Bonjour Agnès,
Premier paragraphe, je souscris.
Le deuxième, je ne comprend pas très bien. Le viol me semble effectivement une « prérogative » masculine puisque l’érection est indispensable. Un viol féminin pourrait être envisagé, mais pas sans le consentement « physique » du violé.
Pour le reste, les autres formes de violences, tant physiques que psychologiques, sont envisageables autant au masculin qu’au féminin, avec toutefois une prédominance de la violence physique pour les hommes (différence de force physique oblige). L’exception confirmant la règle.
La violence économique, quand à elle, est effectivement une question de pouvoir, et de la capacité des hommes et des femmes à le détenir. Dans cette matière, il y a vraiment une potentialité d’égalité des sexes.
Personnellement, je suis humaniste, ce qui inclut une revendication aux droits des femmes, mais pas en faisant un distinguo avec ceux des hommes autrement que dans ce qui est particulier aux femmes.
Pierre Meur