• Derrière la bataille entre MM. Proglio et Frérot, deux visions opposées pour Veolia - LeMonde.fr
    http://www.lemonde.fr/economie/article/2012/02/21/derriere-la-bataille-entre-mm-proglio-et-frerot-deux-visions-opposees-pour-v

    Un des principaux points de discorde : l’Italie. Au fil des ans, M.Proglio y avait multiplié les emplettes, payées au prix fort. Sulo, VPItalie, Dalkia Italie. « Nous avions même un incinérateur de déchets en Calabre, dont les comptes étaient consolidés en Ukraine », s’étonne un cadre de Veolia. Au dire des professionnels, il s’agissait surtout d’un empilement de sociétés indépendantes les unes des autres, sans réelles possibilités de synergies.

    En gros, Véolia s’est acoquiné avec la Camorra ou la N’drangheta... Relisons Gomorra !
    #déchets
    #eau
    #Veolia

  • Planque radioactive | Claire Berthelemy et Fabien Soyez
    http://owni.fr/2012/02/14/planque-radioactive

    Le #nucléaire, c’est une bonne affaire sauf pour celui qui descend la poubelle. Actuellement, près d’un petit village de la Meuse, un gigantesque chantier attend d’abriter sous-terre plus de 70.000 mètres cubes de déchets nucléaires. Le projet effraie - à raison - les habitants. Deux organisations ont été créées pour arroser d’argent leurs élus et leur collectivité.

    #Atomisé #Pouvoirs #Reportage #ANDRA #Areva #ASN #cea #Cigéo #déchets_nucléaires #edf

  • #Déchets : la France sommée de créer des décharges pour éliminer l’amiante - LeMonde.fr
    http://www.lemonde.fr/planete/article/2011/12/01/dechets-la-france-sommee-de-creer-des-decharges-pour-eliminer-l-amiante_1611

    La justice européenne a sommé, jeudi, le gouvernement français de se conformer aux règles européennes pour l’élimination des matériaux de construction contenant de l’#amiante, et ce sous peine d’amendes.

    Saisie par la Commission européenne en octobre 2010, la Cour de justice a jugé fondé le recours en manquement contre la France, accusée de ne pas avoir pris les mesures pour traiter les matériaux de construction contenant de l’amiante dans les décharges appropriées. Ceux-ci sont considérés comme « dangereux » dans la législation européenne. Or la réglementation française qualifie ces matériaux de construction de « déchets inertes non dangereux ».

  • #Serbie : la plus grande décharge #nucléaire d’Europe ouvre à 20 km de Belgrade
    http://balkans.courriers.info/article18585.html

    Ironiques, les Verts de Serbie constatent que le pays ne dispose pas de réacteur nucléaire, mais qu’il possède par contre le « plus grand entrepôt de déchets radioactifs en Europe ». Un équipement plus nécessaire qu’à la France qui en a pourtant 58 !

    Radojica Pešić précise que le hangar X3 peut accueillir 8.600 tonneaux de 200 litres, soit 1.700 m3 de #déchets_radioactifs. Ce hangar, dit-il, n’est pas le plus grand d’Europe, « c’est le plus grand hangar vide d’Europe ». Son coût est estimé à 2,5 millions d’euros et le permis d’utilisation a été délivré par le ministère de l’Environnement, des Mines et de l’Aménagement.

  • UN Close to Ban on West’s Toxic Waste Exports
    http://www.globalpolicy.org/component/content/article/220-trade/50877--un-close-to-ban-on-wests-toxic-waste-exports-.html

    He said a private US company will, for example, list waste as “exports” when sending them to a developing nation so they can avoid paying taxes and other fees. The UN has estimated that, worldwide, up to 50 million tons of electrical and electronic goods which had come to the end of their lives were being thrown away every year – of which only 10 per cent is recycled – and often end up in landfills in developing countries.

    Up to 1.2 million second-hand televisions, refrigerators, washing machines and air conditioners were estimated to have entered the Philippines between 2001 and 2005, and, according to a study by the Japan International Cooperation Agency and the Philippine Board of Investment, 60-70 per cent of it came from Japan.

    An investigation by CBS News at a landfill in Manila found an increasing prevalence of tuberculosis among workers and their children, which a doctor treating them attributed to chronic exposure to burning copper from the electrical goods. One community youth leader had brought more than 200 people suffering from TB to a health centre.

    The chemical, which coats much of the e-waste burned by the women and children at the dump, polyvinyl chloride plastic, is even more dangerous due to its emission of carcinogenic gases, according to scientists.

    #déchets_toxiques

  • Brésil : Une prolifération des déchets solides ? | Green et Vert
    http://www.greenetvert.fr/2011/09/13/une-proliferation-des-dechets-solides/32137

    Le rapport “Panorama des résidus solides au Brésil” montre que la production de #déchets solides a augmenté 6 fois plus que la population. Or la population brésilienne a augmenté de 1,5 millions de personnes en 2010, d’où des motifs d’inquiétude. D’autant plus que la quantité des résidus mal recyclés (car mal orientés) a elle aussi augmenté de 2 millions de tonnes par rapport à 2009.

  • Hbéline : un dépotoir actif, une usine de compostage fermée | À La Une | L’Orient-Le Jour
    http://www.lorientlejour.com/category/%C3%80+La+Une/article/719650/Hbeline+%3A_un_depotoir_actif%2C__une_usine_de_compostage_fermee.html

    Le dépotoir de Hbéline continue de recevoir la centaine de tonnes de déchets produite quotidiennement dans le caza de Jbeil. Mais l’usine censée en composter plus de 50 % et construite depuis des années rouille à l’air libre

    Les affres de la gestion locale au Liban. Ici encore les déchets, comme à Saïda dans un précédent reportage. (voir crise des déchets à Saïda sur Rumor : http://rumor.hypotheses.org/1511)
    Les pouvoirs locaux (et leurs bailleurs de fonds) ont beaucoup à apprendre dans le montage de projet et dans leur relation avec le secteur privé. L’absence d’Etat bien sûr n’aide pas.

    #Liban
    #pouvoirs_locaux
    #environnement
    #déchets

  • Light at the End of the Radwaste Disposal Tunnel Could Be Real
    http://www.sciencemag.org/content/333/6039/150.summary

    In the wake of the 2010 abandonment of the Yucca Mountain program, the U.S. advisory #Nuclear Waste Technical Review Board (NWTRB) puts the United States among those nations whose nuclear waste-disposal programs “either have lost public trust and confidence or seem never to have merited it at all,” as the board stated in an April report to Congress. So as the Administration’s Blue Ribbon Commission on America’s Nuclear Future prepares to deliver its draft report (see p. 148), many authoritative groups have been driving home the lessons learned from Yucca Mountain and around the world. NWTRB put it most succinctly: “The interdependencies, both subtle and overt, between the technical, social, and political forces are inescapable.”

    #déchets #nucléaire

  • Urgence d’un changement civilisationnel face à la nouvelle ruée minière mondiale, entretien avec William Sacher - Mouvements
    http://www.mouvements.info/Nouvelle-ruee-miniere-contre.html

    Cette soif accrue pour les #minéraux se traduit par la généralisation d’un nouveau modèle d’extraction, bien loin de l’image d’Épinal du chercheur d’or et de son tamis : celui de la méga-exploitation minière. Ce type d’exploitation concerne les gisements où les minéraux « utiles » se trouvent en très faibles concentrations. Dans ce contexte, les mines souterraines continuent de représenter une alternative rentable dans certains cas, mais la tendance actuelle est le recours aux mines à ciel ouvert, plus rentables, et aux dimensions inouïes : des cratères de plusieurs km de diamètre et de plusieurs centaines de mètres de profondeur.

    Les techniques d’extraction se sont perfectionnées (avec, par exemple, le recours quasi-systématique au cyanure dans les mines d’or) et, même si, à l’image des sables bitumineux dans l’#industrie pétrolière, les besoins énergétiques et en #eau liés à ce type d’exploitation sont colossaux, les prix des minéraux en hausse constante permettent d’exploiter avec de telles méthodes. Les #déchets générés, souvent toxiques, s’en trouvent démultipliés au point d’atteindre des proportions inimaginables. Une seule mine, OK Tedi en Papouasie Nouvelle-Guinée, génère chaque jour 200 000 tonnes de déchets, soit plus de que toutes les villes du Japon, de l’Australie et du Canada réunies [10]. Pour les métaux courants moins d’1% de la roche est traitée, les 99% restant se convertissant en déchets. Dans le cas de l’or, le ratio frise l’absurde, puisqu’on exploite actuellement des gisements contenant moins de 0.5 grammes d’or par tonnes de roches traitées.

    Les risques sont énormes en termes de #pollution chronique et accidentelle des eaux et des sols, par drainage minier acide, métaux lourds, et autres substances toxiques, ou encore par le bruit et la poussière, et les conséquences généralement dramatiques tant pour les écosystèmes environnants qu’en terme de santé publique [11] Le gigantisme de ce modèle d’#exploitation pose un problème pour la science : celui de son incapacité à diagnostiquer et à prévoir avec précision tous ses effets en terme d’extension spatiale et temporelle, due à la complexité des systèmes naturels ainsi physiquement et chimiquement perturbés (les phénomènes à représenter sont multilinéaires et souvent chaotiques). Ceci pose un vrai problème en terme d’héritage laissé aux générations futures.

  • Site de stockage de déchets ultimes dans le Haut-Rhin : une bombe à retardement ?
    http://www.univers-nature.com/inf/inf_actualite1.cgi?id=4692

    Entre février 1999 et septembre 2002, 44 000 tonnes de #déchets ultimes ont été enfouies à 600 mètres sous terre par la société #Stocamine, sous le puits Joseph-Else, dans des galeries laissées libres par l’arrêt de l’exploitation des mines de potasse. Stocamine est une entreprise de stockage de déchets ultimes (classe 0), pouvant contenir de l’amiante, du mercure, du chrome, de l’arsenic ou tout autre produit hautement toxique comme le cyanure ou des résidus électroniques.

  • Les heureux éboueurs d’Europe |
    Comment les #déchets sont devenus la 1ere source d’énergie des Suédois et comment ils « convoitent » la montagne de déchets des Napolitains

    Le chauffage de la capitale suédoise est aujourd’hui assuré principalement par la centrale de cogénération de Högdalen et par quelques installations secondaires, implantées dans la proximité immédiate des quartiers d’habitation. Les protestations des habitants ? Il n’y en a jamais eu. Les responsables de la centrale de Högdalen aiment souligner que le gaz qui s’échappe de ses cheminées contient autant de substances toxiques que la fumée expirée dans la rue par trois fumeurs.

    L’inspection chargée de la protection de l’environnement le confirme. En Suède, seulement 1% de déchets part à la décharge. C’est principalement le cas des substances les plus dangereuse stockées dans des conteneurs hermétiques empêchant toute contamination de l’atmosphère ou des nappes phréatiques.

    Presseurop (français)
    http://www.presseurop.eu/fr/content/article/669811-les-heureux-eboueurs-d-europe