#Netanyahou ne sera pas encore cette année
à #Cannes pour l’ensemble de son oeuvre !...
:-D :-D :-D Quel dommage ?...
#politique #comique #international #boucher #Israel #CPI #Gaza #retour_de_gaz #société #monde #pied_de_nez #seenthis #vangauguin
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La #Suisse et la #colonisation : nouveaux articles en ligne
Quelle est la place de la colonisation dans l’histoire et les pratiques de savoir en Suisse ? Deux publications récentes abordent cette question sous les aspects de l’histoire et des archives.
Le Dictionnaire historique de la Suisse publie un dossier comprenant une quinzaine d’articles nouveaux ou remaniés sur les #ramifications_coloniales de la Suisse (►https://hls-dhs-dss.ch/fr/dossiers/000033/2024-04-30). Il comprend des articles - en Français, Allemand, et Italien - consacrés à des notions clés - #colonisation, #racisme, #abolitionnisme - ainsi qu’à des Suisses et des Suissesses présents à divers titres dans les #colonies.
La revue spécialisée suisse pour les archives, les bibliothèques et la documentation arbido consacre son dernier numéro à la Décolonisation des archives (►https://arbido.ch/fr/edition-article/2024/dekolonialisierung-von-archiven-decolonisation-des-archives). Des réflexions théoriques et des exemples de projets concrets donnent un aperçu varié de la thématique.
▻https://www.infoclio.ch/fr/la-suisse-et-la-colonisation-nouveaux-articles-en-ligne
#Suisse_coloniale #archives #histoire #Suisse
ping @cede
Ramifications coloniales de la Suisse
Quel rôle la Suisse a-t-elle joué au sein du réseau mondial des colonies ? Quelle fut l’implication des Suissesses et des Suisses dans le commerce international des esclaves et dans l’économie coloniale ? Comment le colonialisme a-t-il marqué la société de notre pays ? Ces interrogations font l’objet d’un vif débat public et politique. Les sciences historiques se penchent également sur ces questions complexes et apportent un éclairage nouveau sur cette problématique.
Le DHS consacre un vaste projet au passé colonial de la Suisse. Il comprend de nombreux articles nouveaux ou remaniés, consacrés à des notions clés ainsi qu’à des personnes et familles actives dans le monde entier. Riche en informations sur les mercenaires, entrepreneurs, planteurs et commerçants d’esclaves suisses, il met aussi en lumière les Suissesses présentes à divers titres dans les colonies. Leur histoire a été négligée jusqu’à présent tout comme celle des personnes réduites en esclavage, condamnées au travail dans les colonies ou emmenées de force en Suisse. Le projet va s’enrichir en permanence de nouvelles contributions.
►https://hls-dhs-dss.ch/fr/dossiers/000033/2024-04-30
#commerce_de_transit #commerce #commerce_maritime #décolonisation #Gebrüder_Volkart #tissus #indiennes #tissu #industrie_textile #David_Kaltbrunner #Salomon_Kitt #Antoine-Frédéric_Larguier_des_Bancels #Pierre-Frédéric_Larguier_des_Bancels #Sophie-Adrienne_Martinet_Larguier_des_Bancels #missions #racisme #service_étranger #Johann_Georg_Volkart #Salomon_Volkart #Jakob_Christoph_Ziegler
Décolonisation des archives
La décolonisation n’est plus seulement un thème pour les musées, mais aussi pour les archives et les bibliothèques, y compris en Suisse. Le présent numéro d’arbido aborde le sujet sous différents angles et par différentes institutions de mémoire. Des réflexions théoriques et des exemples pratiques donnent un aperçu varié de la thématique.
►https://arbido.ch/fr/edition-article/2024/dekolonialisierung-von-archiven-decolonisation-des-archives
Le città visibili
Dove inizia il cambiamento del Paese.
Nelle città di tutto il mondo stanno cambiando gli abitanti, i loro desideri e le loro priorità: la casa, lo spazio pubblico, il modello di sostenibilità ambientale, il modo di lavorare.
In Europa, come negli Stati Uniti, esiste una visione più o meno condivisa del modo in cui rendere le città più sostenibili, più giuste, più belle.
Ed è una visione che si confronta con tante difficoltà, con le abitudini e i conservatorismi non solo della politica e dell’impresa, ma anche dei singoli cittadini: rompere gli equilibri è faticoso.
Pierfrancesco Maran, assessore del Comune di Milano alla Mobilità, all’Urbanistica e ora alla Casa, racconta la sua esperienza sul campo in queste pagine che affrontano le sfide e i nodi della trasformazione di una metropoli moderna, tra nuova identità e riscoperta delle tradizioni, all’insegna dell’innovazione nella progettazione del verde, dell’edilizia, della qualità dell’aria, del turismo e dei grandi eventi, della valorizzazione delle periferie e dell’economia della conoscenza.
Una riflessione concreta di grande attualità sull’oggi e sul domani dei luoghi del cambiamento attraverso cui passa il futuro del Paese.
Le parole di Francesco Costa
«Come sono le città oggi e come diventeranno domani. Chi sono le persone che le abitano, come stanno cambiando le loro vite e i loro lavori. Pierfrancesco Maran, uno dei protagonisti della trasformazione di Milano degli ultimi anni, racconta difficoltà, opportunità, contraddizioni che vivono le aree urbane in questo periodo di grandi scossoni sociali, con lo spirito di chi cerca sempre soluzioni nuove. Una guida al presente delle città per essere pronti al prossimo futuro.»
La necessità di comprendere i bisogni di chi abita le città
«Siamo così saturi di immagini e notizie da far fatica a distinguere quelle importanti, a prenderci il giusto tempo per riflettere e analizzare, a volte siamo addirittura socialmente obbligati a esplicitare una nostra opinione su fatti complessi, prima ancora di averla completamente formata. Negli ultimi mesi, anche grazie a questo libro, ho potuto dedicare tempo per riflettere, per comprendere i bisogni di chi abita le città, per ragionare sulle opportunità di domani, studiare qual è lo spirito del tempo degli abitanti della città, nativi e nuovi arrivati.»
Il futuro delle città
«Nelle città di tutto il mondo stanno cambiando gli abitanti, i loro desideri e le loro priorità: la casa, lo spazio pubblico, il modello di sostenibilità ambientale, il modo di lavorare. In Europa, come negli Stati Uniti, esiste una visione più o meno condivisa del modo in cui rendere le città più sostenibili, più giuste, più belle. Ed è una visione che si confronta con tante difficoltà, con le abitudini e i conservatorismi non solo della politica e dell’impresa, ma anche dei singoli cittadini: rompere gli equilibri è faticoso.»
▻https://www.solferinolibri.it/libri/le-citta-visibili
#livre #villes #urban_matter #changement #soutenabilité #Pierfrancesco_Maran
Participez à la transformation de la place de La Concorde à #paris
▻http://carfree.fr/index.php/2024/05/03/participez-a-la-transformation-de-la-place-de-la-concorde-a-paris
Concertation publique sur la place de la Concorde du 02 avril au 29 mai 2024. Vous aussi donnez votre avis ! Participez à la concertation publique lancée par la #ville de Lire la suite...
#Alternatives_à_la_voiture #Marche_à_pied #Pétitions #Pollution_automobile #Quartiers_sans_voitures #Réchauffement_climatique #Transports_publics #Vélo #Vie_sans_voiture #Ville_sans_voitures #aménagement #circulation #climat #CO2 #cyclistes #écologie #environnement #france #futur #histoire #mobilité #piétons #pollution #société #urbain #urbanisme
Le plus important, le lien du site d’avis publiques :
▻https://decider.paris.fr/decider/jsp/site/Portal.jsp?page=consultation&view=consultation&id=466
Mes souvenirs sur Kropotkine
▻https://www.partage-noir.fr/mes-souvenirs-sur-kropotkine
Dès mon arrivée en Russie, j’eus connaissance de bruits contradictoires sur Kropotkine ; les uns laissaient entendre qu’il était favorable aux bolchevistes, d’autres qu’il les combattait ; qu’il vivait dans des circonstances matérielles très favorables, d’autres qu’il mourait littéralement de faim, etc. Je désirais vivement connaître la vérité en cette matière, et j’étais impatient de le voir personnellement. Durant ces dernières années, j’avais entretenu une correspondance assez suivie (...) #le_libertaire_n°161_daté_du_17_février_1922
/ #Pierre_Kropotkine, Révolution russe (1917-1921), #Le_Libertaire
Pierre Kropotkine fédéraliste - #Camillo_Berneri
▻https://www.partage-noir.fr/pierre-kropotkine-federaliste-camillo-berneri
Il naît à Lodi le 28 mai 1897 et passe ses jeunes années à Reggio Emilia. Il s’inscrit au cercle des Jeunesses Socialistes, qu’il quitte bientôt pour adhérer au mouvement anarchiste ; après une lettre, qui, à son époque, fit beaucoup d’impression sur les jeunes : Il nous faut un nouvel essor, il nous faut un retour au temps où aimer une Idée voulait dire ne pas craindre la mort et sacrifier toute la vie à une soumission complète. (1915) En 1917, à vingt ans : Je croyais que la vie (...) #Pierre_Kropotkine_fédéraliste
/ Camillo Berneri, Archives Autonomies , Révolution espagnole (1936-1939)
#Archives_Autonomies_ #Révolution_espagnole_1936-1939_
▻https://fr.wikipedia.org/wiki/Luigi_Fabbri
▻https://fr.wikipedia.org/wiki/Federica_Montseny
▻https://bianco.ficedl.info/mot5891.html
▻https://www.antimythes.fr/individus/berneri_camillo/berneri_camillo.html
#Pierre_Kropotkine fédéraliste - VI - L’anarcho-syndicaliste soviétique
▻https://www.partage-noir.fr/pierre-kropotkine-federaliste-vi-l-anarcho-syndicaliste
A la veille de partir pour la Russie, Kropotkine écrivait de Brighton, à la date du 21 mai 1917, une lettre pleine d’enthousiasme révolutionnaire et illuminée d’espérance anarchiste : Quelque chose de grand est arrivé en Russie et quelque chose qui sera le début de choses encore plus grandes un peu partout... ce qui m’a profondément touché est le profond bon sens de la masse ouvrière et paysanne qui lui fait comprendre la portée du mouvement et les promesses qu’il contenait... Je vois (...) #Pierre_Kropotkine_fédéraliste
/ Pierre Kropotkine, Archives Autonomies
#Archives_Autonomies_
►https://www.partage-noir.fr/IMG/pdf/brochure-nr-kropotkine-1964.pdf
#Pierre_Kropotkine fédéraliste - V - Bolchevisme et soviétisme
▻https://www.partage-noir.fr/pierre-kropotkine-federaliste-v-bolchevisme-et-sovietisme
Kropotkine écrivait, il y a plusieurs années, combattant l’illusion que les sociétés secrètes révolutionnaires avaient le pouvoir, une fois abattue la tyrannie tsariste, de substituer au mécanisme bureaucratique passé une nouvelle administration composée de révolutionnaires honnêtes et intransigeants : D’autres – les prudents qui travaillent à se faire un nom ? tandis que les révolutionnaires creusent les mines ou périssent en Sibérie ; d’autres – les intrigants, les parleurs, les (...) #Pierre_Kropotkine_fédéraliste
/ Pierre Kropotkine, Archives Autonomies
#Archives_Autonomies_
▻https://www.antimythes.fr
►https://www.partage-noir.fr/IMG/pdf/brochure-nr-kropotkine-1964.pdf
#Pierre_Kropotkine fédéraliste - IV - La cohérence dans l’incohérence
▻https://www.partage-noir.fr/pierre-kropotkine-federaliste-iv-la-coherence-dans-l-incoherence
Dans l’attitude vis-à-vis du problème de l’action anarchiste au sein du confit européen, Kropotkine s’inspira également de la pensée fédéraliste . Dans ses Mémoires, il écrit : Le conflit entre marxistes et bakouninistes ne fut pas une question de personnes. Ce fut le conflit nécessaire entre les principes du fédéralisme et les principes du centralisme, entre la commune libre et le gouvernement de l’État, entre la libre action des masses populaires marchant vers leur émancipation et le (...) #Pierre_Kropotkine_fédéraliste
/ Pierre Kropotkine, Archives Autonomies
#Archives_Autonomies_
►https://www.partage-noir.fr/IMG/pdf/brochure-nr-kropotkine-1964.pdf
#Pierre_Kropotkine fédéraliste - III - Le communalisme
▻https://www.partage-noir.fr/pierre-kropotkine-federaliste-iii-le-communalisme
Exposant les théories socialistes, il a une attitude négative pour les saint-simoniens et les soi-disant Utopistes, surtout Cabet, parce qu’ils fondaient leur système sur une hiérarchie d’administrateurs, et se montre au contraire enthousiasmé par la théorie communaliste de Fourier . Et il repousse le collectivisme de l’État parce que, quoi modifiant notablement le régime capitaliste, il ne détruit pas pour autant le salariat, puisque l’État ou le gouvernement représentatif national ou (...) #Pierre_Kropotkine_fédéraliste
/ Pierre Kropotkine, Archives Autonomies
#Pierre_Kropotkine fédéraliste - II - La critique
▻https://www.partage-noir.fr/pierre-kropotkine-federaliste-la-critique
Des articles que Kropotkine publie, entre 1879 et 1888, dans Le Révolté de Genève, il parait évident que la vie administrative des États occidentaux ne lui offrit qu’une nouvelle matière à la critique anti-étatique et le confirma toujours plus dans ses idées fédéralistes et libertaires. Partout où il y a centralisation, la bureaucratie se renforce, une armée d’employés, véritables araignées aux doigts crochus, qui ne voient l’univers qu’à travers les vitres sales de leur bureau et ne le (...) #Pierre_Kropotkine_fédéraliste
/ Pierre Kropotkine, Archives Autonomies
#Archives_Autonomies_
►https://www.partage-noir.fr/IMG/pdf/brochure-nr-kropotkine-1964.pdf
#Pierre_Kropotkine fédéraliste - I - Expériences
▻https://www.partage-noir.fr/pierre-kropotkine-federaliste-i-experiences
L’autobiographie claire et détaillée de Kropotkine (Mémoires d’un Révolutionnaire) nous permet de suivre pas à pas les phases particulières de formation de sa pensée fédéraliste. A dix-neuf ans, officier de cosaques, il se rend dans la Transbaïkalie, où il s’intéresse avec passion aux grandes réformes commencées en 1868 par le gouvernement et confiées à l’Administration Supérieure de la Sibérie. Secrétaire des comités gouvernementaux, au contact des meilleurs fonctionnaires, il (...) #Pierre_Kropotkine_fédéraliste
/ Pierre Kropotkine, Archives Autonomies
#Archives_Autonomies_
►https://www.partage-noir.fr/IMG/pdf/brochure-nr-kropotkine-1964.pdf
#Pierre_Kropotkine fédéraliste - Introduction
▻https://www.partage-noir.fr/pierre-kropotkine-federaliste-introduction
Un des côtés les plus intéressants de la pensée politique de Pierre Kropotkine est le fédéralisme, thème qui revient si fréquemment dans ses écrits et qui constitue une des bases de son idéologie anarchiste. Le fédéralisme kropotkinien, tout en n’étant pas une théorie systématique, et tout en ne se différenciant pas profondément du fédéralisme de Proudhon et Bakounine, présente plusieurs caractéristiques qui en rendent l’examen intéressant. Un tel examen demande un rappel (...) #Pierre_Kropotkine_fédéraliste
#kropotkine
/ Pierre Kropotkine, Archives Autonomies
#Archives_Autonomies_
►https://www.partage-noir.fr/IMG/pdf/brochure-nr-kropotkine-1964.pdf
« Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent. »
▻https://www.partage-noir.fr/les-libertes-ne-se-donnent-pas-elles-se-prennent
Partages
A #Pierrelatte et ailleurs, machines cybernétiques et startups incubées ne sauveront pas « l’environnement », bien au contraire
▻https://ricochets.cc/A-Pierrelatte-et-ailleurs-machines-cybernetiques-et-startups-incubees-ne-s
Derrière les jolies images cartes postales de champs de lavandes et de villages provençales typiques en pierre, la CCDSP (Communauté de Communes Drôme Sud Provence) et ses élus pousse aux innovations technologiques et aux développements économiques qui contribuent à détruire la nature et le climat, à attiser les incendies planétaires qui ravagent les écosystèmes et nos moyens d’existence. Alain Galu, maire de Pierrelatte et Jean-Michel CATELINOIS ( Maire de Saint-Paul-Trois-Châteaux (...) #Les_Articles
/ Pierrelatte, #Technologie, #Le_monde_de_L'Economie
▻https://ccdsp.fr
▻https://ccdsp.fr/conseil-communautaire
▻https://ccdsp.fr/booster2
▻https://www.entreprises.gouv.fr/fr/actualites/france-2030/lancement-du-programme-ia-booster-france-2030
▻https://www.radiosoleilfm.fr/post/un-vent-d-innovation-souffle-sur-pierrelatte-avec-l-arriv%C3%A9e-d-un-
#Christian_Estrosi voit sa #condamnation confirmée pour #diffamation envers un universitaire engagé dans une association d’aide aux migrants
La cour d’appel d’Aix-en-Provence a confirmé ce mercredi 20 mars la condamnation du maire de Nice pour diffamation envers un universitaire azuréen, engagé dans une association d’aide aux migrants.
Christian Estrosi (Horizons) a vu sa condamnation pour diffamation confirmée ce mercredi 20 mars par la cour d’appel d’Aix-en-Provence, dans les Bouches-du-Rhône.
#Pierre-Alain_Mannoni, géographe niçois, avait été poursuivi pour avoir brièvement hébergé trois Erythréennes dans un centre de vacances français désaffecté, avant de les conduire en voiture à une gare pour qu’elles puissent être soignées à Marseille.
Une décision de relaxe en 2017, qui a été définitivement confirmée en 2020, avait provoqué la colère du maire de Nice qui avait alors estimé que Pierre-Alain Mannoni « favorisait le travail des passeurs ».
« Comment ces individus peuvent-ils nous certifier qu’ils ne font pas rentrer des terroristes sur notre sol en violant la loi comme ils le font ? », avait écrit l’élu sur X, anciennement Twitter. L’élu a depuis quitté ce réseau social.
#Plainte pour diffamation
Pierre-Alain Mannoni avait alors porté plainte pour diffamation. En première instance, en juin 2021, le tribunal correctionnel de Nice avait condamné le maire à 3.000 euros d’amende et 5.000 euros de dommages et intérêts.
En janvier 2022, la cour d’appel d’Aix-en-Provence avait infirmé ce jugement et relaxé M. Estrosi. Mais, en juin 2023, la Cour de cassation avait invalidé cette décision et l’avait renvoyée à la cour d’appel. Mercredi, cette dernière a confirmé le jugement de première instance.
« Justice a été faite, le maire de la cinquième ville de France a jeté mon client en pâture et il a été sanctionné. » (Maeva Binimelis, avocate de Pierre-Alain Mannoni à l’Agence France-Presse)
L’avocat de M. Estrosi, Me Gérard Baudoux, a annoncé un nouveau pourvoi en Cassation.
▻https://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes-cote-d-azur/alpes-maritimes/nice/christian-estrosi-condamne-pour-diffamation-envers-un-u
#frontière_sud-alpine #asile #migrations #réfugiés #solidarité #criminalisation_de_la_solidarité #justice #Alpes_Maritime
[A Question Of Creation] # 003 - #pierre_slinckx et son Lego musical
▻https://www.radiopanik.org/emissions/a-question-of-creation/003-pierre-slinckx-et-son-lego-musical
Je suis dans une famille où la musique est assez importante. Ma grand-mère maternelle était pianiste et compositrice, mon grand-père maternel est devenu luthier sur le tard, il a construit énormément de violoncelles, de violons, toute la famille des violons. Du côté de mon père aussi, il y a une grande passion pour la musique classique, mon grand-père paternel est un grand fan de musique classique, mon oncle aussi. Pour moi, la musique c’était quelque chose d’important.
A QUESTION OF CREATION # 003 - playlist 00:00 - [Générique début] Julius Eastman (K.Schumacher, P.Martin, B.Ter Braak, M.Zhulali) - Evil Nigger | Karl Bartos - 15 Minutes Of Fame Luciano Berio (B.Sluchin) - Sequenza V For Trombone | The Equals - Baby Come Back | Fad Gadget - Back To Nature | Steve Reich (P-L. Aimard) - (...)
#musique_contemporaine #compositeur #musique_électronique #musique_contemporaine,compositeur,musique_électronique,pierre_slinckx
▻https://www.radiopanik.org/media/sounds/a-question-of-creation/003-pierre-slinckx-et-son-lego-musical_17483__1.mp3
Pierre Martin (1856-1916)
▻http://anarlivres.free.fr/pages/nouveau.html#martin
Après les portraits-souvenirs de Benoît Broutchoux (1879-1944) ►http://anarlivres.free.fr/pages/archives_nouv/pages_nouv/Nouv_Broutchoux.html, le mineur anarcho-syndicaliste du Pas-de-Calais, et d’Albert Libertad (1875-1908) ►http://anarlivres.free.fr/pages/archives_nouv/pages_nouv/Nouv_Libertad.html, le propagandiste individualiste parisien, voilà venu le tour du tisseur Pierre Martin, l’infatigable agitateur de la région de Vienne devenu cheville ouvrière du « Libertaire ». « Le Bossu », tant de fois poursuivi par la justice, condamné et incarcéré, était un « pur ». Il possédait d’après Sébastien Faure « à un degré rare cette éloquence qui du cœur monte aux lèvres de celui qui parle et de ses lèvres va directement au cœur de celui qui l’écoute »...
Pour freiner le #frelon_asiatique, les #apiculteurs appellent à l’aide tout la population française
▻https://www.lemonde.fr/planete/article/2024/02/29/contre-le-frelon-asiatique-les-apiculteurs-appellent-a-la-mobilisation-gener
Parmi ses recommandations, GDS France met en exergue le #piégeage printanier des #reines fondatrices. Pour être efficace, la chasse aux fondatrices de #colonies de #frelons asiatiques exige un quadrillage organisé et relativement serré du territoire concerné. A Trégastel (Côtes-d’Armor), 53 bénévoles équipés de pièges prêtés par la municipalité et garnis d’un cocktail adapté (il est possible de mélanger du sirop, de la bière et du vin) ont capturé 1 146 fondatrices entre le 15 mars et le 15 mai 2023. Dans les mois qui ont suivi, le nombre de nids de frelons repérés (et détruits) a chuté, passant d’une densité de treize au kilomètre carré en 2021 à cinq, un niveau considéré comme « acceptable » par les organisations apicoles.
« Il est confirmé que là où un piégeage coordonné est organisé, des effets significatifs sont constatés, mais il faut bien admettre que l’on ne pourra pas éradiquer le frelon asiatique », prévient Laurent Cloastre, ingénieur conseil auprès de GDS France.
Effets du piégeage aléatoires
Le piégeage au long cours, s’il est efficace, est également controversé, car il ne peut pas être totalement sélectif. Les leurres anti-Vespa velutina attirent en effet d’autres insectes, comme les frelons européens (qui, à l’occasion, croquent eux aussi quelques abeilles, mais en moins grande quantité), les coccinelles, les abeilles solitaires, les papillons ou d’autres populations nécessaires à la pollinisation ou à l’alimentation des oiseaux. C’est pourquoi il est généralement recommandé d’utiliser des pièges vendus dans le commerce, dont les moins chers ne coûtent que quelques euros, plutôt que de transformer hâtivement en pièges des bouteilles en plastique découpées.
Question efficacité, Quentin Rome, spécialiste du frelon asiatique au #Muséum_national_d’histoire_naturelle, ne privilégie pas le piégeage, dont il juge les effets aléatoires. Selon lui, « il faudrait plutôt mettre l’accent sur l’installation d’une muselière sur le devant de la ruche, un grillage qui gène l’action prédatrice et réduit le stress des abeilles, ou d’une harpe électrique placée sur le chemin des frelons asiatiques ». Problème : la première coûte une vingtaine d’euros et la seconde, dans les 200 euros.
Christian Guespin, apiculteur et président du Groupement de défense sanitaire apicole des Côtes-d’Armor, souhaite d’abord que s’opère une prise de conscience collective. « En Bretagne, où le frelon asiatique est devenu tellement envahissant que chacun le connaît, on ne fera reculer sa présence qu’à condition de s’adresser aux citoyens », martèle-t-il. En 2023, dans le département, quelque 6 500 piégeurs volontaires ont ainsi capturé chacun une moyenne de 21 reines fondatrices. Un bilan qu’il faut apprécier en rappelant qu’une seule colonie de Vespa velutina produit jusqu’à 13 000 individus par saison et consomme 11,5 kilos d’insectes.
« Le Monde libertaire », l’enfant naturel du « Libertaire » (1954-1982)
▻https://www.partage-noir.fr/le-monde-libertaire-l-enfant-naturel-du-libertaire-1954-1982
En octobre 1954, Le Libertaire reparaît sous un titre que les circonstances nous ont obligé à modifier, car le vieux journal de Sébastien Faure et de Louise Michel, tombé dans des pattes douteuses, est en train d’agoniser. Il sera mensuel et il le restera longtemps. Dans son éditorial signé par la commission de presse, la rédaction « annonce la couleur » : Le Monde libertaire sera le journal de tous les anarchistes, ce qu’il n’aurait jamais dû cesser d’être, mais il ouvrira ses colonnes à « des hommes épris de progrès ». L’ambition de la Fédération anarchiste se dévoile nettement dans ce texte. Il s’agit de faire du Monde libertaire un journal qui soit l’héritier du Libertaire classique, journal d’organisation, journal de militants, et des Temps nouveaux de Jean Grave, journal de culture ouvert à tous (...)
#Maurice_Joyeux #Volonté_Anarchiste #Suzy_Chevet #Léo_Ferré #André_Prudhommeaux #Maurice_Laisant #Albert_Camus #Maurice_Fayolle #Fernando_Gomez_Pelaez #Collino #Paul_Chenard #Pierre-Valentin_Berthier
▻https://www.partage-noir.fr/IMG/pdf/lmlibertaire-1954-n001.pdf
Comment la société française a appris à mépriser les « paysans » et leurs « #patois »
Les manifestations récentes par lesquelles le monde agricole français a fait entendre ses protestations et ses revendications ont, une fois de plus, fait apparaître des différences profondes, voire des fractures, entre le monde rural et le monde urbain et plus encore entre des images valorisantes de l’urbanité et dévalorisantes de la ruralité.
La France moderne a été construite depuis Paris, lieu de la puissance politique, en développant un sentiment de supériorité de la capitale sur « la province » (le singulier est significatif) et des villes (supposées modernes) sur les campagnes (supposées arriérées). Au lieu d’être fédérale, vu sa diversité, « la France est un pays dont l’unité a été construite à coups de cravache […] par l’autorité de l’État central », selon Jean Viard.
Les normes sociales valorisées ont donc été celles, urbaines, de la ville-capitale érigée en phare de l’État hypercentralisé. On le voit, par exemple, dans le fait qu’en français le mot urbain a le double sens « de la ville » et « poli, courtois » et que le mot paysan a le double sens de « rural, agricole » et « rustre, grossier ». Ce mode de relation est clairement confirmé par une analyse sociolinguistique plus large, comme on va le voir ci-après. En effet, la sociolinguistique a pour but d’étudier principalement deux choses : les effets de l’organisation d’une société sur les langues qu’on y parle et ce que la place faite aux langues révèle de l’organisation de cette société.
Paris, ses bourgeois et leur langue érigés en modèle
C’est en effet la langue de la capitale qui a été imposée notamment à partir de la Révolution française à l’ensemble des populations progressivement rattachées à la France. Elle est considérée comme la langue « normale » en France. Et c’est le français des classes supérieures parisiennes qui a été prescrit comme modèle d’expression. Ainsi le grammairien Vaugelas définissait-il ce « bon français » en 1647 :
« La façon de parler de la plus saine partie de la Cour […] Quand je dis la cour, j’y comprends les femmes comme les hommes, et plusieurs personnes de la ville où le prince réside. »
La prétendue supériorité universelle du français, par opposition à toutes les autres langues et d’autant plus aux « patois régionaux », affirmée dès 1784 par le pamphlétaire Rivarol, est régulièrement reprise dans les discours étatiques jusqu’à aujourd’hui, par exemple par le président de la République lui-même lorsqu’il inaugure une cité qui cultive les mythes sur la langue française.
Tout au long du XIXe siècle, la construction de la nation française passe par cette vision de la langue française, que l’école de la IIIe République (1870-1940) est chargée de mettre en œuvre de façon particulièrement offensive.
En 1951, le phonéticien Pierre Fouché poursuit cette vision suprémaciste de la langue de Paris et de ses classes dominantes en établissant pour l’enseignement une norme de prononciation du français sur le modèle d’une « conversation soignée chez des Parisiens cultivés ».
Les « patois pauvres et corrompus » des campagnes « provinciales »
Quant aux autres langues de France, comme on les appelle depuis 1999, elles ont, à l’inverse, été disqualifiées par le nom de « patois » au départ méprisant, par l’association au seul monde rural et à une arriération prétendue. L’origine du mot « patois » est discutée, mais il est très probable qu’il vienne du verbe « patoiller » qui veut dire soit « marcher dans la boue, barboter, patauger », soit « gesticuler, parler en faisant des signes avec les mains ». Dans les deux cas, c’est un terme péjoratif à l’origine.
Or, tout ceci est doublement faux : ces langues étaient aussi celles des villes (à Marseille par exemple le provençal était la langue générale jusque dans les années 1920) et d’intellectuels (Frédéric Mistral, licencié en droit, a reçu le prix Nobel de littérature pour son œuvre toute en provençal).
Mais les préjugés sont fondés sur un aveuglement pour ne voir que ce que l’on veut voir. Ainsi, on lit dans l’Encyclopédie (1765) :
« Patois : Langage corrompu tel qu’il se parle presque dans toutes les provinces : chacune a son patois ; ainsi nous avons le patois bourguignon, le patois normand, le patois champenois, le patois gascon, le patois provençal, etc. On ne parle la langue que dans la capitale. »
Le Dictionnaire de Furetière (1690) précisait :
« Langage corrompu et grossier tel que celui du menu peuple, des paysans, et des enfants qui ne savent pas encore bien prononcer. »
À la création de la 1ere République française, ses responsables considéraient ainsi que dans les provinces on parlait « ces jargons barbares et ces idiomes grossiers » à « éradiquer » (Rapport Barrère, publié en 1794). Pourquoi ? Parce que « nous n’avons plus de provinces et nous avons encore environ trente patois qui en rappellent les noms » dont « deux idiomes très dégénérés » et parce que « l’homme des campagnes, peu accoutumé à généraliser ses idées, manquera toujours de termes abstraits » à cause de cette « inévitable pauvreté de langage, qui resserre l’esprit » disait le Rapport Grégoire (publié en 1794). Il ajoutait « les nègres de nos colonies, dont vous avez fait des hommes, ont une espèce d’idiome pauvre », ne mesurant pas le racisme linguistique de son propos.
Le mépris des provinciaux, des ruraux et de leurs langues, alimentés par ces préjugés conjugués, a été sans borne. Il a culminé au XIXe siècle sous la forme d’un véritable racisme, dont celui contre les Bretons ou les Méridionaux, bien attesté.
À l’époque l’étude scientifique des langues n’existait pas encore. La sociolinguistique, qui se développe à partir des années 1950-1970, a montré par la suite que toutes les langues sont égales (y compris celles dites « patois ») : aucune n’est supérieure ou inférieure à une autre en raison de ses caractéristiques proprement linguistiques. Ce sont les hiérarchisations sociales qui se reflètent en hiérarchisation des langues ou de leurs variétés locales ou sociales particulières.
Hélas, comme on l’observe trop souvent et encore plus à l’époque des « fake news », les connaissances scientifiques ont du mal à remplacer les croyances répandues dans l’opinion publique. C’est d’autant plus le cas quand il s’agit de langues en France, pays où a été instaurée une véritable religion nationale de la langue française accompagnée d’une sorte d’excommunication des autres langues.
En conséquence, cette conception est encore présente de nos jours. Le Trésor de la Langue française (CNRS) la décrit ainsi :
« Patois : Parler essentiellement oral, pratiqué dans une localité ou un groupe de localités, principalement rurales. Système linguistique restreint fonctionnant en un point déterminé ou dans un espace géographique réduit, sans statut culturel et social stable […]. Langage obscur et inintelligible. Synonymes : baragouin, charabia, jargon. »
Le « plouc » et son parler aussi méprisés l’un que l’autre
Aujourd’hui encore, le stéréotype du « plouc » est fortement voire principalement constitué de caractéristiques linguistiques (“phrase, accent, prononciation, langue”), comme le montre l’étude de Corentin Roquebert, qui conclut :
« On peut relever l’association forte entre des catégories et des objets plus ou moins valorisés socialement, ce qui favorise l’expression d’un jugement social positif ou négatif sur une population : le beauf comme personnage raciste et sexiste, le hipster branché et cool qui n’aime pas le mainstream, la prononciation et l’accent du plouc. »
Les préjugés glottophobes contre des « patois » supposés employés (uniquement) par des « paysans » sont toujours là. Et même quand les « paysans » et autres « provinciaux » ont finalement adopté le français, bon gré mal gré, on continue à stigmatiser les traces de leurs “patois” dans leurs façons de parler français : mots locaux, expressions, tournures, et surtout accent…
Le pseudo raisonnement, fondé sur des préjugés, est circulaire : les « patois » ne sont pas de vraies langues puisqu’ils sont parlés par des « paysans »/les « paysans » sont des rustres puisqu’ils parlent « patois ». Les deux stéréotypes négatifs projetés simultanément sur les « paysans » et sur les « patois » (ou les « accents » qu’il en reste), associés les uns aux autres, se renforcent réciproquement et produisent un mépris de classe renforcé.
▻https://theconversation.com/comment-la-societe-francaise-a-appris-a-mepriser-les-paysans-et-leu
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Le rapport de domination, en France, entre la capitale et le reste du pays est un fait difficilement contestable. Comme l’indique ce texte, cela se voit notamment par l’obligation, dictée par le pouvoir central d’État, établi à Paris, d’adopter sur tout le territoire la même langue. Pour autant, cet héritage centralisateur ne me semble pas être la seule explication dans la construction d’une idéologie de classe méprisante à l’encontre du monde paysan.
On pourrait croire, en lisant ce texte, que le pays se résumait à un clivage entre Paris et « la province », cette dernière étant assimilée au « monde paysan », or le pays a compté quand même nombres de grandes villes sur le territoire, qui ont constitué autant de métropoles locales dont l’importance dans le développement du capitalisme en France a été tout aussi déterminante que celle de Paris. Ce n’est pas pour rien qu’aujourd’hui, le concept politique de « métropole » fait vibrer nombre de représentants de la classe dominante en Europe, y compris en France (et en Île-de-France).
Témoignage personnel anecdotique : une partie de ma famille est nantaise et j’ai été frappé de constater à quel point les expressions de mépris anti-paysan, quasi-raciste, revenaient dans les propos de mes oncles et tantes. Cela dépasse de loin ce que j’ai entendu, en comparaison, à Paris, en tous cas, pour cette génération-là.
« Le Libertaire » entre les deux guerres mondiales (1919-1939)
▻https://www.partage-noir.fr/le-libertaire-entre-les-deux-guerres-mondiales-1919-1939
1919. #Pierre_Martin a disparu, #Louis_Lecoin va prendre sa place pour animer Le Libertaire qui reparaît. De nouvelles signatures vont s’ajouter à celles qui ont survécu au carnage et à la désagrégation des consciences jetées dans ce pourrissoir qu’est l’état de guerre. Sébastien Faure essaiera bien, pendant cette période tragique, de faire paraître un journal : Ce qu’il faut dire, qui devra rapidement se saborder devant les menaces du pouvoir. Les anarcho-syndicalistes crieront avec les militants qui iront à Zimmerwald pour essayer d’arrêter la guerre : Cette guerre n’est pas notre guerre. Efforts infructueux, mais qui sauveront l’honneur du mouvement ouvrier. Les anarchistes, cependant, ne désarment pas. Ils feront paraître le 15 juin 1917 un numéro clandestin du Libertaire, ce qui vaudra à (...)
#Maurice_Joyeux #Nestor_Makhno #Piotr_Archinov_ #Pierre_Besnard #Volonté_Anarchiste #Maurice_Joyeux #Nicolas_Faucier #André_Prudhommeaux
Pas de la dynamite mais du tabac
Transcription intégrale, accompagné d’une introduction, du dossier contenant les interrogatoires des anarchistes en Suisse romande (parmi lesquels Jean Grave, Élisée Reclus et Jean-Louis Pindy) dans le cadre de la première opération de la police suisse contre les anarchistes. Ce livre est plus amusant qu’il n’y paraît du fait que la police et la magistrature cherchent de la dynamite et trouvent du tabac mais aussi des réponses ironiques et des moqueries des militants les plus expérimentés parmi les interrogés...
▻https://www.editions.federation-anarchiste.org
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Quelques citations :
« La Confédération helvétique était alors considérée comme une terre de refuge par toute l’Europe. Sa relative tolérance est particulièrement notable par l’absence presque totale de sources de police concernant des villes comme Genève avant les années 1880, ce qui indique l’application d’une vraie démarche libérale, selon laquelle aucun résidant n’était surveillé ni inquiété tant qu’il ne commettait pas un délit de droit commun. La police ne s’occupait donc pas a priori de la surveillance des exilés politiques, même s’ils professaient les idées les plus radicales. » (p.15)
« Cependant, les réfugiés en Suisse ne se sentent plus à l’abri des persécutions, et les épisodes d’expulsions se multiplient : l’un des cas les plus célèbres est celui du décret fédéral du 19 janvier 1895, qui décrète l’expulsion de 18 Italiens ’indésirables’ parmi lesquels un anarchiste très connu, #Pietro_Gori (1865-1911), et dont une grande partie échappaient aux lois spéciales du gouvernement réactionnaire de #Francesco_Crispi. A partir de cet épisode, Gori écrit la plus célèbre chanson anarchiste italienne, Addio a Lugano, dont le texte retranscrit précisément la déception des expulsés quand à la fin du mythe de la ’libre Helvétie’, en accusant la Suisse d’agir pour le compte d’autrui :
Elvezia il tuo governo schiavo di altrui si rende
di un popolo gagliardo la tradizione offende
e insulta la leggenda del tuo Guglielmo Tell. » (p.28)
#anarchisme #livre #Suisse #fédéralisme #histoire #Internationale_antiautoritaire #Saint-Imier #Addio_a_Lugano #Addio_Lugano_bella
« Le Libertaire » avant La Première Guerre mondiale (1895-1914)
▻https://www.partage-noir.fr/le-libertaire-avant-la-premiere-guerre-mondiale-1895-1914
C’est le 16 novembre 1895 que #Sébastien_Faure publie le premier numéro du Libertaire, en France cette fois-ci ! Le journal prend la suite des deux hebdomadaires anarchistes : La Révolte de #Jean_Grave et Le Père Peinard d’Emile Pouget, qui viennent d’avoir des ennuis avec la justice. Il n’est pas sans intérêt de noter qu’à la même époque, Jean Grave, qui ne désarme pas, lance #Les_Temps_nouveaux destiné à remplacer La Révolte et dont l’audience va devenir considérable dans les milieux littéraires. #Maurice_Joyeux
/ #Volonté_Anarchiste, Jean Grave, Les Temps nouveaux, Georges Yvetot , #Émile_Pouget, #Pierre_Martin, #Louis_Lecoin, Sébastien Faure, #Charles_Malato, #Victor_Méric, Georges (...)
These Philadelphians got rid of their cars in the last year. They haven’t looked back.
“Now that I’m forced to walk, I’m seeing the city more than I did before," said one newly carless resident. She used to pay about $400 a month on her car payment and insurance.
Dajé Walker’s Hyundai Elantra was stolen from a Brewerytown parking lot in July, only to be found a week later on the side of a local highway.
The car that Walker had driven for three years was “in shambles,” Walker said, and the insurance company deemed it a total loss.
“I had that existential crisis moment where I was like, ‘Do I need a car or do I want a car?’” she said.
Around the same time, Walker, 28, got a new, completely remote job as a project manager. The news sealed her decision: She took the insurance payout of about $15,000, putting some of the money in savings and using the rest to move from Brewerytown to Old City, and never looked back.
She no longer has to set aside $300 a month for her car payment and another $100 for insurance. When she recently moved to Old City, she didn’t have to worry about securing a convenient and safe parking spot, which can cost at least $250 a month at private lots.
The benefits of Walker’s new lifestyle aren’t just financial, though — they’re mental and physical, too.
“My car, it was a complete crutch,” Walker said. “Now that I’m forced to walk, I’m seeing the city more than I did before.”
She feels like she’s “seeing the sun more often” on regular walks to judo class, City Fitness, and social gatherings, she added. For outings farther away that require taking the bus, “it’s more time for me to be zen or read a book on the way there.”
After a surge in car-buying statewide at the height of the pandemic, there are signs that some Philadelphians like Walker have made the decision to do away with their cars in recent years, bucking larger trends.
In 2022, more than 638,000 passenger vehicles were registered in the city, about 24,000 fewer cars than were registered here a year prior, according to the most recent state data. That represents a 3.6% decline in registered vehicles over a period when the city’s population decreased 1.4%, the largest one-year drop in 45 years.
The latest registration data was captured before the price of car ownership skyrocketed.
In 2023, drivers who owned a new car paid more than $12,000 a year on average, a more than 13% increase from the prior year, according to AAA, which accounted for the costs of car payments, gas, maintenance, and insurance.
In the last year, car insurance premiums nationwide have far outpaced inflation, increasing 20% on average. Philadelphia-area residents told The Inquirer last month that they’ve recently been quoted rates as much as 100% higher than what they were previously paying. A recent Bankrate report found Philadelphia-area residents paid $4,753 a year on average, and the region saw the largest increase of 26 major metro areas last year in terms of average comprehensive coverage costs.
What you gain by going carless
So far across the country, the increased cost of car ownership “does not appear to affect whether people are buying or what people are buying,” said Greg McBride, chief financial analyst at Bankrate. “A much longer-term trend is that American consumers have increasingly been moving away from smaller compact vehicles to larger SUVs and trucks.”
Philadelphia, meanwhile, is consistently ranked among the metro areas with the lowest car ownership and is known for being one of the best cities to live in without a car (though historically not all neighborhoods have the same access to public transit).
Some residents like Walker also cited a psychological cost to car ownership in the city. Even before she became one of the tens of thousands of residents who had their cars stolen last year, she was constantly worried about her car. And residents who choose to park on the street — which is free in some areas and $35 a year in others — may have a difficult time finding an open spot depending on the neighborhood and what time of day they’re coming home.
Of course, the ease of driving and parking in the city is all relative.
“Philly is really hard to have a car,” said Pascale Questel, 30, a copywriter who moved to Brewerytown from Florida three years ago. Every time she walks her dog, she checks on her Honda, which she parks on the street, and her Hyundai Elantra was stolen last year.
Last year, Leo Walsh, 31, of West Philadelphia, sold his Subaru Forester, a car he said he felt like had become “an extension of me.” He had even lived out of it three months on a solo cross-country road trip.
He suddenly realized he was resorting to driving at the smallest inconvenience, including for trips to Trader Joe’s a couple miles away or on rainy days when he didn’t feel like biking or walking to the trolley.
He didn’t end up getting any money for his car — it was a 2004 and needed work — but he is saving on insurance, gas, and maintenance. And there’s an “unquantifiable” benefit, too: how it feels every day to see the faces of passersby as you bike past them, or to end your commute by thanking a conductor instead of slamming your car door shut, alone.
“I have fallen more in love with the city now, just biking and getting to know all the streets,” said Walsh, who works for Jawnt, a technology company that provides transit benefits for some city employers. “You just don’t get that in a car. You’re in your little bubble.”
▻https://www.inquirer.com/business/get-rid-of-car-sales-ownership-philadelphia-20240209.html
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