Oeil de chat

Partage des richesses avec les animaux image de fond photographiée pendant une quarantaine Covid 19 (bord de Loire)

  • La pollution des générateurs provoque une forte hausse des cancers du poumon au Liban - L’Orient-Le Jour
    https://www.lorientlejour.com/article/1370477/la-pollution-des-generateurs-provoque-une-forte-hausse-des-cancers-du


    La pollution bien visible au-dessus de Beyrouth, comme une chape de plomb. Photo d’archives João Sousa

    Une étude bientôt publiée par des chercheurs de l’Université américaine de Beyrouth (AUB) a révélé que « le taux de polluants carcinogènes dans l’atmosphère », résultant de la dépendance généralisée aux générateurs électriques privés alimentés au diesel, « a doublé depuis 2017 », selon la députée et scientifique Najat Saliba, qui a dirigé la recherche. Et les conséquences sur la santé pourraient être dévastatrices. Alors que le ministère de la Santé estime une augmentation des taux de cancer de 10 à 15 % depuis 2016, les chefs de département d’oncologie des hôpitaux ont estimé pour L’Orient Today une hausse beaucoup plus élevée, de 30 % ces dernières années.
    Les oncologues ajoutent que le cancer du poumon représente le plus grand nombre de cas. À l’instar des chercheurs de l’AUB, ils accusent les polluants atmosphériques toxiques provenant des générateurs électriques qui fonctionnent souvent 24h/24 pour pallier le manque d’électricité publique fournie par l’État en raison de la crise financière qui sévit dans le pays depuis 2019. Largement répandus au Liban, ces générateurs sont installés sur les places publiques, dans les parkings, montés sur des camions, sur les toits, dans les quartiers résidentiels, dans les cours des hôpitaux et devant les magasins. Une étude de 2006 avait révélé que 370 000 générateurs au diesel fonctionnaient alors à travers le Liban, émettant plus de 40 substances toxiques – comme le dioxyde d’azote et le dioxyde de soufre. Un nombre qui a très probablement augmenté depuis.

    Patients plus jeunes, cancers plus agressifs

    Le Liban se classe au premier rang des pays d’Asie occidentale en termes d’incidence du cancer dans la population, avec un taux de 242 cas pour 100 000 habitants en 2018, selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Il a ainsi enregistré 28 764 cas de cancer au cours des cinq dernières années, dont 11 600 cas rien qu’en 2020, selon un rapport de l’OMS publié en 2021.

    Il n’y a pas de cause unique pour le cancer, selon le Dr Kanaan. Bien que des facteurs comme le « tabagisme, l’alcool et l’obésité » puissent conduire au cancer, ils sont aggravés par la pollution qui « non seulement augmente les taux de cancer, mais les rend également plus agressifs, avec des patients se présentant devant leur médecin au troisième voire même quatrième stade » de la maladie, la rendant plus difficile à traiter.

    Le Dr Maroun Sadik, chef du service d’oncologie à l’hôpital Geitaoui à Beyrouth, affirme lui que le nombre de patients se rendant dans ses cliniques d’oncologie a augmenté d’au moins 30 % par rapport à la période pré-2020. Depuis, le taux d’occupation des patients subissant des séances de chimiothérapie à l’hôpital a augmenté jusqu’à 40 %. L’oncologue ajoute qu’environ 30 à 40 % de ces cas ont été diagnostiqués avec un cancer du poumon, certains malades ayant moins de 50 ans.

    « La moyenne d’âge des patients qui nous ont consultés au cours des trois dernières années a diminué : nous avons commencé à voir des personnes de moins de 50 et 40 ans dans nos cliniques », ajoute le Dr Fadi Nasr, chef du service d’oncologie à l’hôpital Hôtel-Dieu de Beyrouth. Celui-ci observe également que 30 à 40 % de ces patients ont été diagnostiqués avec un cancer du poumon. Cette pathologie se classe au troisième rang en termes de prévalence au Liban, après le cancer de la vessie et le cancer du sein, selon des chiffres de 2020 publiés par l’OMS.

    Le ministère de la Santé a cessé d’analyser et de publier des données sur les taux de cancer en 2016. Ghada Gebran, conseillère du ministre sortant de la Santé Firas Abiad, indique que le ministère est en train de reprendre la collecte de données et de publier les résultats. Selon elle, les médecins du ministère estiment que l’augmentation des taux de cancer depuis 2016 jusqu’à présent se situe entre 10 et 15 %, moins que l’augmentation de 30 % estimée par les oncologues des hôpitaux de Beyrouth.

    Une raison potentielle à cet écart : plusieurs oncologues de divers hôpitaux nous ont affirmé qu’un grand nombre de patients cancéreux qu’ils rencontrent ne sont pas enregistrés sur la plateforme de suivi du cancer du ministère de la Santé. Cela est dû à des pénuries généralisées des médicaments que la plateforme est censée fournir gratuitement aux patients atteints de cancer.

    #cancer #pollution #générateurs #électricité #Liban #Beyrouth

  • On Aaron Bushnell’s action in solidarity with Gaza
    https://fr.crimethinc.com/2024/02/26/this-is-what-our-ruling-class-has-decided-will-be-normal-on-aaron-bus

    “This is what our ruling class has decided will be normal.” These words of Aaron’s haunt us. He is right. We are rapidly entering an era in which human life is treated as worthless. Let’s admit that the kind of protest activity that has taken place thus far in the United States has not served to compel the US government to compel a halt to the genocide in Gaza. It is an open question what could accomplish that. Aaron’s action challenges us to answer this question. Source: Crimethinc

  • Pierre Abi-Saab à propos d’une chanson méconnue de Fairouz, qui circule beaucoup en ce moment :
    https://video.twimg.com/amplify_video/1761713267074838528/vid/avc1/480x270/t6hYQ2fD9C0rJJ7v.mp4

    أغنية خاصة جدّا لـ #فيروز يتم تداولها بكثافة هذه الأيام على المجموعات ومواقع التواصل. يكتشفها كثيرون بدهشة فهي غير معروفة، وغير موجودة في أي اسطوانة لفيروز بحدود معرفتي وإطلاعي (1). غنتها مرة واحدة في #الجزائر، العام 1968 اي بعد #النكسة! ثم اختفى أثرها. لكنها حسب بعض المراجع اقدم بكثير… ألفها #الأخوان_رحباني العام 1956، عاماً قبل أغنية «راجعون». لا يحتاج المرء إلى أن يكون ناقداً متخصصاً، كي يلاحظ أن هذا النص النثري المباشر، لا يشبه أي أغنية أخرى للرحبانيين: «كان القضاةُ تعبوا… أتعبَهُم طول النقاش/فأغلقوا الدفاتر وذهبوا للنوم/ وكان في الخارج صوتُ شتاء وظلامْ/ وبائسون يبحثون عن ســلامْ/ والجوعُ في ملاجىْ المشرّدين ينامْ/ وكانتِ الرياحُ ما تزالْ/ تقتَلعُ الخيامْ»… الأغنية تعكس عبقرية الأخوين ورؤيويّتهما. أم أن العالم الخاضع للهيمنة الاستعمارية الغربية لم يتقدّم قيد أنملة طوال 75 عاماً؟ وقضية فلسطين لا تزال جرحاً راعفاً في وجدان الانسانية؟

    (1) بعض المعلومات تحتاج إلى تدقيق. آلو، #محمود_الزيباوي؟

    • سافرت القضيه
      سافرت القضية تعرض شكواها في ردهة المحاكم الدولية
      وكانت الجمعية قد خصصت الجلسة للبحث في قضية القضية
      وجاء مندوبون عن سائر الأمم جاؤوا من الأمم
      من دول الشمال والجنوب
      والدول الصغيرة والدول الكبيرة
      واجتمع الجميع في جلسة رسمية
      وكانت الجمعية قد خصصت الجلسة
      للبحث في قضية القضية
      وخطب الأمين العام حكى عن السلام
      وبحث الأعضاء الموضوع
      وطرح المشروع عدالة القضية

      وقف إطلاق النار إنهاء النزاع
      التصويت التوصيات البت في المشاكل المعلقة الإجمـــــاع
      وصرحت مصادر موثوقه نقلا عن المراجع المطلعه
      ودرست الهيئة وارتأت الهيئة
      وقررت الهيئة إرسال مبعوث
      وصرح المبعوث بأنه مبعوث
      من قبل المصادر وأن حلا مـــا
      في طريق الحل وحين جاء الليــــل
      كان القضــاة تعبــــوا أتعبهم طــــول النقاش
      فأغلقوا الــدفاتر وذهبـــوا للنـوم
      وكان في الخــارج صوت شــتاء وظلام
      وبائســون يبحثون عن ســلام
      والجوع في ملاجى المشردين ينام
      وكانت الرياح ماتزال
      تقتلع الخيــــام

  • Santé, sécurité : la légalisation du cannabis en Allemagne suscite des réactions mitigées en France

    « Alors que l’Allemagne a légalisé l’usage du cannabis vendredi 23 février, en France les réactions sont mitigées quant à ses conséquences sur la santé des consommateurs ou sur la lutte contre le trafic de drogues. »

    https://www.euractiv.fr/section/sante/news/european-doctors-divided-over-cannabis-legalisation-in-germany

  • Constitutionnalisation de l’IVG : Un leurre grossier - Le SAF
    https://lesaf.org/constitutionnalisation-de-livg-un-leurre-grossier

    Certes, le Conseil d’État est d’avis que droits et libertés ont le même sens au regard du droit constitutionnel. Mais force est de constater qu’il a été décidé de choisir ici liberté plutôt que droit.

    Le SAF le déplore car la notion de droit qui, renvoie à l’idée d’une véritable créance vis-à-vis de l’État, qui imposerait l’effectivité de l’accès à l’avortement.

    Les opposant·es à la constitutionnalisation d’un droit fondamental à l’avortement se prononcent d’ailleurs toujours pour le voir qualifier de simple liberté, dans le contexte d’un accès à l’IVG très contraint en pratique.

    La liberté peut être restreinte là où le droit doit être garanti.

  • Ghassan Hage sur X :
    https://twitter.com/anthroprofhage/status/1760484136245190962

    One of the defining features of fascism is the transformation of the democratic politics of adversariality into a politics of hatred and enmity. This is characterised by the desire to censor rather than debate, and the will to exterminate rather than co-exist.

    In Germany, this political affect was packed in the category ’Jude.’ But it is this political affect, not the category ’Jude,’ that primarily defined this dimension of fascism.

    When you transfer this political affect from the category ’Jude’ to the category ’antisemite’, an incredible historical tour de force as this may be, you are not critically dealing with your fascist past, you are preserving one of its key affective components.

  • Tapis, cosmétiques, motos : les soldats israéliens pillent en masse les maisons de Gaza - International Solidarity Movement - ISM-France
    https://ismfrance.org/index.php/2024/02/21/tapis-cosmetiques-motos-les-soldats-israeliens-pillent-en-masse-les-maiso

    Sur la chaîne publique israélienne Kan, des soldats israéliens montrent un miroir qu’ils ont volé à Gaza (Capture d’écran)

    Oren Ziv, 20 février 2024. Les soldats israéliens combattant à Gaza n’ont pas hésité à publier des vidéos sur les réseaux sociaux documentant joyeusement la destruction gratuite de bâtiments et l’humiliation des détenus palestiniens. Certains de ces clips ont même été présentés lors de la présentation de l’Afrique du Sud devant la Cour internationale de Justice le mois dernier comme preuve du génocide. Mais il existe un autre crime de guerre facilement documenté par les soldats israéliens qui a suscité moins d’attention et de condamnation malgré sa prévalence : le pillage.

    En novembre, le chanteur palestinien Hamada Nasrallah a été choqué de découvrir sur TikTok un soldat jouant de la guitare que son père lui avait achetée 15 ans plus tôt. D’autres vidéos mises en ligne sur les réseaux sociaux ces derniers mois montrent des soldats israéliens se vantant d’avoir trouvé des montres-bracelets, déballant une collection de maillots de football de quelqu’un et volant des tapis, des produits d’épicerie et des bijoux.

    Dans un groupe Facebook d’Israéliennes comptant près de 100.000 utilisatrices, une femme se demandait quoi faire des « cadeaux de Gaza » que son compagnon, un soldat, lui avait rapportés. Partageant une photo de produits cosmétiques, elle a écrit : « Ils sont tous fermés sauf un. Les utiliseriez-vous ? Et est-ce que quelqu’un connaît ces produits ou les trouve-t-on uniquement à Gaza ? » (...)

    https://seenthis.net/messages/1042829
    #Pillage

  • « Au sein d’une presse largement dominée par les hommes, le journal Khabar Lahariya, émerge comme le seul journal indien dirigé par des femmes, qui plus est des Dalits « intouchables ». Armées de smartphones, la rédactrice en chef Meera et ses journalistes secouent les traditions, en couvrant des élections, en relatant des accidents dans des mines illégales aux mains de la mafia indienne ou en prenant à parti des policiers qui classent sans suite des affaires de viol. »

    https://www.france.tv/films/longs-metrages/5734929-la-voix-des-femmes-intouchables.html

  • ONU : Des experts demandent une enquête sur les violences israéliennes contre les Palestiniennes
    https://fr.hespress.com/353390-onu-des-experts-demandent-une-enquete-sur-les-violences-israelie

    AFP

    Des experts en droits humains de l’ONU ont demandé lundi une enquête indépendante sur les allégations de violences, y compris sexuelles, visant des Palestiniennes, qui auraient été perpétrées par des Israéliens.

    Le communiqué des sept experts indépendants de l’ONU a suscité une vive réaction d’Israël, qui a qualifié leurs affirmations de « méprisables et sans fondement ».Les experts ont exprimé leur inquiétude face aux « allégations crédibles de violations flagrantes des droits humains » visant des Palestiniennes dans la bande de Gaza et en Cisjordanie.Ils citent des informations selon lesquelles des femmes et des filles auraient été « arbitrairement exécutées à Gaza, souvent avec des membres de leur famille, y compris leurs enfants ».

    « Nous sommes choqués par les informations faisant état de femmes et d’enfants palestiniens délibérément visés et d’exécutions extrajudiciaires » alors que ces personnes « cherchaient un refuge ou qu’elles fuyaient », ont-ils déclaré.

    Les experts indépendants, qui sont nommés par le Conseil des droits de l’Homme de l’ONU mais ne représentent pas l’ONU, pointent également du doigt la « détention arbitraire de centaines de femmes et de filles palestiniennes », notamment des défenseurs des droits humains, des journalistes et des humanitaires, depuis l’attaque sans précédent le 7 octobre du Hamas sur le sol israélien.

    Cette attaque a entraîné la mort de 1.160 personnes, pour la plupart des civils, selon un décompte de l’AFP à partir des données officielles israéliennes.

    Les bombardements et l’offensive terrestre menés depuis par Israël à Gaza ont tué au moins 29.092 personnes, en majorité des femmes et enfants, selon le dernier bilan du ministère de la Santé palestinien.
    Selon les experts de l’ONU, bon nombre des personnes détenues auraient été soumises à des « traitements inhumains et dégradants », notamment de violents passages à tabac, et se verraient refuser des serviettes hygiéniques, de la nourriture et des médicaments.

    Ils expriment leur inquiétude particulière face aux informations faisant état de « multiples formes d’agression sexuelle », notamment des viols sur au moins deux détenues, tandis que d’autres ont été « déshabillées et fouillées par des officiers masculins de l’armée israélienne ».

    Les experts réclament une « enquête indépendante, impartiale, rapide, approfondie et efficace » sur ces allégations, exhortant Israël à coopérer.

    La représentation israélienne auprès de l’ONU à Genève a balayé leurs accusations, affirmant que les experts étaient « motivés par leur haine pour Israël, et non par la vérité ».

    Elle a également indiqué que les autorités israéliennes n’avaient reçu aucune plainte, mais qu’elles sont prêtes à enquêter sur toute « allégation concrète de mauvaise conduite de la part de ses forces de sécurité lorsqu’elles seraient présentées avec des allégations et des preuves crédibles ».

  • Le Diable n’existe pas
    de Mohammad Rasoulof
    2020
    Iran / Allemagne / République tchèque

    https://www.arte.tv/fr/videos/095080-000-A/le-diable-n-existe-pas

    A voir
    Superbe, actrices et acteurs excellents, certaines scènes (notamment les images de Anniversaire ) sont d’une poésie sublime.

    Placé sous surveillance depuis 2010 par le régime des mollahs, l’audacieux Mohammad Rasoulof (Un homme intègre) a dû ruser pour obtenir les autorisations de tournage, faisant établir les demandes au nom de quatre assistants différents. Pour ne pas être reconnu sur son plateau par les représentants du ministère de la Culture et de la Guidance islamique, il a parfois dirigé ses comédiens en étant grimé et a tourné plusieurs séquences à distance. Au travers d’un moment clé dans la vie de quatre hommes iraniens d’âge différent, le cinéaste interroge la responsabilité individuelle face à l’application de la peine capitale – plus de 580 exécutions en Iran en 2022. De la grande ville à la campagne reculée, il met en scène quatre drames autour de l’obéissance ou de la fidélité à ses convictions, quel qu’en soit le lourd prix à payer. Servie également par de beaux personnages féminins et des twists scénaristiques percutants, une réflexion politique sur la liberté de conscience récompensée par l’Ours d’or à la Berlinale.

    https://www.rfi.fr/fr/culture/20220101-mohammad-rasoulof-cin%C3%A9aste-iranien-en-disant-non-ta-conscience-est

    À travers ces quatre histoires, j’ai voulu dire qu’à un moment donné chacun de nos choix peut avoir une répercussion importante et qu’il est de notre devoir de réfléchir à ces choix et assumer notre responsabilité. Mais l’acte de tuer et la pendaison ne sont en fait pour moi que des exemples pour dire que quand on ne réfléchit pas à ce qu’on nous demande, qu’on se voit simplement comme un exécuteur et qu’on abandonne la responsabilité de toute décision au pouvoir en place, on fait alors partie d’un système qui peut être à ce point violent et destructeur.

    Disponible sur Arte

    Du 18/02/2024 au 19/03/2024

    • Effectivement @oeil_de_chat même si les hommes sont peints de façon plus sensible que d’habitude, comme le bourreau du premier film qui passe l’aspirateur chez sa vieille mère avec soin, ou le nourrisseur du renard, les femmes de ces 4 films sont toutes cantonnées au care et se retrouvent oubliées des victimes du régime iranien.

  • #Suceso_Portales_Casamar (1904-1999)
    https://www.partage-noir.fr/suceso-portales-casamar-1904-1999


    ❝J’aime cette photo de Suceso parce qu’on y voit la douceur, l’espièglerie de son regard, la tendresse et la sérénité de son visage de vieille lutteuse apaisée. J’ai connu Suceso à Londres, pendant l’été 1952. Elle avait 48 ans, j’en avais 18. Ce fut un de ces étés pluvieux, comme il y en a tant et tant à Londres. Elle vivait au 5 Fairfax Road, dans un grand appartement, avec son compagnon Acracio Ruiz, et leur fille Hortensia. Pour moi qui vivais en hôtel meublé, avec mes parents, rue (...) Partages

    / #Suceso Portales Casamar #Espagne, Révolution espagnole (1936-1939), Mujeres Libres , #CIRA_Marseille
    #Révolution_espagnole_1936-1939 #Mujeres_Libres

  • La 106ème de Minuit Décousu ! Ce soir on a parlé de tout un tas de flux, numériques, hertziens... Dans ce podcast tu pourras retrouver à :

    8’40 la diffusion d’un long documentaire « Hebs & Hertz » réalisé pour la Nuit Décousue, où l’on croise archives, témoignages de part et d’autres des murs des taules sur l’importance des ondes radiophoniques.

    45’50 une fiction où l’on part à la chasse aux fantômes numériques après qu’un drôle de bruit se soit glissé dans un vocal dans une messagerie...

    Visuel : Dessin d’Emilie Seto pour la revue en ligne Syntone (https://syntone.fr/la-radio-fenetre-sur-linhumanite-des-prisons)

    https://audioblog.arteradio.com/blog/139527/podcast/184872/episode-106-hebs-and-hertz-flux-fantomes

  • [Surreal Sound System] #611 - Love is overrated
    https://www.radiopanik.org/emissions/surreal-sound-system/611-love-is-overrated

    Two hours of black...

    A Thunder Orchestra – diabolical gesture

    Xymox – call it weird

    Grauzone – traume mit mir

    Linear Movement – the game

    Martin Dupont – just because

    The Musicwreckers – commercial break

    Keine Achnung – nacht

    The Actor – deutsche madchen

    Severed Heads – now an explosive new movie

    Max Berlin – elle et moi

    John Bender – 36a2

    Vovokai – de teleurstelling

    DAF – ich will

    Vomito Negro – dare

    A Split Second – rigor mortis

    Simple Minds – this fear of gods

    COMA – femme robot

    Data Bank A – in it’s time

    Rational Youth – le meilleur des mondes

    Artificial Organs – while the city sleeps

    Metro Pakt – neue strassen

    Tense – disconnect myself

    Der Plan – commerce extérieur

    Stereo – somewhere in the night

    Boytronik – bryllyant

    Crash Course In Science – factory forehead

    Fiction Technology – in the city

    Absolute (...)

    https://www.radiopanik.org/media/sounds/surreal-sound-system/611-love-is-overrated_17312__1.mp3

  • Bosnian refugee camp #Lipa: Dispute over “Austrian Guantanamo”

    20 governments participate in the Vienna #ICMPD and finance or receive its activities. The ÖVP-affiliated organisation handles migration control for the EU.

    Every year, the EU spends hundreds of millions of euros to manage and counter migration in third countries. Every year, the EU spends hundreds of millions of euros to manage and fight migration to third countries. Most of the money comes from three different funds and goes to the countries themselves or to EU members who award contracts to companies or institutes for implementing the measures. The International Organisation for Migration (#IOM) also receives such EU funding for migration control.

    One of the private organisations contracted to deliver EU measures is the #International_Centre_for_Migration_Policy_Development (ICMPD), founded in 1993 and based in Vienna. It is headed by the conservative Austrian ex-vice chancellor and former Austrian People’s Party (ÖVP) leader Michael Spindelegger. The 20 members include states such as Turkey, Serbia or Bosnia-Herzegovina and, since 2020, also Germany. Many of the ICMPD’s measures are funded from Austria, a parliamentary question by the Greens revealed.

    Now the centre is to draft proposals for “EU migration partnerships”, in which third countries receive benefits if they take back deportees from EU states. With a similar aim, the ICMPD is implementing a “regional return mechanism for the Western Balkans”. The states are supported in carrying out deportations themselves. The German government has funded this initiative with €3.2 million in 2020 and calls it “migration management”.

    On behalf of the Ministry of the Interior, the ICMPD is also involved in the construction of a “Temporary Detention Centre” in the newly built Bosnian refugee camp Lipa and received €500,000 from the EU Commission for this purpose. This is documented in an EU document published on Friday by the German organisation Frag den Staat as part of a research on the ICMPD. The camp is run by the IOM, and Germany is supporting its construction through the German Federal Agency for Technical Relief (THW) with €1 million for a canteen.

    The purpose of the camp in Lipa had been unequivocally explained by Oliver Várhelyi, the Commissioner for Enlargement and European Neighbourhood Policy, who comes from Hungary. “We need to keep our detention facilities in Lipa and the region under control, meaning that the fake asylum-seekers must be detained until they return to their countries of origin. Again, we will replicate this project in other countries of the region”, said the EU Commissioner.

    “A high fence, cameras at every step, windows with prison bars and almost no daylight in the cells,” is how the organisation SOS-Balkanroute, which is active in Austria, described everyday life there and titled it in a press release “This is what the Austrian Guantanamo in Bosnia looks like”.

    The ICMPD feels attacked by this. The organisation was “of course not involved in the construction of detention cells or similar”, a spokesperson initially claimed in response to an enquiry by the APA agency. However, ICMPD head Spindelegger rowed back shortly afterwards and explained in the programme “Zeit im Bild” that his organisation was responsible for the construction of a “secured area for a maximum of twelve persons”. According to Bosnia’s Foreign Minister Elmedin Konakovic, this was a “room for the short-term internment of migrants”.

    Despite its denial, the ICMPD is now taking action against SOS Balkanroute and its founder Petar Rosandić and has filed a lawsuit for “credit damage” at the Vienna Commercial Court because of the designation “Austrian Guantanamo”. “Our only concern is to stop the continued false allegations,” an ICMPD spokesperson explained, including that the organisation was pushing the suffering of people.

    This is an attempt at political intimidation, “the kind of which we are used to seeing in Hungary, Russia or Serbia”, said Rosandić, the NGO’s founder, commenting on the complaint. The Green member of the National Council Ewa Ernst-Dziedzic feels reminded of “conditions under Orban in Hungary” and expects “the necessary consequences” from other ICMPD signatory states. Germany does not want to hear about this. The Foreign Office and the Federal Ministry of the Interior in Berlin let a deadline of several days set by “nd” for comment pass without response.

    https://digit.site36.net/2023/05/22/bosnian-refugee-camp-lipa-dispute-over-austrian-guantanamo

    #OIM #asile #migrations #réfugiés #camps #encampement #Bosnie #Balkans #route_des_Balkans #Bosnie-Herzégovine #camps_de_réfugiés

  • A Gaza, des puces virtuelles pour briser le blocus des télécommunications
    https://www.lemonde.fr/international/article/2024/01/31/a-gaza-des-puces-virtuelles-pour-briser-le-blocus-des-telecommunications_621

    Au passage, cela contredit tout ce que l’on nous raconte sur l’indifférence de la fameuse « rue arabe » à la question palestinienne...

    Alors que le réseau de télécommunications palestinien était coupé pour la dixième fois en trois mois, ce Gazaoui a pu se connecter à WhatsApp grâce à une carte SIM dématérialisée fournie par Mirna El Helbawi. Avec dix autres bénévoles, cette écrivaine égyptienne de 31 ans a lancé une initiative baptisée « Connecting Gaza » pour fournir gratuitement aux habitants de la bande côtière des « eSIM », des puces virtuelles permettant de contourner le blocus des communications régulièrement imposé par l’Etat hébreu.

    « Les familles sont dispersées. On ne compte plus les gens qui restent sans nouvelles de leurs proches. Lors des black-out, c’est impossible d’appeler une ambulance et les secours ont de grandes difficultés à coordonner l’évacuation des blessés vers les hôpitaux. Ces coupures sont également une entrave au travail des journalistes sur le terrain, alors qu’ils ont un rôle essentiel de documentation des crimes de guerre commis par Israël », explique Mirna El Helbawi de son appartement qui surplombe les toits du Caire.

    Depuis trois mois, cette ancienne journaliste ne dort presque plus. Alors que, le 27 octobre 2023, Gaza était coupée du monde pour préparer le terrain à l’offensive terrestre de l’armée israélienne, la jeune femme place ses espoirs dans le milliardaire Elon Musk, fondateur de SpaceX, qui s’engage à reconnecter l’enclave palestinienne grâce à son satellite Starlink. Mais la promesse reste lettre morte.

    « Sans réseau, nous n’avons plus de voix »

    « C’était terrifiant. On suivait la situation heure par heure, et puis, d’un coup, plus rien. Un silence vertigineux », livre-t-elle. L’une de ses followers sur Instagram lui souffle alors l’idée d’essayer d’utiliser ces cartes à puce virtuelles, disponibles sur plusieurs sites Internet pour une trentaine de dollars. Pour les mettre en service, les utilisateurs doivent scanner avec leur téléphone portable le QR code envoyé par le donateur. Il leur suffit ensuite d’activer le mode itinérance sur un réseau étranger afin de pouvoir se connecter aux antennes relais israéliennes et égyptiennes qui jouxtent le territoire palestinien, langue de terre de 12 kilomètres de large et de 41 kilomètres de long.

    « J’ai alors contacté deux journalistes à Gaza qui avaient réussi à capter un peu de réseau sur des cartes israéliennes. Je leur ai envoyé deux puces. Et ça a marché ! », s’étonne-t-elle encore aujourd’hui. L’un d’eux se nomme Ahmed El-Madhoun.

    Originaire de la ville de Gaza, il est le premier à réussir à se connecter à une « eSIM » en plein black-out. « Sans réseau, nous n’avons plus de voix. Tu te sens tout seul, isolé du monde. Tu te dis que ce qu’ils veulent, c’est que tu crèves en silence », relate le journaliste free-lance de 27 ans, dans un message envoyé au Monde.

    « Les eSIM sont désormais notre seul moyen de se connecter avec le monde extérieur. Mais on se met en danger pour les utiliser », poursuit le journaliste, qui a été visé par des tirs israéliens alors qu’il tentait de capter un signal sur le toit de l’hôpital Al-Nasser à Khan Younès. « Il faut souvent se rapprocher des frontières, se déplacer vers des zones ouvertes, comme les plages, ou grimper sur les toits des immeubles pour récupérer quelques barres de réseau, au risque de devenir des cibles », détaille-t-il.

    « Routeurs humains »

    Dans la foulée de ce premier succès, Mirna a lancé une campagne sur son propre compte Instagram pour récolter des milliers de cartes numériques, achetées par des donateurs à travers le monde, des Etats-Unis au Pakistan, en passant par la France. La jeune femme a vite été dépassée par le nombre de donations, recevant plus de 3 000 QR codes lors des trois premiers jours. « On a donné la priorité aux journalistes et aux secouristes. Puis ensuite, aux familles sans nouvelles de leurs proches, et à tous ceux qui en avaient besoin », poursuit-elle alors que son téléphone ne cesse de vibrer.

    Au total, plus de 150 000 puces virtuelles ont été envoyées dans la bande de Gaza, touchant probablement plus du double de personnes. « Les puces sont souvent utilisées en hotspot [“réseaux partagés”] pour permettre à d’autres de se connecter. C’est une arborescence. Nous avons identifié quelques personnes à qui on envoie chaque jour une eSIM. Ils se chargent ensuite de connecter un maximum de gens. On les surnomme les “routeurs humains”. Mais il arrive régulièrement qu’on perde le contact avec l’un d’eux, avant d’apprendre qu’il a été tué sous les bombes. Ce silence brise le cœur », souffle Mirna El Helbawi, les yeux humides.

    A Gaza, l’accès au réseau de téléphonie mobile est devenu une question de vie ou de mort. « Avoir des informations sur les bombardements, le déroulé de la guerre, appeler les secours ou contacter ses proches, c’est vital en temps de guerre. La communauté internationale doit agir », clame Marwa Fatafta, responsable de plaidoyer au Moyen-Orient pour l’ONG Access Now, qui défend les droits humains en ligne, condamnant la dernière coupure des télécommunications qui a duré plus d’une semaine.

    Si, depuis le 19 janvier, les connexions ont été partiellement rétablies, cela n’implique pas que les habitants aient facilement accès à Internet. Alors que plus de 1,3 million de Gazaouis sont entassés dans le sud de l’enclave, le réseau est saturé, et les infrastructures déjà endommagées ne suffisent pas. « Il faut des heures pour envoyer un message, et les équipes de maintenance qui osent aller réparer les installations s’engagent dans des missions suicide », poursuit Marwa Fatafta.

    Le piège des hackeurs israéliens

    Le 13 janvier, Paltel, le principal fournisseur télécoms de l’enclave, annonçait que deux de ses employés avaient été tués par une frappe israélienne alors qu’ils tentaient de réparer des lignes de communication à Khan Younès. « Pouvoir communiquer, accéder à Internet, devrait être un droit élémentaire », tranche Mirna El Helbawi. La jeune femme ne compte plus les menaces de mort. Son initiative dérange. Une fois, des hackeurs israéliens se sont fait passer pour des membres de son équipe, demandant aux bénéficiaires leur localisation exacte. « Pour pouvoir les cibler », pense-t-elle.

    L’écrivaine n’était pourtant pas une militante chevronnée de la cause palestinienne. « Comme pour tous les Egyptiens, leur lutte a infusé en nous depuis qu’on est petits », dit-elle. Sans jamais avoir posé un pied à Gaza, elle en connaît désormais la géographie par cœur. A distance, elle vit au rythme de la guerre. Ce qui la fait tenir, c’est la conviction que, « dans ce conflit, les médias et les réseaux sociaux jouent un rôle crucial. Israël tente de gagner la guerre de communication en réduisant Gaza au silence. Pour eux, pas d’image veut dire pas de crimes », affirme-telle. « Les eSIM ont permis à Gaza de ne pas être rayée de la carte du monde », approuve Ahmed El-Madhoun, qui, après avoir couvert la situation critique de l’hôpital Al-Nasser, s’est replié dans une tente, au sein de l’un des immenses camps de déplacés de Rafah.

    « Connecting Gaza » a déjà amorcé sa mue, devenant « Connecting Humanity ». Mirna El Helbawi espère pouvoir reproduire ce modèle d’activisme à distance dans d’autres conflits où les communications sont rendues impossibles par les belligérants. Avec son équipe, elle a tenté de faire fonctionner des eSIM au Soudan voisin, où de nombreuses personnes déplacées n’ont pas d’accès à Internet. Sans succès pour le moment.

  • À peine nommée, la nouvelle vice-présidente de la Ciivise accusée d’agression sexuelle
    https://www.francetvinfo.fr/societe/harcelement-sexuel/temoignage-franceinfo-a-peine-nommee-la-nouvelle-vice-presidente-de-la-

    Dans la revue spécialisée Les Cahiers de la Justice, Caroline Rey-Salmon écrit en 2018 un article intitulé « Les violences sexuelles sur mineurs : diagnostic médical, constats et perspectives ». La médecin y explique que « les enfants méconnaissent leur anatomie génitale [...] et n’ont pas les mots pour décrire ce qu’ils ont subi. » Elle poursuit : « C’est tout l’intérêt de faire avec l’enfant sur la table d’examen une sorte de reconstitution des gestes de l’agresseur et de recueillir ses sensations pour être au plus près du déroulement des faits. » Franceinfo a interrogé d’autres pédiatres légistes et des psychiatres experts auprès des tribunaux, et aucun ne valide une telle pratique.

    • L’extrait de cet article est terrifiant, je n’ai pas réussi à le commenter hier parce que j’étais sous le choc.

      Ne serait-ce que d’imaginer toutes les personnes adultes et enfants passés par ces agressions sexuelles systématiques tranquillement avouées comme une pratique médicale par cette médecin légiste. Et cette assertion hallucinante de viols à répétition légalisés n’est pas publié n’importe où, Les Cahiers de la Justice sont édités chez Dalloz : documentation juridique pour tous les professionnels du droit. Mais #au_secours.

      L’article incriminé paru en 2018 dans Les Cahiers de la Justice est sur https://www.cairn.info/revue-les-cahiers-de-la-justice-2018-1-page-55.htm paragraphe « Troisième limite : la confrontation aux déclarations du mineur »

      #crime_sexuel #pedo_criminelle

    • Visée par une plainte pour agression sexuelle, la vice-présidente de la Ciivise se met en retrait | Le Télégramme
      https://www.letelegramme.fr/france/visee-par-une-plainte-pour-agression-sexuelle-la-vice-presidente-de-la-

      La nouvelle vice-présidente de la Ciivise, Caroline Rey-Salmon, se met en retrait de ses fonctions après avoir été visée par une plainte pour agression sexuelle.

      À peine installée, la Ciivise 2 déjà fragilisée : une plainte pour agression sexuelle a en effet été déposée ce mardi à Marseille contre la nouvelle vice-présidente de la Commission indépendante sur l’inceste et les violences sexuelles faites aux enfants Caroline Rey-Salmon.

      Mise en « retrait »
      La pédiatre et médecin-légiste est visée par une plainte pour « agression sexuelle par personne abusant de l’autorité que lui confère sa fonction », selon la plainte consultée ce mercredi par l’AFP, confirmant des informations de Franceinfo et BFMTV.

      Par ailleurs, ce mercredi, au lendemain du dépôt de plainte, Le Parisien a avancé que Caroline Rey-Salmon quitte temporairement ses fonctions. Ce que la Ciivise a confirmé peu de temps après : « La vice-présidente se met en retrait total des travaux de la commission pendant tout le temps de l’enquête », indique la Commission dans un communiqué, évoquant un retrait « indispensable à la sérénité des travaux » et au maintien « de la confiance » des personnes victimes.

    • La c’est l’article non signé qui en suit un précédent, plus détaillé, qui n’était pas piqué des hannetons

      La Ciivise dans la tourmente après une plainte pour agression sexuelle contre sa vice-présidente
      https://www.lemonde.fr/societe/article/2024/02/07/la-ciivise-dans-la-tourmente-apres-une-plainte-pour-agression-sexuelle-contr

      La plaignante affirme s’être résolue à déposer une plainte après avoir découvert que Mme Rey-Salmon rejoignait la nouvelle direction de la #Ciivise. Plusieurs publications précédant celle-ci montrent qu’elle déplorait, depuis plusieurs semaines, le départ contraint du juge Edouard Durand de la tête de la Commission, créée en 2021. Son témoignage a d’ailleurs été partagé sur les réseaux sociaux par plusieurs anciens membres, qui accusent la nouvelle direction, dont les travaux ne font que commencer, de ne pas mettre la parole des victimes au centre de leurs travaux.

      Elle avait une raison de s’intéresser au devenir de la Ciivise, c’est louche, non ?

      #inceste #VSS #pédocriminalité

      https://justpaste.it/a6a8x

    • Dans son article dans les Cahiers de la Justice dont j’ai donné le lien plus haut, pas un mot sur l’inceste, sauf à parler de sa non fréquence dans les recherches sur « un moteur de recherche très célèbre ».
      #hallucination

      Seule bonne nouvelle, ils démissionnent tous les deux, l’agresseuse et le directeur de la Ciivise.

      Total soutien à la victime qui déclare

      « Voir la nomination de Caroline Rey-Salmon à la tête de la Ciivise, c’était trop pour moi », déclare la plaignante. « Il faut qu’elle soit mise en retrait (…), mais surtout qu’elle reconnaisse qu’elle a eu recours à ce genre de pratiques visant à faire revivre aux victimes ce qu’elles ont vécu, et qu’elle reconnaisse que ce soit violent et inhumain . »

  • Dans la bande de Gaza, les bombes israéliennes détruisent le patrimoine et effacent la mémoire
    https://www.lemonde.fr/international/article/2024/02/14/a-gaza-les-bombes-israeliennes-effacent-le-patrimoine-de-l-enclave_6216433_3

    [...]
    Selon l’OCHA, l’agence des Nations unies chargée de la coordination humanitaire, plus de la moitié des bâtiments de Gaza ont été détruits depuis le 7 octobre, privant quelque 650 000 personnes de leur foyer. Bien qu’Israël ne soit plus membre de l’Unesco depuis 2018, cette source assure que le dialogue reste ouvert. Les Israéliens répondent ne pas cibler délibérément les sites historiques. Le dynamitage de l’université Al-Israa, à la mi-janvier, par exemple, soulève pourtant la question de la responsabilité de l’Etat hébreu dans la protection des vestiges archéologiques à Gaza.

    La vieille ville de Gaza : un champ de ruines

    Le musée de l’établissement abritait quelque « trois mille rares artefacts qui remontaient aux ères préislamique, romaine et islamique », a fait savoir la direction de l’université dans un communiqué sur Facebook, condamnant l’explosion. « On ne sait pas si les Israéliens ont pillé ce qu’ils y ont trouvé ou s’ils l’ont tout simplement détruit, s’émeut Anwar Abu Eisheh, ancien ministre de la culture de l’Autorité palestinienne [2013-2014]. C’est une guerre israélienne contre les Palestiniens dans tous les domaines. Pour prouver qu’il n’y a pas de peuple palestinien et qu’il n’y a même pas de patrimoine palestinien. »

    Que les Israéliens agissent intentionnellement ou non, « le résultat est l’effacement d’un patrimoine et d’une histoire. Symboliquement, c’est important, parce que c’est notamment par ce biais que les gens sont attachés à leur territoire », s’alarme Benoît Tadié, ancien conseiller culturel du consulat général de France à Jérusalem entre 2009 et 2013.
    [...]

    https://jpst.it/3AEn1

  • Israël-Palestine, le 7 octobre et après : un cadrage médiatique verrouillé
    https://www.acrimed.org/Israel-Palestine-le-7-octobre-et-apres-1-un

    Cet article est le premier volet d’une analyse qui tente de revenir, quatre mois après le début de la séquence ouverte suite aux attaques meurtrières du Hamas le 7 octobre 2023, sur les grands traits et les principaux biais du traitement médiatique de cette nouvelle étape du conflit opposant Israël aux Palestiniens. Nous n’avons évidemment aucune prétention à l’exhaustivité, tant le volume de matériau est énorme, la question ayant fait la Une durant plusieurs semaines. Il s’agit plutôt, sans négliger le fait que nombre de journalistes ont tenté de donner à lire, voir et entendre autre chose, d’analyser le « bruit médiatique » dominant, entendu comme la somme des effets de cadrage, de (dé)légitimation et d’imposition de problématiques à l’œuvre dans les grands médias. Un bruit médiatique qui n’empêche pas, à la marge, d’autres sons de cloche de se faire entendre, mais qui est suffisamment puissant pour les atténuer considérablement, voire les rendre inaudibles. Nous revenons dans ce premier article sur les cadres qui se sont imposés, au sein des médias dominants, dans l’immédiat après-7 octobre et qui, même s’ils ont parfois été en partie questionnés, ont continué, et continuent encore, de surdéterminer le traitement médiatique d’une séquence particulièrement tragique et, à ce jour, toujours en cours.

    S’interroger sur les grandes caractéristiques et dynamiques du traitement médiatique de la nouvelle séquence du conflit opposant l’État d’Israël aux Palestiniens signifie questionner, en premier lieu, ce qui est apparu, à partir du 7 octobre, comme le périmètre « légitime » du débat public ou, pour reprendre une formule chère à Alain Minc, le « cercle de la raison » – ou « cercle du réel et du possible ». Autrement dit : les premiers et les principaux des biais que nous allons étudier ne concernent pas tant le contenu que le contenant et, avant d’envisager une étude critique de l’évolution de la couverture médiatique des événements eux-mêmes, ce qui fera l’objet d’un prochain article, il nous semble essentiel de poser la question du cadre global de cette couverture et des limitations/délimitations qui ont été posées d’emblée ou dans les premiers jours qui ont suivi le 7 octobre 2023...

    « Puisque tout a commencé le 7 octobre , Israël est – logiquement – la partie qui réagit . Ce champ lexical n’a pas été utilisé pour l’opération menée par le Hamas, appréhendée comme un point de départ. »

    Excellente analyse d’Acrimed_info !

    https://twitter.com/monachollet/status/1757171889632382983

    • Israël-Palestine : 2 poids, 2 mesures, ou quand les vies des uns valent moins que celles des autres. Suite de notre analyse de la séquence médiatique ouverte le 7 octobre 2023, avec un focus sur les doubles standards et les compassions sélectives.
      https://www.acrimed.org/Israel-Palestine-le-7-octobre-et-apres-2-doubles

      Dans le premier épisode de cette série « Israël-Palestine, le 7 octobre et après », nous avons étudié le cadrage médiatique qui s’est imposé dans les jours et les semaines qui ont suivi les attaques meurtrières menées par le Hamas le 7 octobre 2023 : présentisme, déshistoricisation, dépolitisation.

      Dans ce deuxième article, lui-même décomposé en deux parties, nous tentons d’analyser, exemples et études quantitatives et qualitatives à l’appui, comment, au sein de ces cadres, divers phénomènes omniprésents dans les médias dominants (doubles standards, compassions sélectives, invisibilisation et déshumanisation) ont conduit, au total, à un véritable naufrage informationnel et moral.

      Cette première partie de l’article est consacrée aux phénomènes de doubles standards et de compassions sélectives. Dans la seconde partie également en ligne, nous revenons sur les processus d’invisibilisation de Gaza et de déshumanisation des Palestiniens.

  • Les olives amères de Palestine - imago mundi
    https://www.imagomundi.fr/article57.html

    Analyser le monde au prisme de la seule géopolitique risque de faire oublier la réalité bien concrète de l’existence de la société civile. Or, dans la guerre actuelle entre Israël et le Hamas, ce sont bien les sociétés civiles israélienne et palestinienne qui se retrouvent prises en étau et sacrifiées sur l’autel de la violence. Loin des guerres de déclarations entre personnes qui ne connaissent ni l’histoire israélo-palestinienne, ni le sort de la population palestinienne, nous présentons trois reportages signés Johanna Schreiner, parus en 2019 et 2020. Ils témoignent de la situation en Cisjordanie occupée et permettent de mieux comprendre un drame aux multiples facettes.

    Ce premier article date de décembre 2019. La rédaction a décidé de flouter les visages pour préserver l’anonymat des personnes.
    la rédaction

    Chaque année, aux mois d’octobre et de novembre, a lieu la récolte des olives en Palestine. À l’occasion de la cueillette, la violence de certains colons israéliens à l’égard des paysan·nes redouble d’intensité. Pour protéger un tant soit peu les familles de ces agressions, des bénévoles de la Terre entière viennent les assister. Cette saison, des actes de violence ont été commis à l’encontre des bénévoles mêmes. Voici quelques éléments pour tenter de comprendre une situation très problématique.
    par Johanna Schreiner

    Version en anglais : http://www.imagomundi.fr/article58.html

    • « Je suppose qu’il en est de même dans les autres pays, mais au Proche-Orient et en #Israël, en raison de la situation, l’endoctrinement est très fort. Beaucoup d’Israélien·nes et de Palestinien·nes prennent pour argent comptant ce qu’on leur raconte. Le seul moyen de vraiment comprendre la situation est de s’informer soi-même et d’aller à la rencontre des Palestinien·nes, de nous intéresser à leurs luttes.

      Moi, je fais partie de la jeune société israélienne versée dans la technique et les sciences. En tant que personne rationnelle, j’aborde les questions politiques de façon pragmatique, par une démarche empirique. En tant que laïc, je porte sur les questions raciales, nationales et religieuses, toutes trois fortement imbriquées dans l’imaginaire israélien, un regard rationnel et moins émotionnel. Bien sûr, c’est aussi en tant qu’être humain que je m’engage, ce qui va au-delà des questions morales du bien et du mal. J’ai lu comment, il y a plusieurs mois, à Kufr Kadum, des militaires ont tiré dans la tête d’Abd a-Rachman, un enfant de 9 ans. Non seulement je sais que cela est « mal », mais je suis aussi triste, frustré, horrifié de ce que nous faisons... je suis en colère... Ce qui dicte ma démarche, c’est la volonté de faire tomber les murs de la ségrégation, de la peur et du ressentiment, autant que de venir en aide aux personnes privées de leurs droits.

      Je me demande, bien sûr, pourquoi tant de jeunes laïques et « rationnels » comme moi ne se sentent pas concernés par la question israélo-palestinienne et ne s’engagent pas dans une résistance douce et non-violente contre l’occupation et les injustices. C’est que beaucoup (ou : un nombre juste suffisant pour maintenir le statu quo) profitent tout simplement de la situation instaurée par 52 années d’#occupation et n’ont même pas conscience qu’elles contribuent au maintien de cette occupation. Les enfants des classes les plus instruites et des classes socio-économiques supérieures s’enrôlent dans les unités de renseignement de haute technologie de l’armée. Peu après leur service militaire, ils peuvent trouver des emplois bien rémunérés dans des entreprises de la high tech, ou même démarrer leur propre entreprise (de fait, une grande partie des start-ups israéliennes sont développées par d’anciens soldats de ces unités). Alors, pourquoi remettre en question une situation si confortable ? Après, il y a celles et ceux d’entre nous qui se consacrent corps et âme à leurs études ou à leur carrière, qui s’y épanouissent, qui y trouvent un sens à leur vie et sont tellement accaparé·es par leur projet que ce qui se passe tout autour est invisible à leurs yeux… Je n’en fait pas partie, moi, je me sens libre de m’occuper d’autre chose que de mes études ou de mon avancement professionnel.

      #Palestine #territoires_occupés #colons #palestiniens #Tsahal

  • Taybeh, village chrétien de Palestine - imago mundi
    https://www.imagomundi.fr/article61.html


    On n’arrive pas à Taybeh par hasard. Dans le gouvernorat de Ramallah, dans les Territoires occupés, à 50 km au nord de Jérusalem, cette petite ville perchée sur sa colline n’est pas un haut lieu touristique de la Terre sainte. Seuls des groupes de pèlerins chrétiens s’aventurent jusqu’ici, au seuil du désert, entre la Samarie et la Judée bibliques.
    Qu’en est-il d’être chrétien·ne dans les Territoires palestiniens occupés ? Pour comprendre, je me suis rendue sur place et ce périple a pris la forme d’un voyage dans le temps, ancien et récent, autant que dans les lieux.
    par Johanna Schreiner

  • À Gaza, les soldats israéliens mettent en scène leurs crimes en vidéo - Fatma Ben Hamad
    Orient XXI > Fatma Ben Hamad > 14 février 2024
    https://orientxxi.info/magazine/a-gaza-les-soldats-israeliens-mettent-en-scene-leurs-crimes-en-video,706

    Si beaucoup de Gazaouis se sont transformés en journalistes reporters d’image pour documenter le massacre en cours, les vidéos ne manquent pas du côté des militaires israéliens, qui eux filment leurs exactions, brandissent leurs forfaits, avec la complicité de leur hiérarchie.

    .
    Captures d’écran de vidéos montrant des soldats israéliens lors de la guerre en cours Gaza depuis le 7 octobre 2023.

    • A Gaza, la soldatesque sioniste découvre le métier d’influenceur :
      https://www.haaretz.com/israel-news/security-aviation/2024-02-04/ty-article/.premium/israeli-army-its-admits-staff-was-behind-graphic-gaza-telegram-channel/0000018d-70b4-dd6e-a98d-f4b6a9c00000

      Israeli Army Admits Running Unauthorized Graphic Gaza Influence Op

      An IDF psychological warfare unit ran a Telegram channel targeting Israeli audience without approval. The army initially denied involvement, but an internal investigation following Haaretz exposé revealed its involvement

      Reversing an earlier denial, Israeli military officials have admitted that the Telegram channel 72 Virgins – Uncensored was operated by members of a department of the Israel Defense Forces’ Operations Directorate.

      The admission comes after a Haaretz published an exposé on the channel last month, which led to an internal investigation into the matter.

      The probe, conducted by Maj. Gen. Oded Basyuk, head of the Operations Directorate, found that the information that led to the original denial that the channel was operated by or on behalf of the army was incorrect, and relied on misinformation relayed by members of the Influencing Department. In the wake of these findings, the unit’s wartime commander is to end his military service.

      During the original investigation, sources told Haaretz that members of the unit, which is in charge of psychological warfare targeting the enemy and foreign audiences, created 72 Virgins – Uncensored on October 9, two days after the war began, without official approval and without being authorized to do so. Furthermore, the channel was directed at an Israeli audience.

      After processing its findings, IDF officials contacted Haaretz to present their conclusions. In a written response, the IDF Spokesperson’s Unit said that after a thorough investigation, “it was found that the Telegram page was operated by the IDF without authorization and without authority. The incident has been dealt with.”

      The channel’s administrators posted graphic content, such as images of the dead bodies of Hamas terrorists, captioned “Shatter the terrorists’ fantasy,” on a daily basis. On several occasions, they posted exclusive material from investigations or information that was only available to the defense establishment at the time, boasting that it was “exclusive from Gaza.” They uploaded thousands of videos and still images of the killing of terrorists and destruction in the Strip, and encouraged the channel’s followers to share the content so that “everyone can see we’re screwing them.”

      The operators used coarse language in a bid to obscure the IDF’s involvement in the channel. An October 11 post read: “Burning their mother… You won’t believe the video we got! You can hear their bones crunch. We’ll post it right away, get ready.” Photos of Palestinian men captured by the IDF in the Strip and the bodies of terrorists were captioned: “Exterminating the roaches… exterminating the Hamas rats… Share this beauty.” A video of a soldier allegedly dipping machine gun bullets in pork fat is captioned: “What a man!!!!! Greases bullets with lard. You won’t get your virgins.” Another caption was: “Garbage juice!!!! Another dead terrorist!! You have to watch it with the sound, you’ll die laughing.”

      On October 14, alongside the caption “Exclusive video of a good night, don’t forget to share and repost” was a video of an Israeli vehicle repeatedly driving over the body of a terrorist. “Very good, Gershon!!! Run him over run him over!!!! Screw the bastards! Flatten them,” the accompanying text read.

      The channel administrators didn’t stop at images from Gaza. On October 11, hundreds of Israelis, including members of the Beitar Jerusalem soccer team’s violently racist fan club La Familia, rioted at Sheba Medical Center, Tel Hashomer, near Tel Aviv, following a rumor that Hamas terrorists who had invaded Israel were being treated there. People roamed the hospital, cursing out and spitting on medical professionals. Within an hour, a video of the riot was posted to the 72 Virgins channel with the title, “My brothers, the heroesssss, La Familia fans, love you!!!!!!! What heroes, they came to screw the Arabs.”

      #snuff_movies

  • L’hôpital Nasser s’est «transformé en zone de combat»
    14 February 2024 11:35 GMT
    https://www.middleeasteye.net/live-blog/live-blog-update/nasser-hospital-has-turned-battle-zone-report?nid=341171&topic=Israel

    La situation à l’hôpital Nasser devient « de plus en plus risquée » pour le personnel médical et les centaines de personnes déplacées qui s’y abritent, rapporte le journaliste d’Al Jazeera Hani Mahmoud à Rafah, dans le sud de la bande de Gaza.

    « La situation à l’hôpital devient de plus en plus risquée pour le personnel médical et pour les centaines de personnes déplacées qui y sont réfugiées et qui n’ont aucun endroit sûr où aller », a déclaré Hani Mahmoud.

    « L’armée israélienne a donné des ordres d’évacuation stricts. Elle a déjà détruit la porte nord de l’hôpital et l’a bloquée avec un tas de débris et de sable. Le secteur de l’hôpital s’est transformé en zone de combat, la grande majorité des bâtiments et des routes des environs ayant été détruits », a-t-il rapporté.

    « Les soldats tirent sur tout ce qu’ils voient, y compris sur un médecin et une infirmière. Il y a des corps dans la cour. Ces personnes ont été tuées alors qu’on leur avait dit d’évacuer. La situation est extrêmement accablante pour les personnes qui se trouvent à l’intérieur de l’établissement en ce moment », a-t-il ajouté.

    Mahmoud fait état d’un manque de carburant, de fournitures médicales et d’oxygène à l’hôpital. Selon lui, cela signifie qu’il n’y a pas d’opérations chirurgicales en cours. « Il y a également une inondation des eaux usées car l’établissement est privé d’électricité », ajoute-t-il.

    • Des caméras à reconnaissance faciale installées à l’entrée de l’hôpital Nasser
      14 février 2024 11:52 GMT
      https://www.middleeasteye.net/live-blog/live-blog-update/face-recognition-cameras-set-nasser-hospital-gate?nid=341171&topic=Is

      L’armée israélienne a ordonné à environ 300 membres du personnel médical, 450 patients et des centaines de Palestiniens déplacés de quitter l’hôpital Nasser, rapporte le journaliste d’Al Jazeera Hani Mahmoud à Rafah, dans le sud de la bande de Gaza.

      Les forces israéliennes ont détruit la plupart des issues, ne laissant qu’une porte ouverte, par laquelle les gens sont forcés de passer.

      « Des chars et des véhicules blindés sont stationnés devant cette porte. Des caméras à reconnaissance faciale sont installées à l’entrée est de l’hôpital », explique Mahmoud.

      « D’après les expériences passées, l’installation de caméras à reconnaissance faciale et d’équipements de haute technologie signifie que des raids et des arrestations massives vont bientôt avoir lieu », a-t-il ajouté.

    • Un chirurgien de l’hôpital Nasser fait état de l’évacuation forcée de patients par les Israéliens
      14 février 2024 12:10 GMT
      https://www.middleeasteye.net/live-blog/live-blog-update/surgeon-nasser-hospital-reports-forced-israeli-evacuation-patients?ni

      Le Dr Khaled Asreer, qui est l’un des derniers chirurgiens de l’hôpital Nasser, a donné à Middle East Eye une mise à jour de la situation à l’intérieur de l’hôpital.

      « L’armée israélienne a parlé à l’administration de l’hôpital et a dit que les patients et leurs familles devaient quitter Nasser par l’entrée nord de l’hôpital », a déclaré Asreer.

      « La plupart des personnes à l’intérieur de l’hôpital ont été évacuées par l’entrée nord. Les Israéliens les font marcher au milieu des chars et des soldats. Chaque personne est soumise à un contrôle de sécurité, ce qui fait que les évacuations prennent beaucoup de temps », ajoute Asreer.

      « Les foules se tiennent maintenant devant les portes et l’armée israélienne les oblige à se déplacer d’environ 2 km pour atteindre une zone de sécurité », a-t-il ajouté.

      "Les instructions israéliennes sont strictes et stipulent que tous les patients capables de se déplacer doivent être évacués immédiatement.

      « La seule exception concerne les patients incapables de marcher ou de se déplacer. Même les patients en fauteuil roulant ne peuvent pas se déplacer parce que devant les portes - en raison de l’activité des bulldozers ces deux derniers jours - il n’y a pas de surface dure pour que le fauteuil roulant puisse se déplacer. Il n’y a que du sable », a-t-il déclaré à MEE.