C’était en 1909... L’œil de la police !
Trouvé par hasard alors que je mène une recherche sur un illustre mais totalement inconnu cartographe de la fin du XIXe siècle...
Source : Gallica.
#illustration #police
C’était en 1909... L’œil de la police !
Trouvé par hasard alors que je mène une recherche sur un illustre mais totalement inconnu cartographe de la fin du XIXe siècle...
Source : Gallica.
#illustration #police
Par rapport au « coup du père François » que ces femmes apaches ont fait subir à ce mécanicien :
Faire le coup du père François
Prendre en traître
Utiliser une manoeuvre déloyale
Origine
À l’origine, au cours de la seconde moitié du XIXe siècle, le véritable coup du père François ne pouvait se pratiquer que si l’on était deux et il avait pour but de détrousser le péquin moyen qui avait l’audace et l’imprudence de se promener la nuit dans des rues mal éclairées.
Il se pratiquait de la manière suivante : le premier des agresseurs engageait la conversation avec le promeneur (avec une banalité du genre de celles qu’on entend aujourd’hui : « t’as pas cent balles », « z’avez du feu », « z’avez l’heure ») ; le complice, muni d’une courroie formant un noeud coulant, s’approchait puis étranglait par derrière la victime tout en lui maintenant le dos sur son propre dos, comme un sac de pommes de terre, de manière à ce que ses pieds ne touchent pas le sol et qu’elle n’ait pour seule préoccupation, si elle était encore consciente, que de tenter de se débarrasser de ce qui l’étranglait, sans chercher à se défendre du premier aigrefin qui profitait lâchement de la situation pour lui fouiller et lui vider les poches.
Une fois le forfait accompli et la victime généralement mal en point, mais pas obligatoirement morte, les deux compères récupéraient leur courroie et disparaissaient.
C’est de cette forme d’agression que, par extension, l’expression s’est utilisée pour ceux qui font des mauvais coups en traître ou qui utilisent des manoeuvres déloyales
Cela dit, vous pouvez légitimement vous demander qui était ce fameux père François. Eh bien malheureusement, on le sait d’autant moins qu’on a utilisé l’expression avec d’autres prénoms comme Anatole ou Martin, par exemple.
Selon certains, comme Lorédan Larchey, cela viendrait du prénom du premier ayant utilisé cette méthode avec une courroie à boucle (la technique existant bien avant). Mais Claude Duneton oppose à cette hypothèse le fait que vers les années 1860, période où l’appellation apparaît, il n’existait pas de détrousseur notoire prénommé François.
Alors, sans certitude, on pourra se rabattre sur la proposition de Gaston Esnault qui évoque le très célèbre (à l’époque) lutteur Arpin qui était surnommé « le terrible Savoyard » mais aussi « le père François ». Or, la lutte fait partie de ces sports de combat où les étranglements sont autorisés, ce qui pourrait expliquer le nom donné à ce coup en traître autrefois appelé « le charriage à la mécanique ».
▻http://www.expressio.fr/expressions/faire-le-coup-du-pere-francois.php
Je vais me servir de cette image pour ma prochaine rubrique dans HEY !
Du coup je m’installe ici pour réunir ma documentation sur les #bandes_de_filles et les #femmes_violentes et la #violence_des_femmes
J’avais lu je sais plus ou que les bandes de filles vu comme un nouveau phénomène est un marronier aussi vieux que la presse.
Ici la page wiki sur l’histoire de la press française
▻https://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_de_la_presse_%C3%A9crite_en_France
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Sur les blousons noirs
Les bandes importantes comportent parfois un tiers de filles. On y trouve souvent des filles garçons qui rêvent d’être des garçons et se conduisent comme tels. Elles revendiquent leur égalité dans les comportements antisociaux et le manifestent notamment par des attitudes de bravades vis à vis de la police lorsque celle-ci intervient. Le journal le Progrès de Lyon raconte le comportement de deux filles membres d’une bande du quartier de Perrache après leur arrestation :
"On reste confondu lorsque l’on sait que ce sont les deux filles qui tinrent tête avec le plus d’aplomb au commissaire et firent preuve d’une inconcevable impolitesse. L’une se contenta de dire : « Je me fous de la police, je me fous de la famille » L’autre, encore plus effronté, n’alla-t-elle pas jusqu’à déclarer : « Parlez moins fort. Vous me faites mal aux oreilles… »
Si quelques séries B américaines de la fin des années cinquante ont fait des gangs de filles l’un de leurs thèmes favoris. L’existence de quelques bandes féminines en France a été confirmée par certains enquêteurs. Lorsque le journal La Montagne évoque une agression commise par une bande de jeunes filles à Caen, on emploie symboliquement le terme de « jupons noirs » : « Les jupons noirs de Caen rouent de coup un Nord-Africain » (8 On note surtout une délinquance féminine opérée en petit groupe dans les grands magasins. Une fille achète un produit pour occuper la vendeuse, une autre fait le guet, tandis que la troisième vole des vêtements ou des aliments. Comme dans l’histoire du film de Marcel Carné « Terrain Vague » on signale des gangs de garçons dirigés par une fille. Exemple, le gang des As une bande délinquante de la région bordelaise qui avait à sa tête Berthe une gamine de 16 ans.
Philippe Parrot, Monique Gueneau « Le gang des As » in « Les gangs d’adolescents »,PUF,1959
via
▻https://forum.pcastuces.com/la_culture_blouson_noir-f9s46489.htm
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Sur l’interdiction de réunion des femmes à la révolution
▻http://www.thucydide.com/realisations/comprendre/femmes/femmes3.htm
Lorsque le 18 novembre 1793 Claire Lacombe pénétra au Conseil Général de la Commune de Paris à la tête d’une cohorte de femmes en bonnet rouge, le Procureur Général Chaumette leur en interdit l’accès par un discours misogyne. Société des femmes républicaines révolutionnaires Par la suite, la Convention décréta l’interdiction de tous les clubs et sociétés de femmes. Celles ci n’auront bientôt même plus le droit d’assister aux réunions politiques. La Révolution n’a donc nullement ouvert aux femmes le chemin de le citoyenneté.
sur Claire Lacombe
▻https://fr.wikipedia.org/wiki/Claire_Lacombe
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Le gang des empoisonneuses hongroises
▻https://seenthis.net/messages/439565#message439589
13 femmes, une centaines d’homicides
Sur les Apaches et Apaches en jupon
▻https://savoirsdhistoire.wordpress.com/2016/01/17/quand-les-apaches-faisaient-trembler-le-paris-de-la-belle-epoque/comment-page-1
Ainsi, on raconte les histoires d’apaches les plus rocambolesques et les plus inquiétantes tel ce duel au sac de sable entre deux charmantes apaches en jupes légères…
Ah, les femmes apaches ! Encore plus terrifiantes que les hommes, n’est-ce pas ? Notre pouvoir de terreur est si fort… Souvenez-vous dans l’Insurgé (1871) de Jules Vallès, du pauvre Jacques Vingtras s’écriant : « Des femmes partout. – Grand signe ! Quand les femmes s’en mêlent, quand la ménagère pousse son homme, quand elle arrache le drapeau noir qui flotte sur la marmite pour le planter entre deux pavés, c’est que le soleil se lèvera sur une ville en révolte ».
« Des femmes partout » et même dans les rangs des apaches de Paris, où elles ont su se faire une place au sein des gangs. Bien que minoritaires, elles se battent, crachent, vocifèrent et parviennent à être traitées en égales avec les hommes. Certes, elles sont « utiles » en matière de prostitution car bon nombre d’apaches vivent de proxénétisme, mais elles sont aussi aimées, désirées, adulées par ces bourlingueurs qui, contrairement aux apparences, sont aussi de grands romantiques dont la peau est souvent tatouée de noms de femmes. Et c’est d’ailleurs une histoire d’amour apache que je vais à présent vous conter : celle d’une gamine qu’on avait surnommée Casque d’Or.
Casque d’Or, la « Reine des Apaches de Belleville ».
Dans Détective almanach 1930S’il est une apache qui a marqué le Tout-Paris en ce début de XXe siècle, c’est bien Amélie Élie (1879-1933), plus connue sous le nom de Casque d’Or. Cette petite môme parisienne à l’épaisse chevelure rousse et dorée n’a que treize ans lorsqu’elle quitte père et mère pour aller vivre avec son homme, de deux ans son aîné. Oui, c’est tôt me direz-vous, mais à cette époque rien ne choque, et puis ça fait une bouche de moins à nourrir ! Comme les jeunes filles de son âge réduites à la pauvreté et à l’errance, elle se lance alors dans la prostitution pour tenter de gagner quelques sous. Bien entendu, cette vie de « gagneuse » lui fera vivre des aventures rocambolesques et violentes mais à dix-neuf ans elle rencontre Joseph Pleigneur, que tout le monde appelle Manda. Âgé de vingt-deux ans, il est le chef de la bande apache des Orteaux et c’est le coup de foudre. Ils se mettent en couple, il la recolle sur « le ruban » (le trottoir), elle l’accepte ; le bonheur aurait pu être complet, mais rapidement la jeune femme ne supporte plus d’être trompée par Manda qui, de plus, la délaisse. Son sang d’apache ne fait qu’un tour et la jolie rousse décide de préparer sa vengeance. Aussi va-t-elle se consoler dans les bras de François Dominique — ou Leca, c’est plus chic — chef de la bande adverse des Popincs (Popincourt). Casque d’Or sait pertinemment que Manda ne souffrira pas longtemps cet affront mais ce qu’elle veut c’est qu’on l’aime, qu’on lui prouve, et qu’on se batte pour ses beaux yeux ! Son plan machiavélique va fonctionner à merveille ; bientôt elle va déclencher une guerre sanguinaire entre deux gangs en plein cœur de Paris.
wiki de Amélie Elie
▻https://fr.wikipedia.org/wiki/Am%C3%A9lie_%C3%89lie
Je ne sais pas non plus ou j’avais lu qu’à chaque époque son groupe de femmes réprouvé. Aujourd’hui il semble que ca soit les femmes racisées. Soit des femmes noires en bande qui volent et agressent comme dans le film « Bande de filles » et les femmes « jihadistes » comme j’ai vu quelques titres là dessu récemment
▻http://www.lemonde.fr/societe/article/2018/05/05/djihad-des-femmes-etat-des-lieux-de-la-menace_5294662_3224.html
Mais j’ai pas lu du coup c’est peut etre pas des bandes de femmes djihadistes...
Sur le « nouveau phénomène »
Bandes de filles, enquête sur une nouvelle délinquance
Actualité Société (je elève que c’est dans « sociét »é et pas les violences faites aux femmes qui sont toujours dans « faits divers ») Par Maria Poblete, publié le 06/04/2017 à 12:00
▻https://www.lexpress.fr/actualite/societe/bandes-de-filles-enquete-sur-une-nouvelle-delinquance_1895773.html
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Lemonde en 2010 - société (!)
La délinquance des filles explose-t-elle ?
▻http://www.lemonde.fr/societe/article/2010/10/05/la-delinquance-des-filles-explose_1420289_3224.html
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Marie-claire en 2012
Gangs de filles : elles débarquent à Paris pour la baston
▻http://www.marieclaire.fr/,gangs-de-filles-banlieues-paris-bandes,20161,660728.asp
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La croix - 2005
La délinquance des filles est mal connue
▻https://www.la-croix.com/Actualite/France/La-delinquance-des-filles-est-mal-connue-_NG_-2005-09-05-589448
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Le point - 1998
Enquête sur la violence des filles
▻http://www.lepoint.fr/actualites-societe/2007-01-23/enquete-sur-la-violence-des-filles/920/0/77713
Les témoignages, unanimes, soulignent la sauvagerie, la férocité, la froideur de ces semeuses de terreur. Une forme inédite de barbarie pratiquée par d’implacables #Lolita. Forment-elles l’avant-garde d’une cohorte de filles délinquantes, nouvelles légions de la violence urbaine ? Ou ne représentent-elles qu’elles-mêmes, leurs névroses et leurs dérives ?
La violence urbaine, version filles, est encore un non-sujet. « On a tant à faire avec les garçons, explique Louis Dubouchet, chargé d’évaluation des politiques sociales auprès des ministères et des collectivités locales. Sociologues, médiateurs, éducateurs de rue, animateurs de centres sociaux, tous s’intéressent d’abord aux garçons. Mais tous ou presque s’accordent aussi à penser que la violence des filles est un phénomène émergent. Ainsi la préfecture de police de Marseille a-t-elle effectué un calcul simple. Durant les huit premiers mois de 1998, sur 13 382 mises en cause sur la voie publique, 366 concernent des mineures. Celles-ci représentent donc 2,43 % des cas recensés, contre 1,78 % durant la même période de 1997.
Car les filles, du moins celles-là, soulignent des éducateurs, ne « montent pas en grade » dans la délinquance. Elles ne passent pas au stade de l’organisation de tous les trafics qui font vivre la cité. « A ce niveau-là, il y a bien sûr des femmes, mais plus âgées : les mères ou les "tantes" qui se chargent, par exemple, du recel », explique une source policière. Alors, pour échapper au machisme, les filles se constituent en groupes autonomes. « On est loin des Mod’s ou des Rock’s, précise Serge Lesourd. Car il n’y a aucun rituel, aucune codification, pas toujours un chef. »Tout juste quelques détails significatifs. « Une bande entièrement féminine arrêtée il y a deux ou trois ans en Seine-Saint-Denis s’était baptisée "Les filles sans peur" », raconte Bénédicte Madelin, de Profession banlieue, basée à Saint-Denis. Tout un programme.
Les groupes féminins, quand ils sévissent, s’attaquent principalement à des filles ou à des femmes. Avec comme idée, souvent, de s’en prendre à un modèle impossible à atteindre, de « casser de la Française, de la bourgeoise ».
Raté de l’intégration ? Sûrement. Mais ne faut-il pas chercher les sources du malaise bien plus en amont ? Questionnés sur les raisons pour lesquelles la violence des filles demeure marginale, la plupart de nos interlocuteurs ont répondu : « Parce qu’elles ne sont pas dans la rue. » Où sont-elles, alors ? Enfermées chez elles par des pères et des frères répressifs, ou occupées à surveiller leurs cadets. Tellement recluses que les services de police, quand ils veulent établir la durée de leur séjour en France, manquent de ces indices élémentaires que sont une inscription scolaire, une affiliation à un club de sport ou à la moindre activité de quartier.
#recluses
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Le figaro en 2012
Délinquance : une bande de filles arrêtées
▻http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/02/03/97001-20120203FILWWW00595-deliquance-une-bande-de-fille-arretees.php
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Les bandes de jeunes
2007
9. Des filles dans les bandes aux bandes de filles
par Stéphanie Rubi
▻https://www.cairn.info/les-bandes-de-jeunes--9782707153456-p-203.htm
#paywall
Ce texte tente d’aborder la question des comportements déviants ou délictueux des adolescentes et pré-adolescentes des quartiers populaires. D’une part, je présente les éléments sur lesquels une minorité d’adolescentes s’appuient dans leur construction identitaire déviante. Dans un second temps, j’aborde plusieurs points stéréotypés communément associés aux adolescentes violentes ou agressives....
Plan de l’article
La recherche, les terrains, les méthodes
La loi des plus fortes - Des représentations stéréotypiques des filles agressives et violentes très prégnantes
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Cette place des filles est ensuite interrogée par Stéphanie Rubi. Parler de la délinquance des filles n’est pas simple, puisqu’elle oblige à interroger les stéréotypes construits autour des « filles violentes ». L’auteur étudie les stratégies développées par les filles à la recherche d’une reconnaissance, d’un pouvoir avéré et d’une construction identitaire. Les bandes de filles pourraient bien être l’expression d’une forme d’émancipation en puisant dans le modèle dominant qu’elles rejettent pourtant.
La Lionne et la Bande de la Goutte d’Or
En 1897, quelques années avant Casque d’Or et ses Apaches, une autre figure fit les délices des chroniqueurs. Marie Lyon (ou Lion ?), dite « La Grande Marie » ou « La Lionne », est une prostituée dont s’est amourachée la Bande de la Goutte d’Or. Un certain Louis Lochain, dit « Petit Louis », en est le chef ; avec ses camarades Auguste Fauconnier, dit « Le Félé », Auguste le Bastard, dit « Barre-de-Fer », Léon Millet, dit « Dos-d’Azur », Léopold Schmitt, dit « Monte-En-L’Air », et quelques autres, ils écument les débits de boisson et les marchands de comestibles et font main basse sur les alcools et les victuailles. Leur larcin, quand il n’est pas directement consommé, est revendu à bas prix dans un local s’affichant abusivement comme une « Succursale des Magasins généraux de Paris », au 114 rue de Belleville.
Rue de Belleville
Rue de Belleville vers 1900 (le n° 114 est le 2e immeuble en partant de la droite)C’est La Lionne qui règne sur cette adresse et qui prépare les agapes pour ses voyous d’amants. Car les membres de la Bande de la Goutte d’Or sont tous les amants dévoués de La Lionne et s’accommodent très bien de cette situation. Tout semble aller au mieux pour cette joueuse troupe, jusqu’au 28 avril 1897, jour ou une descente de police vient mettre fin aux frasques de La Lionne et la Bande de la Goutte d’Or.
La Lionne
« Une bande joyeuse » La Matin, 30 avril 1897La nouvelle paraît dans les quotidiens parisiens. C’est ainsi qu’Aristide Bruant, célèbre voisin montmartrois de la Goutte d’Or, découvre l’histoire de Marie Lyon et ses amants dans l’Écho de Paris. L’histoire ne peut pas laisser Bruant insensible, il va s’en inspirer pour écrire une chanson, La Lionne, et faire entrer Petit-Louis, Dos-d’Azur, Monte-en-l’Air, Le Félé et Barre-de-Fer dans la postérité.
La Lionne, d’Aristide Bruant
Rouge garce... A la Goutte‐d’Or
Elle reflétait la lumière
Du chaud soleil de Thermidor
Qui flamboyait dans sa crinière.
Ses yeux, comme deux diamants,
Irradiaient en vives flammes
Et foutaient le feu dans les âmes...
La Lionne avait cinq amants.
Le Fêlé, la Barre de Fer,
Petit‐Louis le grand chef de bande,
Et Dos‐d’Azur... et Monte‐en‐l’Air
Se partageaient, comme prébende,
Les soupirs, les rugissements,
Les râles de la garce rouge
Et cohabitaient dans son bouge...
La Lionne avait cinq amants.
Et tous les cinq étaient heureux.
Mais, un matin, ceux de la rousse,
Arrêtèrent ses amoureux
Dans les bras de la garce rousse.
Ce sont petits désagréments
Assez fréquents dans leurs commerce...
Or ils en étaient de la tierce !
La Lionne et ses cinq amants.
La lionne est sur cette video mais je sais pas ou
▻https://www.youtube.com/watch?v=vZowHZcD3F0
Criminologie - Du côté des filles et des femmes, leur délinquance,
leur criminalité
Renée Collette-Carrière et Louise Langelier-Biron
Les femmes et la justice pénale
Volume 16, numéro 2, 1983
▻https://www.erudit.org/fr/revues/crimino/1983-v16-n2-crimino916/017179ar.pdf
_____
Recherche sur la criminalité et la délinquance
:
une distinction selon le sexe
Par
Brigitte Doyon
Martin Bussières
Rapport final
Présenté au Conseil permanent de la jeunesse.
29 avril 1999
▻http://www.cms.fss.ulaval.ca/upload/soc/fichiers/criminalite.pdf
_____
Des adolescentes délinquantes
par Stéphanie Rubi
▻https://www.cairn.info/revue-les-cahiers-dynamiques-2010-1-page-27.htm
Stéphanie Rubi remet en question la sur-médiatisation de la délinquance des adolescentes. En mettant en exergue l’interprétation subjective qui minimise l’implication des filles dans les actes de violence, l’auteure des « crapuleuses » analyse la « sexualisation » des délits. Phénomène qui les réduit à un comportement d’imitation des garçons et finalement occulte l’importance des mécanismes de socialisation juvénile.
encore plus cool qu’un gang de filles... un gang de filles japonais
Tish Weinstock
oct. 26 2016, 3:00pm
▻https://i-d.vice.com/fr/article/zmxjaj/encore-plus-cool-qu-un-gang-de-filles-un-gang-de-filles-japonais
Sukeban veut dire « délinquante ». Un nom qui était donné aux gangs de filles rebelles des années 1970 et 1980, qui ne s’arrêtaient devant rien pour bousculer les codes traditionnels de la féminité japonaise.
01 Aug GIRL GANGS: Sukeban
Posted at 10:00h in everything else, fashion, movies, personal style by RubyStar
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The Japanese slang word ‘sukeban’ (スケバン) means ‘boss girl’, but everybody use it to talk about Japanese girl gangs from the late 1960s made up of girls who weren’t allowed into boy’s gangs (called bancho).
Sukeban bands are easily recognizable. They generally wear school uniforms with distinct features and modifications. Longer skirts (sometimes ankle-long ones) than the common ones, as well as cut shirts and messages embroidered or written on their clothes. They usually wear chains, which are used as weapons; mittens and dyed or de-bleached hair. Japanese surgical masks are also associated to sukeban gangs, but this is more recent.
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Sukeban girls usually wear the popular sukajan (that bomber-style jackets made with shiny fabrics and with embroidered details that are so fashionable now), created towards the end of the II World War during the American occupation of Japan. As a souvenir for their families and friends, they chose these jackets embroidered with Japanese details such as cherry trees, tigers and geishas, sometimes made with the fabric of American parachutes. In the 1960s, American trends were widespread in Japan and the Japanese youth started wearing these jackets as a symbol of rebellion. They were associated to gangs and criminal groups such as the yanki, boys that flirted with the yakuza and who were inspired by the American style.
In the 70s and 80s, these bands became very popular thanks to manga, especially the shojo (manga for young girls) Sukeban Deka, a series that also had a television version (both anime and live-action) and a series of films. The first sukeban-themed film series were Terrifying Girls’ High School by pinky violence film director Norifumi Suzuki.
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Some of the weapons common in these bands are baseball bats (sometimes with nails or spikes), iron or wood rods and chains. In Sukeban Deka, the leading characters also use yo-yos and marbles. They are attributed with minor offenses such as theft and robbery.
Among sukeban famous figures in the West are Gogo Yubari (Kill Bill) and Saitama Crimson Scorpions from renowned anime author Shin Chan. In addition, last Maria Ke Fisherman’s F/W collection takes inspiration from the Sukeban Deka saga.
▻http://rubystar.es/girl-gangs-sukeban-2
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Gang de filles au mexique - les Cholas
01 Sep GIRL GANGS: Cholas
Posted at 14:53h in everything else, personal style by RubyStar
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Text by Luna, from Monterrey .
In Mexico, the word “chola” make us think of thin eyebrows and outlined lips, and about thinking it twice before picking on any of them.
The term today is derogatory in our country, as there’s a difference between what popular culture says about them and the reality of cholas in Mexico. Films and music videos feature chicano cholas, Mexicans brought up in the States with a mixture of both cultures, which explains the difference between the two. Here I will talk about the latter.
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The term is old. It appeared in the sixties and seventies in South California to name chicano gangs wearing checked flannel shirts on a white tee shirt, khaki trousers and gangster-style sunglasses. These gangs gave them what society denied them –a sense of belonging and identity. In the gangs there were men, and also women since the 30s.
There are films about them, like Mi Vida Loca, which centres on two chola girlfriends and how their lives are influenced by their lifestyle, and which highlights some of the things that identify them: tattoos, drawings style, the clothes and the codes they use. Personally, what I like the most is the loyalty between the two friends (though I think the film forgot about that :p) and being together above everything else, not getting involved with the boyfriend or ex-boyfriend of any of the cholas, being honest with each other, etc.
They make the best out of what clothes and makeup is available to them. The first members of these gangs were exploited working class, so they didn’t have access to expensive clothes. Girls used to wear sleeveless tee shirts and wide Dickies trousers, which were cheap and easy to get. Today it is common for cholas to wear Dickies. As for makeup, eyebrows are thin and black eyeliner is the norm. Their hairstyle is very well taken care of, with bangs and hair sticking to their cheeks with the help of sprays. They usually wear large earrings and chain necklaces, sometimes with religious figures of saints and virgins.
They have an imposing look and the loyalty between them is very strong, that’s why you should think it twice before annoy a homegirl.
▻http://rubystar.es/girl-gangs-cholas-2
▻https://za.pinterest.com/pin/242350023667379109
Les Apaches en Jupons
Nos sociétés ont tendance à invisibiliser la violence des femmes (des fois qu’elle seraient tentées d’en user pour se défendre !). Toutefois, il existe des exceptions, notamment quand cette violence devient trop flagrante. Parmi ces tapageuses exceptions, les « Femmes Apaches » ont parfaitement su s’illustrer. Du coté de la Goutte d’Or, le boulevard de la Chapelle est certes un territoire Apache, mais il est aussi un territoire des femmes Apaches. Prises dans la violence qui règne le long du boulevard, les filles « en cheveux » savent réagir, se défendre et manier le couteau si le besoin s’en fait sentir. Et si dans la presse elles commencent d’abord à apparaître au coté des Apaches, on voit bientôt poindre des exactions commises par des bandes « d’Apaches en jupons ».
Les Apaches en jupons
Le Matin, 5 octobre 1910L’oeil de la Police, un des nombreux journaux à sensation de l’époque, nous livre en une deux de ces histoires de bandes de gigolettes sévissant dans le quartier.
La première nous raconte l’histoire de Jules Bazet, un garçon épicier demeurant rue des Gardes et qui s’est fait « entôlé par deux belles filles ». Bazet se promène un soir sur boulevard Barbès avec la ferme intention de ne pas rentrer seul chez lui. Dans sa quête de compagnie, il croise le chemin de deux belles, « bien habillées » et au pas chaloupé, qu’il s’empresse d’aborder. Il les invite dans un café tout proche. Après un charmante conversation, et mis en confiance, il emmène nos deux Apaches en jupons à son domicile. Bien mal lui en pris, à peine arrivés dans son modeste garni de la rue des Gardes, les deux invitées se ruent sur lui, le frappent, le jettent à terre et le ligotent « comme un saucisson ». La chambre est minutieusement fouillée et les deux filles se s’enfuient avec sept louis d’or et une montre en or, toute la fortune du saucissonné Bazet. On ne retrouvera pas la traces des deux drôlesses.
Boulevard Barbès
« Entôlé par deux belles filles » L’Oeil de la police, 1908 N°30
Toujours dans L’Oeil de la Police, on apprend les aventures d’un autre homme, Louis Hurel, qui fut aussi une proie des Apaches en jupons. L’histoire se déroule le 18 février 1908 sur le boulevard de la Chapelle, un peu en dehors de la Goutte d’Or vers la rue Philippe de Girard.
Apaches en Jupons
« Apaches en Jupons » L’Oeil de la police, 1908 N°6
Vers minuit, Louis Hurel, mécanicien de Lagny, vient de rendre visite à un de ses cousins qui habite rue Ordener et s’en retourne prendre son train à la gare de l’Est. Chemin faisant, il croise la route de Louise Dufort, dite « La Crevette », de Léontine Chaumet, dite « Titine », de Julie Castel, dite « La Boiteuse », de Juliette Ramey et de Victorine Hirsch. Les cinq filles l’entourent prestement et lui font le coup du Père François (voir une illustration de cette méthode ci-dessous). les Apaches en jupons le dépouille du peu d’argent qu’il possède, de ses vêtements ainsi que de ses chaussures « toute neuves », laissant le pauvre Hurel à moitié nu. Alertés par les cri de ce dernier, deux agents prennent en chasse les bougresses qui s’enfuient dans la rue Philippe de Girard et s’engouffrent dans un immeuble au n°38 de cette rue. Elles se réfugient sur le toit d’un petit hangar en fond de cour. Les agents sur place, bientôt aidés de renforts, mettent plus d’une une heure à venir à bout des Apaches en jupons qui tiennent vaillamment le siège depuis le toit de zinc. On finit par arrêter la bande et Louis Hurel a pu retrouver, entre autre, ses chaussures « toutes neuves ».
▻http://28rueaffre.eklablog.com/les-apaches-a-la-goutte-d-or-a114156508
Gang Girls au cinéma
One of Roger Corman’s first films, Swamp Women, was a 1955 crime story revolving around a gang of female convicts. There has hardly ever been a lack of female gangs in films — in particular, teenage girl gang movies became increasingly popular starting in the 50s, which led to numerous movies on the subject that span different generations. If there is a genre in which teenage girls have never been lacking representation, it’s gang movies.
Yet, that representation has varied and changed throughout the decades, ranging from high school delinquents to outlaw bikers. While most teen movies revolve around coming-of-age stories, gang movies reveal the extreme side to adolescence — the misfit, criminal, and violent side. Gang movies are rather simple, either focusing on episodes of gang debauchery, or revolving around rivalry and jealousy. Usually the viewpoint is that of the ring leader, or the “new girl,” who is initiated into the gang but is still an outsider. Yet, among the plethora of girl gang movies, every decade has produced stories involving specific issues and specific types of teenage girls.
The 50s and the Rebellious Years
An abundance of films and B-movies related to gangs and juvenile delinquency was released in the 1950s. The films produced at that time reveal a growing anxiety about teen rebellion. While Reefer Madness was a propaganda film about the dangers of marijuana, movies such as The Violent Years and Girl Gang were propaganda films about the threat and danger of rebellious teenage girls, and the dramatic consequences of being part of a female posse. The girls were portrayed as violent criminals, on par with their male counterparts — driven by teen angst and restlessness. Gang movies in the ‘50s were heavily moralistic: films such as The Violent Years and High School Hellcats blamed juvenile delinquency on parental neglect and dysfunctional families, while teenage gang members usually suffered a tragic fate. The Violent Years (written by Ed Wood) was particularly exaggerated in its tragic ending: Paula, leader of the gang, becomes pregnant, is jailed for murder, and finally dies in childbirth — yet, still has the insolence to look at the screen and ask, “So what?”
The 60s and Biker Gangs
Girl gang movies of the ‘50s were particularly judgmental, until the 1960s rolled in with the biker film craze. Three all-female motorcycle gang movies were released in the same year: The Mini-Skirt Mob, She-Devils on Wheels, and The Hellcats in 1968. Compared to ‘50s gang movies, female biker movies of the ‘60s indulged in the gang fantasy rather than pressing moral lessons on the viewer. There are no schools or parents in biker movies—the gang is the family. The girls in biker gangs are a tight-knit posse, led by an Alpha female who bosses and uses men to her liking; the idea of assertive and domineering girls has carried on from the ‘50s, but without judgment. Despite the popularity of the biker genre, the depiction of adolescence in biker films was essentially unrealistic, and indulged in a fantasy rather than a truthful portrayal of teenage girls.
70s and Switchblades
In the 1970s, gangs ditched their motorcycles and stocked up on switchblade knives, moving back into an urban setting instead of the open road. Probably one of the most iconic gang movies, Switchblade Sisters, is about the Dagger Debs, an all-female city gang led by Lace. The story revolves around the arrival of new girl Maggie, who joins the Dagger Debs and slowly begins to take over leadership. For a gang movie, Switchblade Sisters has a complex storyline, filled with power struggles between characters — Lace becomes increasingly jealous of Maggie, Patch is a sly manipulator, and Maggie goes from a quiet girl to a cold-hearted leader. Although the world of Switchblade Sisters is also unrealistic, the political turmoil of the ‘60s and ‘70s is strongly evident in the darker tone of the story and the characters’ actions. At one point, we are introduced to a Black Panther-inspired gang, which we also see in another popular gang movie, The Warriors.
Although The Warriors focuses mainly on male gangs, there is one female gang in the movie known as the Lizzies. They are also armed with switchblades and knives, and they lure gang members by seducing them. Again, female gang members retain the exaggerated image of the Alpha female that they have been given since the ‘50s.
Teenage Royalty
From the 1980s on, “gangs” become high school “cliques” led by the popular girls. We first see high school girl cliques in the Pink Ladies from Grease, which was a throwback to ‘50s teen gang movies. In 1988, Heathers presents us with yet another elite girl clique (the Heathers) who are the most popular and envied girls in school. Although Heathers is a humorous take on teen movies, Veronica (Winona Ryder) is the closest depiction to an “actual” teenage girl since the biker and switchblade girls: she vents her hate for the Heathers on her diary, and has a teen romance with the typical bad boy. Jawbreaker and Mean Girls are both told through the point of view of the new girl. They begins as a socially awkward outsiders but slowly (like Maggie from Switchblade Sisters) take over the spotlight of the original queen bee.
While previous gang movies were driven by gang rivalry and dominance for territory, the modern high school girl gangs are at war for social status. Teen angst is present, but rather than expressing it through vandalism and crime, it’s expressed through different means — they ditch the switchblades, and their weapons are gossip, manipulation, and backstabbing.
Notorious Teens
After a long period of “teenage royalty” girl gangs, in the 2010s, two movies tackled girl gangs in a different light: Spring Breakers and The Bling Ring. The stories still revolve around beautiful and privileged girls, but instead of fighting for high school popularity, they gravitate toward a criminal lifestyle. The girls in Spring Breakers commit armed robbery, while the members of the Bling Ring steal expensive goods from celebrities’ homes. Modern girl gang movies are not indulgent fantasies or exaggerated portrayals of high school life — the new girl gangs embody a sentiment among many teenage girls: the desire for material things, and most of all, notoriety. The girls in Spring Breakers feel entitled to wealth, while The Bling Ring girls follow their desperate obsession for celebrity status.
Emanuela Betti is a part-time writer, occasional astrologer, neurotic pessimist by day and ball-breaking feminist by night. She miraculously graduated with a BA in English and Creative Writing, and writes about music and movies on her blog.
▻http://www.btchflcks.com/2013/12/girl-gangs-are-mean-teenage-girl-gang-movies-through-the-years.html
Muslim gang girls - pas sur que ca soit vraiment un gang, ca ressemble plus à des activistes.
Mais en Indes il y a le Gulabi Gang, un gang de femmes féministes qui combattent les violeurs à coup de baton
▻http://idishoom.com/the-gulabi-gang
Inception of the Gulabi Gang
Sampat Pal Devi is an Indian social activist from Bundelkhand region of Uttar Pradesh, North India is the founder of the Gulabi Gang, an Uttar Pradesh-based social organization, works for women welfare and empowerment. Sampat Pal Devi was married to a resident of the Banda district of UP at the young age of twelve. Four years later, at age sixteen, she took her first stance against domestic violence. A nearby neighbor was regularly abusing his wife, so Pal Devi encouraged residential women to embarrass the man until he ultimately made a public apology for his actions. She was influenced by social activist Jai Prakash Shivharey to start the Gulabi Gang in support of women’s rights. Pal inspired other women in her village and other villages to join the effort. The women look out for other women in neighboring towns, similar to a western neighborhood watch program. Together Pal and her women have carried out several raids, beaten up several men and public officials, and attained one-hundred percent success.
Why The Gang?
For women in India, violent crime is common and low-caste women are especially vulnerable. Ninety per cent of the country’s rape victims are Dalit women, formerly known as untouchables, the lowest of India’s lowest caste. The situation is particularly dire in Uttar Pradesh, a state with the most cases of sexual violence against women in the country. And the police aren’t much help. An Indian high court judge recently described the Uttar Pradesh police force as the largest criminal organization in the country. But the Gulabi Gang is offering a way out. It is making change simply by providing positive and powerful female role models in a country where few exist.
Lasting social change?
But it’s difficult to know how sustainable that change is. And that’s the problem. Pal represents both the strengths and weaknesses of the gang. She’s an effective and charismatic leader who inspires tremendous loyalty, but there’s also no one else like her. There’s also the question of whether Pal’s brand of vigilante justice can really lay the foundation for lasting social change. Abhilasha Kumari, the director of Apne Aap, a woman’s rights NGO in Delhi, doesn’t think it can.
Pal agrees. She says that for women in India, the first battle begins at home. A woman must fight the oppression and abuse she faces from her family before she can become an effective member of the gang. After all, real change is not going to come from the end of a stick.
Sur les « jupons noirs » voirs le film Foxfire
▻http://reflexionsdactualite.unblog.fr/2013/03/16/jai-vu-foxfire-confessions-dun-gang-de-filles-de-laurent
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Halbstarken, les blousons noirs hélvètes
▻http://shookupgeneration.blogspot.fr/2015/02/halbstarken-les-blousons-noirs-helvetes.html
En cherchant des Gang de Hells Angels féminin j’ai découvert les „Femmes Fatales“
▻https://www.femmefataleswmc.com
Femme Fatales WMC is a law abiding, independent WMC founded by two determined women that had a vision in May 2011. Our Sisterhood strives to encourage women to be unique and let each of their individual personalities shine.
Our Sisterhood is based on a love of riding, giving back to the community and empowering each other; this is what drives us! We work
with many different non-profit organizations. Our main focus is to help support both Women and Children in our local Countries, Cities,
and Communities. Our commitment to each other and to the club is strong, forthright, unyielding and can survive the trials
and tribulations of life.
Currently there are Femme Fatales WMC Chapters throughout the United States as well as Overseas. With the help and dedication of our sisters we are maintaining steady growth while still focusing on quality, not quantity. All of our sisters ride their own bikes, we are a true Women’s Motorcycle Club. We are looking for strong, independent and highly motivated ladies to potentially become future
Femme Fatales WMC Sisters.
Teddy Girls gang - UK
Photos Ken Russel
Roland TOPOR - Bibliographie Illustrations - Biographie - nooSFere
▻https://www.noosfere.org/icarus/livres/auteur.asp?numauteur=1310358118&Niveau=illus
« Quand la société serre les fesses, les espaces de liberté individuelle rétrécissent », disait Topor.
▻https://cqfd-journal.org/Topor-L-art-et-la-matiere
Charlie bof ?
▻https://la-bas.org/4873
Charlie, c’est qui ? Trois ans après, on oublie. Dimanche à Paris, quelques dizaines place de la République, samedi quelques centaines de convaincus pour un meeting « Toujours Charlie ! » pour la défense de la laïcité contre l’islamisme, avec Manuel Valls en tête de gondole.Continuer la lecture…
Invisible Cities Illustrated: Artist Illustrates Each and Every City in Italo Calvino’s Classic Novel | Open Culture
▻http://www.openculture.com/2017/12/invisible-cities-illustrated-artist-illustrates-each-and-every-city-in-
#illustrations #villes #Calvino
Logement à San Francisco : la colère des Yimbys | Courrier international
▻https://www.courrierinternational.com/article/logement-san-francisco-la-colere-des-yimbys
Je signale ceci surtout pour l’#illustration que je trouve très chouette et intéressante
Un phénomène nouveau né à San Francisco commence à essaimer dans les villes occidentales : la révolte des Yimbys (d’après l’acronyme yes in my backyard, qui signifie “oui dans mon jardin”). Ce nom de code désigne les trentenaires, diplômés, qui peinent à se loger. Ils se mobilisent pour réclamer à leurs aînés la construction de tours d’habitation. Et tant pis si cela implique de détruire quelques potagers.
#mage #visualisation #graphique #représentation #symbolique #manipulation #soviétisme (presque !)
My tailor is a man... La représentation des métiers dans les livres pour enfants | Cairn.info
▻https://www.cairn.info/revue-travail-genre-et-societes-2007-2-page-65.htm
Pour beaucoup de psychologues, la prise de conscience de soi en tant que garçon ou fille, constitue une des bases essentielles de la construction de son identité. À partir de deux ans, les enfants orientent déjà leurs conduites en fonction de leur sexe (Le Maner-Idrissi, 1997). Dès la prime enfance, le sexe est une donnée structurante de l’interprétation de l’environnement (Vouillot, 2002). La famille se trouve être un des premiers lieux où s’inculque, ce que Monique Haicault (1992) nomme, « la doxa de sexe » qui renvoie au caractère quasi-hypnotique de la soumission volontaire de la femme et de l’homme aux places symboliques qui leur sont imposées dès l’enfance. Dans son livre Du côté des petites filles, Elena Gianini Belotti (1974), analysant les conditions répressives de l’éducation des filles, a été l’une des premières à montrer comment les parents, et plus largement l’entourage, imposaient aux enfants des normes et des modèles auxquels ils devaient se conformer. « L’étiquetage de sexe », fondé sur l’apparence génitale, est sans cesse réactivé tout au long du processus de socialisation qui réitère les modalités de la division sexuelle du travail spécifique à chaque société (Hurtig et Pichevin 1986).
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L’analyse de la littérature enfantine permet d’appréhender certaines des valeurs et représentations transmises aux enfants dès leur plus jeune âge. Les albums illustrés, actuellement en pleine expansion, sont des outils d’éveil et d’apprentissage à la lecture privilégiés par les enseignants et les parents et représentent un support désormais incontournable de socialisation. À ce titre, leur analyse paraît heuristique en ce qu’elle permet de décrypter les stéréotypes de sexes dans la représentation du monde qu’ils proposent. Plusieurs travaux ont montré comment cette littérature présentait une répartition sexuée des rôles : les activités des petits garçons et des petites filles, ainsi que les tâches dévolues à leur père et à leur mère, sont extrêmement différenciées. Les stéréotypes sexistes sont présents dans l’ensemble des livres, quel que soit l’âge des enfants auxquels ils s’adressent. Dans la sphère familiale ou professionnelle, à travers les situations sociales évoquées ou les formes grammaticales utilisées, les hommes et les garçons apparaissent comme actifs, responsables, conquérants et héroïques, tandis que les femmes et les petites filles ne sont souvent décrites qu’en tant que mères, épouses, assistantes, tenant un rôle le plus souvent passif (Michel, 1986). Aujourd’hui encore les représentations transmises par la littérature enfantine française ou francophone sont toujours empreintes de sexisme et montrent invariablement une image masculine du monde. (Brugeilles, Cromer et Cromer, 2002 ; Dafflon Novelle, 2002 ; Dafflon Novelle et Ferrez, 2003 ; Détrez, 2005).
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Dans une perspective de compréhension du marché du travail fortement sexué, en amont duquel les orientations scolaires des filles et des garçons sont extrêmement clivées, il nous a paru intéressant d’analyser plus particulièrement, et plus précisément que ce qui a été fait jusqu’alors, comment le monde du travail et des professions était présenté aux enfants. Cet article vise à montrer combien, dès leurs premières lectures, ceux-ci sont confrontés à une vision du monde du travail ségrégué où les femmes sont sous-représentées et cantonnées à des secteurs circonscrits.
#genre #travail #femmes #discrimination #enfance #éducation #illustration
@heautontimoroumenos
Un peu plus loin dans l’ouvrage, le métier de laborantin-e- est également incarné par des personnes des deux sexes sans que les activités soient réellement mixtes : tandis que trois laborantines s’occupent de tubes à essai en position debout, l’homme laborantin, assis au premier plan, analyse des gouttes de sang à travers un microscope. Il est d’ailleurs intéressant de noter que l’utilisation du microscope apparaît, dans les livres pour enfants, comme une activité essentiellement masculine puisque, sur la dizaine de microscopes croisés, un seul était entre des mains féminines. Cet exemple rappelle ce que les auteures de L’Engendrement des choses (Chabaud-Rychter et Gardey 2002), en s’interrogeant sur les nouvelles formes de relation des êtres aux choses, ont montré : dans une société bâtie sur des rapports de domination, les techniques sont loin d’être neutres. Au cours de l’histoire, elles ont été appropriées par les hommes et, parallèlement, les femmes ont été exclues ou se sont exclues de cette culture – technique – masculine. Il n’est donc pas anodin de noter que cet appareil emblématique de la science soit, dans les albums pour enfants, monopolisé par le sexe masculin.
ca me fait pensé à ce que dit Paola Tabet sur les outils et armes selon le sexe et le fait que les outils et armes performantes sont confisquées et interdites aux femmes.
Photographies d’enfance japonaise depuis la Deuxième Guerre mondiale : entre omniprésence et invisibilité – Le magasin des enfants
▻http://magasindesenfants.hypotheses.org/6186
#illustrations #photos #enfants #Japon
Un cas de dopage : Gégé sous l’emprise du Dr Valvin
▻https://framablog.org/2017/09/22/un-cas-de-dopage-gege-sous-lemprise-du-dr-valvin
Quand un libriste s’amuse à reprendre et développer spectaculairement un petit Framaprojet, ça mérite bien une #Interview ! Voici Valvin, qui a dopé notre votre #Geektionnerd Generator aux stéroïdes ! Gégé, le #Générateur de Geektionnerd, est un compagnon déjà ancien de nos … Lire la suite
#Artiste #Framasoft #Libres_Cultures #Libres_Logiciels #Code #gege #Git #Illustrations #Images #Libre #Pepper&Carrot #Revoy
ANCIENT GREEK GEOMETRY
▻https://sciencevsmagic.net/geo
What can you make using only circles and straight lines? Yes, you can cut a pie into a million slices, but when you’ve got to make the pie yourself using only two dots as your starting point, the challenge becomes much greater. That’s the basic idea behind Ancient Greek Geometry, a webtoy by Nico Disseldorp that uses basic mathematical principles to spin basic drawing into an intriguing puzzle.
Ancient Greek GeometryYour only two tools when playing with Ancient Greek Geometry are a straightedge and a compass (the kind that looks like a giant pair of tweezers, not like a GPS’s compass). Starting with two given points, you can build your design by drawing a line between two points (click and drag to connect them), or a circle that has one point as its center and another point along its circumference (click and drag to the appropriate radius). Believe it or not, you can construct a lot of shapes with these techniques, including triangles, squares, and the elusive pentagon. This webtoy gives you the choice of tackling these shape challenges within the suggested numbers of moves, or freely building your own designs. How complex you get is entirely up to you in this intriguing diversion.
▻https://jayisgames.com/review/ancient-greek-geometry.php
#jeux #mathématiques #géométrie
The Traveller’s Guide to Madeira and the West Indies : Anonymous : Free Download & Streaming : Internet Archive
▻https://archive.org/details/lsidyv39064671
Images de l’urbain dans les albums pour enfants
▻https://strenae.revues.org/1724#text
Plan
Les albums pour enfants et l’image de la ville
La ville qui civilise (1930-1960)
La ville qui terrorise (1970-1990)
Une nouvelle image de la ville (1990-2010)
« L’enchantement » urbain
Un petit côté rétro
Un territoire de dérives potentielles
Vers une confusion ville/campagne
Tous urbains
Aire de spatialisation des liens sociaux
How Wi-Fi Works
Source & graphics : ▻http://www.verizoninternet.com/bookmark/how-wifi-works
Hacker News with Comments : ▻https://news.ycombinator.com/item?id=14833554
#wifi #illustration #graphique #commentaires sur #hacker_news
Comment bien lire à son enfant pour lui apprendre de nouveaux mots ?
▻https://www.actualitte.com/article/monde-edition/comment-bien-lire-a-son-enfant-pour-lui-apprendre-de-nouveaux-mots/83956
Zoe Flack et Jessica Horst, chercheuses en psychologie à l’université du Sussex, ont mené une expérience auprès de 2 groupes d’enfants de 3 ans, qui ont lu les mêmes livres, mais illustrés différemment. Le but était de comparer l’apprentissage de 2 mots peu communs, le « lance-pierre » et la « roue en métal », dans les 2 groupes.
Dans le premier groupe, seule la page de droite était illustrée ; dans le second en revanche, les deux pages l’étaient. Résultat qui peut paraître surprenant au premier abord : seuls les premiers enfants ont appris les 2 mots présentés... Mais la solution à ce mystère est en réalité toute simple.
« Quand il y a une seule image, les enfants regardent la bonne. Quand il y en a deux, ils peuvent commencer à regarder l’image de droite trop tôt ou revenir à celle de gauche quand on leur lit la page de droite, ce qui inhibe l’apprentissage », explique Jessica Horst dans la revue Infant and Child Development, qui décrit l’expérience.
Parents en panique, rassurez-vous ! Quand plusieurs images sont présentes, il existe une technique efficace : désigner du doigt les images correspondant aux mots que l’on prononce.
The incredible #Bollmann map workshop (1) – Infographics for the People
▻http://www.johngrimwade.com/blog/2017/03/27/the-incredible-bollmann-map-workshop-part-1
On the 18th of November last year, I stepped into a time tunnel, and stepped out into the offices of Bollmann Maps in Braunschweig, Germany. And I mean that in the best possible way. These cartographers produce all of their maps with the same methods that have been in use since 1963. Everything is hand-crafted. The production process is completely analogue. They use pen and ink on overlay film, photograph it with a classic 1950s line art camera, and print on their own 1965 printing press. (Bollmann Maps: www.bollmann-bildkarten.de)
#cartographie #cartographie_manuelle #dessin #illustration #visualisation
Hassan et moi. Confidences syriennes
Il a fui Damas et la guerre. Elle est journaliste.
De leur rencontre est née une amitié.
Depuis bientôt un an, Hassan et Elisa se retrouvent derrière l’écran de leurs téléphones ou se rejoignent aux extrémités de l’Europe.
Avec Hassan, Elisa a plongé dans l’histoire singulière d’un déracinement. Il est devenu son regard sur cette odyssée du XXIe siècle.
►https://lequatreheures.com/episodes/hassan-et-moi
En accès libre pendant cette semaine, car #Elisa_Perrigueur a remporté le Migration Media Award (▻http://www.migration-media-award.eu/fr) avec ce reportage...
Un très beau #long_format avec des #dessins de #Anna_Griot que @odilon et @reka vont très probablement aimer
(mais Elisa Perrigueur est aussi une excellente illustratrice : ►https://perrigueur.eu/elisaperrigueur/dessins). Elle fait cette dessiné carte de Lesbos notamment :
La révolution française, version 2017 Le Courrier - Vincent - Juin 2017
La cour, la régente, l’enfant roi et napoléon 5
1 image pour le nouveau gouvernement
3 images pour les élections présidentielles 2017
#Jacques_attali #président_de_la_république #emmanuel_macron #photographies #illustration
Est-ce que la cinquième république gériatrique s’apprête à épouser Macron ?
▻http://lesakerfrancophone.fr/est-ce-que-la-cinquieme-republique-geriatrique-sapprete-a-epouser
Quelque chose qui a été conçu à l’origine comme une épreuve grandiose de marketing politique se terminera dimanche prochain en France. Un jeune homme avec un évident complexe d’Œdipe, qui n’a jamais occupé un seul poste élu et qui était presque inconnu il y a trois ans, se prépare à occuper le siège occupé par Georges Clemenceau et Charles de Gaulle au Palais de l’Élysée.
Naturellement, Macron est un champion du pop-futurisme. Il va transformer les Français en nomades idéaux, à la Attali ─ une classe de précariat qui a acquis quelques compétences et un anglais passable, mais manque d’emploi stable, d’une profession fiable, d’un véritable salaire et d’un avenir. Il répète les contes de fées pour les jeunes Français sur la « classe créative » ─ le rêve d’une civilisation dégénérée ─ mais il ne mentionne pas que la société du futur n’aura aucune utilité pour tous les fainéants qui votent pour lui. Il est guidé par le principe néolibéral, selon lequel la tâche principale d’un État en déclin est de donner à ses citoyens la possibilité de s’adapter sans cesse au marché mondial infâme, au lieu de tout faire pour protéger les emplois, les pensions décentes et les intérêts nationaux. Par conséquent, la victoire du 7 mai sera celle d’un autre petit marquis, vigoureusement programmé par les médias pour être peut-être bien le dernier de l’histoire de la Cinquième République ─ et ce n’est certainement pas un présage d’une sixième république. La France est prête à entrer dans la tombe qui a déjà été creusée pour elle.
« Emmanuel Macron ? C’est moi qui l’ai repéré. C’est même moi qui l’ai inventé. Totalement. A partir du moment où je l’ai mis rapporteur où il y avait Tout-Paris et le monde entier et où je ne l’ai pas éteint, il s’est fait connaître. C’est la réalité objective. » Le propos empreint de modestie est attribué à Jacques Attali dans l’ouvrage de notre consœur, Anne Fulda, et intitulé « Emmanuel Macron, un jeune homme si parfait »
#Attali_Macron
▻https://www.forbes.fr/politique/commission-attali-rothschild-bercy-elysee-les-ressorts-de-lascension-fulguran
Au niveau des seuls suffrages exprimés, en fonction de l’aisance financière :
D’autres graphiques pertinents : ▻https://www.les-crises.fr/quelques-donnees-sur-le-2e-tour-de-la-presidentielle
Bon, je pense qu’on le savait tou(te)s
Les 12 premières secondes : Tout est dit !
►https://www.youtube.com/watch?v=_xWKDm36jlM
– «je serai la lumière qui les électrisent»
–à coup de taser ?
se faire embarquer par @simplicissimus pour aller au vernissage de l’expo de @mad_meg et découvrir ses dessins improbables, style ▻http://www.madmeg.org/p17/#5/0.287/0.179, grandeur nature
Quelle merveille, seenthis, pour fédérer les gens et partager tout.
Ça défonce le zoom dans les images. OpenStreetMap au service de madmeg :)
pour ma défense, c’est noir de monde, et j’ai vraiment pris les photos à la volée (et je n’avais que mon téléphone, pas mon appareil photo)
c’est dommage
C’est super d’être passé @freakonometrics et @simplicissimus
J’espère que le bain de foule était pas trop éprouvant. C’est sur que c’était pas évident de faire des photos au milieu de cette densité humaine !
pour un agoraphobe, c’était dur :-) par contre tes dessins sont incroyables... les voir en grandeur réel est une expérience qu’il faut vivre (malgré le super travail de @fil sur la numérisation qui permet d’avoir une version en ligne de (grande) qualité)
@mad_meg les dessins d’Alice (ou plutôt de la reine de coeur) que tu utilises en fond d’écran sur seenthis sont accessibles quelque part ? ma fille est une grande fan (depuis qu’on a fait la boutique de Lewis Carroll à Oxford) et on essaye de trouver plusieurs représentations visuelles des personnages
@freakonometrics oui pour un agoraphobe jeudi c’etait une sacrée épreuve ! Merci d’avoir surmonté ca pour venir voire mes dessins et me rencontré :)
Pour le dessin de la reine de cœur avec le père Ubu il fait partie d’une série que je faisait en 2005 tu peu la voire ici ▻http://www.madmeg.org/base/varia/famille/menufamille.html
Je suis une grande fan aussi de Alice au pays des Merveilles. J’ai d’ailleurs pas mal de versions illustrées de ce livre et une jolie collection d’adaptation en film, série, dessin animés, marionettes ect.
Sur you tube il y a quelques films d’ailleurs qui pourrait intéressé ta fille.
Une version muette de 1903 :
▻https://www.youtube.com/watch?v=EJoW1Xqndzs
Une autre de 1915
▻https://www.youtube.com/watch?v=cOPa2rV30G4
Pour les versions parlantes on les trouve surtout en anglais
Comme celle là de 1949
▻https://www.youtube.com/watch?v=RbAv1r4UqDM
et celle ci de 1998 que j’aime beaucoup car pour une fois c’est une adaptation (en plus très fidèle au texte) de la seconde partie moins connu « De l’autre coté du miroir »
▻https://www.youtube.com/watch?v=tGM7aiQkAAI&t=128s
La plus belle adaptation en film d’Alice à mes yeux c’est celle de Jan Svankmajer. C’est une interprétation assez angoissante, pas pour les enfants trop petits ou très impressionnables. Voici la bande annonce :
►https://www.youtube.com/watch?v=3MLafk3imk4
Sur Alice j’avais plutot fait des dessins pour adultes
Ici Sarkozy en reine de cœur
et sinon j’avais fait cette version bien chargée en contenu sexuel, pas trop pour les enfants
Dans les versions illustrées d’Alice je te recommande le texte manuscrit et illustré par Lewis Carrol lui même je croi que c’est édité en français chez Rackam. Ci dessous un apercu de ses dessins :
▻https://alancook.wordpress.com/2010/02/24/alice-in-wonderland-lewis-carrolls-illustrations
et sinon la version de Ralph Steadman est absolument génial et c’est je croi ma préféré jusqu’a maintenant mais je sais pas si ca plairai à ta fille
KAMASUTRA FOR ROBOTS
▻http://kamasutra-for-robots.tumblr.com
Tout est dans le titre — Permalink
Superbe série de #croquis par Victor Lundy :
Les carnets de croquis d’un soldat américain de la Seconde Guerre Mondiale
▻http://www.laboiteverte.fr/carnets-de-croquis-dun-soldat-americain-de-seconde-guerre-mondiale
MUZO : #dessin original pour la couverture du Journal de
#Placid_&_Muzo nº 2, 1981.
« SURPRISE ! » : exposition de #Muzo - avec des œuvres de 2016.
Jusqu’au 12 novembre à la galerie Corinne Bonnet, 63 rue Daguerre, Paris 14.
►http://toutplacid.tumblr.com
▻http://www.galeriecorinnebonnet.com
« J’ai toujours adoré Jean-Philippe Muzo mais là il touche au sublime : cette nouvelle #exposition est à la fois très pure, très fine, très délicate - la grâce même - et d’une puissance dingue : une énergie directe, une force à déplacer les montagnes. Toutes ses dernières toiles sont de la joie et de la beauté pure dépassant la douleur et le chagrin des êtres humains - elles font un pont entre la cruauté archi-vive des dessins d’humour et la pure lumière ou les couleurs scintillantes des icônes orthodoxes ou des images égyptiennes (ô les deux baigneuses de dos dont les cheveux sont pure abstraction ! ô la jeune femme allongée qui ressemble à une reine égyptienne dans son sarcophage !) Et puis il y a ces couleurs de grand matin - comme une lumière qui nous réveillerait ; comme une musique qu’on entendrait, qui viendrait du dehors et qui nous bercerait et nous réveillerait pour notre vie nouvelle. Allez voir l’exposition de Muzo Galerie Corinne Bonnet. Cité Artisanale, 63 rue Daguerre 75014 Paris. Quelque soit votre état, vous en ressortirez deux cent cinquante fois plus vifs. Avec une lumière nouvelle dans le regard. Et de nouvelles couleurs partout autour de vous. » Pacôme Thiellement
#Pacôme_Thiellement est né en 1975. Il est écrivain et vidéaste. Il aime Hara-Kiri, Bazooka, Zappa, Twin Peaks, Lost, Sohrawardi et la Bhagavad Gita. Il a écrit des essais sur la pop et la gnose, en particulier : « L’Homme électrique » (MF, 2008), « Tous les chevaliers sauvages » (Editions Philippe Rey, 2012) et « Pop Yoga » (Sonatine éditions, 2013)
Muzo pose sur la table une pile de carnets haute comme un petit homme. « c’est toute ma vie », confie-t-il. et ce sont des dessins par centaines, des #esquisses, des astuces graphiques, des fantasmes ou des blagues. tout un monde s’agite, un monde d’hommes et de femmes obsédés par le sexe, mangés par la peur, les caprices, les doutes. muzo les observe, de loin, de près, devant, derrière, de bas en haut. il ne s’en lasse pas. parfois, pris de démangeaison, il les peint. résultat : un livre très drôle et très méchant.
Your Own Personal Slaves | Daniel Garcia Art
YOUR OWN PERSONAL SLAVES. ?
Which of these products do you use?
Here’s the illustration I’ve been working on the last few weeks - I wanted to do a piece about all the products we depend on, that are made or reaped by forced labor, child workers, sex slaves, etc.
#slavery #children #food #informatics #sex #cosmetics #illustration
@nicolasm De rien :)
Sinon, le lien est mort suite à la #censure par #facebook
▻https://www.facebook.com/danielgarciaart/photos/a.569778129781164.1073741828.569746603117650/1162351310523840/?type=3
Facebook has just #censored my work YOUR OWN PERSONAL SLAVES twice for not meeting its community standards. >:( >:( >:(
And yet, according to its own standards: “We also allow photographs of paintings, sculptures and other art that depicts nude figures. Restrictions on the display of both nudity and sexual activity also apply to digitally created content unless the content is posted for educational, humorous or satirical purposes.”
I’ve tried to appeal to them but received NO ANSWER.
As an editorial illustrator focusing on political and social issues, with work published in more than 15 countries around the world, I strongly denounce another clear censorship situation by Facebook, when it simultaneously accepts contents that clearly exploit violence, sex, women and children.
#facebook #censorship #community #standards #bad #customerservice