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  • Elon Musk’s Next Logical Move — Electric Airplanes — Modular Strategies for Sustainable Global…
    https://hackernoon.com/elon-musks-next-logical-move-electric-airplanes-modular-strategies-for-s

    Elon Musk’s Next Logical Move — Electric Airplanes — Modular Strategies for Sustainable Global MobilityPhoto by Leio McLaren on UnsplashIn Australia, Elon Musk built an electric battery plant that can back up the grid within milliseconds.And he’s losing money with it.Tesla’s 100 MW/129MWh Powerpack system near Jamestown, Australia provides backup power for South Australia’s energy grid. 30–40% of the electricity it provides goes unpaid because the grid only measures electricity pumped into the system a full 6 seconds after a breakdown event.The Powerpack farm responds in milliseconds: 0.14 seconds the last time it had to back up the grid.Why lose money instead of adding in an artificial 6 second delay?Because Elon Musk’s next project is beautiful.But it’s not about airplanes.Next project:Provide a (...)

    #electric-airplane #sustainability #global-mobility #modular-strategies #elon-musk

  • Yémen : les enjeux d’une guerre occultée
    http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2017/07/31/yemen-les-enjeux-d-une-guerre-occultee_5166873_3218.html

    La guerre au Yémen (1/5). Le pays est l’un des théâtres de la lutte d’influence entre l’Arabie saoudite et l’Iran, mais le conflit révèle d’autres fractures.
    Par Jean-Philippe Rémy (Aden, envoyé spécial)

    Plus de 10 000 morts, dont la moitié sont des civils ; des bombardements qui touchent aussi bien des écoles et des musées que des camps militaires ; une dizaine de pays impliqués, du Moyen-Orient à l’Afrique ; une épidémie de choléra qui atteint plus de 300 000 personnes : la guerre entamée en 2015 au Yémen est un conflit dévastateur, et il se déroule pratiquement sans témoin extérieur.

    Plus de deux ans après son déclenchement, le Yémen est coupé en deux. Il y a une forme de gouvernement au Nord, à Sanaa, mêlant des responsables de la rébellion houthiste et les fidèles de l’ex-président Ali Abdallah Saleh. Dans le Sud, à Aden, siège un autre gouvernement, reconnu, celui-ci, par la communauté internationale et soutenu par une coalition d’une dizaine de pays dirigée par l’Arabe saoudite. Les deux camps qui s’affrontent au Yémen ont tout mis en œuvre pour empêcher les journalistes de s’y rendre. C’est, pour l’heure, leur seule réussite.

    #paywall

    • Plus de 10 000 morts, dont la moitié sont des civils ; des bombardements qui touchent aussi bien des écoles et des musées que des camps militaires ; une dizaine de pays impliqués, du Moyen-Orient à l’Afrique ; une épidémie de choléra qui atteint plus de 300 000 personnes : la guerre entamée en 2015 au Yémen est un conflit dévastateur, et il se déroule pratiquement sans témoin extérieur.

      Plus de deux ans après son déclenchement, le Yémen est coupé en deux. Il y a une forme de gouvernement au Nord, à Sanaa, mêlant des responsables de la rébellion houthiste et les fidèles de l’ex-président Ali Abdallah Saleh. Dans le Sud, à Aden, siège un autre gouvernement, reconnu, celui-ci, par la communauté internationale et soutenu par une coalition d’une dizaine de pays dirigée par l’Arabe saoudite. Les deux camps qui s’affrontent au Yémen ont tout mis en œuvre pour empêcher les journalistes de s’y rendre. C’est, pour l’heure, leur seule réussite.

      Or les enjeux sont importants. Le Yémen est un des théâtres de la féroce lutte d’influence entre l’Arabie saoudite et l’Iran, qui se joue aussi en Syrie ou en Irak. Mais la guerre agit aussi comme le révélateur d’autres fractures, notamment celle entre le nord et le sud du pays. Alors que le conflit semble enlisé et que la situation humanitaire devient intenable, le Yémen semble menacé de destruction massive. Dans ce contexte, les djihadistes, à commencer par Al-Qaida dans la péninsule Arabique (AQPA), tapis en embuscade, voient des opportunités à saisir.

      Quelles sont les racines du conflit ?

      Il revient à quelques fonctionnaires du Fonds monétaire international (FMI) d’avoir, involontairement, allumé l’étincelle d’une situation qui n’attendait que d’exploser. En 2014, sous pression de l’institution financière, le pouvoir de l’époque – avec à sa tête le président Abd Rabo Mansour Hadi – annonce la suppression de subventions sur les produits pétroliers. Les manifestations s’étendent, notamment à la capitale, Sanaa, et fragilisent le pouvoir. Les rebelles houthistes, au nord du pays, en profitent pour mener une opération de conquête partielle de Sanaa. Dirigé par Abdel Malik Al-Houthi, ce mouvement se réclame du zaïdisme, une branche minoritaire du chiisme, qui a été le socle de l’imamat, le régime politique à la tête du Yémen, du IXe siècle jusqu’en 1962 et l’avènement de la République.

      Le renouveau zaïdite des houthistes est une réaction à la montée en puissance du salafisme sunnite dans le Nord, encouragée par l’Arabie saoudite. De 2004 à 2010, les houthistes ont été en rébellion ouverte contre le pouvoir central du président Ali Abdallah Saleh – pourtant lui-même zaïdite. Frontalier de l’Arabie saoudite, le « pays » houthiste, dont la ville de Saada est la « capitale », a été ravagé par les campagnes successives de l’armée yéménite, appuyée dès les années 2000 par l’aviation saoudienne.

      Ali Abdallah Saleh, pour sa part, n’a pas résisté au « printemps yéménite » de 2011. Son pouvoir déliquescent, miné par une corruption vertigineuse, a été balayé par les manifestations… et l’aide de l’Arabie saoudite, qui l’a poussé vers la sortie. Son vice-président, Abd Rabo Mansour Hadi, lui a alors succédé. Mais l’ex-chef de l’Etat avait conservé des stocks d’armes, beaucoup d’argent et la loyauté des troupes d’élite de l’armée. Une alliance va donc alors être nouée avec ses ennemis d’hier, les houthistes, pour repartir à l’assaut du pouvoir. En deux temps, septembre 2014 puis janvier 2015, les nouveaux alliés prennent le contrôle de la capitale, Sanaa, sans coup férir. La guerre peut commencer.

      Abd Rabo Mansour Hadi, placé en résidence surveillée, parvient à s’enfuir et à gagner Aden, dans le Sud. Les houthistes – dont la branche politique s’intitule Ansar Allah – et les forces pro-Saleh – réunies dans son parti, le Congrès populaire général (CPG) – se lancent alors à l’assaut du reste du pays. Pour l’Arabie saoudite, c’est la confirmation de la tentative masquée de l’Iran de prendre le contrôle du Yémen par l’intermédiaire de ses alliés supposés, les houthistes, d’obédience chiite eux aussi.

      Dans la nuit du 25 au 26 mars 2015, alors que les forces de l’alliance houthistes-CPG sont entrées dans Aden, une coalition pro-saoudienne de neuf pays entre en action et commence ses frappes aériennes. Cette coalition va déployer des navires pour empêcher le ravitaillement de ses ennemis par la mer, mais aussi des soldats au sol, bien qu’en nombre limité, pour participer à la reconquête. Deux ans plus tard, Aden est libérée, mais la guerre est enlisée.


      Panneau à l’éfigie du Président Abdrabbo Mansour Hadi, le 17 juin à Aden.

      Est-ce une guerre entre chiites et sunnites ?

      Au départ, ce n’est pas le cas. Les houthistes n’ont pas de revendications fondées sur des différences entre chiites et sunnites (de rite majoritairement chaféite, au Yémen). Les populations zaïdites représentent un tiers environ des Yéménites et, même si techniquement elles appartiennent au chiisme, leur culte diffère considérablement de celui pratiqué en Iran. Sur le plan politique, les houthistes ont repris le slogan iranien : « Dieu est grand ! Mort à l’Amérique ! Mort à Israël ! Que la malédiction s’abatte sur les juifs ! L’islam vaincra ! », mais ils ne sont pas des satellites iraniens comme le Hezbollah libanais.

      De plus, la guerre des houthistes ne s’est pas menée sur la base d’un appui iranien. Les armes, même lourdes, se trouvent facilement en vente libre dans le nord du Yémen. Surtout, les houthistes ont pu compter sur les stocks constitués par Ali Abdallah Saleh, qui dispose d’un important réseau d’alliances tribales comme politiques, et sur les unités de l’armée qui les ont rejoints, jusque dans Aden. Un rapport du panel d’experts de l’ONU estimait en 2016 que le « gouvernement légitime pourrait avoir perdu le contrôle de plus de 68 % des stocks nationaux [d’armes] pendant le conflit ». Les mêmes experts ont mené l’enquête sur les trafics d’armes iraniennes à destination des houthistes et n’ont pas décelé de transferts d’importance, hormis dans certains secteurs spécialisés (missiles, drones). Ces armes ont été apportées en contrebande, par voie maritime ou depuis le sultanat d’Oman. Or, ces deux voies semblent s’être taries courant 2017, selon une source au sein du groupe d’experts.

      A mesure que le conflit s’éternise, l’opposition entre chiites et sunnites, telle que l’envisage l’Arabie saoudite, pourrait s’aggraver. Mais, au-delà, le conflit a fait resurgir d’autres questions complexes comme celle de l’unité du pays. Le sud du Yémen a, en effet, été indépendant de 1967 à 1990.

      Des crimes de guerre sont-ils commis ?

      Ils ont été commis par les deux camps. Il y a, d’abord, les victimes civiles, qui constituent environ 60 % des morts, et cela indique le type de guerre qui se mène au Yémen : la coalition bombarde un grand nombre de bâtiments, considérés comme des stocks d’armes potentiels. Les écoles, dans ce cadre, ont beaucoup été visées. Les houthistes affirment que près de 2 500 écoles dans le Nord auraient été touchées. Des immeubles dans des villes classées au Patrimoine mondial de l’Unesco, comme la vieille ville de Sanaa, ont aussi été ciblés. Des trésors archéologiques ont été détruits par des bombardements de la coalition, notamment dans des musées. De plus, le recours à des sous-munitions par la coalition a été avéré.

      Symétriquement, les houthistes minent systématiquement les zones dont ils se retirent, notamment la ville de Taëz. Ils ont aussi organisé des tueries à l’aveugle dans des quartiers des zones « ennemies » en usant de leur artillerie ou en déployant des snipers chargés d’abattre les civils.

      La guerre du Yémen est-elle impossible à gagner ?

      Après une phase de mouvements – la ruée vers le Sud de l’alliance houthistes-CPG, suivie de la bataille d’Aden, qui s’est soldée par sa défaite et un début de repli –, le conflit s’est enlisé, à de rares exceptions près. La coalition et ses alliés yéménites ne parviennent pas à prendre pied dans les massifs montagneux. Ils sont bloqués sur les contreforts, notamment dans la région de Marib, et ont échoué, pour le moment, à s’allier avec des tribus qui leur permettraient d’avancer.
      En janvier 2017, une offensive a été lancée par la coalition pour conquérir les ports de la mer Rouge. Pour l’Arabie saoudite, il s’agissait de contrer une menace potentielle iranienne sur le trafic commercial (et militaire) passant par l’une des plus grandes routes maritimes de la planète, le détroit de Bab Al-Mandab. L’autre nation-clé de la coalition, les Emirats arabes unis, cherche à se constituer une zone d’influence dans la partie sud du Yémen, quitte à soutenir les mouvements séparatistes locaux. A terme, l’Arabie et les Emirats risquent donc de se trouver en contradiction sur le dossier yéménite.

      Les pays membres de la coalition sont, du reste, de moins en moins convaincus par la guerre au Yémen. Bahreïn a ordonné le retrait. Les Saoudiens se sont massivement retirés. Les Emirats, les plus présents, comptent sur des mercenaires ou des soldats soudanais (notamment des unités irrégulières ayant mis à feu et à sang le Darfour), pour les protéger. « Ni l’Arabie saoudite, ni les Emirats ne parviendront à instaurer des sphères d’influence durables au Yémen, estime Michael Horton, analyste à la fondation Jamestown, un institut de recherche basé à Washington. Dans ce pays, la politique est un sport de combat sanglant dont les étrangers comprennent rarement toutes les règles et dans lequel ils ne parviennent jamais à l’emporter. »

  • Three Generations of Opioid Addiction - Pacific Standard
    https://psmag.com/social-justice/three-generations-of-opioid-addiction

    Le lien entre l’héroine/fentanyl de la rue et les médicaments anti-douleur au travers de l’histoire d’une famille dans une ville en perdition.

    “If I flip back into my junkie brain, ’Oh man, someone just died from pink bags, that’s got to be great shit!’” he says, speculating that this latest overdose came from heroin laced with the powerful synthetic opioid fentanyl. Different batches of heroin are often sold in distinctively colored or marked bags, and when addicts know a certain batch is powerful, they seek it out.

    The Centers for Disease Control and Prevention recently declared drug overdoses to be the leading cause of death for people under 50. And places like Jamestown—small towns across the American heartland and the Rust Belt—are those hardest hit.

    Chanda Lynn says she was prescribed Vicodin for back pain while she was pregnant with her son. She thought the prescription was irresponsible but, already struggling with addiction, she found herself unable to stop using painkillers. “Every day I’d lay in bed and I’d pray over my stomach, please protect him from withdrawal, please protect him from addiction,” she says.

    The county is also trying to prevent opioid addiction early, with educational programs about opioids starting in kindergarten in local schools. And the county provides safe disposal sites and free lockboxes for prescription medicine, to try to keep it from filtering onto the streets.

    While Chanda Lynn is glad to see health-care institutions and public agencies taking action, she believes the real change must come from someplace much deeper: the way our society looks at users. Addicts are often doomed to relapse when they return to a society where they face stigma and lack of opportunity, she says.

    “When you come back, the communities aren’t willing or ready to accept you. There are no jobs and you have felonies so you can’t get a house or a car,” she says. “So you go back to the addict community that accepts you.”

    #Opioid_crisis #pharmacie #santé_publique

  • Quelques faits marquants de l’histoire du tabac
    https://xconfrontationx.wordpress.com/2016/04/26/quelques-faits-marquants-de-lhistoire-du-tabac

    Le capitalisme moderne a été, bien sûr, construit en partie pour faciliter le commerce international du tabac et celui d’autres marchandises produites sur des plantations esclavagistes tenues par des Européen.ne.s dans le « Nouveau Monde ». Jamestown, la première colonie britannique en Amérique du Nord, ne produisait presque rien en dehors du tabac (cette production était tellement […]

    https://1.gravatar.com/avatar/af5bf7a8a9ec87a4405279c3f854f031?s=96&d=identicon&r=G

  • La guerre saoudienne pour l’oléoduc yéménite renforce #al-Qaïda et l’#État_islamique
    http://www.middleeasteye.net/fr/opinions/la-guerre-saoudienne-pour-l-ol-oduc-y-m-nite-renforce-al-qa-da-et-l-t

    .... le gouvernorat d’Hadramaout, dans l’est du #Yémen, est resté curieusement immunisé contre les bombardements saoudiens. Cette province, la plus grande du Yémen, renferme la majeure partie des ressources pétrolières et gazières restantes du Yémen.

    « L’intérêt principal du royaume dans le gouvernorat est la construction éventuelle d’un #oléoduc. Ce #pipeline est depuis longtemps un rêve du gouvernement saoudien », observe Michael Horton, spécialiste du Yémen à la fondation Jamestown. « Un pipeline traversant le gouvernorat de l’Hadramaout donnerait à l’Arabie saoudite et ses alliés des pays du Golfe un accès direct au golfe d’Aden et à l’océan Indien ; cela leur permettrait de contourner le détroit d’Ormuz, un goulot d’étranglement stratégique susceptible d’être bloqué au moins temporairement par l’Iran dans un futur conflit. La perspective d’obtenir un tracé pour un futur pipeline traversant le gouvernorat de l’Hadramaout figure probablement dans la stratégie à long terme plus vaste de l’Arabie saoudite au Yémen. »

    [...]

    Parmi les principaux bénéficiaires de la stratégie saoudienne au Yémen figure al-Qaïda dans la péninsule arabique (AQPA), le même groupe qui a revendiqué le massacre de Charlie Hebdo à Paris.

    « Le gouvernorat de l’Hadramaout est une des rares zones où la coalition dirigée par l’Arabie saoudite n’a effectué aucune frappe aérienne, avait noté Buringa. Le port et l’aéroport international d’al-Mukalla sont dans un état optimal et sous le contrôle d’al-Qaïda. En outre, l’Arabie saoudite livre des armes à al-Qaïda, [qui] étend sa sphère d’influence. »

    L’alliance saoudienne avec les terroristes affiliés à al-Qaïda au Yémen a été mise en lumière en juin dernier, lorsque le gouvernement « transitoire » d’Abd Rabbo Mansour Hadi soutenu par l’Arabie saoudite a dépêché un délégué officiel à Genève pour les pourparlers des Nations unies.

    Il s’est avéré que ce représentant n’était nul autre qu’Abdel Wahab al-Humayqani, identifié en tant que « terroriste mondial expressément désigné » (« Specially Designated Global Terrorist » – SDGT) en 2013 par le département du Trésor des États-Unis pour des activités de recrutement et de financement pour le compte d’AQPA. Humayqani aurait également été à l’origine d’un attentat à la voiture piégée perpétré par al-Qaïda qui a tué sept personnes dans une base de la Garde républicaine yéménite en 2012.

    • Excellent texte de Nafeez Ahmed. #échapper_à_Ormuz / #pipelineistan

      Sur le site de la BBC, sans qu’on discute de la question des routes de l’énergie, on rapporte quand même ce fait édifiant. Une documentariste, Safa al-Ahmad, présente dans la ville yémente de Taiz, a filmé des milices pro-gouvernementales soutenues et conseillées par des soldats émiratis, qui mènent la guerre contre les Houtis. Et puis surprise, un groupe lui demande de ne pas les filmer et la documentariste découvre alors qu’il s’agit de combattants d’Ansar al-Charia, groupe appartenant à al-Qaïda dans la péninsule arabique :
      http://www.bbc.com/news/world-middle-east-35630194

      During a visit to the frontline outside Taiz late last year, documentary maker Safa AlAhmad spoke to pro-government militiamen attacking Houthi fighters on a key hilltop with the support of troops from the United Arab Emirates (UAE), who were providing tactical advice.
      While there, Ms AlAhmad was warned by one group participating in the battle not to film them.
      She was told they were members of Ansar al-Sharia, an affiliate of al-Qaeda in the Arabian Peninsula (AQAP), and that they were angered by the presence of a woman.