person:salmane ben abdel

    • Ce qui fait sourire le président de la république française

      Pendant que le dissident Raif Badawi attend le fouet qui tombe chaque vendredi, Israa al-Ghomgham, elle, guette le sabre du coupe-tête le plus déchaîné de la péninsule arabique. Le procureur général a réclamé l’exécution de cette jeune activiste, jugée lundi 6 août par le tribunal criminel spécial au même titre que les terroristes. Son époux Moussa al-Hashem, de même que quatre autres Saoudiens, devrait subir le même sort. Si la sentence est confirmée lors de la prochaine comparution le 28 octobre, et ratifiée par le roi Salmane ben Abdelaziz al-Saoud, Israa al-Ghomgham deviendra à 29 ans, la première femme arrêtée et mise à mort par le régime conservateur pour avoir défendu les droits de l’homme.

      La militante saoudienne Israa al-Ghomgham risque la décapitation
      http://www.lefigaro.fr/international/2018/08/22/01003-20180822ARTFIG00232-la-militante-saoudienne-israa-al-ghomgham-risque-

  • Trump et le Moyen-Orient : ce que nous apprend le livre de Michael Wolff
    Middle East Eye | Areeb Ullah et Dania Akkad | 7 janvier 2018
    http://www.middleeasteye.net/fr/reportages/comment-trump-voit-le-moyen-orient-ce-que-nous-apprend-le-livre-de-mi

    Trump avec le roi d’Arabie saoudite, Salmane ben Abdelaziz, lors de la parade à Riyad (Reuters)

    L’attaque de missiles contre la Syrie, les luttes internes sur le processus de paix ou encore les dessous de la fête organisée à Riyad : le livre de Michael Wolff en dit long sur Trump et le Moyen-Orient

  • Des fleurs saoudiennes pour la Russie
    http://www.dedefensa.org/article/des-fleurs-saoudiennes-pour-la-russie

    Des fleurs saoudiennes pour la Russie

    Le roi d’Arabie saoudite Salmane (Salmane ben Abdelaziz) se rend en Russie pour une visite officielle que l’on qualifie d’“historique” (du 5 au 7 octobre). Un tel déplacement est effectivement extrêmement rarissime, sinon inédit, et représente une marque symbolique d’une volonté d’établir les meilleurs rapports possibles entre deux pays qui ne sont pourtant pas les meilleurs amis du monde sur tous les théâtres d’opération, – notamment en Syrie et au Yemen, et compte tenu de l’hostilité affichée de la Russie vis-à-vis du terrorisme islamique par rapport à la tradition de soutien des Saoud au terrorisme islamiste. Qu’importe, nous somme dans un monde où cohabitent diverses narrative et presque autant de simulacres, et où les vérités-de-situation sont à trouver dans (...)

  • Les Saoudiens tentés par une intervention à haut risque en Syrie
    Abdel Bari Atwan
    8 février 2016 - Rai Alyoum -
    Traduction : Info-Palestine.eu - Jean Cartier
    http://www.info-palestine.net/spip.php?article15895

    Dimanche, le monarque saoudien Salmane ben Abdel Aziz a profité de l’ouverture du festival culturel Janadriya à Riyad pour parler aux auteurs et aux journalistes des affaires étrangères. En particulier, il a paru réprimander l’Iran, que le Royaume considère comme un fauteur de troubles, déclarant que « nous avons le droit de nous défendre, sans nous mêler des affaires des autres et nous demandons que les autres ne se mêlent pas des nôtres ».

    Le roi Salmane a aussi mentionné la coopération des États sunnites pour la « défense » du Yémen, décrivant les opérations du Royaume comme étant destinées à « assurer leur indépendance et préserver leurs systèmes de gouvernement, tels qu’ils sont avalisés par leurs peuples »

    Le Roi s’exprime ainsi alors que son pays se prépare à envoyer des troupes en Syrie, ayant mené des exercices militaires en coopération avec des pays tels que l’Égypte et le Soudan en préparation pour cette opération dénommée Tonnerre du Nord. On s’attend à ce que la Turquie soit la porte d’entrée de ces troupes en territoire syrien.

    Cette opération est présentée comme étant une bataille contre l’État islamique (EI) mais le vrai but est de contrecarrer les récentes avances de l’armée syrienne sous la couverture aérienne russe et de soutenir les forces rebelles.

    #Syrie #Arabie_saoudite #Turquie

  • Raif Badawi : le Canada n’a aucune confirmation | Actualités | TVA Nouvelles

    http://www.tvanouvelles.ca/2015/11/30/raif-badawi-le-canada-na-aucune-confirmation

    Le Canada n’a obtenu aucune confirmation selon laquelle Raif Badawi pourrait être libéré, malgré des signaux positifs venus des autorités suisses.

    Samedi, le secrétaire d’État du département des Affaires étrangères de Suisse, Yves Rossier, a déclaré au journal « La liberté » qu’il avait été informé par les autorités saoudiennes que la sentence de Raif Badawi avait été suspendue et qu’une procédure de grâce était en cours auprès du roi Salmane ben Abdelaziz al-Saoud.

    Les autorités canadiennes ont appris l’information par le biais des médias, mais n’ont eu aucune confirmation de leur côté. « Le Canada n’a aucune information à l’effet que la peine de Raif Badawi ait été modifiée ou que sa libération soit imminente. Le Canada va continuer ses démarches auprès du gouvernement saoudien pour exprimer ses préoccupations », a indiqué John Babcock, porte-parole aux Affaires étrangères.

    #raif_badawi #arabie_saoudite qui vient d’annoncer ce 2 janvier qu’elle a éxecuté une petite cinquantaine de personne.

  • Apparemment, les politiciens libanais pleurent la mort d’un homme qui a dirigé le Liban pendant 40 ans :
    http://www.lorientlejour.com/article/933977/siniora-regrette-un-symbole-de-moderation-geagea-un-frere-pour-le-lib

    Suite au décès de l’ancien ministre saoudien des Affaires étrangères Saoud al-Fayçal, survenu jeudi, l’ambassadeur d’Arabie saoudite, Ali Aouad Assiri, recevra les condoléances au siège de l’ambassade les dimanche 12, lundi 13 et mardi 14 juillet. Par ailleurs, l’ambassade a annoncé dans un communiqué que l’iftar prévu pour lundi est annulé en raison des circonstances.

    Les réactions des personnalités libanaises au décès de Saoud al-Fayçal se sont multipliées hier. Parmi elles, celle du chef du bloc du Futur, Fouad Siniora, qui a qualifié le disparu de « prince de la diplomatie arabe et des positions solides ». « Il était un des symboles de l’ouverture et de la modération, s’opposant fermement à l’extrémisme, la violence et au terrorisme », a-t-il poursuivi.

    Pour Samir Geagea, chef des Forces libanaises, le Liban « a perdu un frère qui lui était cher ». « Comment oublier ses efforts pour mettre fin à la guerre civile libanaise ? » a-t-il dit.

    L’ancien président de la République Amine Gemayel a envoyé un message de condoléances au roi Salmane ben Abdel Aziz. Il a considéré que « la disparition, en des circonstances si difficiles, du prince qui a dirigé la diplomatie saoudienne pendant si longtemps est une perte pour les deux pays ».

    Le ministre des Affaires étrangères Gebran Bassil, dans un message au roi d’Arabie saoudite, a affirmé que « le monde a perdu, avec le décès du prince Saoud al-Fayçal, une grande personnalité, une valeur diplomatique exceptionnelle, qui a laissé son empreinte indélébile sur l’histoire contemporaine des mondes arabe et islamique, voire du monde entier ».

    Samy Gemayel, nouveau président du parti Kataëb, a contacté l’ambassadeur d’Arabie saoudite pour lui présenter ses condoléances. Il a estimé que le prince disparu « occupe une place essentielle dans la mémoire du Liban et des Libanais, notamment par les initiatives de paix qu’il a lancées ».

    Les hommes religieux ont également adressé à l’Arabie saoudite des messages de condoléances pour le décès de Saoud al-Fayçal. Le mufti de la République Abdellatif Deriane a regretté un homme « qui aimait le Liban et les Libanais, apportant toujours son concours pour régler leurs crises ». Il a rendu hommage « à ses prises de position courageuses » et estimé qu’« il s’était consacré au service des causes arabes ».

    Pour le cheikh Akl druze Naïm Hassan, Saoud al-Fayçal « était un grand ami de la communauté druze, soucieux de ses intérêts, l’ayant soutenue à maintes étapes de son histoire ».

  • Sommet de la Ligue arabe : Forcing égyptien et saoudien pour une force militaire arabe
    par Yazid Alilathttp://www.lequotidien-oran.com

    La mise en place d’une force militaire arabe conjointe, la menace de la déstabilisation du Yémen et la prise de pouvoir des Houtis, dans ce pays, ont constitué le principal sujet à l’ordre du jour de la 26ème session du sommet des chefs d’Etat de la Ligue arabe, hier, dans la station balnéaire égyptienne de Charm Echeikh.

    Ce sommet a, en fait, débuté sans préambule, puisque l’ordre du jour était déjà connu : mettre en place une force militaire arabe conjointe pour faire face aux défis qui menacent la région.

    Le forcing de l’Egypte et, particulièrement, du Président Al Sissi pour la création de cette coalition militaire arabe a éclipsé les autres points, au menu de cette session, dont celui de la lutte contre le terrorisme, alors que ce sommet s’est ouvert, en pleine intervention militaire contre les positions des Houtis, au Yémen. Une réunion tripartite entre les présidents égyptien Al Sissi et yéménite Abd Rabbo Mansour Hadi et le monarque saoudien Salmane Ben Abdel Aziz al Saoud, s’est tenue juste avant l’ouverture de ce sommet. Les trois chefs d’Etat avaient, notamment, discuté de la nécessité de la création d’une force arabe commune pour faire face aux défis qui se posent aux pays de la région, dont le terrorisme, l’avancée des Houtis, au Yémen, et l’Etat islamique (Daech) en Irak et en Syrie.

    C’est, en fait, sur cet ordre du jour que le sommet des chefs d’Etat des pays arabes s’est ouvert, avec en toile de fond les bombardements aériens menés, au Yémen, par une coalition de dix pays conduite par l’Arabie Saoudite, qui ont déjà fait de nombreuses victimes. Une opération militaire contre les positions des Houtis, entamée, mercredi soir, qui est perçue par les observateurs au sommet de Charm Echeikh comme un sérieux test pour les pays arabes dans leur lutte contre la menace du terrorisme et de Daech. Dès le début du sommet, l’Egypte et l’Arabie saoudite, à travers leurs chefs d’Etat, ont réitéré cet objectif de la création d’une telle force militaire arabe conjointe d’intervention ou pour lutter contre les groupes terroristes, en particulier Daech, en Syrie, en Irak, et qui progresse en Egypte et en Libye.

    Pour Ryadh, cependant, le plus urgent est de mettre un terme à l’avancée des Houtis, au Yémen et les empêcher de prendre le pouvoir dans ce pays, qui, à l’évidence, est à l’origine de la mise en place rapide d’une coalition composée de dix pays arabes. Et, dès le début des travaux de ce sommet de deux jours, le président égyptien Al Sissi qui préside pour un an la Ligue arabe, a insisté pour la création rapide de cette force arabe pour « faire face aux menaces, sans précédent, pour l’identité arabe » que constituent « les groupes terroristes » et la multiplication des conflits. Avant l’ouverture de ce sommet, l’Egypte avait, même, abordé la possibilité d’envoyer au Yémen des troupes au sol, si nécessaire. Le roi Salmane Ben Abdel Aziz al Saoud d’Arabie saoudite, en faisant référence à l’intervention militaire conjointe que son pays dirige au Yémen, a affirmé que cette opération durerait jusqu’au rétablissement de la sécurité dans ce pays.

    Le président yéménite a estimé, lui, que cette opération aérienne devrait continuer jusqu’à la « reddition » des Houtis. « J’appelle à la poursuite de cette opération jusqu’à ce que ce gang (les Houthis, ndlr) se rende et se retire de toutes les terres qu’il occupe, dans toutes les provinces », a lancé M. Hadi. Il ajoute que l’intervention de la coalition « est un test pratique pour une force arabe unie, devenue une exigence, afin de protéger durablement la sécurité des Arabes », a ajouté le président yéménite, et autant, elle doit aussi constituer un « test pratique » pour une future force arabe, ajoute t-il.

    Sur la table de ce sommet, il y a donc un projet de résolution égyptien, déjà entériné par les ministres arabes des Affaires étrangères, jeudi, qui mentionne que cette force militaire conjointe, regroupant des troupes des Etats membres, sera chargée de mener « des interventions militaires rapides » pour parer aux menaces sécuritaires.

    Les chefs d’Etat devraient, donc, adopter ce projet de résolution égyptien à la fin de leurs travaux. Mais les divergences entre les 22 pays composant la Ligue arabe, pourraient faire capoter ce projet, sinon le retarder. Un diplomate yéménite relève en particulier qu’il est important « que cette force ait des objectifs spécifiques, ainsi qu’un plan et un programme clairs ». En outre, il y a une grande divergence d’objectifs entre les états membres de la Ligue arabe, car si Ryadh veut lutter contre l’influence dans la région de l’Iran, à travers les Houtis, au Yémen, l’Egypte, la Jordanie et d’autres pays arabes veulent, en priorité, éliminer la menace terroriste et Daech, même si la situation au Yémen retient le plus l’attention de par ses conséquences sur l’équilibre politique dans la péninsule arabique.

    Pour autant, seule l’Algérie s’est clairement exprimée sur cette force arabe d’intervention. Ramtane Lamamra, chef de la diplomatie algérienne, avait, jeudi, expliqué que « l’Algérie n’autorisera aucune participation de ses troupes armées à des opérations militaires, en dehors de ses frontières », a-t-il affirmé. Il précise, cependant que l’Algérie « pourrait, toutefois, apporter un soutien en logistique au-delà de ses frontières, sans pour autant impliquer ses troupes armées ».
    De son côté, l’ancien président de la Ligue arabe Amr Moussa, a estimé que la création d’une force arabe commune est « importante » dans les circonstances actuelles. Les travaux de la 1re journée, centrée sur les interventions des chefs de délégations, ont été levés vers 16h, et devaient reprendre vers 19 h locales, à huis-clos. L’Algérie est représentée à ce sommet par le président du Conseil de la Nation, Abdelkader Bensalah, représentant du président Abdelaziz Bouteflika.

  • Syrie : l’Arabie saoudite accuse la communauté internationale de « trahison » - Le Point

    http://www.lepoint.fr/monde/syrie-l-arabie-saoudite-accuse-la-communaute-internationale-de-trahison-25-0

    Le prince héritier d’Arabie saoudite a accusé mardi la communauté internationale d’avoir « trahi » la rébellion syrienne, en manque d’armes dans sa guerre contre le régime du président Bachar el-Assad. « La résistance syrienne légitime a été trahie par la communauté internationale, qui en a fait une proie facile livrée à des forces iniques », a déclaré le prince Salmane Ben Abdel Aziz à l’ouverture à Koweït du sommet annuel de la Ligue arabe.