@intempestive
la peinture s’applique au moyen de technologies de pointe
C’est ce qui est donné à croire...
Ce qu’on peut voir c’est l’application (à l’aérographe « de base ») d’une couche adhésive grâce à laquelle le pigment va se fixer sur le support. La dite couche est probablement polymérisée aux UV (la lumière bleue dans le « gloubisateur ultra-technologique en inox »)
Au passage c’est la même technique qu’emploie ton dentiste pour la plupart des amalgames synthétiques.
Cet ensemble de suppositions (oui oui, j’affabule !) donnent à penser qu’en plus d’être « transparent » à la lumière visible (car ne pas réfléchir la lumière, n’est-ce pas être transparent [?])
les
performance beyond the visible spectrum
s’étendent aux ultraviolets et bien sûr à l’infrarouge , ce qui au passage doit poser de sacrés problèmes d’échauffement des surfaces (notamment sur les avions).