyé ce gosse parfaitement normal et heureux se taper un chemin de croix chez une orthophoniste et une psychomotricienne pour « rattraper » son retard imaginaire, le tout en ponctuant leurs très nombreuses discussions sur ce sujet et en présence du gosse, de force soupirs et yeux levés au ciel.

      Ce qui fait qu’il y a fort à parier que le gosse, entre la réaction des parents, l’hostilité du prof et les contraintes médicales, a dû parfaitement intégrer le fait qu’il était un peu... différent.

      Donc, méfiez-vous de l’effet normatif de l’école, il peut être carrément lapidaire !

    • @monolecte : j’ai un peu cherché les réactions sur les forums, et je suis évidemment (comme à chaque fois qu’il s’agit de tous petits) tombé sur les forums de mamans. Et, oui, elles sont toutes super-contentes parce qu’elles vont bientôt recevoir le premier « carnet de notes » de leur niard en maternelle.

      Mais j’ai toujours pas compris si cette chose était une invention récente de la Sarkozye, si c’est obligatoire ou encore si c’est une initiative de l’école…

    • @baroug mouhahahahaha !

      @arno C’est assez récent, mais ma gosse (9 ans, CE2) y a eu le droit dès la grande section, à doses homéopathiques cependant, parce que ça dépend pas mal de la bonne volonté des enseignants, et chez nous, en dehors du blaireau de l’exemple, ils sont très conscients des travers de l’introduction précoce des notations.
      Le truc, c’est que oui, les parents sont demandeurs, parce qu’ils ont intégré la dimension compétition-tri précoce de l’école et ils y adhèrent.

      J’ai laissé tombé les parents d’élèves parce que j’y étais inaudible. Tous les ans, c’est mobilisation pour sauver SON école, SON prof, en concurrence directe avec l’école d’à côté. J’ai déjà dit que je voulais bien aller secouer le bureau de l’inspecteur de l’académie à condition que le discours soit :

      On ne lâche rien, aucune fermeture de postes est justifiable, on est tous unis contre vous, tout le département !

      Mais non, c’est chacun pour sa gueule et tout le monde dans le cul. Le recteur a parfaitement compris le truc et alterne les fermetures entre voisins : une année, le bled d’à côté perd son poste, et l’année suivante, c’est nous. Comme on ne les a pas soutenu quand ils étaient dans la merde (trop contents de n’y pas être nous-mêmes !) ben ils nous ignorent l’année suivante. En 3 rotations, tu peux fermer les écoles rurales et arriver à des écoles cantonales avec 20 mn de transport matin et soir et 35 élèves par classe.
      Voilà ce qu’on gagne à ne pas jouer collectif.

      De la même manière, impossible de faire entendre que les devoirs sont interdits au primaire. Ils sont ravis que les gosses aient des devoirs tous les soirs, et quand il n’y en n’a pas, c’est que la maîtresse fait mal son boulot et ils les réclament.
      L’inégalité des chances creusée par les variables domestiques des devoirs du soir, en fait, ça les arrangent bien aussi : parce qu’ils savent que si la mère a sacrifié sa carrière ou si elle n’est pas obligée de bosser pour des horaires et un salaire de merde (et si elle a eu un bon niveau d’éducation initial, mais bon, parfois, ils n’ont pas toutes les données !), les gosses seront avantagés d’office dans la compétition. Voilà ce qui leur importe : non pas d’éviter que l’école répète les inégalités sociales, mais au contraire, qu’elle les accentue afin de favoriser leurs gosses dans la course à l’échalote, tant ils ont parfaitement intégré qu’il n’y aura pas de gamelles pour tout le monde, que les places sont chères et que le tri est de plus en plus précoce.

      Donc, bienvenue, les gars, dans la grande foire d’empoigne de l’Éducation Nationale : vous n’avez pas fini d’en chier !

    • Et c’est terriblement contre-productif. Surtout que les parents ne sont pas toujours très clairs dans les rapports qu’ils ont eux-mêmes eu avec l’école. Ceux qui en ont chié ont tendance à projeter sur leurs gosses l’image d’une école-prison, d’une école-exclusion qui remet en scène à travers leurs gosses leur propre souffrance.

      J’étais une petite saleté de première de la classe. Donc, pour moi, l’école, c’était une bonne période de ma vie. En plus, j’étais populaire, parce que suffisamment fouteuse de merde pour ne pas être la fayotte des profs.
      Quand la gosse s’est mise à ramer en maths, j’ai laissé pissé pendant que son père paniquait grave, se rejouant sa propre incapacité dans la matière, ses rapports conflictuels avec un prof con. Plus il insistait sur les maths et moins la gosse embrayait. Il a fini par laisser pisser aussi (un peu marre de faire le père fouettard) et on a fait confiance à la maîtresse. Ben voilà, un trimestre plus tard, elle vient de ramener des 20/20 en maths à la maison.
      Fin de la pression...
      Pour le moment.

    • Je confirme pour l’éducation nouvelle. Nos deux filles y sont depuis cette année, et on voit une différence sur pas mal de points : absence quasi totale de devoirs, accompagnement et considération des élèves très différents, etc.

      Cela dit même dans ce cadre là les histoires d’évaluation finissent par pointer le bout de leur nez, notamment via des demandes de parents qui s’inqjuiètent un peu pour la rentrée au collège. Du coup c’est sous forme de « ceintures » plutôt que sous forme de notes, mais ça peut avoir des effets assez comparables (stigmatisation, dévalorisation de soi, compétition, etc.).

      D’ailleurs @peweck je crois avoir vu passer ton nom lors d’une réunion à l’école récemment :-)

    • @juba, je ne suis plus à Antony mais je continue de faire des images dans les différentes écoles (et en ce moment au Cafézoïde, soit dans ces lieux de l’enfance qui ont du sens !)

      Après faut s’entendre sur les mots et sur la manière de procéder : évaluation est différent de notation mais dans la pratique ça peut, effectivement, être la même chose si c’est pas compris.
      On pourrait avoir d’autres débats passionnants sur Autorité/autoritarisme, liberté/limite, apprentissage/dressage, individu/individualisme…

    • Pourquoi je pleure sur l’école de la République :
      http://www.liberation.fr/societe/01012369919-pourquoi-je-pleure-sur-l-ecole-de-la-republique
      "Hier, j’ai trouvé deux avis dans ma boîte aux lettres concernant mes enfants. L’un, de l’école primaire, avec cette phrase absconse : « Beneylu Jim se fera une joie de vous accueillir à l’adresse : www.beneyluschool.net ». L’autre, du collège : « Objet : mise à disposition de téléservices. » Il commence ainsi : « En tant que personne détentrice de l’autorité parentale, vous pouvez désormais mieux suivre la scolarité de vos enfants en utilisant les téléservices de consultation des notes… »"

    • Arf. Cela fait quelques années que les miens en sont sortis et ils n’ont pas grandi en chiraquie ni en sarkozie, mais la logique me semble similaire... Du coup, avec mon bagage de « travailleur social », j’ai vécu ça comme papa et comme « social ». En bref, tous les niveaux scolaires ont des objectifs « pédagogiques » et du coup, le système scolaire se met en branle dès le départ, la « violence symbolique » aussi... (http://fr.wikipedia.org/wiki/Violence_symbolique - http://www.barbier-rd.nom.fr/violencesymbolique.html)

      Du côté des intervenants (ou des des penseurs de l’intervention), l’intention de bien faire en informant les parents dès que possible, etc., est pensé positivement : permettre à chacun de travailler les « lacunes » pour améliorer la réussite scolaire. Mais par le fait même c’est l’échec scolaire qui est créé... C’est forcément normatif, c’est forcément arbitraire. Pour ceux qui rentre dans une spirale comme celle décrite par Agnès, c’est bien l’enfer qui nait de ces bonnes intentions. En l’occurrence, cela ne fait qu’anticiper de quelques années le système de création violence symbolique.

      De notre côté, tant la direction que l’association des parents tentaient de sensibiliser à la richesse des rejetons, de mettre en évidence leurs capacités et le fait que ces « évaluations » (on n’avait pas de carnet) sont à prendre avant tout comme une balise, non comme un diagnostic imposant forcément une thérapie (et certainement pas immédiate, les mômes changent et grandissent tellement vite...). Et puis il y a tous ces petits trucs tout simple qui peuvent aider chacun : jouer ensemble, découper ensemble, dessiner, faire des collages... Eviter les écrans en tous genres... Mais bon, peu de parents avaient le temps... Peut-être étaient-ils trop occupés par les rendez-vous de psychomotricité...

      De toutes façons, cela ne change rien au fait que l’école soit partie intégrante d’un système de reproduction des inégalités, mais on peut au moins tenter d’en adoucir l’approche par les performances, en renforçant l’approche par les relations... En attendant la révolution ?

    • Pour mes enfants en maternelle, 19, 17 et 13 ans aujourd’hui, il y avait déjà ces carnets d’évaluation allant de A+ à E.

      Mais globalement je n’ai jamais adhéré au système scolaire à la Française : trop de Français, trop de Math, trop d’Histoire-Géo, de chimie, de physique, de géologie et pas assez de : apprendre à apprendre, savoir se nourrir, savoir se laver, savoir entretenir son corps, savoir porter les premiers secours, savoir la vie en groupe.

      Les « réformes » du système scolaire se posent en grand débat sur plus de telle ou telle matière par rapport aux existantes ou dans les techniques d’enseignements et jamais sur ce que nous aimerions que nos enfants puissent acquérir de manière globale pour faire face aux défis rencontrés dans leurs vies.

      Qu’il y ai des notes donc, sur les apprentissages, coule de source puisqu’il s’agit de la petite section à la terminale et même au-delà de donner un satisfecit à ceux qui auront su reproduire le modèle imposé le plus longtemps possible.

    • En région parisienne, il y a bien une petite école qui résiste à la façon d’un village gaulois, il s’agit de l’école Decroly, un jour il faudrait que je me fende d’un article sur le sujet.

      http://www.ecoledecroly.com

      Je ne remercierai jamais assez mon fils Nathan de m’avoir guéri définitivement de toute angoisse dans le domaine normatif de l’éducation nationale, et de m’avoir délivré de quelques entraves dont je n’étais pas entièrement émancipé, un peu de celles qu’Agnès décrit plus haut dans son commentaire.

      Et même si mes enfants sont scolarisés tous les trois dans une école alternative à bien des égards, je garde une oreille sur le sujet, notamment grâce au site pas de zéro de conduite, dont je recommande la visite aux jeunes parents de notre petit groupe

      http://www.pasde0deconduite.org

    • http://seenthis.net/messages/54261
      De toute manière, le meilleur choix, c’est de défendre une école publique libre, gratuite et de qualité pour tous.

      Maintenant, la réalité, c’est que les pros de la prospective ont bien noté que nous n’avons plus d’industries productives dans ce pays et que le gros des besoins dans les prochaines décennies, ce seront des larbins pour torcher le cul des vieux et servir les fortunés... donc, le retour à l’asile (ancien nom de la maternelle, où l’on apprenait aux gosses de pauvres à lire, écrire et compter, juste ce qu’il faut pour être de bons serviteurs) et au certif est bien suffisant pour les prochaines années en terme d’éducation de la population.

    • @moderne sur Lyon y’en a deux, l’#école nouvelle du Chapoly et l’école nouvelle de la Rize. Les deux ont en général un stand au salon Primevère, si tu veux te faire une idée plus précise.

      Après, effectivement, ça reste une école privée (bon nous on dit « associative », mais c’est assez hypocrite). Et je suis bien d’accord que l’idéal et l’objectif c’est une école publique de qualité pour tous. Mais nous on a essayé, et ça a fini par deux années de scolarisation en famille pour s’en remettre :-(

      #éducation #école_nouvelle

    • Je ne prône pas les écoles alternatives à tout prix mais, entre le mythe d’un État qui serait au service des citoyens avec un chouette école n’a que trop vécu. L’Éducation Nationale n’est plus, pour moi, en dehors de quelques exceptions, à la hauteur de grand chose.
      Je ne sais pas pour les autres mais à Antony, il y a cette volonté de faire société. Sans être naïf sur la sélection par l’argent qui s’opère de manière différentes et peut-être finalement plus hypocrite dans le secteur public, il y a un projet de société de vivre ensemble, d’apporter aux enfants les outils de compréhension du monde, d’autonomie de chacun en interaction avec le groupe, l’envie d’apprendre et de découvrir, etc.
      La plupart des avancées inventées dans les écoles alternatives ou les crèches parentales se retrouvent, amoindries, dans le système, ce dernier a donc besoin des marges pour ne pas sombrer. Peut-être que ce n’est pas lui rendre service d’ailleurs…

  • Signature de l’Association Contre le Libre de Droit - Actualités UPP - Union des Photographes Professionnels
    http://www.upp-auteurs.fr/actualites.php?actualite=506

    L’UPP, la Saif, le GNPP, l’Association Nationale des Iconographes, les Agents Associés, Tendance Floue et Signatures, qui partagent des valeurs communes, sont à l’initiative de cette création et viennent tout juste de signer les statuts en ce mardi 3 mai 2011, à la Galerie de la Maison des Photographes (siège de l’UPP, du GNPP, des AA et de la SAIF), à Paris.

    L’objectif de l’ACLD est de lutter contre l’utilisation d’oeuvres visuelles dites « libres de droits » et contre leur commercialisation à un prix dérisoire.

    (via http://linuxfr.org/news/lunion-des-photographes-veut-la-mort-du-libre)

    Bon, ben... On est pas sortis de l’auberge. Je perçois nettement l’inquiétude qui sous-tend ce genre de démarche mais je me demande s’il n’y a pas mieux à faire pour défendre son gagne-pain... ? Il est clair que comme tous les métiers de médias, celui-là va aussi être profondément bouleversé par l’émergence d’internet.

    A noter : leur site comporte une série d’informations plutôt pertinentes, compréhensibles, voire instructives pour moi qui ne suis pas de ce milieu. Genre les boites qui font des concours photos qui leur permettent de collecter des milliers d’images sur lesquelles elles s’attribuent les droits, le tout pour le prix d’un téléphone portable... C’est vrai que c’est dur.

    <del>Mais leur association là, c’est du grand réac’ quand même...</del> Edit du 29/6/2011 : se battre pour les droits acquis, ce n’est plus avancer, du coup ça ne peut pas suffire. C’est plutôt ça l’idée :-p