Merci Hombre. Tu te trompes-je pas. J’ai en effet le don d’énerver quelques uns sur le circuit. Pourtant j’aime les lire, enfin, certains.
C’est regrettable, ça joue des mauvais tours et ça fait mauvais effet.
Je me souviens d’un gus qui s’était demandé sur ma page : « troll ? ». (Merde à l’unanimité.)
« Brièveté des positions » ? Oui. C’est qu’il existe une culture ( et même plusieurs), des références et des lectures qui, me semble-t-il, n’ont pas besoin d’être claironnées, vu que le site a par lui-même clairement opéré un tri. Non ?
( Je me souviens d’une fille qui avait été jetée dehors d’ici. J’en avais été étonné. Elle était pas casher, loin de là, donc on lui avait coupé le sifflet)
Puis d’autres accrochages encore, par exemple avec quelque féministe en fureur, avide donner des leçons de correction avec toute la brutalité qui trahissait le simple et dur désir de pouvoir.
Alors les développements du PIR , ceux rapportés par tbn, faudrait détailler par le menu en quoi c’est une « pensée » d’ectoplasme ? un exposé sans contenu ?
Ca me rappelle un texte théorique d’un groupe de réflexion communiste rapporté ici, il y a quelques mois. Pure compote de termes, aucun contenu, comique branlette née de l’entre-soi. Quasi-moisi par manque d’oxygène.
Faudrait pas exagérer, du moins le croyais-je, la solidarité se mérite, et voilà que pas du tout. : je me trompe-je !
( re-merde)
( quant à « déconstruire » l’holocauste, sous le prétexte de « replacer la dénonciation du génocide nazi dans le cadre d’un projet décolonial, critique de la Modernité », ça me fait spontanément gerber ; je laisse ça à ceux-là qui ne comprennent pas qu’ils sont juifs et palestiniens. Ce qu’avait parfaitement énoncé E. Saïd. Faut dire qu’il ne manquait pas d’air, lui. Né palestinien, avec enfance en Egypte, puis devenu américain ( avec toutes les humiliations)... Ce qui crée des haines durables dans tous les camps.
« Où Hitler a appris le racisme ? » Grand poète et tout, Aimé Césaire, pas de doute. sauf que cette question révèle une candeur sans fond.
Ca me rappelle ma mère juive russe (et agnostique) en fuite qui me racontait l’antisémitisme des bolchos, la haine féroce du juif chez les Polonais de l’entre-deux guerres ( encore maintenant) et le mépris subi chez les Anglais, pour être enfin dénoncée en 1943 comme juive aux nazis d’Aloïs Brunner par les russes blancs de Nice. Où donc avaient-ils tous appris la même chose ?
Déconstruisez moi ça, on va enfin comprendre.
Comparer les souffrances afin d’en légitimer certaines qui seraient plus actuelles et pas d’autres est simplement abjecte. C’est la caractéristique d’apprentis politiques dévoyés, propagateurs de la confusion actuelle.
Bon, voilà, tant pis c’est dit et c’est trop long, Hermano.